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Julia, la nymphomane.
" Alors t'aimes ca que je t'encule ? " lance-je à ma copine.
" Oh oui, c'est bon, vas-y continue ! ".
" Ah c'est si bon dans ton cul ! Tiens, prends ma bite jusqu'au fond ! ".
" Baise-moi fort, vas-y ! " me supplie-t-elle.
Depuis le début de ma double vie, je suis paradoxalement devenu plus viril voire macho le temps de mes quelques jours marseillais. Est-ce que je cherche à cacher le plus possible ma nature de salope sous une attitude ouvertement hétérosexuelle ? Peut-être. J'imite Patrick dans la manière de la prendre, ca a l'air de lui plaire en tout cas. Donc là, je la sodomise avec vigueur dans la salle de bain, j'ai envie qu'elle couine comme moi, le rythme devient infernal. Intenable en tout cas, car je ne peux me retenir plus longtemps et je m'affale sur son dos alors que je me décharge dans ses entrailles. Je me réjouis en pensant que ce soir je serai à Paris.
Dans le train, j'ai eu un message de Patrick me prévenant de porter le superbe costume cravate qu'il m'a offert afin de l'accompagner à un vernissage d'un ami, artiste. Rafraichi grâce à une bonne douche, je me tiens prêt, vêtu de ce costume taupe et d'une chemise blanche. Devant le miroir, je réajuste une nouvelle fois ma cravate jaune clair. Un signal de mon homme et je descends le rejoindre.
" Ca me fait plaisir qu'on sorte ensemble " annonce-je pour briser le silence.
" Tu vas rencontrer certaines de mes relations qui comme moi, assouvissent leurs désirs avec des jeunes gens comme toi. Restes discret, sauf si... " me répond-il.
" Si... ca dérape ? ".
" Oui ".
Même si je ne suis pas un grand amateur d'arts, j'avoue que les toiles présentées ne me laissent pas indifférent. Des coupes de champagne et des petits fours nous sont proposés par des serveurs, nous trinquons avec plusieurs personnes dont l'artiste, Andrei. La soirée est plaisante et décontractée si bien que je m'aperçois tardivement que nous sommes bientôt seuls avec un couple d'une soixantaine d'années, un bel homme aux cheveux blonds qui lui donne un petit air de surfeur et bien sûr notre hôte.
" Alors Patrick, c'est donc lui la plus belle salope que tu aies baisé ? " s'enquiert la femme, une dénommée Colette.
" Montres-nous cette fameuse mouille anale ! " enchérit Robert, son mari.
Alors que je m'apprête à préparer le membre de mon homme avec ma bouche, celui-ci me détourne de son sexe déjà raidi. Andrei se joint à lui pour me déshabiller plus rapidement et je me retrouve nu, à genoux sur un fauteuil. En appui sur le dossier, je fais face aux quatre autres personnes.
" ah oui, oh c'est tellement bon ta bite ! Ooooh oui, oui, oui " souffle-je alors que je retrouve ce sexe qui m'a tellement manqué.
" Lààà, prends-ca en entier petite salope ! Je vais te démonter le cul maintenant ! ".
Patrick me prend avec bien plus de fougue que je n'arrive à donner avec ma copine, son bassin claque mes fesses, le plaisir monte. Ses mains m'agrippent avec fermeté, je sens que je vais jouir. La vue des hommes autour de moi, ou plutôt celle de leur sexe qu'ils caressent provoque mon premier orgasme. Le blond est monté comme un âne.
" Oh ! Mais il prend vraiment son pied comme une salope celui-là ! " remarque Colette.
" Si vous voulez voir, il commence à mouiller comme une petite chienne en chaleur" souligne Patrick.
Aussitôt, la petite assemblée s'approche de mes fesses et observe la bave qui s'écoule de mon cul alors que mon homme se retire. Un tremblement saisit mon arrière-train et je quémande que l'on me prenne encore. J'ai envie de toutes les bites présentes, je veux toutes les sentir en moi, plusieurs à la fois même. Quelques minutes après avoir repris le pilonnage de mon cul, Patrick vient en moi dans un râle très bestial et me provoque un ultime orgasme.
" Bien, maintenant mon fils va t'enfiler. N'est-ce pas David que tu en as envie ? Et tu vas sucer notre artiste en prime ! " ordonne Robert.
Mon homme me fait signe d'accepter. Cette bite est carrément énorme et le David en question déverse du gel entre mes fesses. Il me pénètre sans forcer et j'ai la sensation d'être littéralement fouillé par ce pieu.
" Han, han, han...han...han...oooooh oui...oui...oui...ooooooui ! " exulte-je avec une pointe de douleur.
" ah, prends-ca petite pute ! Je vais te faire couiner moi ! ".
" h, h, h, h, alors vas-y ! Oh putain comme ca, oui...".
Andrei se présente alors devant ma bouche, je l'enfourne immédiatement et ma langue se déchaine sur son méat. David accentue encore son ardeur et il me devient compliqué de sucer la bite de l'artiste. Celui-ci devinant ma difficulté, applique alors ses mains de chaque coté de ma tête tel un étau. Son gland fouille ma gorge, je manque presque d'étouffer au moment où son jus m'inonde la bouche. David ne tarde pas non plus mais il me retourne et me met à ses pieds pour m'éjaculer sur le visage. J'arrive à récupérer un peu de sa semence.
" Il faudra l'amener à une soirée au domaine un de ces quatre. Une authentique salope qui plaira à plus d'un, j'en suis sûre !" conclue Colette et me tenant par le menton.
Une demi-heure plus tard, Patrick me dépose au pied de mon immeuble, me félicitant une nouvelle fois de ma prestation. Il m'avertit qu'il passera me voir entre midi et deux. Je me jette dans les draps encore souillé par le sperme de trois hommes, j'aime être une pute, j'ai faim de bites. Je me branle en revoyant la scène de ce soir dans ma tête, et en voulant encore, je me contorsionne les jambes en l'air afin de jouir sur mon visage. Une vraie pute à jus.
Le lendemain midi, je décide de surprendre mon homme en jouant à la secrétaire sexy. Certes je m'habille de ma jupe-tailleur, mais je me maquille aussi légèrement comme j'ai vu ma copine le faire. J'enfile aussi une perruque blonde au carré avant de chausser mes talons-aiguilles léopards, je suis carrément bandante. Une paire de lunettes de vue complète astucieusement mon apparence. C'est avec un grand sourire que j'accueille Patrick.
" Whaou !...tu es...époustouflante ! " m'annonce-t-il.
" Tu trouves ? " lui réponds-je en posant une main sur mes fesses déhanchées.
" Tu me fais bander salope, je vais te prendre comme ca, toute habillée ! ".
" Oh oui. Mais face au miroir, que je puisse nous voir ! ".
Je jouis dès qu'il me pénètre, je suis la secrétaire, il est le patron qui en abuse. Les pointes de mon carré sont ballotées par les mouvements de mon amant. Cet homme me possède, mon corps lui appartient. Je mouille comme une salope, encore. Puis il me relève et me plaque contre la porte-fenêtre, ma joue s'écrase sur la surface froide, je sens ma poitrine faite de coton glisser sur la vitre. Mes talons hauts me positionnent parfaitement pour être pris par mon mec, qui d'ailleurs reprend son manège.
" aah ! aah ! Tiens prends ca dans ton cul, salope ! ".
" Oooh...ah...c'était bon mais j'aurai aimé bouffer ton sperme " commente-je.
" T'es vraiment qu'une pute à jus ! Ce soir, tu en boufferas " conclue-t-il avant de repartir.
Je profite de l'après-midi pour poursuivre la découverte de mon quartier, je flâne, je m'arrête prendre un café sur une terrasse ensoleillée malgré la fraicheur automnale. Je fantasme sur les hommes que je croise, j'ai envie d'être pris, si quelqu'un m'aborde je lui dis oui. Je me rassure en me disant que ce soir, mon homme est avec moi et surtout en moi. Mais au moment où je m'apprête à rentrer, je reçois un message m'annonçant l'annulation de notre soirée, il doit finalement se consacrer à son travail. Un prétendu gros dossier.
De rage, je bois un, deux puis trois verres de whisky-coca coup sur coup qui se rappellent à moi très rapidement. Je me demande si ce gros dossier n'est pas une autre personne, je me mets même à jalouser son épouse. Il me vient soudain une idée, à la nuit tombée j'irai me balader en femme dans Paris, pour me tester mais aussi surtout pour me faire baiser. Je choisis ma robe bleue, mes talons léopard et une petite veste en cuir pour me protéger du froid. Je suis plutôt fier du résultat mais encore, les lunettes crédibilisent mon personnage. Je le baptise Julia.
Un quatrième verre a été nécessaire pour me faire franchir la porte du studio, mais ca y est, je suis dans la rue et le cliquetis de mes chaussures sur le trottoir me fait sourire. Un premier klaxon à un feu me réconforte encore un peu plus et c'est rempli d'assurance que je passe devant plusieurs bars fréquentés.
" Je peux t'offrir un verre, chérie ? " me demande un jeune homme à peine plus âgé que moi.
" Hmm, pourquoi pas " réponds-je.
Heureusement pour moi, non seulement d'être un beau mec, il est surtout déjà suffisamment éméché pour ne pas remarquer ma voix que j'essaye de rendre, malgré tout, la plus féminine possible. Je laisse sa main s'aventurer sur ma robe et s'attarder sur mes fesses.
" J'ai envie de toi maintenant. On se trouve un coin tranquille ? " lui propose-je au creux de l'oreille.
" Ouais ! ".
Moins de dix minutes plus tard, nous trouvons une petite impasse et derrière un container à ordures, je m'abaisse pour sucer cet inconnu. Son sexe n'est pas très grand mais est déjà dur comme du bois, je m'applique dans cette fellation sauvage telle la pute que je suis. Je l'équipe d'un préservatif que j'avais eu la prudence d'emporter dans ma veste.
" Allez, encule-moi ! " l'invite-je en relevant ma robe sur mes hanches, laissant apparaitre mon ensemble porte-jarretelles et string violet dont j'écarte la ficelle de ma raie.
" Putain t'es une chaude du cul toi ! " me répond-il en présentant son gland contre mon petit trou.
" Une vraie salope qui veut prendre son pied, alors défonce-moi ! " ordonne-je.
" Alors prends ca salope ! ".
" Hmm ooooui, vas-y fais-moi jouir ! ".
Sa taille n'a plus d'importance, sa fougue, sa vigueur et ses insultes me mènent à l'extase. Le fait que je mouille n'a pas l'air de le surprendre pendant le bon quart d'heure où il pilonne mon cul. Ce n'est qu'au moment où il se retire pour éjaculer dans ma bouche qu'il remarque mon sexe à demi raidi.
" Quoi ?! T'es un mec ? ".
" Ca dépend... ".
" Ouais, en tout cas tu prends ton pied comme une pute et tu vas bouffer mon jus ! ".
" Oui ! Donne ! ".
Sa semence coule bientôt dans ma bouche, descend dans ma gorge et me rempli de satisfaction. Avant de nous quitter, je lui promets de rester discret car il veut protéger sa femme. C'est quelque part un peu touchant, mais je suis fier d'être sans doute sa première expérience homosexuelle et j'espère qu'il repensera à moi en baisant son épouse.
Je reprends mon chemin et je remonte bientôt une artère plus importante, une voiture vient stopper à ma hauteur. Je suis conscient de ce qui m'attend lorsque que je m'approche de la fenêtre abaissée, j'ai encore envie de toute manière, alors pourquoi ne pas être payé en prime.
" Tu prends combien chérie ? " me demande le conducteur grisonnant.
" 50 euros la pipe, 100 j'avale, 200 pour la baise " déclare-je sûr de moi.
" Ok, monte ".
Il désire que je le suce jusqu'au jus alors qu'il conduit dans Paris, je m'abaisse sur son entre-jambe tandis que sa main droite retient ma tête sur sa bite très odorante.
" C'est ca, suce-moi bien sale pute ! Continue comme ca avec ta langue ! ".
" Mmmm...mmm... ".
" H, bois tout mon jus petite salope ! Ooooui...aah...tu peux être fière de toi ! Voilà tes cent euros ! Ca n'a pas duré longtemps mais c'était bon !" conclue-t-il avant de me ramener là où il m'a fait monté.
Je décide, malgré ma perpétuelle envie, de rentrer chez moi pour savourer cette première expérience de pute à part entière. Une fois arrivé, je me sers un dernier verre et je me mets à contempler les deux billets de cinquante euros posés sur la table. Si Patrick me plante encore, je retournerai faire le tapin, pour le frisson supplémentaire. Ce dernier a demain soir pour se rattraper, je l'espère.
Mon espoir est comblé quand mon homme me consacre réellement la soirée comme promis dans ses messages reçus dans la journée. Nous dinons dans le premier restaurant où nous avions mangé à notre première rencontre. Cette fois, je suis habillé de mon jean fétiche et d'un chemisier blanc sous ma veste de tailleur, le tout rehaussé sur des talons aiguilles noirs. Je remarque le sourire dragueur de notre serveur lorsque nous passons commande.
" On va sortir dans un club privé tenu par David après le repas, je te préviens c'est un club libertin " m'annonce-t-il avant que le dessert nous soit servi.
" Hmm, ca me plait comme programme. Tant que tu me baises, tout me va ! ".
" Moi et sûrement quelques autres " rajoute-t-il.
" Je t'obéis, tu sais que j'aime prendre mon pied mais particulièrement avec toi ! ".
Le Secret Place se situe au dernier étage d'un immeuble de bureaux et hormis un videur bodybuildé devant la porte extérieure, rien ne dévoile la présence d'un tel lieu dans le quartier de La Défense. L'endroit est dans un style minimaliste très épuré, la clientèle semble appartenir à une élite du libertinage tant je suis ébloui de leurs beautés. Patrick m'entraine au centre de la piste où dansent essentiellement des femmes, là il vient se placer dans mon dos et passe ses bras sous les miens. Rapidement une femme superbe se rapproche de nous et ne tarde pas à se coller à moi.
" Tu es absolument splendide ma chérie, moi c'est Lisa " chuchote-t-elle à mon oreille.
" Julia. V...toi aussi tu es ravissante " esquisse-je.
" Dommage que je n'aime que les filles sans bite, tu es tout à fait mon style. Presque parfaite à ce détail près. J'aimerai te revoir malgré tout " termine-t-elle en prenant mon numéro.
" Je vois que tu te fais des copines. Elle est une pure lesbienne, ca doit te flatter non ? " me demande Patrick avant d'aller s'assoir avec les hommes, sur des banquettes blanches.
Je continue de danser parmi les autres femmes, je deviens de plus en plus l'une d'elle. J'observe leurs mouvements, leurs attitudes. Une belle blonde aux seins nus vient m'embrasser avec envie et je mêle ma langue à la sienne alors que je pose une main sur sa poitrine. Puis elle se retourne et revient se coller à moi et saisit mes mains qu'elle pose sur chacun de ses seins. Ses fesses frottent contre mon sexe que j'ai de plus en plus de mal à contenir. Heureusement, mon homme me fait signe de le rejoindre dans la pièce voisine.
Six grands lits à baldaquins de deux mètres sur deux accueillent les ébats de quelques clients sur deux d'entre eux. Nous prenons place sur celui situé au milieu des autres, un homme bâti comme un rugbyman nous accompagne. Assis sur le bord du lit, je commence par les branler tous les deux en même temps, je compare ces deux membres aux proportions similaires. Je fais rouler leur prépuce sur leur gland, lentement, puis je repousse mes mains vers la base de leur sexe. Mon homme m'indique de sucer l'homme en premier.
" Houuuu, ouais ! Comme ca, vas-y continue avec ta langue ! " déclare-t-il.
J'alterne mes soins de l'une à l'autre si bien qu'elles se retrouvent bientôt lubrifiées par ma salive. Enfin, mon mec abaisse mon jean à mi-cuisses et s'insinue en moi avec force. Je laisse échapper un cri de douleur ainsi que la bite de l'homme, mais malgré le rythme effréné j'arrive à reprendre ma fellation. J'exprime mon plaisir quand il se retire pour prendre la place de Patrick, attirant les regards autour de nous. A quatre pattes sur le lit, je lance des regards allumeurs aux témoins de notre ébat, j'exulte lorsque j'enchaine deux orgasmes coup sur coup. C'est dégoulinant de sperme et de ma propre mouille que Patrick se retire de mon cul. Un autre prend sa place en me retournant sur le dos, je repose mes jambes contre son torse, il me pénètre en saisissant mes talons-aiguilles.
Cette folle nuit s'achève dans mon lit, mon homme blottit derrière moi m'enlace entre ses bras après m'avoir fait jouir encore une fois, je suis bien. Je m'endors apaisé, demain commence l'attente de nos retrouvailles, de nouvelles aventures.
Bearhand
bearhand@hotmail.fr
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