Premier épisode | Épisode précedent
Lorsque je repris connaissance je ne voyais rien, j'avais les yeux bandés. Je voulus crier, mais il semblait que l'on m'avait bâillonné avec un objet en plastique. Peu à peu mes sens se réveillèrent et j'imaginai rapidement la position dans laquelle je me trouvais.
J'étais bien entendu nu, sur le ventre, attaché à un meuble. Mes jambes pendant vers le sol étaient contraintes de rester écartés par un objet, une barre surement en bois ou en fer. Un objet avait été placé dans mon anus, d'assez grande envergure vu la douleur que je ressentais... Mes mains étaient ligotées vers le bas au pied du meuble, je devais être sur une table. Néanmoins, elle disposait d'un trou pour laisser pendre mon sexe que je sentais serré par quelque chose.
J'étais terrorisé, j'essayai de crier, mais mon bâillon ne me laissa émettre que des sons peu audibles. Il m'était impossible de bouger, les liens étaient bien trop serrés. Je restai ainsi durant de longues heures, à attendre que quelqu'un vienne, à tel point que je me rendormis. C'est une claque sur les fesses qui me réveilla : "Assez dormi ma pute va falloir bosser un peu !". Sur ces mots, mon maître retira l'objet en moi et se mit à me triturer le cul avec ses doigts. Après un long silence, il me souffla : "ça c'est une vraie chatte de petite pute ! Je suis sûr que je vais me sentir bien à l'intérieur" et d'un coup sec il m'enfonça son pieu, je voulus me tortiller de douleur, mais j'encaissai en silence. Il me pilonna comme un dingue, et rapidement l'excitation me revint. Je ne comprenais pas pourquoi, mais j'adorais ça, mon sexe voulait bander, mais il était entraver, il semble que mon maître m'avait placé une cage de chasteté, ce qui m'excita davantage. Mon maître savait me baiser, il me mit de bonnes claques, je gémissais à travers mon bâillon et tortillé ma petite chatte dans tous les sens. Je ne voulais pas que ça s'arrête ! Et mon maître le sentis, il retira mon bâillon et me demanda : "alors on aime ça être une pute sous la contrainte !?".
- Oh oui maître ! J'adore ça ! Je vous en supplie ne vous arrêtez pas ! Répondis-je instantanément.
- Bonne pute que tu es ! Essaye d'encaisser ça !
Après de longues minutes de travail, par un râle mon maître se déchargea en moi, referma ma chatte avec le même gode et par ses bruits de pas je devine qu'il vient se placer devant moi : "Tu as l'honneur de garder mon jus bien chaud en toi, j'ai pris soin de te faire un bon lavement durant ton inconscience, maintenant on nettoie !"
Il attrapa ma tête par les cheveux et essuya son sexe encore dur sur ma gueule, puis il le plaça au niveau de ma bouche et je compris qu'il fallait le sucer. Comme d'habitude, avec sa cravache et des bonnes fessées sur mon cul mon maître rythmé la cadence. Il finit par se retirer et quitta la pièce sans un mot.
J'étais toujours grave excité, je n'avais pas pu éjaculer et mon sexe resté dur dans cette cage trop serré. La scène que je venais de vivre me paraissait irréelle, là où j'aurai dû être terrorisé j'étais excité comme une chienne. Je ne voyais toujours rien, et le maintien de la position commençait à être très douloureux. Je me demandais si j'allais rester comme ça longtemps, malgré tout je n'avais pas peur, j'ignorais pourquoi mes l'excitation ne retombait pas. Heureusement cette fois mon maître ne tard pas à revenir, il rentra dans la pièce sans dire un mot et retira mon gode. Après quelques minutes il me le renfonça d'un coup sec ! Ce fut douloureux et je pense qu'il en avait choisi un de plus grande taille. Ensuite, il me détacha puis retira le bandeau des yeux, mais instinctivement je gardai le visage vers le sol et je pus voir ses rangers et le bas de son jeans ; au sol c'était du béton, le meuble sur lequel je me trouvais était bien une table et la salle était éclairée d'une simple lumière rouge. Pour avoir déjà vu ce type de porno, je compris que je me trouvais dans son donjon personnel.
Il tira sur la laisse qu'il avait pris soin d'attacher à mon collier et je le suivis en prenant soin de rester à 4 pattes, visage au sol, de peur de recevoir une réprimande : "Parfait tu sais où est ta place ma chienne !". Voilà que ma bite se remit à gonfler, je ne pouvais plus le nier, j'adorais ce qui m'arrivait. Une fois sortit du donjon je traversai un long couloir avec une douce moquette, le peu que j'aperçus du lieu me fit comprendre l'aisance financière de mon maître... Au bout du couloir, une fenêtre laissait passer la lumière du jour... J'avais donc passé la nuit dans ce donjon, je n'avais aucune idée de l'heure qui pouvait être. Il finit par s'arrêter devant une porte et me dit : "voici la cuisine, tu pourras te tenir debout dans cette pièce et pour m'apporter mon repas uniquement, je t'autorise à porter le tablier sur la table, à côté tu as les instructions pour mon petit déjeuner, je vais me préparer il y a intérêt que tout soit prêt à mon retour".
Une fois que j'étais sûr qu'il soit parti, je me levai et rentrai dans la pièce... Le tablier était d'une virilité à tout épreuve, court, blanc, en dentelle et brodé d'une magnifique inscription "Salope à bourrer"... Cuisiner quand vous ne connaissez pas l'emplacement des choses est un vrai casse-tête, heureusement mon maître ne voulait que des oeufs brouillés et du bacon. Je dressai la table, le plus proprement possible, plaça les condiments dans son assiette et me mit à faire la vaisselle. J'étais tellement absorbé par mes tâches que je ne l'entendis pas revenir. Lorsqu'il se plaqua contre moi je fis un léger sursaut, mais ses baisers dans le cou me calmèrent, premiers gestes de tendresses de sa part d'ailleurs. Il colla son bassin à ma chatte : "tu préférerais que ce gode soit ma bite hein ?", "oui maître", "t'arrêtes pas de faire la vaisselle". Et voilà qu'il retira mon gode pour me pilonner pendant que je tentais tant bien que mal de faire la vaisselle, je pense que je ne pouvais pas être plus soumise que ça.
Une fois le dernier plat nettoyé, il se retira alla s'assoir et me dis "viens prendre ton petit-déj toi aussi !". En me retournant je vis mon maître de haut en bas pour la première fois.
Charles.lope
charles.lope@laposte.net
Autres histoires de l'auteur :