Premier épisode
00h30 : J'en suis donc à quatre queues. Pas besoin d'être un génie en mathématiques pour savoir qu'il me reste 16 queues à encaisser, 32 couilles à vider ! Je suis déjà fatigué mais l'excitation ressentie me fait tenir. Mon master me reprend en laisse pour me guider dans le club, m'exhiber devant tous ces mecs rassemblés par une même chose, l'envie de baiser. Quelques fessées claquent de ci de là sur mon fessier à mesure que je m'use les genoux sur le sol du club.
00h40 : Arrivés devant un podium agrémenté d'une barre, délaissée par les membres présents, mon master m'ordonne de monter et de me livrer à une danse lascive et suggestive. Ni une ni deux, je m'exécute. Me voici tenant la barre dans les mains, en train de danser et de secouer mes fesses devant un petit groupe de mâles qui n'ont pas les mains dans les poches...Excité par la situation, je me lance carrément dans un bootyshake qui fait rapidement se dresser deux queues du groupe...Face contre terre, je remue mon derrière levé en direction des deux chauds lapins, j'en profite pour me glisser deux doigts devant eux puis les ramène dans ma bouche...L'un des deux se glisse alors derrière moi et me bouffe le cul sous les vivas des autres observateurs. Gémissant (mais inaudible du fait de la musique), je suis extrêmement mouillé et n'attend plus que d'être enfilé. Le gaillard sait s'y prendre avec sa langue et il sent bien que mon trou réclame ! Il n'hésite guère et presse son gland contre mon trou, rentrant sans effort. Me voici sur scène en train de me faire enculer par un beau quadra ! Mon master n'hésite pas à rappeler que je suis une salope de 20 ans à démonter, plusieurs personnes se pressent autour de l'action. Le mâle me retourne sur le dos et, me soulevant les jambes, entre à nouveau en moi. Profitant des possibilités offertes par cette situation, je commence à tâter les paquets et les queues qui se présentent. J'en ai rapidement une puis deux en bouches. Mon master explique les règles de cette soirée spéciale pour moi et trois autres mecs sortent leurs queues. Celui que j'ai commencé à sucer se branle sur mon torse, alors que le quadra termine dans mon cul quasiment simultanément. Je n'ai pas le temps de dire ouf qu'à peine sorti, il est remplacé par quelqu'un et je ne sais même pas qui ! Pas le temps de voir, trop occupé à passer d'une queue à l'autre avec ma bouche. Mais je sais cependant que ce n'est pas la même queue : elle est bien plus grosse ! Les choses s'enchaînent comme cela, deux autres mecs se vident sur ma gueule, un autre entre dans mon cul alors que je vois apparaître celui qui me baisait : il vient se vider dans ma bouche. Enfin, couvert de sperme mais toujours travaillé par un mec qui me doigte avec tous ses doigts et suçant un autre, mon master sonne la fin de la récré et m'intime d'aller me laver. Reprenant la laisse, il me traine ainsi jusqu'aux douches, suivi par deux ou trois membres qui n'ont pas eu leur dose de petite salope de 20 ans.
1h45 : Plus trop sûr du compte, je m'assure auprès de mon master que j'en suis à 9...pas encore la moitié du chemin...la nuit va être longue...
1h50 : Me voici sous l'eau chaude, sans jock, sans collier et sans laisse, sans plus rien d'autre que ma barbe dégoulinante et difficile à laver pour me cacher des regards vicieux qui me scrutent. Mon trou est extrêmement souple, je le sens en passant la main entre mes fesses. Je me sens nu, vulnérable, fragile devant cette meute de prédateurs qui ne veulent qu'une chose : user et abuser de moi jusqu'à la jouissance, leur jouissance, ce que je vais m'appliquer à leur donner pour le plaisir de mon master.
1h58 : Pas de répit pour les chiennes ! Mon master propose à deux gars trentenaires, bien bâtis, qui se branlent en regardant ma recherche d'hygiène, de me rejoindre. Ni une ni deux, les voilà sous la douche à me peloter sans ménagement. Le premier m'embrasse de force malgré son haleine alcoolisée, le second a déjà fourré ses doigts dans mon trou sans attendre. Ils se placent de part et d'autre de la douche, chacun appuyé sur un mur, puis celui qui est derrière moi me force à m'incliner pour sucer son collègue. Je devine la suite qui arrive dans la foulée, il m'encule sans plus attendre. Je pose mes mains de chaque côté du mastard que je suce et écarte les jambes pour ne pas tomber suite aux coups de boutoirs de celui qui est me défonce le trou. Il y va fort, vraiment fort, à tel point que je m'étouffe deux fois sur la queue de son pote. Les encouragements salaces des vicelards qui regardent les rendent encore plus chauds et ils échangent, me font me retourner pour que chacun explore l'autre trou. Quelques fessées tombent sèchement sur mon cul déjà rougi, mes jambes tremblent, j'ai de l'eau dans les yeux et celui que je suce me force à gober fond de gorge en me maintenant la tête et en profitant que j'ai besoin de mes mains pour rester en équilibre. Quelques minutes de plus de ce traitement et je vais m'effondrer...heureusement, celui que je suce m'étouffe de son sperme et son pote, pas en reste, termine à son tour au fond de mon cul dans sa capote. Les deux lascars s'en vont, je reste assis en W sous la douche à recracher le sperme quasi avalé de force...
2h30 : Et de onze ! Moralement, cela me redonne un coup de boost, mais physiquement, ils ont bien pompé dans mes réserves...Mon master me réenfile collier et laisse mais me laisse nu. Me retrouvant de nouveau à 4 pattes, nous allons au bar pour prendre un verre bien mérité. Je reçois l'autorisation de m'assoir sur un des tabourets de bar, afin de descendre presque cul sec mon whisky coca. Ça réchauffe les boyaux sans faire perdre la tête, j'apprécie. Mais pas de pause pour moi, un autre queutard s'avance vers mon master et en quelques secondes, toujours assis sur le tabouret, je me vois contraint de reculer les fesses sur l'assise afin de laisser mon trou dépasser. M'appuyant sur le bar, je sens le barreau du mec dont j'ai à peine vu le visage se frayer un chemin entre mes fesses. Je m'accroche du mieux possible au bar d'une part avec mes mains, au tabouret d'autre part avec mes pieds pour ne pas vaciller. Il me déboîte littéralement le trou comme un bourrin, je grimace et n'apprécie pas spécialement, je serre les dents. Ça manque clairement de lubrifiant, même s'il crache à plusieurs reprises sur mon trou et sa queue. Le barman profite du spectacle, ça amuse beaucoup de monde de voir une petite lope de 20 ans en train d'en baver ainsi. Je sens les coups de boutoirs devenir plus insistants et perforants et, sans surprise, il explose dans mon trou quelques secondes plus tard. Me gratifiant d'un crachat dans la bouche en guise d'au revoir, il me laisse au bar avec mon master, le cul défoncé. J'enquille un deuxième whisky coca cul sec.
2h45 : En parlant de cul sec, j'aurais probablement du prendre un autre verre avant la suite, pour me détendre un peu...en effet, mon master, me reprenant en laisse, m'emmène dans une des salles de l'arrière club, la fameuse backroom. Arrivé sur place, une sorte de chevalet trône dans la pièce et je comprends sans une once de doute que je vais être offert à qui veut...Quelques minutes plus tard, me voici installé sur le chevalet dans une position parfaite : comme à quatre pattes, mais plus reposant car en appui ventral. Mes deux trous sont offerts, mes poignets et mes chevilles sont attachés au support, impossible d'esquiver les queues. Mon master s'amuse à corser les choses : il me bande les yeux, puis me bâillonne. Je l'entends proposer mes fesses à la ronde : "Petite pute de 20 ans, venez vous éclatez et lui éclater le cul !", "Venez abuser de cette chienne"...
3h00 : Le ballet commence...premier arrivé, premier servi. Je ne sais pas qui il est, mais lui sait qui je suis : une salope offerte dont les trous ne lui appartiennent même pas. Il me bourrine comme un salaud, sans pitié, sans ménagement...c'est aussi ça, l'effet backroom : il baise un cul, pas un mec, il défonce une salope, pas quelqu'un qui ressent les choses. Je ne suis qu'un anus offert dans lequel il peut soulager toute la frustration qu'il a accumulé. Il ne se pose pas de question, m'explose la rondelle. Je cris sous mon bâillon, mais qui peut m'entendre ? Encouragé par les mateurs et ceux qui attendent leur tour, il m'encule à haute vitesse...de temps en temps, il ressort et je ressens mon trou comme un tunnel dans lequel le train s'est engouffré à 300 km/h. Après plusieurs minutes de ce traitement, je sens une autre queue entrer dans mon cul, elle est différente, la manière d'entrée est différente. Définitivement pas le même mec. Mais après quelques minutes, le gars s'enflamme à son tour et se laisse aller à ses bas instincts bestiaux. Puis un autre, un autre, un autre...il me semble parfois reconnaître une queue qui s'est déjà immiscée en moi, mais je n'en suis pas sûr. Je suis étourdi sous les coups de queue qui font de mon anus une autoroute.
5h00 : Mon maître me détache enfin, sans pour autant défaire le bandeau. Je suis hagard, perdu car aveuglé et je ne parvient pas à calculer le nombre d'éjac que j'ai provoquées. Mon master me renseigne : 18 ! Mon dieu...encore deux...Vais-je y arriver...?
Max
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