Premier épisode
Merci pour vos commentaires, ils m'ont vraiment fait plaisir ^^. Du coup, je vous envoie la suite...
Pour ceux qui n'ont pas lu la première histoire, trois mecs vivant en face de chez moi, Paul, Karim et Wilfried m'ont aidé lors de mon aménagement dans un appartement, je les ai invités un soir pour les remercier et je suis devenu leur jouet sexuel pendant toute la soirée et une partie de la nuit.
Une semaine était passée depuis ma " pendaison de crémaillère ", j'avoue que je ne savais plus trop quoi penser. Ces trois mecs m'avaient utilisé pendant la soirée, j'aurais peut-être dû davantage m'imposer pour les freiner, avec ça, j'avais bien kiffé. Jamais auparavant on ne m'avait parlé aussi crument, jamais je ne m'étais senti aussi humilié et rabaissé à un simple vide-couilleset, pourtant, je ne gardais que de bons souvenirs de cette soirée, si ce n'est cette douleur au cul qui m'a tenu pendant deux jours !
Depuis ce soir-là, je n'avais revu que Paul, c'était un soir, je rentrais sans faire attention, j'avais mes écouteurs dans les oreilles et lui sortait du foyer. Quand on s'est croisé, il m'a saisi par le bras et m'a dit :
- " Ben alors ma jolie, on dit plus bonjour ? "
- " Oh excuse-moi Paul, je ne faisais pas attention. T'es parti en soirée ? "
- " Non ma chérie, je pars au taf, je suis veilleur de nuit. "
- " Ah ouais, excuse, j'avais oublié ! "
Il a regardé des tous les côtés, s'est approché de moi, a pris ma main pour la poser sur son paquet et, à l'oreille, m'a dit :
- " Viens dans ma voiture, j'ai un peu d'avance là ! "
Je l'ai suivi sans rien dire, on est monté dans sa vieille bagnole garée dans une petite rue, là, il a ouvert sa braguette et m'a dit :
- " Allez, fais ton taf, purge-moi tout ça ! "
Je me suis penché pour engloutir sa queue raide d'environ 18 cm, dès que son gland est entré dans ma bouche, il a poussé un long soupir et a dit :
- " Ouais, c'est bon ça, t'es une bonne suceuse ! N'oublie pas de bien masser mes couilles ! "
Je l'ai pompé comme un affamé pendant quelques minutes, ses mains se sont soudain posées sur ma tête, il a appuyé en poussant un râle, son gland a gonflé et 6 jets abondants et épais m'ont rempli la bouche. Il a rangé sa queue et m'a dit :
- " C'était bon ! Allez, avale et tire-toi, je n'ai pas que ça à faire moi ! ".
J'avais juste été traité comme un tire-jus, c'était humiliant et, pourtant, je me suis branlé comme un fou en rentrant chez moi, j'avais adoré !
Près de mon appart, il y a une supérette bien pratique pour les achats quotidiens et les oublis de dernières minutes. Une bonne semaine après la soirée avec les trois lascars, j'étais peinard dans le rayon des shampoings et gels douche quand, sans l'avoir sentie arriver derrière moi, j'ai senti une main se poser doucement sur mes fesses et les palper. J'ai dû sursauter ce qui pour mon " toucheur " a immédiatement été pris pour un frémissement de plaisir vu qu'il m'a dit :
- " Hummm, j'ai reconnu ce beau petit cul de loin, toujours aussi chaude ma salope ! "
Me retournant, j'ai reconnu Wilfried qui me souriait :
- " T'en as encore pour longtemps ? "
- " Non, je termine mes courses là ".
- " C'est bien, ramène-toi vite alors ! "
Il m'a fait un clin d'oeil et s'est éloigné. Je me suis dirigé vers les caisses puis je suis revenu chez moi... le plus vite possible.
Arrivé devant le foyer des jeunes travailleurs, j'ai vu Wilfried assis sur un mur, j'étais obligé de passer devant lui. Il m'a refait un clin d'oeil et a clairement mis sa main à son paquet puis il m'a dit :
- " T'as pensé aux capotes j'espère ? "
- " Euh, non ! "
- " Ah, c'est con ça, va falloir que je te féconde alors ! "
Il s'est relevé, m'a remis une main au cul et a dit :
- " Allez ma poule, on monte, c'est l'heure du devoir conjugal ! "
Je n'ai pas su quoi répondre, j'étais à la fois gêné, mais terriblement excité, il m'a un peu poussé et je suis monté, lui derrière à me caresser les fesses en disant :
- " Putain ce cul ! Comment il est trop bien moulé dans ton jean de femelle, ne me dis pas que tu ne cherches pas à te faire sauter ? C'est un appel au sexe là ! "
Je me suis retourné et je l'ai vu se caresser le paquet qui grossissait sous son survêt, il m'a vu et a dit :
- " Ça te plait en plus d'exciter les mecs, hein ! "
Quand j'ai mis la clé dans la serrure, il s'est collé à mon dos en frottant sa queue déjà raide à mon cul, il m'a embrassé dans le cou et a dit :
- " Putain, dépêche d'ouvrir, je réponds plus de rien là ! "
Je me suis dépêché, je le voulais, il m'avait excité et je pense que je mouillais déjà. Ce mec me traitait comme un moins que rien, juste un vide-couilles et moi, je kiffais, j'aimais qu'il me rabaisse, qu'il soit si cash et j'étais chaud bouillant !
Quand j'ai ouvert la porte, il m'a poussé à l'intérieur, j'ai failli tomber avec mon sac, je me suis retrouvé à genoux :
- " Humm, déjà prête à recevoir ta récompense ! Ben viens la chercher ! " "
Il a fermé la porte d'un coup de pied, s'est approché de moi, j'ai pris ses hanches dans mes mains et ma bouche s'est collée contre son paquet, il le frottait sur ma bouche, je léchais le tissu de son survêt puis j'ai entrepris de le lui baisser :
- " Hummm, t'as vraiment des lèvres de suceuse, vas-y, prends là, fais ton taf, je veux raidir dans ta bouche, fais-moi beaucoup de bien, montre-moi comment tu sais t'occuper d'un homme ! "
J'ai enfourné son gland, j'ai fait quelques va-et-vient, j'ai joué avec ma langue sur son gland et son méat, mais, très vite, il m'a saisi fermement par les cheveux et s'est mis à me baiser la gueule violemment, profondément, ses coups de reins étaient rapides, secs et assurés. Il gémissait, poussait des " Oui, c'est bon ça ! T'encaisses bien ouais... ".
Je faisais de mon mieux pour lui donner du plaisir, en même temps, la situation m'excitait, je bandais à mort et me touchais, Wilfried l'a vu :
- " Ouais, c'est bon ça, tu kiffes à mort hein ? Tu bandes bien toi aussi ? "
Il a continué à me baiser la bouche encore un bon moment, j'avais comme des crampes aux mâchoires quand, d'un coup, il m'a dit :
- " Allez, relève-toi, on va dans ton pieu ! "
Arrivé dans la chambre, il a commencé à retirer son T-shirt et ses TN, moi je le matais en le trouvant super beau. Il m'a regardé et m'a dit :
- " Allez, t'attends quoi, à poil et fous-toi en position sur le pieu, tu vois pas que je veux te sauter ! "
Je me suis allongé sur le ventre, il m'a écarté les fesses et j'ai senti sa salive tomber dans ma raie, trois crachats bien abondants. Ses doigts l'ont étalé et m'a pénétré ce qui m'a fait gémir :
- " Elle est bien sensible ta chatte et elle mouille comme j'aime ".
Il a continué à me doigter tout en embrassant le bas de mon dos et mes fesses. Parfois, il les frappait un peu, pas fort, mais des petits coups secs ce qui me surprenait et me faisait pousser des cris :
- " Hummm, t'es bien prête là, je vais te défoncer ! "
Là, il s'est relevé, allongé sur moi et sa queue m'a pénétré d'un coup jusqu'au fond, il a poussé un râle de bonheur, moi un cri de plaisir, il a dit :
- " Ouais, là tu vas pouvoir couiner ! "
J'ai effectivement couiné pendant un bon quart d'heure, il m'a baisé en alternant les coups rapides et violents et les moments plus doux et les mouvements de reins langoureux et profonds.
Il m'a fait changer de position, sur le côté, une jambe relevée, lui derrière à me ramoner. Là, je pouvais me branler, lui me triturait les tétons, c'était trop bon.
J'ai senti qu'un orgasme puissant arrivait, j'ai craché sur mon lit de longs jets qui ont laissé des trainées, mon cul s'est contracté sur sa queue à chaque éjaculation, il a adoré ce moment :
- " Oh putain, c'est bon, ouais jouis, je ne vais pas tarder à te remplir ! "
Il m'a encore mis quelques coups de reins bien puissants, il s'est bloqué au fond, a poussé un râle de malade et s'est complètement vidé.
Il a mis encore quelques minutes avant de reprendre ses esprits puis est ressorti, s'est relevé et a commencé à se rhabiller. Je l'ai regardé faire, j'étais vidé, rempli, repu, mais super bien. Je lui ai dit :
- " Tu veux boire un coup ou te doucher avant de partir ? Moi, j'ai soif ! "
- " Non, merci quand même. Je dois rentrer, j'ai des trucs à faire, mais, t'inquiètes, je ne vais pas tarder à revenir ! "
Sur ces paroles, il est parti. Je me suis levé, j'adorais me sentir souillé et défoncé, je suis allé me servir un verre d'eau et je me suis approché de la fenêtre histoire de le voir traverser la rue et là, je le vois en train de faire un tchek avec Karim qui, vu son état, revenait de son boulot sur un chantier. Les deux mecs ont parlé un peu, ont regardé vers ma fenêtre et ont bien rigolé. Karim a mis une tape amicale sur l'épaule de Wilfried, celui-ci est parti dans la rue, Karim a, à nouveau, regardé en ma direction, j'ai écarté le rideau, il m'a souri et fait un beau doigt d'honneur !
Deux minutes après, je recevais un SMS de lui :
- " Parait que t'as encore soif, j't'apporte ce que t'aimes ^^ "
Alors que je venais de me faire sauter, d'un coup ma libido s'est réveillée d'un coup, je me suis précipité dans la douche pour être hyper clean et dispo pour Karim.
J'espère que la suite vous a plu, n'hésitez pas à me donner votre avis...
Alex
alex.bezaud@hotmail.com
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