Je suis David, 42 ans, marié et père de deux adolescentes, j'occupe un emploi de cadre dans une société d'assurances. Mes déplacements professionnels m'entrainent parfois loin de chez moi et je suis devenu coutumier des aires de repos dont je connais peu à peu les spécificités. Ainsi, je sais que telle aire est la meilleure pour y manger, que telle autre offre le meilleur salon de relaxation mais aussi que certaines sont dévolues à bien d'autres activités.
C'était sur l'autoroute A9 entre Montpellier et Nîmes, il y a environ quatre ou cinq ans. Pressé par une terrible envie, je suis obligé de m'arrêter sur une aire simple, sans station-service, afin de pisser. Quelques camions ainsi que deux ou trois voitures sont stationnés là. Sur le coup, je ne réagis pas à une telle affluence sur une aire n'offrant rien de plus que de simples commodités, mal éclairées. Au moment où je pousse la porte des hommes, j'ignore que ma vie va en être à jamais changée.
Sans attendre, je m'approche des pissotières où se trouvent déjà deux hommes, l'un d'eux est une véritable baraque. Seule une place est disponible entre eux. Je pousse un soupir de soulagement alors que je me vide de toute cette urine, j'ai l'impression d'en pisser des litres. Au détour du regard, je m'aperçois que mes deux voisins ne pissent pas mais se caressent le sexe en regardant le spectacle que je leur offre. A ma grande surprise je n'arrive pas à détourner le regard de ces deux pieux qui se dressent sauf pour passer de l'un à l'autre. Je ne sais plus si on m'a guidé ou si mes mains ont agit d'elles-mêmes mais me voilà en train de branler ces deux colosses entre chaque main.
Soudain, un troisième se glisse dans mon dos et saisit ma queue entre ses doigts, ses lèvres m'embrassent dans le cou. Je soupire d'un plaisir nouveau, inattendu. Saisissant ma cravate, l'un d'eux me conduit à genoux devant leurs bites tendues. Sans hésiter mais ne sachant pas trop comment m'y prendre non plus, j'enfourne la première bite de ma vie et j'aime ça, instantanément. J'essaye d'aller vite mais deux mains puissantes calment mon ardeur et m'indiquent un rythme mieux approprié. Mais à peine ai-je le temps de prendre mes marques que je suis conduit vers une autre, puis une autre et encore une autre. Au total, cinq queues attendent les services de mes mains ou de ma bouche.
" ah ! Cette pute de bureau va me faire gicler !...tiens ! Prends-ça salope ! " hurle un premier.
" ah putain, moi aussi ! h...ouuuuuuiiiii ! Avale ma purée patron ! " rejoint un deuxième.
Ma veste de costume de patron se couvre bientôt de la semence de chaque queue de la petite assemblée. Un des routiers plonge son sexe dans ma bouche juste avant d'éjaculer et me rempli la gorge de son foutre. Nouvelle expérience et nouvelle passion pour moi. L'envie me pousse à me masturber devant ces hommes, routiers ou pères de famille comme moi, qu'ils m'humilient une dernière fois. Je jouis trois puissants jets contre le bord des pissotières au prix de cris de bête.
" Attends avant de te rhabiller, j'en ai pas fini avec toi ! " m'annonce celui dont j'avais avalé le jus.
La force de cet homme m'oblige à me pencher en avant en prenant appui sur le bord supérieur des pissotières, sa main puissante tâte mes fesses comme s'il venait d'en faire l'acquisition. Mon cul réagit prodigieusement à ces caresses viriles, il se tortille et en demande encore plus. D'un geste, il abaisse mon pantalon après en avoir simplement ouvert la ceinture. Sa langue est simplement divine sur ma raie et aux abords de mon trou, j'en pousse des soupirs de plaisir. J'en veux plus.
" Je suis sûr que t'es une petite chaude du cul en plus ! ".
" Oh ne me fais pas attendre plus, baise-moi ! " lui ordonne-je.
En un instant, sa main siffle sur ma fesse et je bondis sous la douleur et la surprise. Il me rappelle de quel coté du manche je me trouve. Se servant de ma cravate comme d'une laisse, il me redresse le buste au moment où son gland franchit ma rondelle. La douleur me fait hurler mais une fois passée, un plaisir encore nouveau me rend carrément accro. Je ne sais plus où je suis, mon cul va maintenant à la rencontre de cette bite qui s'est immobilisée. Ma respiration devient haletante, elle s'interrompt afin d'encaisser les vagues de plaisir.
" Oh putain ce que c'est boooon ! Vas-y, casse-moi le cul ! " implore-je mon amant.
" Alors prends-ça dans le cul, salope de patron ! ".
Ses hanches percutent mes fesses en les faisant claquer, ma boucle de ceinture bat sur le carrelage bientôt une mesure de plus en plus effrénée. J'encourage ses mots crus par des petits cris de jouissance ou alors des compliments sur son anatomie. Je suis là, dans des toilettes au milieu de la nuit et de nulle part, en train de prendre mon pied comme une chienne en chaleur devant plusieurs hommes. Et j'aime ça.
" AH ! Tiens ! Prends tout mon jus dans ta chatte de pute à bite ! Putain, tu m'as bien fait jouir salope ! " exulte le routier en me pénétrant au plus profond.
Quand je reprends mes esprits, les cinq hommes m'ont déjà abandonné et je suis seul sur le sol de chiottes publiques plus que douteux. Après un nettoyage rapide, je reprends la route, une cigarette aux lèvres, à une allure modérée en repensant à ce qu'il venait de m'arriver, parcouru par de brusques frissons de plaisir me traversant l'échine depuis mes fesses.
Depuis, je suis devenu une véritable pute à routiers, adorant l'abattage en grand nombre donnant lieu à de belles douches de sperme. J'ai souvent fait escale dans cette petite aire du sud, et dans bien d'autres, mais ce sont d'autres aventures...
Bearhand
bearhand@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur : David, pute à routiers | Chienne nocturne | Julien | Fred | Les douaniers | Gabriel | Victor, père de famille | Voyage au Brésil