Salut les mecs, ça fait un moment que je m’astique le manche en lisant vos histoires trop chaudes ben là, c’est mon tour de vous raconter les miennes
Avec Gregory, on s’est connus à l’école primaire. Un Antillais un peu rond, pas très malin, maladroit. J’avoue qu’on se foutait un peu de sa gueule, mais il était cool et nous faisait rire alors, ça le faisait.
Gregory a eu une scolarité difficile et a décroché en 4ème, il est parti en professionnelle et puis, plus rien, je l’ai perdu de vue.
Moi, Alex, 27 ans aujourd’hui, brun, yeux verts, 1m78, 67 kg, sportif et musclé. Sexuellement, j’ai commencé avec les filles, mais, assez vite, c’est les mecs qui m’ont excité. D’abord en actif exclusivement et, un jour, un mec m’a plu sauf qu’il était actif aussi, je me suis retourné et j’ai appris que mon cul pouvait me donner un plaisir de malade. Je suis donc devenu versa !
Au printemps 2019, mes parents ont hérité une petite somme d’argent, ils en ont profité pour faire faire des travaux dans leur maison et ont fait installer une piscine dans le jardin.
Voilà que je me suis trouvé chez mes parents au moment des travaux de terrassement, un black d’1m80, tout en muscles, sexy, s’approche de moi, me sourit et là, je l’ai reconnu, Gregory ! Plus rien à voir avec le mec de l’école. On a discuté un bon moment, j’ai appris qu’il vivait toujours dans le coin, qu’il faisait du badminton et du footing, comme moi… Je l’ai trouvé canon ! Pourquoi on s’est échangé nos 06, je ne sais pas, mais, un vendredi soir, je l’ai appelé pour lui proposer un footing le samedi matin. On a pris l’habitude de courir ensemble au moins deux fois par semaine. Bien sûr, on discutait de tout et de rien et je lui ai dit que je suis gay. Là, il m’a regardé et m’a dit : » Ah ouais, t’es PD toi ? », j’ai dit « Ben oui, c’est un problème ? », il m’a répondu : « Non, t’aimes être la femme d’un homme ? ». J’ai tenté de lui expliquer que gay ne signifie pas être forcément passif, mais je me suis embrouillé quand il m’a demandé si je m’étais fait enculer et si j’aimais ça… Bref, ça a été compliqué.
Une semaine après, on a couru ensemble et je suis tombé, je me suis éraflé toute la cuisse. Vu qu’on était plus près de chez lui et que je saignais pas mal, il m’a fait monter dans son appart, je me suis lavé, il m’a filé du désinfectant pendant qu’il passait sous la douche.
Quand il est sorti, il était torse nu, juste la serviette autour du torse, il m’a demandé comme j’allais. Je l’ai trouvé trop beau, j’ai eu envie de lui et il l’a deviné. Il s’est assis à côté de moi sur le canapé, a regardé ma cuisse, m’a caressé, s’est approché, nos visages se sont rapprochés puis ses lèvres épaisses se sont collées aux miennes et sa langue est entrée dans ma bouche. Il m’a repoussé en arrière, c’est allongé sur moi, ses mains ont caressé mes cuisses, j’ai écarté les jambes, il s’est glissé entre. Il n’a pas dit un seul mot, mais il a su quoi faire, exactement, précisément, il m’a enlevé mon jogging, mon boxer et mon T-shirt en un clin d’œil, il m’a trop bien embrassé, caressé, bouffé les tétons puis il s’est relevé, a doucement enlevé sa serviette, il bandait, une bonne queue longue, raide et assez fine qui surmontait deux grosses couilles un peu pendantes et très peu poilues, sa main s’est posée derrière ma tête m’a guidée pour le sucer.
Quand son gland est entré dans ma bouche, il a poussé un râle de plaisir, il a fermé les yeux et a rejeté sa tête en arrière tout en donnant des petits coups de reins. D’une main je lui ai massé les couilles alors que l’autre lui caressait le torse et lui pinçait les tétons. Il kiffait vu les râles qu’il poussait. Il s’est penché pour me caresser le cul, ses doigts se sont logés dans ma raie, je me suis cambré, il a craché dans sa main et a commencé à me travailler le trou avec deux doigts très experts.
Au bout d’un bon moment, sa queue était raide, je lui avais fait quelques gorges profondes bien étouffantes, il m’a retourné et m’a bouffé le trou comme j’aime ! De bons coups de langue en moi et ses doigts qui me caressaient avant d’entrer pour laisser la place à sa langue. Je miaulais de plus en plus fort.
À un moment, il m’a mis sur le ventre, s’est allongé sur moi, sa queue dure sur mes fesses, il l’a guidée dans ma raie, ses lèvres se sont posées sur mon cou, ses mains sur mon torse et il est entré en moi, très doucement. Je n’ai pas résisté, je crevais d’envie de me prendre sa queue, j’ai serré les dents et gémi, il s’est enfoncé en m’embrassant dans le cou, je l’ai senti progresser jusqu’à ce que ses couilles se collent à mes fesses, il est resté un court instant comme ça puis j’ai senti son corps se contracter et il a commencé à me baiser très virilement. Sa queue sortait presque entièrement, rentrait d’un coup assez sec jusqu’à ce que ses couilles claquent sur mes fesses puis il recommençait tandis qu’il me malaxait les tétons et m’embrassait dans le cou. Ses coups se sont accélérés et sont devenus de plus en plus forts. Il a été très endurant, on avait chaud, on transpirait, je criais à chacun de ses coups de reins, il soufflait de plus en plus fort, j’agrippais sa tête par derrière, ma queue bandée frottait contre le canapé, j’ai fini par sentir monter le plaisir et jouir sans me toucher, j’ai crié, une de ses mains est passée sur mon ventre, m’a serré un peu, il m’a donné quelques coups de reins saccadés puis s’est enfoncé et a poussé un très long râle. Mon ventre s’est rempli d’un jus bouillant, abondant et puissant.
Il a tassé son jus en moi encore un peu puis s’est doucement retiré. Il s’est relevé, il était plein de sueur, moi aussi d’ailleurs. Je l’ai regardé et j’ai dit : « Putain, t’es un sacré bon coup Gregory ! ». Il a ri et m’a dit : « Et toi, une bonne femme, t’as une bonne chatte ! »
Il a fallu qu’on se douche une deuxième fois. Il m’a payé un coup à boire et je lui ai dit : » T’as déjà baisé des mecs toi, tu sais trop bien t’y prendre ! », il a ri et m’a répondu : « Je ne suis pas un intello comme toi, mais t’inquiète, avec ma queue, j’en fais couiner des pédales comme toi ! »
Je suis rentré chez moi, j’avais finalement plus mal au cul qu’à la jambe…
À partir de ce jour-là, on a continué à se voir deux fois par semaine environ pour courir, mais, chaque fois, il veut que je lui vide les couilles. Il est devenu directif, pendant le parcours, il me dit : « Arrête-toi ! Viens avec moi dans la forêt, tu vas me pomper la queue, je serai plus léger pour terminer ! ». Je me mets à genoux, il baisse son short, je lèche ses couilles pleines de sueur, je kiffe son odeur de mâle en rut puis il enfourne sa queue dans ma bouche et, soit c’est moi qui le pompe comme un affamé soit il me tient la tête et ma baise la gueule jusqu’à l’explosion dans ma bouche. J’avale son jus, je nettoie sa queue, je la range, remonte le short et on repart. D’autres fois, on fait le parcours sans arrêt, on rentre soit chez lui soit chez moi, il me demande d’aller « me faire belle pour son homme » en ma caressant le cul. Il me baise toujours avant sa douche pour que « je m’imprègne de l’odeur d’un vrai mâle ! ». Quand on est chez lui, il me baise sur le canapé, en général à 4 pattes, ou moi sur le dos et lui sur moi, quand on est chez moi il me prend souvent en missionnaire dans mon lit : « Je suis chez toi, je te fais le devoir conjugal ma femelle ! ». Chez lui, je lui nettoie la bite avec ma bouche, chez moi, il se l’essuie dans les draps. Chez lui, je dois lécher mon jus sur le canapé, chez moi, il m’essuie le torse avec le drap.
Au bout de la troisième semaine, il m’a dit : « Je n’aime pas que tu mettes des slips pour courir ! Tu n’as pas des strings, c’est mieux un string, ça fait plus femelle ! ». La première fois que j’en ai mis un, il a voulu que le suce en forêt en enlevant mon short, il s’est penché plusieurs fois pour me caresser le cul, tirer sur la ficelle du string et me doigter le trou. Il m’a rempli la bouche et, en arrivant, il était encore excité, il m’a baisé debout contre un mur, juste en écartant le string. Depuis, il s’est un peu calmé, mais je porte toujours un string quand on court, il me masse le cul avant le départ et moi, je lui caresse le paquet. Il sursaute et me dit : « Hum, bonne femelle qui sait s’occuper d’un mâle ! ».
Le confinement a juste été atroce pour moi, pas sur le plan sanitaire et humain vu que j’étais chez mes parents, mais sur le plan sportif et sexuel, là, j’ai été grave en manque ! Je contactais Gregory de temps en temps, il parlait peu, aucune allusion sexuelle, je me suis dit qu’il avait peut-être tourné la page.
Après le déconfinement, il m’a dit qu’il ne courait plus vu que les chantiers avaient pris trop de retard, qu’il bossait comme un taré. Je l’ai donc laissé tranquille et je suis revenu courir comme avant. N’empêche que sa queue me manquait.
Voilà pour mon histoire, j’espère qu’elle vous a plu, faites-le-moi savoir : alex.bezaud@hotmail.com
Alex
alex.bezaud@hotmail.com
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