Premier épisode | Épisode précedent
Cette fois-là je n'eus pas le réflexe de baisser la tête, mais il ne semblant pas contrarié de mon action. Il était chauve, fortement corpulent, de nombreux poils dépassent de sa chemise, car il était vêtu d'un costard me laissant deviner un poste à responsabilité. Mon maître n'était pas beau, mais il était imposant, un vrai mâle ! Assis, je ne pouvais pas me rendre compte de sa taille, mais je voyais qu'il était assez gras, c'était un "Bear", physique que je n'apprécie par ordinairement... Mais pour cet homme, je ressentais bien plus qu'une attirance physique. Il me dit alors : "Un problème ma lope ? Tu n'aimes pas ton propriétaire peut-être ? Ta chatte elle semble dire le contraire...
- Je suis juste surpris, veuillez m'excuser maître, c'est un honneur d'être à votre service ! Je lui répondis aussitôt, mais avec peu d'assurance.
- Montre-le-moi en dégustant ton déjeuner !
Et voilà qu'il écarta ses cuisses, laissant pendre son sexe la braguette du pantalon ouverte, et se mit à manger sans plus me regarder. Je compris qu'il parler d'une fellation et je retirai mon tablier, alla me placer sous la table pour le sucer langoureusement. Au début, je le suçai librement, mais une fois son déjeuner terminer, il me baisa la bouche sauvagement et me juta en fond de gorge puis me tira par la laisse pour me faire sortir de sous la table et me dis : "J'espère que tu t'es régalé, tu ne mangeras plus avant ce soir ! Je vais allez au travail, je veux que tu nettoie la maison du sol au plafond, fasse mes lessives, repasses mes chemises et plies mes draps. Je rentre à 17 h, tu seras en position devant la porte à ce moment-là ! Et bien sûr tu me gardes ça en place pour la journée (il m'enfile d'un coup sec un plug qui me sembla plus grand que les précédents), je la veux propre donc tu iras te nettoyer à 16 h 30 ! Compris ma pute ? ".
- Oui maître, mais je vais devoir rentrer ce soir je travaille demain...
- Ne t'inquiète pas pour ça j'ai prévenu ton travail que tu étais malade pour la semaine et dis à ta colloque que tu étais allé te rétablir chez ta famille ! Tu es à moi pour la semaine petite salope !
- Hum bien maître ! (J'étais terrorisé et excité mon maître avait ma vie dans ses mains)
- Si le téléphone sonne tu réponds et dis que je rentre à 17 h ! À toute à l'heure ma chienne.
Il me roula une pelle baveuse, me cracha au visage et partit. Croyais le ou non, j'étais très excité par la situation d'autant que je n'avais plus éjaculé depuis longtemps et mon sexe resté emprisonné dans cette cage, ce qui avait pour effet de me rendre encore plus docile et salope.
Après un rapide tour du propriétaire, je me mis au travail et exécuta chacun des ordres de mon maître. J'avais froid et j'aurais aimé me vêtir un peu, mais j'avais trop peur que mon maître ne rentre à l'improviste. J'étais en train de frotter le sol quand le téléphone sonna : "Oui bonjour comment puis-je vous aider ?" Je reconnus alors la voix de mon maître,
- En cambrant mieux ton cul quand tu nettoies le sol ! Et il raccrocha.
Je restai tétanisé, comment savait-il ? Il me voyait depuis le début ? Il devait y avoir des caméras... Je retournai alors au travail et m'appliqua à cambrer mon cul. Voilà qu'une érection me revint tant bien que mal dans ma cage... J'étais devenu une vraie chienne à m'exhiber nu à 4 pattes à nettoyer le sol... Je m'amusai même à me mettre des fessés en me tortillant en tout sens. Je passai ainsi la journée à travailler tout en jouant à la salope, sans savoir quand et où mon maître m'observai... J'adorai vivre ça c'était tellement bon... Mais j'avais surtout hâte que mon maître rentre.
À 17 h, j'étais prêt et mon maître rentra sans dire un mot et me tira par la laisse pour m'amener à son donjon. Il me banda les yeux avant de rentrer, puis il m'attacha sur le dos, jambes écartée sur ce qui semblait être un sling. Il me plaça sur la bouche un bâillon et sur les tétons deux objets qui semblaient m'aspirer. Il retira la cage de chasteté pour me bonder les couilles et la bite, tourna mon plug le retira. C'est alors que je sentis des boules rentrer et sortir en moi, mon maître était en train de me travailler le cul, il s'amusait à les rentrer et les sortir : "elle a bien travaillé a pute, on va récompenser sa chatte !" Il continua durant de longues minutes, en me gratifiant d'insultes et de bonnes claques sur mes fesses. Je ne pouvais émettre aucun son et tout ceci était épuisant, mes tétons et mon sexe souffraient, mais mon cul kiffait tellement que la douleur restait supportable. Il finit par sortir les boules, me détacher le sexe et me branler tout en me godant ! En moins de 10 secondes tout mon foutre sortit de mes couilles, mais il n'alla pas sur mon torse, mon maître avait dit le récupérer.
Il finit par me remettre mon plug (cette fois plus petit, je ne m'en plaignis point) me détacher afin que je me remettre à 4 pattes, me tira jusqu'à la cuisine pour me dire les mots suivants : "Je ne te fatigue pas trop ce soir, il faut que tu sois en forme pour nos invités, il te reste une heure pour nous faire un bon repas, je compte sur toi ma chienne !". Et il quitta la pièce en me mettant une bonne claque sur le cul.
Charles.lope
charles.lope@laposte.net
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