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La découverte du plaisir -8
Mamdouh
Quand j'arrivai en FRANCE, je fus hébergé dans la famille et deux semaines plus tard, je trouvai un appartement où j'emménageai tout de suite, dès que j'eus le téléphone, j'appelai Ali pour lui donner mes coordonnées.
Il me contacta trois jours plus tard pour me donner une adresse où un client payait pour m'avoir la nuit du Vendredi suivant.
Le jour dit, à sept heures, je sonnai au portail d'une maison douillette située au Vésinet, un homme en tenu de majordome vint m'ouvrir et me demanda mon nom, je le lui dis et il m'invita à le suivre.
Je pénétrai dans un salon cossu où un homme d'une cinquantaine d'année attendait, il était très grand et très svelte, il me dit "Bonsoir, je m'appelle Mamdouh et toi tu es Damien.
- C'est ça, très heureux de faire votre connaissance.
- Pas de vouvoiement entre nous étant donné ce qu'on va faire tout à
l'heure.
- C'est vrai.
- Bien, viens t'asseoir et prends un verre, après nous iront manger
et pendant que j'y suis, voilà l'argent tu peux compter.
- Inutile, j'ai confiance en toi.
- Merci, que bois-tu ?
- Un jus d'orange.
- Pas d'alcool ?
- Jamais avant de faire l'amour, je préfère avoir les idées claires
- C'est très bien".
Nous bûmes en devisant comme de vieux amis puis vers huit heures, nous passâmes à table, avant d'entrer dans la salle à manger Mamdouh me dit "Pour le repas, je voudrai que tu te déshabilles.
- Tes désirs sont des ordres".
Je me dévêtis en le regardant droit dans les yeux, quand je baissai mon string je lui tournai le dos et me déhanchai tout le temps que je fis glisser le slip le long de mes cuisses, quand je lui refis face, je vis que sa respiration était saccadée, il déglutissait difficilement, je m'approchai de lui et lui caressai le sexe à travers l'étoffe de son pantalon, mes doigts rencontrèrent un membre déjà bien dressé et qui me sembla de très bonne taille.
Reprenant le contrôle de lui-même Mamdouh me dit "Mangeons d'abord".
Le repas fut exquis, tous les plats étaient légèrement relevés, je soupçonnai Mamdouh de les avoir demandés ainsi pour la suite de la soirée.
Une fois le dessert fini, il me dit "Bien, maintenant passons dans la chambre".
Je le suivis, le mobilier était composé d'un superbe lit rond, tous les murs ainsi que le plafond étaient recouverts de glaces de telle sorte que notre image se reflétait partout, je dus avouer que du point de vue érotique c'était le must, mais pour dormir je trouvais ça un peu gênant, et je le dis à Mamdouh "Oui tu as raison, mais
cette chambre n'est pas faite pour dormir, je ne m'en sers que
quand je reçois des hommes, quand c'est des femmes c'est une autre
où il y a une coiffeuse et pour le repos, j'ai ma chambre dans
celle-là personne n'y rentre. Bon maintenant dis-moi qu'est ce que tu fais ?
- Je ne comprends pas ?
- Ben quoi, tous les pédés c'est connu, soit ils sucent, soit ils
branlent, soit ils baisent.
- Mais moi, je fais tout, je suce, je branle, je me fais enculer.
- Ah! bon ? Mais ça va être super.
- Là j'avoue que vraiment tu me surprends, qu'est-ce que ces mecs
qui ne font qu'une chose, c'est incroyable.
- Eh! bien j'ai de la chance. Tu sais que tu as un cul superbe ?
- On me l'a déjà dit, mais tu sais j'en prends soin.
- Tu as raison, quand on possède un joyau comme le tien, on le
préserve".
Mamdouh se dévêtît et quand il fut nu, je vis qu'il avait un corps d'athlète, sa poitrine était développée et très dure, son ventre était plat très musclé, ses jambes aussi étaient très fortes, quand à son phallus il devait mesurer au moins 25 centimètres et devait faire 20 de tour, je me pourléchais les lèvres rien qu'à le regarder.
Il s'assit sur le lit et écarta les jambes, je compris ce qu'il voulait, je vins m'agenouiller devant lui et commençai à caresser le pénis érigé.
Celui-ci réagit aussitôt, il grandit encore, l'entourant de mes doigts je me mis à le masturber lentement.
Au bout de quelques instants de ce traitement, Mamdouh qui avait fermé les yeux tendait son ventre vers moi, j'arrêtai mes attouchements manuels, penchai ma tête vers ce magnifique priape et du bout de la langue, je me mis à lécher le gland turgescent, mon amant laissa échapper un gémissement, ouvrant tout grand la bouche j'enfournai l'objet de ma dévotion et commençai à monter et descendre dessus.
Je suçai cette merveilleuse pine pendant une demi-heure m'arrêtant chaque fois que je sentais les prémices de l'explosion, mais mon mec n'y tenant plus, prit ma tête entre ses mains et l'immobilisa et se mit à donner des coups de reins violents se servant de ma bouche comme d'un cul.
Soudain plaquant mon visage contre son pubis, il éjacula en râlant, une énorme giclée de foutre pulsa au fond de ma gorge et je l'avalai avec délice continuant à flatter la bite qui tressautait dans ma bouche.
Quand Mamdouh me relâcha, il me dit "Tu suces comme une déesse,
allonges-toi sur le ventre".
J'obéis, il m'écarta les cuisses et commença à me masser le fessier tout en glissant un doigt sur ma raie, ce contact m'électrisa, je réalisai tout à coup que ça faisait longtemps que je n'avais pas été caressé.
Sous ses caresses légères, mon postérieur devint brûlant, j'écartai au maximum les jambes et poussai un soupir de bien-être.
Mon homme éloigna mes fesses l'une de l'autre et enfouit sa tête entres elles, sa langue pointue vint aussitôt ma pastille, je ne pus retenir un râle face à ce baiser lingué qu'il échangeait avec mon anus et auquel je m'abandonnai avec langueur.
Je sentis le désir naître en moi, mon antre s'ouvrait sous ses coups de langue experts, je me cambrais pour m'offrir plus encore à ces attouchements buccaux qui me transportaient au septième ciel.
La langue de mon amant me pénétrait comme un petit phallus, m'arrachant chaque fois des gémissements, j'étais tout à mon plaisir, je me tortillais sur le lit le cul en feu.
Longtemps, Mamdouh continua à me caresser, me sucer, quand il stoppa j'étais pantelant, tout mon corps frémissait de bonheur, il me fit replier les genoux de telle sorte que je me retrouvai le cul en l'air, je sentis son gland turgescent se poster contre ma corolle et peser dessus, bien qu'ayant été bien ouvert, quand la tête de la queue roide écarta mes chairs je ne pus réprimer un cri de douleur, mon homme m'enfessa avec une lenteur calculée procédant pas de petits coups de reins.
Quand il fut entièrement en moi, il ressortit sa verge et de son bout durci, il commença à m'assouplir le sphincter.
Quelques instants de ce traitement et mon cul s'ouvrit complètement alors Mamdouh me pointa et d'un violent coups de reins me pénétra me faisant gémir, puis se mit à me posséder lentement.
Ses lents va et vient dans mon canal enflammé achevèrent de me faire perdre pied, je me mis à onduler tendant mon arrière-train vers cette fantastique biroute qui me donnait tant de plaisir, je mordais les draps pour ne pas hurler de jouissance.
Je voulais qu'il me prenne plus fort, qu'il me fasse mal, qu'il me casse le cul, je le suppliai de me défoncer, mais sourd à mes supplications, mon mec continuai de me besogner avec une régularité de métronome. Pour moi seul comptait la bite qui me ramonait le prose, je n'étais plus que jouissance et de ma bouche ne sortait plus qu'un "hhhhhhhhhh" continu.
Soudain, mon homme me décula et me retourna, il prit mes jambes et le releva vers mon visage puis d'un coup de reins plongea son superbe pénis au fond de mon trou en fusion et se mit à me limer à une vitesse folle, j'avais rejeté la tête en arrière et tout à mon plaisir, je hurlai sans discontinuer, je sentais la pine raide coulisser en moi sans aucune gène, mais je me dis que s'il continuait à me baiser de la sorte, il allait me déchirer le cul, mais je ne voulais pas qu'il s'arrête, c'était trop bon.
Chaque fois que la virilité s'enfonçait en moi jusqu'à la garde, ma croupe venait à sa rencontre pour accentuer la pénétration, je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi, mais je voulais qu'il y reste éternellement tant le bien être qu'il me procurait était grand.
Mamdouh en appui sur mes jambes me pinait avec des "HAN" de bûcheron, le désir avait entièrement pris possession de mon corps, je me tordais sous mon mec comme un damné, ma tête ballottait de gauche à droite et j'avais planté mes ongles dans ses épaules musclées.
Les coups de boutoirs répétés de mon homme me rendaient fou, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer
"ahh hh aahh hhhhh ooooooohhhhhhhhhh
ouuiii aahhh oouuuiiii ooooooohhhh nnooonnnn ahhhhhhhhhhhhhh
ooouuuuiiiii piinnneeee oooouuuuuiiiiii ahhh ppiiinnnneeeee ahhhhh
mmoooiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooohhhh ooooouuuuuuiiiiiii hhhhhhhhhh
foouuurrrrrrrrreeeeee-mooiii ahhhhhhhhhh plluuussss ahhhhhhhhhhhhh
tthhhh qquuueeeeuuuuueeeeee aahhhhhhhhhhhhhhhhhh
tttahhhhh qqquuuueeeeeuuuuuueeeeeee ooooooooooooohhhhhhhhhhhhhh
ooooooouuuuuuuuiiiiiiiii ahhhhh ttttaahhhhhhhhhhhhh
qqqquuuuueeeeeeuuuuuuueeeeeeee jjjjeeeee ooouuuuiiiii ohhhhhhhhhhh
llllaahhhhhh vvvveeeeeuuuuuuxxxxxxx ahhhhhhhhhhhhhh
ttttooooouuuuuuttttttteeeeeeee ddddaannnnnnsssssss ooohhhhhhhhh
mmmmooooonnnnnn ccccuuuuullllll oooouuuuuiiiiii hhhhhhhhhhhh
hhh ahhhh aahhhhhhhhhhhhhhh
oooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii baaiiisssseeeee oooooohhhhhhhhhh
oouuuiiii bbiiiissssseeeeee ahhhhhhhh bbbaiiiiisssssseeeeeee
ahhhh bbbbaaiiiiiissssssseeeeeeee aahhhhhhhhh
oooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh
bbbbbiiiiiiisssssssseeeeeeeee-mmmmmooooooiiiiiii ahhhhhhhhhh
cccccoooooommmmmmmmmmmmmmmeeeeeeeee uuuuunnnnnneeeeeee ahhhhhhhhhh
gggggrrrrrrooooooossssssssssssssssseeeeeeeeee ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh
aahhhhhhhhhhhhhhh sssssllllllloooooooopppppppppeeeeeeeeee
qqqqquuuuuueeeeeee jjjjjeeeeee sssssuuuuuuiiiiiiissssssssss ohhhhh
oooooooooooooooooooooooooooooohhhhhh ooooooooooooooooohhhhhhhhhhhh
oooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii jjjjjeeeeee ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh
sssssuuuuuuiiiiiiissssssss ttttthhhhhhh oooooooohhhhhhhhhhhh
pppppuuuuuuttttttteeeeeeee aahh ahhh hhhhhhhhhhh
eeeeennnnnnfffffffoooooooonnnnnnnnncccccccccceeeeeeeeeee ahhhhhhhh
tttttooooooiiiiiii ppppplllllluuuuuuussssssss hhhhhhhhhhh
vvvvvsssssss-yyyyyyyy ooooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhh
vvvvvvassssssss-yyyyyyyyy ahhhhhhhhhhhhhhhhhh
ttttttappppppppeeeeeeeee ahhhhhhhhhhhhhhhh
tttttttaapppppppppeeeeeeeeee ooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhh
ppppppplllllllluuuuuuuuussssssssss aahhhhhhhhhhhhhh
aahhhhhhhhhhhhhh fffffffoooooooorrrrrrrrrtttttttttt
çççççççaahhhhhhhhh fffffffaaiiiiiiiiitttttttttt ahhhhh
mmmmmmmaalllllllll oooooooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhh
mmmmmmmaaiiiiiiiiissssssssss hhhhhhhhhh
jjjjjjj'aaiiiiiiiiimmmmmmmmmmeeeeeeeeeee oooooooooohhhhhhhhh
çççççççaahhhhhhhhh oooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
jjjjjjeeeeeee tttttt'eeeeeeennnnnnnn hhhhhhhhhhh
ssssssuuuuuuuppppppppppppppppplllllllllliiiiiiiiiiieeeeeeee ahhhhh
ccccccassssssssssssssssseeeeeeeeee ahhhhhhhhhhhh
mmmmmmoooooooiiiiiiii lllllleeeeeee ccccccuuuuuuullllllllll ahhhhh
aahhhhh oooooooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhh
oooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii ohhhhh
aahhhhh hhhh oooooohhhhhhhhhhh
jjjjjjeeeeeee jjjjjjooooooouuuuuuuuiiiiiiiiissssssssss ahhhhhhhhhh
jjjjjjjeeeeeeee hhhhhhhhhhhhhhhhh
jjjjjjjoooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiisssssssssss ooooooooooohhhhhhhhh
oooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii ohhhhh
vvvvvvviiiiiiiieeeeeeeeennnnnnnnnnsssssssssss hhhhhhhhhhh
vvvvvvvviiiiiiiiieeeeeeeeeennnnnnnnnnnssssssssssss ahhhhhhhhhhhhhh
ooooooohhhhhhhhhhh gggggggiiiiiiiicccccccccllllllllllleeeeeeeeeeee
jjjjjjjeeeeeeee vvvvvvveeeeeeeeuuuuuuuuuxxxxxxxxxx ahhhhhhhhhhhhhh
tttttttoooooooonnnnnnnnn lllllllaaiiiiiiiiitttttttttt ahhhhh
oooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii ahhhhh
hhh ahhh aahhhh ahhhhhhhhhhhhh
aahhh aahhh hhhhhhhhhhhh
aahh aahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
S'enfonçant au plus profond de moi, Mamdouh explosa en feulant, ses puissants jets de sperme crémeux m'inondèrent le fondement en fusion me déclenchant un orgasme dévastateur, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis mon derrière vers lui pour accentuer la pénétration et de ma gorge pulsa un hurlement de jouissance puis je retombai lourdement sur la couche.
Quand je rouvris les yeux, Mamdouh était allongé à mes côtés et fumait, il me sourit et je lui demandai "Tu as aimé ?
- Ça a été extra, ton cul est un vrai puits d'amour.
- Merci, moi aussi ça m'a plu, tu m'as bien fait jouir".
Pendant que nous parlions, je baissai les yeux et vis que le pénis de mon amant se redressait, il finit par reprendre ses dimensions phénoménales.
Alors mon homme me prit par les aisselles et me mit à califourchon sur lui, son priape érigé entra en moi jusqu'à la garde sans aucun effort, quand je sentis les poils follets de ses testicules contre mes fesses, je sus qu'il était en moi entièrement.
Passant ses mains sous mes fesses brûlantes, il se mit à me faire descendre et monter sur sa bite roide.
Pendant cette nuit là, Mamdouh me prit neuf fois me faisant jouir à chaque fois, quand nous nous endormîmes repus il était six heures du matin.
A mon réveil, je quittai mon mec, j'avais encore un peu mal au cul mais j'étais comblé.
Un fois rentré chez moi, je pris un bain de siège pour faire désenfler mon anus, puis après m'être appliqué quelques compresses, je m'enduis la raie et le trou de baume et sombrai dans un profond sommeil.
Damien
lineenchasse@yahoo.fr
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