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Premier épisode

J'ai trouvé une vraie salope -02

'Cela fait deux mois aujourd'hui que je suis devenu le propriétaire d'un superbe mec, ou plutôt, devrais-je dire, le Maître d'une belle salope ! C'est un sentiment très étrange de savoir que l'on peut disposer selon ses envies d'un type qui ressemble comme deux gouttes d'eaux à une star hollywoodienne, vous pouvez me croire. C'est une vraie responsabilité aussi parce qu'il s'agit de le faire progresser dans la soumission, de le pousser à se dépasser, en tenant compte qu'il s'agit avant tout d'un être humain avec des limites... Et tout le jeu réside là : prendre les bonnes décisions au moment voulu. Sans faire preuve de fausse modestie, il s'avère que je m'en sors plutôt pas mal.

Le hasard a voulu qu'une semaine à peine après notre rencontre, sa femme ait du partir d'urgence à l'autre bout du monde pour créer un nouvelle antenne pour sa société. C'est une promotion qui ne se refuse pas, peu importe qu'on soit célibataire ou non, en particulier lorsque votre patron vous donne deux jours pour faire vos bagages... ou prendre la porte ! Le monde du boulot étant ce qu'il est, elle n'a eu d'autre choix que d'accepter cette offre, et sauter dans le premier avion qui l'emporterait loin de l'élu de son coeur pour six mois.

Nous nous voyons donc énormément vu que la place est libre pour un bon bout de temps, et ça tombe à merveille. La relation entre nous est particulière. Je le larve, c'est certain, mais en dehors de ces moments-là, c'est quelqu'un que je vois avec plaisir et avec lequel je passe des moments d'une tendresse infinie. Lorsque nous terminons la nuit ensemble, ce qui arrive régulièrement, et que nous nous écroulons de fatigue étroitement enlacés, je me surprends à penser que je pourrais tomber amoureux de lui. Mais vu qu'il est marié, et d'une certaine manière fidèle à sa femme, je me force à le voir avant toute autre chose comme une salope, comme ma salope, et je fais ce qu'il faut pour qu'il ne l'oublie pas.

Permettez-moi de faire l'impasse sur les premières semaines durant lesquelles je me suis contenté de lui imposer de se faire sauter le plus souvent possible par un ou deux de mes amis, parfois trois, jamais davantage. Son cul faisait toujours le même effet à mes invités qui se mettaient à bander dès qu'il le voyaient et se seraient presque battus pour en profiter avant les autres. Lui, docile, se cambrait autant qu'il le pouvait, et se faisait inonder les intestins sans broncher. Quand son trou écartelé et trempé se retrouvait vide, il me réclamait systématiquement de m'en occuper à mon tour. Était-ce moi ? Ma bite ? Les deux ? Peu importe, le fait est qu'il prenait du plaisir à son tour à partir dès cet instant ou en tout cas il le manifestait tellement fort que ses voisins devaient sans nul doute sursauter dans leur lit et ses ancêtres, quant à eux, se retourner de honte dans leur tombe, ce qui me remplissait de joie et de fierté.

Au bout de trois semaines, quatre peut-être, je pris conscience que cette situation ne me suffisait plus, que ce nouveau statut de Maître me convenait, me plaisait beaucoup même, mais qu'il me fallait à présent avancer et aller ailleurs que dans ses sentiers presque battus désormais. Les choses sont parfois étranges, n'est-ce pas. Voici peu encore, je me contentais de baiser un passif ici ou là, de jouer au macho de bac à sable en recopiant l'attitude désinvolte de certains acteurs de films siglés XXX-rated, et je m'en contentais ! Ce n'était plus le cas...

L'idée me vint une nuit où je ne trouvais pas le sommeil. Cigarette au bec, je m'assis au bord du lit où il dormait paisiblement après avoir servi de vide-couilles à trois bons baiseurs qui s'en étaient servi chacun deux fois sans que ça lui suffise. Il lui en fallait plus. C'était un mercredi, et j'allais lui en donner le samedi suivant, il me faudrait ce léger délai pour prendre les contacts nécessaires.

Je sortis tôt le matin, en prenant ses clés que je ne lui rendrai plus, pour aller faire quelques emplettes dès l'ouverture du sex-shop le plus proche. Lorsque je revins, il était sous la douche. "Lave-toi bien le trou", lui dis-je. Il ne me posa aucune question et se contenta de passer un peu plus de temps dans la salle-de-bains. Quand il en sortit, après avoir pris le temps de l'observer sous toutes les coutures et constaté une fois encore qu'il était somptueux, je lui donnai l'ordre de se coucher sur le dos en relevant et en écartant les cuisses. C'était inhabituel, mais il me sourit, et se rua littéralement sur le matelas persuadé que j'allais le prendre. Il n'en était rien. Je tartinais son fion de lubrifiant et y glissai trois doigts. Il lécha ses lèvres avec gourmandise. Je sortis de son sac le plug que je venais d'acquérir et ses yeux se mirent à briller d'impatience. Il n'était pas trop gros mais suffisant pour bien le dilater et pour rester discret sous ses vêtements. Le voir les jambes ouvertes comme la dernière des putes me mis dans tous mes états. Il ne me fallu que quelques secondes pour me débarrasser de mon pantalon, me mettre à califourchon sur son torse musculeux, ouvrir sa belle petite gueule, et aller chatouiller sa glotte de mon gland. Il étouffa sous cette intromission à laquelle il ne s'attendait pas mais il détendit sa gorge pour m'offrir une incroyable fellation. Pour la première fois, je le traitai de tous les noms pendant qu'il me suçait. "Bouffe ma grosse queue, salope, sale pute, pouffiasse, bâtard, etc." Les mots ne venaient pas très naturellement, mais pour une raison que j'ignore, ils me sembla nécessaire d'en user.

72 heures sans sexe, seul le plug qui ne le quittait pas ou peu lui rappelait qu'il était mon objet. Ce n'est pas tout à fait vrai. Du vendredi au samedi, je ne résistai pas au plaisir de le tirer pendant qu'il dormait. Nous avions passé une soirée très douce et amicale à parler de tout et de rien. Il m'en dit plus sur lui ce soir-là que depuis notre premier blind date. C'est sans doute cette intimité toute neuve qui m'a donné envie de le violer alors qu'il était tendrement lové dans mes bras. Juste un peu de salive sur son trou me sembla suffisant pour lui casser le cul. Il n'y eu aucune résistance, ses chairs s'écartèrent pour moi, et il se mit à soupirer d'aise et à bouger ses fesses. "Merci, Maître, merci de me baiser, ça me fait un bien fou !" Je redoublais d'ardeur. Il grognait, serrait ses sphincters autour de mon membre pour mieux me sentir. Sa main glissa vers sa queue pour se branler. Je l'en empêchai, je voulais qu'il soit frustré, qu'il reste dans un état d'excitation extrême et que son plaisir vienne de la sodomie que je lui faisais vivre. Il ne me fallu plus que quatre ou cinq mouvements de bassin pour l'inonder de ma semence, et c'est donc repu et satisfait que je plongeai dans les bras de Morphée.

Samedi, début de soirée. Mes autres achats allaient servir. "A poil, bâtard, couché sur le ventre, jambes et bras écartés." Il s'installa suivant mes ordres, sans me poser de question, mais je ressentis un léger stress malgré tout. Il avait raison de s'inquiéter, il n'allait pas être question pour lui de se faire tirer plus ou moins rapidement par deux ou trois mecs pressés. Cette nuit, il allait réellement devenir un trou à bites. Ignorant s'il était capable d'assumer, je lui mis aux poignets et aux chevilles des menottes en cuir que j'attachai solidement aux pattes du lit. J'écartai ses globes fessiers, ôtai le plug, et introduisis un lube shooter pour y déverser du lubrifiant en abondance. Pour finir, au moment où retentit la sonnette, je mis sur son visage le masque en cuir qui lui permettait de conserver son incognito. "Tiens le coup, salope, ne me fais pas honte !" Son inquiétude était évidente, et il se contenta d'articuler un timide "Je ferai de mon mieux, Maître."

Ils étaient tous venus suite à mon invitation, et tous s'étaient abstenu de se masturber depuis le mercredi lorsque je les avais appelé. Certains étaient déjà venu, comme Pierre et Christophe, d'autres non, et parmi eux, il y avait deux inconnus qui accompagnaient des amis. J'avais contacté dix actifs, il y en avait finalement douze de tout âge et de tout physique. Leur point commun : une grosse queue et des couilles pleines. Les commentaires allaient bon train. "Quel cul !", "Belles fesses de pute !", "Waow, je vais bien le défoncer !", et d'autres du même acabit. "Messieurs, ma chienne est à vous. Il est 19 heures, je compte sur vous pour le remplir non-stop jusqu'à minuit. Faite-le déborder de foutre. Bon amusement."

Christophe fut le premier à s'avancer. Sa bite épaisse, large et très nervurée, trouva son chemin sans problème. Il était couché de tout son long et seul son bassin bougeait à un rythme régulier. "Prends ça, salope !" Il le perforait littéralement, j'avais l'impression qu'il voulait le traverser de part en part tellement sa façon de la baiser était violente. Ce fut ensuite au tour d'un grand blond monté comme un âne de le chevaucher. Il mesurait pas loin de deux mètres, il était hyper musclé, très poilu, un mâle dans toute sa splendeur. Et un membre énorme, plus long, large, et épais que tous ceux que j'avais pu voir dans ma vie. Je n'eus pas le temps de lui demander d'y aller doucement qu'il avait déjà disparu jusqu'à la garde. Ma salope poussa un cri de bête dans lequel se mêlait douleur et plaisir. Celui qui pour moi restera à tout jamais le Viking sortait complètement sa queue et entrait à nouveau aussi fort qu'il l'avait fait la première fois. Mon bâtard souffrait sans doute, mais pour ne pas me décevoir il cambrait son dos autant que ses entraves le lui permettaient. Vint ensuite le tour de Jimmy, un Black assez laid mais vraiment bien monté lui aussi. Son style était différent, il aimait limer doucement en poussant son chibre le plus loin possible. À chaque fois qu'il ne restait plus le moindre millimètre à l'air libre, ma salope respirait un grand coup, un peu comme si l'air lui manquait. Je crois que ça excitait Jimmy qui à chaque fois tentait d'aller encore plus loin.

La suite m'échappe un peu. Ce que je peux affirmer c'est que tout le monde à rempli son contrat à la perfection, et que les mecs qui avaient répondu présent voulait à tout prix prouver qu'ils étaient de vrais actifs. Les teubs succédaient aux teubs, et il n'y eu pas plus d'une minutes durant laquelle ce trou incroyable ne fut pas rempli.

À minuit pile, je congédiai tout le monde excepté Pierre auquel j'avais demandé de ne pas jouir plus d'une fois. Quand la chambre fut vide, je détachai ma lope dont les bras et les jambes étaient endoloris. Je l'aidai à s'agenouiller. A l'oreille, je lui murmurai : "Ce n'est pas encore tout à fait fini. Tout ce qui a précédé n'a été qu'un échauffement." Pierre se glissa sous lui et, d'une poussée dans le dos, je le fis tomber sur lui. Puis, je guidai la virilité de mon ami vers le trou dégoulinant et très ouvert. Calmement, je pris position dans son dos, et m'introduisis à mon tour. C'était sa première double, je voulais qu'il la vive avec des mecs qui savaient comment s'y prendre. Nous commençâmes à bouger ensemble, tout doucement d'abord, puis de plus en plus vite. "aah, je suis écartelé. Ça me fait mal mais c'est bon. Plus fort, baisez-moi plus fort, s'il-vous-plait !!!" Ainsi fut fait pendant pas loin de trente minutes durant lesquelles je flattai son membre en permanence. Moment magique et unique s'il en est, c'est à trois que nous vînmes à la même seconde. Ce premier abattage avait été un succès !

J'étais impatient de savoir ce qu'il avait ressenti, mais pas tout de suite. Je raccompagnai Pierre que je remerciai chaleureusement. Quand j'arrivai dans la chambre, il s'était endormi, épuisé. Un sourire radieux était accroché à ses lèvres. Plus aucun doute, il avait aimé. Je me glissai à côté de lui, posai ma main sur ses fesses qui avaient été tellement sollicitées, et me laissai aller à mon tour à une douce torpeur.

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