20 heures précises. La porte était entr'ouverte, les lumières tamisées... Tout cela s'annonçait bien. Quelques pas encore à travers l'appartement silencieux, et j'entrai dans la chambre. Comme prévu, il était à quatre pattes sur le grand lit immaculé, uniquement revêtu d'un jockstraps acheté spécialement pour l'occasion. Un masque de cuir noir l'aveuglait. C'était sa décision, sa volonté, et je ne m'y étais pas opposé. Il était hétéro, ne s'était jamais fait baiser, n'avait même jamais été caressé par un homme. Bientôt il franchirait le pas, et voulait que ça se passe avec un inconnu.
Nous étions entré en contact via une petite annonce. La sienne disait :
Beau mec, 41 ans, sexy, 1m84, brun, yeux vert, sportif, musclé, torse et jambes poilus, marié et heureux en ménage, macho, hétéro pur et dur, mais salope en son fors intérieur... Qui me permettra de me révéler ?
Aucune photo, pas de numéro de téléphone, uniquement une adresse e-mail. Intrigué, j'avais réagi en lui envoyant juste un mot : "Moi !", tout en pensant qu'il s'agissait du fantasme d'un doux illuminé comme on en trouve beaucoup, et que jamais je ne recevrais la moindre réaction. J'avais eu tort. Il avait suffi d'une minute à peine pour que je sois prévenu de l'arrivé d'un nouveau message que je m'empressai d'ouvrir.
Bonjour, lisais-je, merci de m'avoir répondu. Je suis en couple depuis des années avec une femme que j'aime, mais je sais depuis toujours que je suis gay et passif. Mon rêve est de rencontrer celui qui me fera sentir une salope. Je n'ai que deux exigences : avoir les yeux bandés, non pas pour cacher mon visage mais pour ne pas savoir à qui je me donnerai, et cacher mes attributs parce que je ne veux être considéré que comme des trous à remplir. Serez-vous celui-là ?
Très rapidement, rendez-vous fut pris. Ce serait le lendemain, chez lui. (Sa femme était souvent en déplacement professionnel ce qui, bien sûr, facilitait grandement les choses)
Il n'avait pas menti. Son corps était solide, musclé, magnifiquement proportionné. Son dos était large, ses épaules et ses bras gonflés par des heures passées dans les salles de sport, ses jambes puissantes mettaient en valeur sa croupe ronde et ferme qui était en soi un appel au viol. Calmement, je me déshabillai et vint m'agenouiller face à lui, mon sexe à hauteur de ses lèvres. Il n'avait pas bougé, il attendait mes instructions. "Ouvre ta jolie petite gueule !" lui intimai-je, ce qu'il fit. Quel plaisir indescriptible que de savoir que ce mec n'avait jamais gobé aucune bite avant la mienne. Docile, il referma sa bouche sur mon membre et se mit à me sucer doucement et profondément. Je devins dur instantanément. Apparemment, cette première fellation lui plaisait vu que mes vingt centimètres disparurent rapidement au fond de sa gorge. Il suçait un mec pour la première fois et lui offrait une gorge profonde sans le plus petit haut le coeur... Impressionnant ! Au bout de quelques minutes, j'abandonnai ses lèvres pour m'occuper de son cul. J'écartais ses fesses de mes deux mains pour découvrir son petit trou qu'il avait rasé pour l'occasion.
Les grognements qu'il émettait me poussait à penser qu'il était prêt à se faire limer. Ma main guida ma bite raide à l'entrée de son tunnel, et d'une poussée, je fis pénétrer mon gland. Il eut un cri et se crispa légèrement, mais une claque le fit se détendre. Le moment était venu pour lui de se donner comme il en rêvait depuis des années. Agrippé à ses hanches, je m'enfonçai en lui millimètre par millimètre. Son souffle était court, sa respiration saccadée, mais il ne faisait rien pour échapper à mon intrusion dans ce qu'il avait de plus intime. Enfin, je commençai à bouger réellement, de plus en plus rapidement, et de plus en plus fort. C'était une sensation unique que déniaiser ce beau mec qui était fait pour être passif. Plus j'accélérais, et plus je ressentais le plaisir qu'il prenait. Je variais le rythme, allant de la lenteur la plus extrême à la vitesse la plus grande dont j'étais capable. Parfois, ma queue ressortait complètement pour replonger ensuite profondément en lui, parfois au contraire, seul mon gland lui travaillait l'entrée des sphincters.
A un moment, sa main passa entre ses cuisses pour venir flatter mes couilles et sentir du bout des doigts la tige qui le ramonait.
- Mais vous n'avez pas mis de préservatif ? me dit-il alors un peu affolé.
- Non. Je suis séropo, et je baise toujours à cru. C'est à prendre ou à laisser.
Il hésita un moment, et sans mot dire poussa son bassin vers moi. Manifestement, sa décision était prise. Mon excitation en fut décuplée et c'est sans vergogne et avec violence même que je continuai à m'emparer de sa virginité. Mes coups de boutoir le firent gémir puis gueuler de plaisir pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que je lâche mon sperme tout au fond de lui. Je bougeai encore un peu avant de ressortir de son magnifique cul.
Pour moi, l'histoire s'arrêterait là... mais pas pour lui ! Après autant d'années d'attente, il avait l'opportunité de vivre pleinement ce qu'il était vraiment, et n'avait pas l'intention de laisser cette opportunité lui échapper.
- C'était incroyable, plus excitant et meilleur que tout ce que j'avais imaginé. Reviendrez-vous ? Si vous le désirez, bien sûr, je serai votre salope. Vous ordonnerez et je m'exécuterai. Je vous en prie, acceptez, vous ne le regretterez pas.
L'idée d'avoir un mec soumis à ma disposition ne m'était jamais venue à l'esprit. Mais pourquoi pas après tout ?
- D'accord, lui dis-je, je reviendrai. À partir d'aujourd'hui, tu seras mon bâtard, et je t'utiliserai selon mon bon vouloir. Fais-moi confiance, tu apprendras bientôt à quel point tu es passif. Si c'est possible pour toi, je serai à nouveau là demain à la même heure.
- Oui, Maître, furent ses mots. Sa voix trahissait plus de bonheur que je ne peux en décrire.
J'enfilai mes vêtements, le fit tressaillir en glissant mon index au fond de son trou, et le quittai pour l'instant.
Durant la journée du lendemain, je passai quelques appels à des potes toujours intéressés par de bons plans. Sans avoir besoin de beaucoup argumenter, deux d'entre eux, Pierre et Christophe, acceptèrent de m'accompagner le soir-même chez mon beau soumis. Il n'était pas au courant, mais vu qu'il avait décidé d'être ma lope, je ne voyais pas pourquoi je l'en aurais tenu informé.
C'est donc à trois que nous arrivâmes chez lui. Je cherchai son nom sur la sonnette et donnai deux coups rapides. Nous entrâmes dans l'immeuble, prîmes l'ascenseur jusqu'au deuxième étage, et poussâmes la porte. Le plan était simple. Mes amis se désaperaient silencieusement en dehors de la chambre et me rejoindraient au bout de quelques minutes, la surprise serait ainsi complète. Ainsi fut fait ! Comme la veille, il était sur le lit, le cul tendu vers la porte, prêt à me servir et à se faire démonter.
- Merci d'être revenu. Ma chatte est impatiente, Maître.
Waow !!! Ce mec qui il y a 24 heures à peine ne savait rien de l'homosexualité si ce n'est ce qu'il en avait entendu, parlait déjà de son cul comme d'une chatte... Je n'en revenais pas, mais j'étais à présent certain qu'avoir fait le bon choix en invitant deux mecs à venir profiter de lui. Je m'approchai de sa jolie petite gueule et forçai sa bouche. Cette fois, il se mit à me bouffer avec avidité en pressant doucement mes boules dans sa paume. Le moins que l'on puisse dire est qu'il apprenait vite et qu'il était vraiment doué. Ma main glissa le long de son dos, et deux doigts se glissèrent entre ses sublimes fesses chaudes. Il était tellement en rut que son trou s'ouvrit tout seul sans que j'eus besoin de le lubrifier.
- Tu as envie de te faire mettre bien profond, hein, ma salope ?
Il ne pouvait pas me répondre, mais les mouvements de son cul en disaient long sur son désir. Mes potes entrèrent à ce moment-là, nus comme des vers et au garde-à-vous. Christophe repoussa ma main d'autorité, présenta son gland, et d'une poussée du bassin s'introduisit dans son fondement. Ma surprise allait grandissante. Ce type que je ne connaissais que de la veille continuait de me sucer comme si de rien n'était alors qu'il était en train de se faire baiser seulement pour la deuxième fois de sa vie par une nouvelle queue inconnue. C'était incroyable, presque surréaliste. Pierre, à côté de moi, bandait comme un taureau. Je libérais les lèvres qui me suçaient si bien et il prit ma place. Sa bite longue et large s'enfonça dans cette bouche offerte qui manifestement ne demandait pas mieux. Là non plus, aucune résistance de sa part. Ses lèvres allaient et venaient sur le membre turgescent, l'engloutissait réellement, pendant qu'il se faisait démonter par une autre. Il était pris en sandwich et ça le faisait grogner de satisfaction. Christophe, dans son dos, lui donnait de grands coups de gourdin, tandis qu'il bouffait la queue de Pierre avec une gourmandise évidente. Moi, j'admirais le spectacle qui valait le plus hard des films pornos qu'on puisse s'imaginer. Christophe ahanait et suait, et dans une dernière poussée se déversa en lui dans un véritable hurlement... Pierre, de plus en plus excité, se rua sur le trou à présent libre, le pénétra en une seule fois, et entreprit un limage acharné. Il n'eut besoin que de quelques allers et retours pour se vider à son tour dans les entrailles de mon bâtard qui avait entre-temps, et presque d'autorité, reprit mon sexe dans sa bouche. Ne voulant pas être le dindon de la farce, je me décidai moi aussi à l'enculer. Mes potes choisirent cet instant pour quitter les lieux en me remerciant.
- Super, ça faisait un moment qu'on n'avait pas eu droit à un plan aussi chaud. C'est quand tu veux, mec.
Je pris tout mon temps, je fouillai longuement son trou distendu par les deux mâles qui m'avaient précédé. Mon sperme enfin gicla et vint se mélanger aux deux jus qui se trouvaient en lui.
- Merci Maître, c'était fantastique. Les mots me manquent pour vous exprimer ma reconnaissance.
Il était toujours à quatre pattes, et du sperme lui coulait le long des jambes. J'eus soudainement mauvaise conscience. En l'espace d'une journée, ce bel homme en apparence hétéro s'était transformé en salope, ce qui passait encore, mais était aussi devenu peut-être séropositif. Tout en flattant ses fesses, je lui fis part de mon inquiétude à ce sujet, et lui proposai de se rendre dès le lendemain à l'hôpital le plus proche pour demander un traitement prophylactique. Sa réaction me laissa coi.
- Je sais depuis l'adolescence que je suis fait pour être un objet de plaisir pour les hommes, et un homme ne peut avoir de plaisir qu'en jouissant. Et sa jouissance passe par l'éjaculation de son sperme que je me dois d'accepter en moi. Grâce à vous, je suis en train de devenir la vraie salope que j'ai toujours été en réalité. Je sais quels sont les risques et le cas échéant j'en assumerai les conséquences. J'aime ma femme, mais nous n'avons plus de relations sexuelles depuis des années, elle n'a donc rien à craindre. Ne vous en faites pas pour moi, Maître. Je suis à votre disposition, faites de moi ce que bon vous semble.
Mes idées sombres me quittèrent immédiatement. Je bandais à nouveau, et pris d'un instinct animal je l'enculai une nouvelle fois. Il poussa un cri de surprise lorsqu'il sentit mon membre qui l'envahissait.
- Oh, que c'est bon. Plus fort, je vous en prie, baisez moi comme une chienne !
Inutile de me le demander deux fois, et c'est avec bonheur que je m'escrimai à lui casser le cul une fois encore. Je libérai sa queue de son jock. Putain, sa tige était à l'image de son corps : au moins 20 centimètres, et tellement épaisse que je n'arrivais pas à en faire le tour avec mes doigts. Il me tirait en lui à l'aide de ses mains tout en gueulant comme un porc qu'on égorge. Je le branlai violemment, et c'est ensemble que nous lâchâmes notre purée dans un même hurlement de bonheur. Je m'écroulai sur son dos, ma virilité enfoncée profondément dans sa chatte de mâle ! Ses bras étant coincés entre son corps et le matelas, j'en profitai pour ôter son masque. Il était d'une beauté renversante. Un nez fin et régulier surplombait sa magnifique bouche aux lèvres tellement bien ourlées, ses yeux étaient verts, tels ceux d'un félin, et des sourcils épais et parfaitement dessinés complétaient le tableau. Je pris son menton carré dans mes mains et lui intimai l'ordre de me regarder.
- Si tu veux toujours que je sois ton Maître, il faut que tu saches à quoi je ressemble, lui dis-je.
Il me faut l'admettre, j'eus un peu peur de sa réaction. Face à un Apollon comme lui, je ne faisais pas le poids. Mais au contraire, il me sourit, et me dit qu'il me trouvait magnifique, et qu'il était fier de m'appartenir. Je me laissai glisser sur le lit et lui fit face. Nos bouches se collèrent l'une à l'autre et nous échangeâmes un baiser passionné. Il me demanda de passer la nuit avec lui, ce que j'acceptai avec joie. Je me serrai contre ce grand corps viril et sexy en diable, ma queue collée à son cul, et m'endormit en l'espace de quelques secondes à peine.
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