Mon retour à l'homo
Après ma première expérience, délicieuse, faite en Afrique, je n'avais pas un penchant véritablement homo, les filles suffisamment belles et faciles me donnaient entière satisfaction. De retour en France, à Paris, le désir de sexe m'a poussé vers les cinés pornos. J'en avais un de prédilection qui est maintenant fermé depuis longtemps. Plusieurs salles à divers niveaux, m'ont donné l'occasion de sucer et de me faire prendre bien des fois. Je ne rappellerai que celles qui me font encore jouir quand j'y repense. Il y avait une toute petite salle, où passait un film sans intérêt à peine porno.
Mais au fond de cette salle obscure, était rassemblé un groupe d'hommes, je me suis inséré au milieu de cette masse aux mains baladeuses, le cul à l'air. Après plusieurs caresses sans suite, une queue raide est venue s'immiscer dans ma fente. Je me suis rendu plus offrant en me penchant légèrement en avant. Celle-ci trouve enfin mon fion et me pénètre en douceur. Deux mains me tiennent par la taille pour améliorer ma position. Là au milieu du groupe, je me fais prendre tout en regardant le film. Quelques coups plus rapprochés m'ont signifié que la queue était prête à cracher, ce qu'elle fit en s'immobilisant à l'intérieur de moi. Ramollie elle fut éjectée naturellement. Je ne sais qui m'a pris ainsi, car il s'est retiré discrètement. Me faire baiser sans voir mon baiseur est le summum de ma jouissance.
Dans la plus grande salle, il y avait un couloir issue de secours où se rassemblaient les baiseurs et les baisés. Je m'y rendais pour offrir mon cul. Quand j'entrais dans ce ciné, j'ôtais mon pantalon et slip, et revêtait une jupe très courte pour laisser paraître le début de mes fesses. Ainsi vêtu, je faisais le pied de grue dans ce couloir. Beaucoup de mains baladeuses mais pas de proposition sérieuse. Pourtant, une fois, une belle queue de maghrébin s'est présentée et à vite trouvé son chemin.
Je l'ai appréciée d'autant que beaucoup me matait en train de me faire prendre. Je suis très exhibé. De plus, le gars s'enfonçait profondément en moi et je sentais sa pilosité rêche qui chatouillait mon cul. C'est sans doute ce qui me faisait le plus jouir. Il m'a fourragé le cul longtemps alors que très souvent j'ai été enculé par des rapides qui vous laissent sur la faim. Là, j'en avais pour mon pognon et j'aimais regardé les matteurs qui se masturbaient d'envie. Mon enculeur ma saisi la taille, ses mains chaudes m'enserreraient le bassin, puis elles sont remontés jusqu'à ma poitrine et là, il s'est mis à souffler puissamment en accompagnant son jet généreux de sperme. Je baise sans capote car j'aime sentir la peau de la verge glisser dans mon cul, par précaution, j'introduit dans mon cul, une pommade spermicide, j'avais lu quelque part qu'elle pouvait avoir une action protectrice. Une fois baisé, je suis allé aux toilettes recracher le jus et me remettre une dose de spermicide. Mais à peine sorti des toilette m'attendait un gros plein de soupe qui s'est jeté sur moi et m'a enfilé sa petite quèquette dans mon trou pour y jouir assez rapidement.
C'était la cerise sur le gâteau.
C'est dans ce même cinéma que j'ai eu pour la première fois du sperme dans la bouche. Au début, je me contentais de sucer de belle queue jusqu'à les amener à la jouissance mais sans recueillir le sperme dans la bouche. Mais, une fois, j'ai voulu sucer la queue d'un arabe âgé, à peine mes lèvres ont enserré son engin qu'il m'a joui dans la bouche, j'ai tout recraché avec dégout, il s'est excusé....
Avec le temps, je me suis essayé à recevoir cette liqueur en bouche puis à la recraché. Mais j'étais insatisfait de ne pas garder ce nectar. Mais je voyais les suceurs faire ainsi... Un jour, je me suis décidé à aller jusqu'au bout pour voir. Je me suis dit que la prochaine queue qui se présente à ma bouche, si elle semble propre, j'avale. J'étais en bordure d'allée dans un coin discret permettant à qui voulait se faire sucer d'offrir en toute discrétion leur engin. Assis, la bouche à la hauteur de la queue, le travail de la traite était aisée et je pouvais faire de l'abattage. Voilà que la première queue que se présente, est bien propre et parfumée, je me suis dit, pas d'hésitation tu avales. C'est ainsi que j'ai dégusté pour la première fois une bonne giclée de sperme.
Ils n'ont pas tous le même goût, certains sont plus amères. Le sperme des vieux est peu abondant, liquide mais presque sucré. J'ai été rarement déçu par la qualité du jus, la quantité n'est pas toujours au rendez-vous. Aussi, j'ai du mal à lire les textes fantasmagoriques mis en ligne où il est question de queue démesurée et de jets abondants. Tout ça c'est pipo et ne me fait pas bander, je préfère du réel.
Une autre journée de baise qui me reste vive en mémoire et avec laquelle je me masturbe encore de plaisir m'a permis de réaliser un de mes fantasmes. Un jour, j'étais dans ce fameux couloir de baise de la grande salle, lorsqu'un rebeux m'a carressé les fesses à l'air et m'a entraîné au fond du couloir qui était éclairé. Je l'ai suivi, mais au lieu de me pencher pour lui offrir mon cul, je me suis mis à quatre pattes, le derrière bien relevé. Il s'est mis derrière moi et m'a pris avec conviction, les voyeurs, la queue à l'air semblaient vraiment apprécier le spectacle. Je relevais la tête et ouvrais la bouche espérant que l'un d'eux veuille bien jouir au dessus de moi pendant que l'autre ferraillait à l'intérieur de moi-même. Après m'avoir bien chevauché, il a déversé sa crème dans mon ventre. Il s'est levé, ma tapoté les fesses de satisfaction. Je restais là tétanisé par le plaisir, lorsque j'ai senti quelqu'un se positionné derrière moi, c'était un gars qui était entré au ciné juste avant moi, il avait les deux mains prises par des sacs de provisions.
J'entendais les deux sacs plastiques crisser de chaque côté de mes hanches, c'est ainsi que j'ai su que c'était lui, je n'avais pas vu son visage. Il a fait son affaire et après avoir joui m'a laissé là le cul plein de plaisir. Un troisième larron a pris la succession, il avait une queue de longueur démesurée au point qu'elle butait sur le replis de mon intestin empêchant ses boules toucher mes fesses. Il a pris son temps à faire son affaire et a joui. J'allais me relever comblé de cette baise, mais mon premier enculeur est revenu et m'a pris à nouveau jusqu'à jouir une nouvelle fois dans mon intérieur. Il était tout fier de m'avoir pris deux fois.
Je suis retourné en salle, me masturber en revivant cette baise à la chaîne sous le regard de voyeurs. Le gars qui m'avait pris est revenu à la charge la queue raide. Restant assis sur mon siège, je lui ai offert mon cul et m'a encore bien baisé une troisième fois. J'étais comblé.
juicecollector