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Après cette soirée où j'avais été humilié et forcé de sucer la grosse queue de mon maître et même d'avaler son jus, je pensais mon calvaire términé. Mais aux premières lueurs du lendemain matin , tous les esclaves sont appelés a se réunir dans le péristyl. Mon maître, accompagné de Manius, nous attends. Gallius, d'un ton autoritaire , commence un monologue :
Mes esclaves, je vous ai tous acheté, vous m'appartenez. Ici, vous êtes logés dans une belle villa propre, nourris à votre fain et vous avez des tenues propres. Vous êtes aussi bien traité si vous faites correctement votre travail. Bien évidemment, il y a des règles à suivre. Mais ... Certains parmi vous ne veulent pas les suivre... Esclave Situs avance !
Je me fraye un passage entre les esclaves et me présente devant mon maître le visage baissé. Manius me prends le bras et me le tire dans le dos à me le casser. Il me place face à l'assemblée.
Gallius - oui, Situs se croit au-dessus des régles et a cru bon d'avoir une relation sexuelle avec un autre esclave.
Seuls Gallius et Manius sont au courrant. Maintenant tout le monde le sait.
Gallius- je croyais avoir été clair pas de relation sexuelle entre esclaves sauf si je donne ma permission ou si je l'ordonne. Donc je vais devoir punir cet esclave et vous allez tous voir et regarder et que ça serve d'exemple. Manius place le.
Manius me prends par le bras et me place face à une colonne et m'y attache je suis tétanisé, que vais-je devoir endurer ?
J'ai vite compris quand j'ai vu Gallius donner un fouet en cuir à Manius. Ce dernier souriait et en m'arrachant ma tenue il me dit :
ton petit copain a été envoyé aux mines. Faible comme il est, il ne tiendra pas longtemps et dès qu'il sera mort, je me ferrais un plaisir de te l'apprendre. Et j'ai donné quelques directives aux gardes. Je pense qu'ils vont bien se servir de lui avant qu'il ne crève.
Il ricane , ma peine est immense, mais je retient mes larmes pour ne pas lui montrer mon désarrois.
Manius- combien de coup de fouet maître ?
Gallius - commence je te dirais quand arrêter.
Puis, j'entends le premier claquement de fouet et je ressens une douleur immense sur le dos alors que ma peau est fendue du sang dégouline de la plaie. Je crie toute ma souffrance c'est atroce. Un deuxième claquement et encore cette douleur insuportable. Puis un troisième, puis un quartrième jusqu'à huit coups de fouet. Des larmes de douleur coulent sur mes jous, de ma bouche s'écoule de la salive et en sort des cris et de longs sanglots. Mes jambes ne me tiennent plus, mais je suis solidement attaché à la colonne. A chaque coups je crois defaillir et alors que je perds connaissance je crois entendre mon maître dire :
ça suffit !
Ce salaud de Manius m'asséne un dernier coup encore plus violent que tous les autres et c'est le trou noir.
Plusieurs semaines sont passées et mes blessures se sont cicatrisé grâçe aux soins du médicus. Enfin rétabli, je me contente de faire mon travail et d'essayer de me faire oublier. Mais Manius aime m'humilier. Et un jour alors que j'étais à genoux en train de laver les latrines, il est venu vers moi et devant les autres esclaves il a relevé sa tunique a sorti son sexe et face à moi il m'a ordonné :
ne bouge pas !
Et avec un sourire de pervers, il s'est mis a uriner sur moi. Je ressens son urine malodorante couler sur moi. Mon torse, mes cuisses et mes bras. Il me mouille tout le corps et finit par m'inonder le visage. Je suis écoeuré mais je ne veux pas qu'il dise quoi que ce soit à mon maître et me faire à nouveau fouetter. Alors je ne dis rien, mais secrètement je prépare ma vengence.
Je souhaite ardemment reprendre ma place auprès de mon maître. Un jour où Manius a dû s'absenter pendant plusieurs heures, j'ai pris mon courage à deux mains et je suis aller voir mon maître.
En cette aprés-midi la villa est calme, gallius avant d'aller aux thermes est dans son tablinum. Je rentre sans même frapper et ferme la porte derrière moi.
maître laissez-moi vous parler.
Gallius - comment oses-tu rentrer sans frapper et me parler sans mon accord.
Moi- maître je vous ai toujours bien servi et je souhaite reprendre ma place auprès de vous et je suis prêt à tout... à tout.
Sur ces mots, je me mets à genoux.
Il a bien compris ce que je veux. Assis sur un siège, il relève sa tunique, écarte largement les cuisses et me présente sa queue épaisse qui prend déjà du volume.
alors tu as aimé ça petite pute ! Allez fait moi plaisir et on verra ce que je vais faire de toi.
A genoux j'avance vers lui et entre ses jambes je prends directement son sexe dans ma bouche. Je me mets a le sucer et j'y mets le plus de douceur et d'ardeur pour lui donner le plus de plaisir. Son sexe prend bien vite sa taille maximum et me remplit bien la bouche. Mes lévres sont distendues au maximum et j'essaie de ne pas lui faire mal avec les dents. Je pousse le vice jusqu'à le regarder fixement avec un regard pervers, sa belle bite dans ma bouche. Il me voit et me dit :
-Tu suce bien, continue comme ça.
Je le suce pendant de longues minutes, il me laisse faire les va-et-vient de mes lèvres sur toute la longueur de sa queue. Puis j'arrête et je dis :
je suis prêt à tout !
Je me place dos à lui à quatre pattes, je reléve ma tunique et je cambre mon dos pour qu'il voit bien mon cul. Je passe une main pleine de salive et humidifie ma raie.
Gallius - ho ! Ton cul !
Rapidemment, Il se place à genoux derrière moi, entre mes jambes, je sens déjà son gland sur mon anus chercher a entrer. Doucement il pousse, et comme j'ai bien préparé mon anus et que je suis très excité, son sexe énorme se fraye un passage entre mes fesses et me pénètre entièrement. Ça fait un peu mal, mais je veux que mon maître me possède et qu'il prenne le plus de plaisir. Une fois sa queue entièrement en moi il dit :
par tous les dieux, ton cul est fait pour çà.
Moi - maître, il est à vous, faites vous du bien.
Mais, il n'a pas le temps de bouger, j'ondule déjà mon cul et me baise sur son gros sexe, c'est moi qui rythme les va-et-vient. Mon maître ne retient pas ses grognements de plaisir.
ho ton cul, c'est trop bon, j'avais oublié comme il est bon. Tu encaisse bien ma grosse queue. Aller bouge encore.
D'un coup, on entend frapper à la porte.
Laissez moi ! Cri mon maître.
Puis, il me prend fermement par les hanches et c'est lui qui assure la cadence. Il entame des coups de reins bien rudes, sa bite me laboure le cul et va bien profondément, je la sens butter au fond.
Je ne peux me retenir d'haleter fortement, tellement qu'il me ravage les entrailles. Sans trop le faire paraître, je prends un plaisir immense, je sens sa queue aller et venir en moi et j'aime çà. Même ma queue a débandé tellement que le plaisir anal est fort. La jouissance monte vite pour tout les deux et dans quelques coups de reins féroces il crie :
ho ! je viens ! ha ! Je te remplis ton cul de pute de mon jus.
Je sens qu'il gicle une grosse quantité de sperme au plus profond de moi. Moi aussi je jouis du cul pour la première fois et je tente de cacher toutes mes émotions devant mon maître.
salaud ! Mais tu as giclé.
En effet je remarque que mon sperme s'écoule de mon sexe.
tu es vraiment une grosse pute.
Il me prend durement par la nuque et me force a lécher mon propre jus.
-aller nettoie çà. Voilà, maintenent nettoie ma queue aller suce moi.
Je m'éxecute avec même une sorte de plaisir. Je commence à aimer comment mon maître me traite et son côté autoritaire et viril.
Puis, il prend par la main et me relève se colle à moi. Son regard s'adoucit, et me dit :
Je te promets de réfléchir à ta proposition de revenir a mon service.
Maintenant laisse-moi. Je me rhabille rapidement et sort du tablinum.
Seithan
seithan@orange.fr
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