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Chapitre -11 : Cassée, la caillera
Le quartier n'est pas vraiment safe, l'immeuble est pourri, et le sous-sol dans lequel je viens d'entrer est plus que glauque : " T'as pas une clope ? " La voix a surgi de la pénombre et je distingue une silhouette. " Non, je ne fume pas. " Le mec sort de l'ombre. Une superbe caillera, bien bâtie, une jolie musculature. Et, contrastant avec son look très mec, des traits fins, une bouche pulpeuse, des cils qui adoucissent ses grands yeux noirs.
" Et une pipe, tu m'en fais une ? " Un couteau a jailli dans sa main. Sauf que je sais me défendre. Un coup sur le bras, une clé, et voilà mon agresseur immobilisé à genoux : " C'est toi qui vas me la sucer, et à fond ! " Je dégrafe d'une main ma braguette et sors ma queue. J'accentue la pression sur son bras et la lui colle sur le visage. Il ouvre la bouche et l'enfourne. En quelques secondes, elle est raide et je lui lime la bouche. J'ai lâché son bras et le laisse maintenant s'activer. Le voyant ralentir, je saisis sa tête à deux mains et la baise à coups de reins réguliers. Le poing fermé sur sa tignasse, j'utilise sa bouche comme un conduit pour mon gourdin.
Me sentant prêt à jouir, je lui ordonne de se foutre à poil. Il s'exécute. Je saisis sa queue et la branle, puis lui masse le boule qu'il a bien ferme. Des belles cuisses, bien épaisses, surmontées d'un cul mince et bien rebondi. Ma main passe sur sa raie et tente de s'immiscer, mais là, il réagit : " Eh, on n'avait pas dit ça ! "
Une heure avant, nous avions chatté sur le net, et convenu du détail d'un scénario, dans sa cave... De la pipe qu'il allait me faire et d'une branle mutuelle. Sauf que... " On n'avait pas parlé de couteau non plus. Et là, t'as pas respecté le contrat. Alors tu vas payer, et je vais te niquer ton beau petit boule de puceau du cul ! " Il tente de résister, mais là aussi, les sports de combat, c'est utile, il me faut peu de temps pour l'immobiliser, plaqué contre le mur. Je crache dans ma main et viens masser sa raie, mes doigts s'activent alors que lui est tendu au maximum. Je masse ses fesses, sa raie, sa rondelle, puis le branle : il est toujours aussi raide. Le maintenant toujours, j'enfile une capote et badigeonne ma teube et sa raie de gel. Alignant ma teube sur sa raie, je la fais aller et venir tout du long, la branlant en la frottant contre son cul. Je pose mon gland contre son trou, puis lui glisse à l'oreille : " Je sais que t'en as envie, là. Ça ne fera pas de toi un enculé et ça restera entre nous. Tu ne pourras jamais trouver mieux pour le faire. Et je peux te dire que tu vas prendre ton pied, man ! " Je laisse passer un temps, puis j'ajoute : " Mais si tu dis stop... j'arrête là. "
Quelques secondes passent, dans le silence et l'immobilité. " Ok, vas-y, qu'est-ce t'attends ? " Il l'a dit ! Et je ne me fais pas prier. J'ai juste à pousser un peu pour entrer. Et là, puisque j'ai son feu vert, je la lui enfonce d'un coup. Il pousse un beuglement à réveiller toute la cité, puis se tait, respirant fort. Je me suis interrompu, histoire de lui laisser le temps de digérer mon intrusion. Mais après quelques instants, c'est lui qui me relance : " Ben alors, tu me niques ou pas ? "
Et là, je me déchaine. Chacun de mes coups de reins va au plus profond de son fourreau et le plaque violemment contre le mur, puis fait ressortir ma queue, pour aussitôt la replonger dans son conduit naturel. Je ne me contrôle plus et lui non plus : nous sommes l'un et l'autre des bêtes en rut. Pour de la baise, c'est de la baise ! Et tout en le baisant sans retenue, je me mets à l'interpeler : " T'aimes ça, hein ? Tu vois que c'est bon de se faire fourrer ! Elle est bonne, ma queue ! Tu kiffes te faire bourrer le boule bien profond. Allez, dis-le ! " Tout en le tringlant, je lui claque les fesses et je ne me retiens pas. En réponse, il éructe : " Ouais, c'est bon, baise-moi. Baise ma chatte de mec ! Enfonce-la encore. Mais vas-y, t'attends quoi ? Nique-moi. Putain, comme tu me fourres ! Je suis ta chienne, ta grosse tepu. Je me fais saillir par mon mâle. "
Je sors de son cul, le fais basculer sur le vieux matelas trainant au sol, lui relève les jambes et le réenfile aussi sec. Sa tête va de droite à gauche, il gémit, il en a du mal à reprendre sa respiration. Je le besogne à grands coups de queue, son bassin vient au-devant de mon engin. À un moment, n'y tenant plus, je le saisis par la nuque et lui bouffe la gueule, nos langues s'affrontent, je mords la sienne. Puis le fixant droit dans les yeux et arrêtant mes mouvements, j'éructe : " Voilà, maintenant tu sais ce qu'est que de se faire niquer par un mâle, un vrai ! "
Quand je sens que je ne vais pas tarder à partir, je saisis sa queue d'une main ferme et l'astique tout en continuant à le fourrer. Et c'est quand je la sens tressaillir que je me laisse aller. On est maintenant deux à beugler en coeur, à gicler sans retenue, à jouir sans entraves. Je l'aurai bien fait crier, ma petite racaille !
Ce jour-là, on n'a pas dit un mot de plus. Je suis reparti comme j'étais arrivé, tranquille. Mais depuis, il m'appelle de temps en temps. Souvent, c'est pour que je vienne élargir les mecs qu'il baise dans son quartier, un peu comme on appelle le plombier pour poser une canalisation.
Mais de temps en temps, il me demande s'il peut passer chez moi. Là, il redevient un des meilleurs passifs que je connaisse. Il prend sacrément son pied, moi je vous le dis. Mais ça, c'est notre secret à tous les deux. Pour tous les autres, il reste le niqueur des petits culs de sa cité !
XXL
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