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Premier épisode | Épisode précédent

J'ai trouvé une vraie salope -03

Xavier... Il s'appelait Xavier ! Pas une fois je n'ai prononcé son nom ce qui conservait entre nous une certaine distance malgré le lien invisible mais pourtant réel qui nous unissait. Les choses avaient beaucoup évoluées. Outre le fait de partager la plupart de nos nuits ensemble pour ne pas dire la totalité de celles-ci, nous avions naturellement et très rapidement décidé d'une vie sociale commune. Aux yeux des autres, nous apparaissions au pire comme des amis très proches, au mieux comme des amants et, dans ce dernier cas, il va sans dire, au vu de nos physiques respectifs, que ce grand type balèse me dominait tant sous la couette qu'ailleurs... Les apparences peuvent si facilement tromper ceux qui désirent l'être... Si seulement ils avaient pu assister à nos petits jeux d'adultes !!!

Après son premier abattage, le lendemain matin pour être plus précis, je réalisai qu'il y avait une distance trop importante entre son corps si parfait et son statut de lope, et qu'il lui fallait perdre au plus vite de sa superbe. Il m'était par la force des choses impossible de faire quoi que ce soit contre sa haute stature et ses épaules de camionneur, et je n'avais non plus aucun moyen de faire oublier à qui que ce soit son imposante musculature. C'est donc naturellement que je m'attaquai à un autre signe extérieur de sa virilité jusque-là triomphante : sa pilosité.

Ses jambes et son torse étaient recouverts d'une fine couche de poils marron foncé qui faisait ressortir plus encore toute sa puissance masculine, un léger duvet redessinait le bombé de ses fesses, et une toison parfaitement entretenue mettait en valeur sa queue que beaucoup d'actifs devaient lui envier.

Bien sûr, j'aurais pu entreprendre cette transformation en m'armant d'une tondeuse, mais je voulais qu'il ressente ce changement, qu'il le ressente même douloureusement. Cela faisait-il partie de mon rôle de Maître ou était-ce juste une réponse à un instinct sadique enfoui dans les tréfonds de mon inconscient ? Chacun choisira librement. Pendant plus de deux heures j'appliquai méthodiquement les bandes de papier partout sur sa peau avant de les arracher vigoureusement. A chaque fois, il tressaillait et étouffait un cri de douleur.

"Je ne veux pas t'entendre gueuler ni me demander un moment de repos. Un homme ne se plaint pas, un bâtard encore moins."

Il respecta ma consigne à la lettre mais fut incapable de retenir longtemps ses larmes qui se mirent à couler abondamment sur ses joues et dans son cou. Il n'en pouvait plus, j'en étais conscient, mais je me refusai à arrêter là mon travail. Lorsqu'il sentit que je me préparais à arracher les rares poils qui subsistaient encore dans son sillon fessier, il me dit qu'il m'appartenait, qu'il était prêt à tout supporter pour me satisfaire. C'est ainsi que pour répondre à son souhait, mais aussi pour laisser s'exprimer le monstre qui sommeillait en moi, je tirai doucement pour le défaire de ce qui masquait encore à peine ce qu'il avait de plus personnel. Il serra les poings, se mit à trembler de tout son être tant la douleur sans doute était à la limite du supportable, et de sa nuque à ses chevilles sont corps se couvrit de frissons, tandis que sa queue se mit à durcir. Si j'étais sadique, il était maso !!!

Le seul ornement qui lui restait était ses cheveux qui disparurent à leur tour tout d'abord sous ma tondeuse que j'avais préparé "au cas où" et ensuite sous mon rasoir. Il était nu comme au jour de sa naissance, totalement lisse, complètement offert... Pourtant, quelque chose encore offusquait ma vue : ce sexe qui bien qu'à présent glabre montrait l'étalon qu'il devait et pourrait être encore !

Je l'attachai au lit, bandai ses yeux pour que l'attente lui soit plus stressante, et partis rapidement à la recherche de ce qui palierait à ce problème. Il ne me fallut que peu de temps pour trouver ce dont j'avais besoin, je savais où aller, et m'y rendis directement. Un aller-retour de quelques minutes à peine changerait la vie de mon bâtard radicalement... Ma tâche terminée, je défis ses liens, ôtai le bandeau, et lui intimai l'ordre de se regarder dans le miroir. Il avait bien sûr senti que je malaxai ses couilles et sa queue mais ne s'était pas douté un seul instant que je m'évertuais à installer une cage de chasteté. Ses yeux s'écarquillèrent, il se mit à suffoquer... Il porta sa main à son entrejambe mais ne rencontra qu'un objet de plastique rigide dont s'échappaient ridiculement deux boules glabres. Ma main s'égara entre ses fesses. De deux doigts, je caressai et écartai les plis de son trou lisse et doux, tandis que je lui susurrai à l'oreille : "Regarde ce que tu es en train de devenir !"

Sont-ce mes mots qui eurent sur lui un effet inattendu ? Ou cette image qu'il venait de découvrir ? Toujours est-il qu'il se mit à dandiner du bassin de telle sorte que mes doigts furent littéralement happés par son fion. Puis, il se laissa tomber à genoux, tête sur le sol, mains croisées derrière la tête. C'était une position de soumis que jamais je ne lui avais jusqu'alors imposé. Je le pris comme une chienne, à sec, violemment, sans considération aucune, dans le seul but de me vider tant les couilles que l'esprit, avant de le laisser seul dans la chambre dont je pris soin d'éteindre la lumière en sortant. "Ne bouge pas, peut-être que je reviendrai plus tard pour t'utiliser une fois de plus." Je ne réapparus que le soir pour me coucher et le trouvai dans la même position !

L'une des sorties eu lieu chez de vieux amis de mes parents qui célébraient l'acquisition de leur nouvelle maison, le genre d'événement pseudo-mondain auquel on assiste contraint et forcé pour éviter les conflits familiaux pendant les dix années à venir. C'était une de ces soirées où une tenue correcte est exigée. C'est donc en costume, cravatés, et rasés de frais, que nous nous présentâmes. Il était soi-disant un nouveau collègue fraîchement arrivé en ville que je n'avais pas eu à coeur de laisser seul pour la soirée. Ce geste n'étonna personne et il fut accueilli à bras ouvert. Rien ne laissait transparaître ce qu'il était, pas même son crâne qui ressemblait désormais à une boule de billard. Personne n'aurait pu deviner qu'il ne portait pas de sous-vêtements ni que son membre reproducteur était emprisonné dans un étui grillagé qui lui empêchait toute érection. Il séduisit tout le monde, ma mère en particulier qui ne put s'empêcher de remarquer à quel point nous étions proches. "Si c'est ton nouveau petit ami, je tiens à te dire que tu as vraiment bon goût. Et si ce n'est pas le cas... arrange-toi pour que ça le devienne !" Un apéritif partagé avec ma grand-mère, un sourire courtois offert aux fêtés, une conversation frivole avec les amis de mes parents, un mot gentil pour l'un, un compliment pour l'autre... Il était parfait, et conquérait chacun sans le moindre effort. Vers minuit, nous prîmes congé vu que nous devions soi-disant nous lever tôt le lendemain pour préparer ensemble une importante réunion. La soirée ne faisait que commencer.

Quarante-cinq minutes de route, un embouteillage évité, et deux feux rouge plus loin, je sonnais à la porte d'Henri, un excellent ami perdu de vue pendant longtemps et retrouvé au hasard d'un site quelques mois auparavant. Il fêtait ce soir ses 65 ans, et m'avait naturellement proposé de passer "seul ou accompagné, bien entendu" !

L'appartement qu'il occupait était vaste et élégant. Sols lambrissés, lustres en cristal, tentures en velours, canapés profonds recouverts de tissus damassés, toiles contemporaines sur les murs, et, must have de tout homo qui se respecte, un affreux petit roquet noir et blanc à la gueule écrasée et au regard torve ! Il régnait dans le salon une ambiance courtoise et sympathique. La dizaine de convives présents étaient légèrement éméchés, ce qui ne les empêchèrent pas de nous saluer courtoisement lors de notre arrivée. Tous étaient en bras de chemise, certains ayant été jusqu'à enlever leur cravate et déboutonner leur chemise parfois largement... Sur une grande table dans un coin, trônaient les cadeaux : des clubs de golfs, une collection de livres anciens, une tablette numérique, j'en passe et d'autres encore. Quant à moi, j'avais les mains vides ou presque.

- Excuse-moi, Henri, je n'ai pas trouvé le temps de choisir un cadeau digne de toi. Dès lors, permets-moi de t'offrir mon bâtard pour le reste de la nuit. Ne dis rien, je te connais depuis assez longtemps et je sais que tu l'apprécieras à sa juste valeur !

Personne ne parut étonné sauf ma lope... Il ne pensait pas être mis à contribution, je suppose ! A sa décharge, comment aurait-il pu savoir qu'il se trouvait face à celui qui, des années auparavant, avait été mon Maître vénéré ? Henri, malgré son âge, était encore bel homme et ses pulsions et besoins sexuels n'avaient aucunement ni disparus ni faiblis. Il s'approcha de mon bâtard et posa la main sur sa nuque.

- Messieurs, cet anniversaire sera, je le pense, inoubliable.

Je le connaissait assez pour savoir ce qu'il aimait, ce qui l'excitait, et lui donnait envie. La nudité de celui que je venais de lui offrir faisait partie de ce qui le mettrait en transe. Un ordre bref, une ou deux minutes d'attente, et il se retrouva à genoux à poil au milieu de tous ces hommes habillés. Il était mal à l'aise, se sentait humilié, ça se voyait, se ressentait aussi. Henri posa face à lui un siège confortable, fit glisser la tirette de sa braguette et libéra le sexe monstrueux qui tant de fois m'avait labouré les intestins. Au bout de son gland perlait une goutte de precum...

- Pendant qu'il me sucera, mes amis, je vous propose de vous occuper de son très beau cul, et de continuer à vous en occuper tant que je n'aurai pas joui dans sa jolie petite gueule !

Le premier d'entre-eux prit position derrière ma salope, cracha dans sa main pour lubrifier son chibre, et s'enfonça jusqu'à la garde d'une poussée régulière. Accroché à ses hanches, il le lima régulièrement pendant quelques minutes, dix peut-être, avant de céder sa place au suivant. Mon ancien Maître profitait de la caresse buccale comme il l'avait toujours fait. Ses mains posées sur le sommet du crâne donnaient le rythme de la fellation. La queue surdimensionnée ne disparaissait que partiellement entre les lèvres qui la pompaient, et ça lui convenait parfaitement. Personne jamais n'était arrivé à le gober jusqu'aux couilles et il s'en accommodait. Ses invité continuaient à besogner ma lope sans faire attention à lui ou à ce qu'il pouvait ressentir. Ils ne le considéraient non pas comme une pute mais juste comme un objet : c'était un cadeau, vivant, certes, mais un cadeau quand même ! Le sperme qui s'écoulait de son trou formait au sol une petite flaque blanchâtre qui s'agrandissait peu à peu. J'assistais à la scène en tant que spectateur me délectant de l'humiliation qui était la sienne. Ce n'était pas son premier abattage et il y en aurait d'autres, mais pour la première fois, alors qu'il exhibait son corps épilé et son sexe prisonnier, il n'était pas masqué. Pire encore, il avait dans un premier temps été présenté à l'assistance comme l'un des leurs !

Henri se laissa flatter la tige pendant pas loin de deux heures avant de lâcher son jus... Mais je savais qu'il n'en resterait pas là, nous le savions tous, d'ailleurs !

- Tu es prêt à me prendre maintenant. Sur la table, cuisses bien écartées que je vois ta chatte. Vous deux, tenez fermement ses jambes. Toi, p'tite salope, tu vas enfin savoir réellement ce que c'est que de se faire baiser par un homme. Profite, ça ne t'arrivera pas souvent d'honorer de ton cul un mâle comme moi !

Et il se mit à le bourrer comme seul lui en était capable, avec force, détermination, et surtout l'envie qu'on le sente bien. Son membre démesuré entrait et sortait encore et encore. Parfois, il calmait un peu le jeu, donnait l'impression qu'il était arrivé à un point de non-retour, mais c'était pour reprendre de plus belle dans les secondes qui suivaient. Ses grosses couilles frappaient avec régularité l'anus du bâtard allongé devant lui. Il était tellement épais, tellement large, qu'entre deux poussées, le trou ne se refermait pas. Le visage de mon soumis avait viré à l'écarlate, son visage était trempé de sueur, il émettait des sons inaudibles, mais ses yeux révulsés ne laissaient aucun doute quant au plaisir qu'il prenait. Il m'était facile d'imaginer ce qu'il ressentait, je l'avais ressenti avant lui comme sans doute tous ceux présents ce soir-là. Tous, nous applaudissions Henri et le poussions à ne pas cesser de le besogner. Quand il éjacula pour la deuxième fois de la soirée, il n'émit à son habitude aucun son, seul un rictus qui le caractérisait apparut soudainement. Il resta au fond de cet antre pendant une ou deux minutes après s'être vidé. C'était fini, mon cadeau lui avait plu. Je m'approchais de ma lope, la pris dans mes bras. Il m'avait rendu fier de lui !

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