NEWS :
23 24 Avril

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

110 pages en accès
avant-première.
C’est quoi cet accès ?

Valable tout 2024.
Simple,
CB ou Paypal,
Discret

Shop Gay

Cyrillo20 ans
site gay gratuit

PUBLIER

HISTOIRE

Sextoy
Sexshop

Signaler ici si l'histoire ne respecte pas les mineurs, ado, enfants (-18ans) ou toute autre infraction. Merci !

Premier épisode | Épisode précédent

La découverte du plaisir -2

Initiation

Le lendemain quand je m'éveillai vers 6 heures, la première chose que je fis fut de porter ma main à mon anus, il était un tout petit peu enflé mais plus du tout douloureux, content, je me levai, partis déjeuner et me doucher et à 7H 45, je m'en allai chercher Denis chez lui.

Il m'attendait devant sa porte, il monta à mes côtés, je démarrai, il me dit "Alors, comment va ton cul ?
- Bien, je te remercie. Où allons-nous ?
- A la plage, à la Paloma, ils ont un cabanon".
Nous roulâmes en silence pendant quelques kilomètres, quand Denis avisant un petit bois me dit "Rentres là dedans, j'ai envie de te sauter".
Je m'exécutai et arrêtai la voiture derrière les arbres à l'abri de tout regard, Denis mit les sièges en couchette et me dit "Baisses ton froc et fous-toi à quatre pattes".

Je pris la position, j'entendis le zip de la fermeture éclair de son jeans et sans aucune préparation, il me pénétra m'arrachant un cri de douleur, puis se mit à aller et venir à toute vitesse.
Le mal s'estompait à peine laissant place à une douce langueur quand il éjacula et se retira continuant à décharger sur mes cuisses, il referma sa braguette et me mettant une claque sue les fesses me dit "Ça y est, j'ai tiré ma crampe, reloques-toi et reprenons la route".
Je sortis de l'auto pour me rajuster, à ce moment je le détestais tant qu'avec un peu de courage, j'aurai pu le tuer.
Le voyage se termina sans un mot. Quand nous arrivâmes devant un beau cabanon, je klaxonnai et trois jeunes hommes sortirent ils ne tinrent aucun compte de moi, dirent bonjour à Denis. Ils s'éloignèrent tous les quatre et d'où j'étais j'entendais bien une discussion animée, sans pouvoir en comprendre les mots.

Au bout d'un moment, tout se calma et ils revinrent, l'un d'eux était un grand noir très athlétique, le deuxième était un grand et beau blond presque aussi athlétique que le premier alors que le troisième était un petit brun et avait un regard faux.
Denis me dit "Voici Abdelhak Claude et Freddy et voici Damien.
- C'est donc toi qui va nous tenir compagnie ce week-end me dit
Abdelhak.
- Oui, et j'espère que tout se passera bien.
- Bien moi aussi dit-il avec un grand rire. Dis-moi Denis sait-il
pourquoi il est ici ?
- Oui, bien sur je le lui ai dit.
- Bien donc comme ça pas de problème.
- Aucun ne t'inquiètes pas, en plus c'est une bonne femelle qui fait
tout ce qu'on lui demande.
- Eh bien, c'est parfait, je souhaite que ce que tu dis sois vrai
car sinon le pauvre.
- Tu verras, plus tu le défonces, plus il en veut.
- Eh bien, ça tombe bien car on a les couilles pleines.
- J'espère qu'elles seront vides Dimanche dis-je.
- Voilà qui est parlé répondit Claude.
- Bon moi je vous laisse dit Denis, je passerai le rechercher
Dimanche soir.
- On te le rendra, je ne sais pas comment mais on te le rendra.
- Je vous connais, vous n'êtes pas des sadiques, à part lui démolir
le cul, je ne vois pas ce que vous pouvez lui faire d'autre et ça
c'est normal.
- Eh bien, je vois qu'on s'est compris, allez salut et bon week-end.
- C'est à vous qu'il faut le souhaiter veinards, salut".
Il prit ma voiture et partit, Abdelhak me dit "Viens entrons".
Quand je passai devant Freddy, il me caressa les fesses en me disant "Tu vas avoir l'oignon en chou-fleur".
Nous nous assîmes autour de la table où Claude déposa quatre bières puis s'assit à côté de moi.
Pendant que nous buvions, il prit ma main et la glissa dans son maillot où mes doigts rencontrèrent un sexe à demi-érigé, il était énorme et je poussai un cri de surprise. Abdelhak rigola et me dit "C'est vrai, tu es tout neuf, tu n'as as jamais connu de vraies bites à part le vermicelle de ce con de Denis.
- Et encore dit Claude, ce n'est pas moi qui ai la plus grosse quand
tu vas voir le gourdin d'Abdelhak".
Pendant ce temps sous l'effet de mes caresses, le phallus était complètement sorti du short et son gland vermillon pointait vers moi. "maintenant que tu l'as réveillé, tu pourrais le sucer dit Claude.
- Non répondit Abdelhak, ce n'est pas ce que nous avions convenus,
je devais le prendre en premier toute la mâtinée.
- C'est vrai, excuse-moi, mais je t'avoues j'avais oublié.
- Pas grave, allez toi me dit Abdelhak, allons dans la chambre.
- Avec plaisir répondis-je".
Nous entrâmes dans la pièce, Abdelhak ferma à clef et s'asseyant sur le lit me dit "déshabilles-toi, que je te vois, fais-moi un strip en me montrant toujours ton cul".

J'obéis, et quand une fois nu, je me retournai, Abdelhak avait le souffle court et son énorme bite était à moitié sortie de son slip.
Voyant mon regard, il me dit en ôtant son slip "Voilà une vraie bite,
c'est quand même autre chose que l'espèce de vermicelle de ton con
de Denis, qu'un jour d'ailleurs il faudra que j'encule pour lui
montrer ce que c'est, mais ça c'est autre chose, entre nous c'est
vrai que tu as un cul de rêve, mais comme tu es sympa et que je
sais que tu es forcé de faire ce que tu fais par ce salaud, je
vais te dire laisses tomber, tu ne pourras pas prendre mon zob, il
est trop gros, même certaines femmes ne peuvent, je n'ai pas envie
de te déchirer le cul, alors comme je suis excité, suces-moi et va
t'en en, oublie l'autre connard.

- Non Abdelhak, il n'y a pas que ça, j'ai envie que tu me baises et
si tu me laisses faire, je suis sur de prendre ta bite toute
entière dans mon cul, je suis déjà en feu rien que de l'avoir vue,
je la veux en moi, je veux qu'elle me défonce et qu'elle crache
tout son lait en moi.
- Bon d'accord, je t'aurai prévenu, maintenant après tous ce que tu
viens de dire, je n'aurai plus de pitié, ou tu te la rentres ou je
te la mets quitte à te déchirer le cul jusqu'à temps que je
t'enfile.
- Je te demande seulement de me laisser faire, mets-toi sur le dos,
je m'en charge.
- Quand même, prends dans l'armoire le tube bleu, c'est du
lubrifiant intime, et viens ici que je t'ouvre avec mes doigts et
que je te badigeonne la raie.
- D'accord, mais crois-moi, ce n'est pas pour Denis que je le fais,
mais pour moi, par contre si un jour tu l'encules, préviens moi,
j'aimerais être là.
- Ça tu peux y compter, surtout si tu me donnes de plaisir, je le
ferai quand il viendra Dimanche soir, ça lui donnera une bonne
leçon et maintenant viens car j'ai envie de te baiser".
Je m'approchai du lit, Abdelhak força ma rosette d'un doigt ce qui me fit frémir, après l'avoir fait coulisser dans mon étroit tunnel, un autre doigt rejoignit le premier, puis un troisième, au bout de quelques instants de ce traitement, je gémissais, Abdelhak avait mis quatre doigts dans mon fondement et les faisait aller et venir lentement, mon sphincter était complètement ouvert, j'avais le cul en feu, il me fallait une bite, non sa bite, je la voulais, je savais qu'elle seule saurait éteindre le brasier qui couvait en moi, à mes ondulations de bassin, Abdelhak comprit que j'étais prêt pour les choses sérieuses, il m'enduis le trou de lubrifiant ainsi que le bout de son pénis, puis s'allongea sur le dos et ferma les yeux.

Je montai sur lui et m'assis à califourchon sur son ventre, puis je descendis jusqu'à ce que son gland énorme entre en contact avec mes fesses, passant une main entre nos deux corps, je positionnai le monstrueux vit contre mon oeillet, bien que je fus très ouvert, son bout durci buta contre ma corolle, me redressant j'entrepris de peser dessus, millimètre par millimètre, la tête de ce formidable priape pénétrait en moi, m'arrachant à chaque fois des petits cris de douleur, au bout d'un temps qui me parut une éternité, le gland fut entré, j'avais les larmes aux yeux tant j'avais mal, je m'immobilisai puis prenant mon courage à deux mains, je descendis entièrement sur la verge turgescente, quand je sentis les poils follets du pubis d'Abdelhak contre mes fesses, je sus qu'il était en moi entièrement.

J'avais l'impression que mes fesses allaient de séparer tant cette magnifique queue m'écartelait, j'étais rempli par cette chose chaude qui palpitait au fond de mes entrailles.
Après être resté sans bouger un bon moment, je commençai à monter et descendre lentement sur cette hampe érigée, ce qui m'arrachait à chaque mouvement des cris de douleur, j'avais l'impression que ça me déchirait le cul, puis peu à peu, la brûlure s'estompa, je sentis mon anneau se détendre complètement et une chaleur partant de mon bas-ventre remonter vers mon visage par vagues, je commençai à râler, le plaisir prenait possession de mon corps et je me mis à onduler de plus en plus vite sur la biroute qui me forait les reins.

C'est à ce moment qu'Abdelhak posa ses mains sur moi et d'un coup de reins se retourna, je me retrouvai sous lui, je nouai mes jambes dans son dos et lui embrassai le visage.
Prenant appui sur les coudes, il se mit à me besogner à une vitesse folle en de larges coups de boutoir, qui chaque fois que le sexe s'enfonçait au plus profond de moi, me faisait ronronner de bonheur.
Sa pine entrait en moi jusqu'à la garde pour ressortir presque entièrement la seconde suivante, je me sentis partir, j'avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière et tout à mon plaisir, je ne vivais plus que pour et par cette bite qui me limait si bien.
Abdelhak me chevauchait avec une régularité de métronome, la tête lovée dans le creux de mon épaule, j'avais atteint le point de non-retour, ce phallus me rendait fou et je me mis à délirer.

"aahh".

Un orgasme foudroyant me balaya, mon corps s'arqua, je hurlai mon plaisir et je retombai lourdement sur la couche, Abdelhak me possédait toujours à une vitesse folle, m'assenant des coups de boutoirs violents, j'avais atteint la plénitude rectale, de ma bouche ne sortait plus qu'un "ahhhhhh" continu, je n'étais plus que jouissance je ne fus pas long à atteindre de nouveau le septième ciel, je recommençai à délirer

"".

C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon ventre, Abdelhak éjacula en feulant, sa formidable giclée de foutre inonda mes parois surchauffées, cela me déclencha un spasme foudroyant, mon corps s'arqua sous mon amant et je tendis mes fesses vers lui pour accentuer la pénétration, un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, mes jambes battirent l'air et je retombai lourdement sur le lit, cuisses écartées, yeux clos, l'anus comblé, savourant le merveilleux moment que je venais de vivre.

Quand je rouvris les yeux, Abdelhak étendu près de moi me caressait le ventre, je lui souris et il me demanda "Es-tu toujours comme ça ?
- Que veux-tu dire ?
- Tu n'es pas le premier mec que je baise, mais jamais je n'avais
entendu un pédé jouir comme toi, on dirait qu'on est en train de
faire l'amour avec une femme, tu es aussi le premier mec que je ne
vois pas bander quand il se fait enculer.
- C'est vrai, c'est pour cela que tout à l'heure, je t'ai dit que je
voulais que tu me baises, je suis fait comme un homme mais en fait
je réagis comme une femme pendant l'amour, quel dommage qu'à la
place de ma bite, je n'ai pas une chatte.
- Oui, mais ne t'inquiètes pas, ton cul est fantastique, pour ce qui
est d'une chatte, les opérations ça existe tu sais.
- Je le sais, il faudra que je réfléchisses, car ça ne me sers à
rien de garder ce sexe qui ne me sert qu'à pisser.
- Enfin, je peux te dire que c'est génial de niquer avec toi.
- Ta bite y est aussi pour quelque chose, se faire ramoner par un
engin pareil, ce n'est pas rien, mais que ça été dur de la faire
rentrer, ça en valait la peine, car quel pied j'ai pris après
m'être habitué à ton calibre".
Pendant cette discussion, le phallus s'était redressé, je posai ma tête sur le ventre d'Abdelhak et commençai à lui donner des petits coups de langue sur le gland.

Aussitôt, le pénis grossit pour reprendre ses dimensions phénoménales, mon amant posa sa main sur ma nuque et me força à engloutir son superbe sexe, j'eus du mal à le pendre en bouche mais j'y arrivai et me mis à le sucer lentement titillant le frein du bout de ma langue, mon homme glissa un de ses doigts dans ma grotte béante.
Cet attouchement m'électrisa et je me mis à pomper l'objet de ma dévotion avec plus d'ardeur tandis qu'une douce chaleur m'envahissait les reins.
Abdelhak ne résista pas longtemps au traitement que je lui affligeai, plaquant ma tête contre son pubis, il explosa en râlant, il m'envoya sa puissante liqueur au fond de la gorge et je l'avalai avec délice.
Après que j'eus bien nettoyé son pénis de ma langue, Abdelhak me dit "Tu suces comme une déesse, ta bouche est presque aussi bonne que ton
cul, je crois qu'on va passer un bon moment ensemble, enfin
j'espère car tu en as peut-être assez.
- Mais pas du tout, j'ai encore très envie que tu me ramones le cul
avec ta superbe queue, je veux que tu m'en mettes plein le trou.
- Dans ce cas tu vas être servi, mets à genoux, les fesses tendues
et fais reposer ta tête sur le lit".

Je me mis en position et Abdelhak s'agenouilla derrière moi, guidant son membre face à mon tunnel béant, il me pénétra d'un violent coup de reins qui me fit gémir, et me prenant aux hanches me fit coulisser sur son énorme pine dressée.
Au bout de quelques instants, je sentis le plaisir reprendre possession de mon être, et fermant les yeux, je me laissai aller, tout à mon bonheur de sentir la merveilleuse bite d'ébène me fouiller les entrailles. Le phallus sortait entièrement de moi très lentement et replongeait vivement au fond de mon cul en feu, je commençai à gémir sous les coups de boutoir répétés.
Je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi, mais je voulais qu'il y demeure éternellement, tant ça me faisait du bien.
Electrisé par le plaisir que me donnait cette hampe de chair qui me pilonnait l'anus, je me mis à exciter mon amant "ohh c'est bon ahhh
ouuiii tahh queue est bonne, vas-y plus aahh fort, défonce-moi la
chatte ohh ouuiii".

Mon mec continuai à me posséder avec une régularité de métronome, les bruits de succion que faisait son pénis en moi, lubrifié par les bonnes giclées de foutre précédentes, me portaient au paroxysme de la jouissance, je râlai tout en me cambrant pour m'offrir encore plus à ce pal qui me forait, j'avais totalement perdu le sens des réalités, seul pour moi comptait cette queue qui me bourrait comme jamais on me l'avait fait, je me sentis partir et je me mis à hurler le plaisir que cette verge dure me donnait

"hhhhh".

Quand Abdelhak déchargea en moi en feulant, m'inondant se sa semence abondante, un intense orgasme déferla sur moi, j'hurlai de jouissance et tombai dans une semi-inconscience, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir sexuel.
Nous fîmes l'amour pendant 1h 30, temps pendant lequel je subis quatre enculades et quand Abdelhak m'abandonna, j'étais rempli de liqueur séminale de la tête aux pieds, j'étais épuisé mais j'avais l'anus comblé et je sombrai dans un profond sommeil réparateur.

Damien

lineenchasse@yahoo.fr

Suite de l'histoire

Autres histoires de l'auteur : La découverte du plaisir

TEXTE IMPLIQUANT DES MINEURS,
UN ENFANT OU ADO (-18ANS)
IL FAUT ME LE SIGNALER :
CYRILLO@CYRILLO.BIZ

Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence et à la cruauté. Sous peine de fermer ce site !

Cyrillo.biz ne revendique aucun droit sur les textes publiés.
Les textes publiés ont tous été envoyés directement à cyrillo.biz
Les auteurs sont libres de retirer leurs textes sur simple demande à cyrillo@cyrillo.biz

💦 18 Avril | 131 pages

Les nouvelles | 21 Pages

Salle de muscu Meetmemz
Le tunnel Ludo06
Lundi de repos Stephdub
Cartel mexicain Meetmemz
Mon frère, mon cousin et moi Justin
Première avec un mec Sympa
Bleu topaze Coolsexe
Teddy, le rugbyman Le French Chazer
Je suis redevenu une pute Loyxxx
Randonnée gourmande (Réédition) Giovanni
Le surveillant de baignade Kawaikat
Découverte du cruising TragoLefa
Un après midi au sauna Bimaispastrop
Préparation d'une pute à rebeus Man4lope
Six hétéros Meetmemz
Plan à 3 EricDeFrance
Trio magique ! Weell59
Torse nu dans la backroom Gill
1ère fois sans capote Mister
Perdu Gill
1ère rencontre RomainJm

Les séries : 110 pages

Agriculteur S20 | 15 | +1 Amical72
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 l 9 | 10
1112 | 1314 | 15
Excitantes retrouvailles | 7 | +1 Max
1 | 2 | 3 | 4 5 | 6 | 7
Mon biscuit rose de Reims | 3 | +3 Coolsexe
1 | 2 | 3
Avec un homme bi | 2 | +1 Mattiheu
1 | 2
Ville Spatiale | 18 | +1 Fabiodimelano
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
16 | 17 | 18
Destins croisés | 16 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
16 Fin
Le Monstre de Pondichery | 14 | +1 Fabrice
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 1213 | 14
Confinement en famille | 2 | +1 Meetmemz
1 | 2
Pacha rebeu | 2 | +1 Meetmemz
1 | 2
Entre potes | 15 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
Mon beau-frère | 16 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5
6 | 7 | 8 | 9 | 10
11 | 12 | 13 | 14 | 15
16

ET CE N'EST PAS TOUT !
Il y a 110 pages en + ici

RETOUR AUX HISTOIRES

21 ans d'histoire :
2023 | 2022 | 2021 | 2020 | 2019 | 2018 | 2017 | 2016 | 2015 | 2014 | 2013 | 2012 | 2011 | 2010 | 2009 | 2008 | 2007 | 2006 | 2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001

IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !

Sextoy
Sexshop

Chercher sur le site

ATTENTION

HISTOIRE AVEC DES MINEURS, ADO, ENFANT(-18ANS)
IL FAUT ME LE SIGNALER :
CYRILLO@CYRILLO.BIZ

Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence, à l'absence de consentement ... à la cruauté. Sous peine de devoir fermer ce site !

Plan du site


Merci !

J'aime ce site et je souhaite faire un don,
du montant que je veux, juste pour aider


Simple, en CB ou Paypal, Discret.


Mars 2024 : 3 601 584 pages lues.

Ce site utilise des cookies uniquement pour faciliter la navigation. Aucune données personnelles ne sont collectées ni conservées pour du partage, ou a des fins marketing. ©2000 Cyrillo.biz. Hébergeur : Planethoster Canada

À jour : mercredi 5 janvier 2022 à 06:16 .

Retourner en haut