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Chapitre -12 : Un cul
Un cul superbe. Un cul tellement attirant que j'en ai le souffle coupé quand mes yeux se posent dessus. Même à travers le jean, il est évident qu'il atteint la perfection. Et qu'il me le faut, toutes affaires cessantes.
Je n'ai d'ailleurs pas beaucoup à insister auprès de son propriétaire, sur ce lieu de drague : il est là pour ça. Mais ce n'est pas le mec en question qui m'intéresse. C'était uniquement son cul. Oui, le mec est bien foutu, mais ce physique ne fait que confirmer ce que je pressens, que ce cul doit tout simplement être d'une beauté inouïe. Le mec n'est qu'un intermédiaire pour me donner accès à ce cul d'exception.
Moi qui emmène plutôt chez moi d'habitude, là, je me suis laissé embarquer. Tout simplement pour pouvoir le suivre et le mater. Je ne l'ai pas lâché des yeux jusqu'à ce que nous soyons arrivés, 300 mètres plus loin. Chaque pas, chaque mouvement le mettait plus en valeur. Si j'ai croisé des passants, ils n'ont pu avoir aucun doute : ils avaient face à eux un mâle en rut, qui suivait l'objet de son désir et qui n'avait d'autre recours que d'assouvir ce désir.
Dans l'heure qui allait suivre, je n'allais m'occuper que de lui. Je le reconnais, j'ai délaissé le reste du corps auquel il appartenait. Mais quand vous tombez sur un joyau pareil, il vous fascine et vous ne regardez pas l'écrin.
Ma main a été irrésistiblement attirée par lui dès le hall de l'immeuble. Et à peine le contact a-t-il été établi que j'ai ressenti une décharge électrique. Le galbe d'une fesse correspondant parfaitement à ma paume. Une raie certes protégée par le jean, mais accueillant la tranche de ma main comme dans un nid. Un tressaillement des muscles montrant que la sensation était partagée. Je ne sais pas comment j'ai pu attendre d'être dans l'appartement : j'étais en rut, tout à mon besoin de cette chair que je voulais pétrir, lécher, investir, posséder. Depuis que le contact avait été établi entre mes yeux et ce cul, ma queue était raide à m'en faire mal. Ma gorge était nouée comme jamais. Le désir était si fort que j'en avais du mal à respirer. J'avais l'impression de n'être plus qu'un sexe en érection.
Aussitôt entré, je me suis agenouillé, mes yeux se nourrissant de tant de perfection à quelques centimètres seulement. Je ne sais pas si le mec en a été surpris. Toujours est-il qu'il m'a laissé faire. Je me suis déchainé et, toujours à travers le jean, me suis mis à frotter mon visage sur lui, à le mordiller, puis à carrément le mordre, à lécher la toile râpeuse. J'avais l'impression de le sentir palpiter et m'appeler. Des deux mains, j'ai contourné ce corps pour le débraguetter et baisser le jean devenu un obstacle insupportable. Ce cul mémorable m'est réapparu, tendant un slip en coton gris. Le tissu accentuait la courbe de ces deux fesses et atténuait le sillon de sa raie. J'ai recommencé ma dégustation. Mes dents, mes lèvres, ma langue se sont déchainées sur ce morceau de choix, plus proche désormais. Il n'a fallu que quelques minutes pour que le coton soit trempé de ma salive, notamment au niveau de la rondelle que j'avais travaillée de la langue à travers le tissu.
C'est lui qui a pris l'initiative d'ôter ce dernier obstacle. Et j'ai vu apparaitre dans toute sa nudité ce cul incroyable. Deux fesses rebondies, avec chacune une fossette que j'aurais voulu creuser. Une régularité dans le dessein des muscles qui montrait qu'avant leur modelage par le sport, la nature avait dès le départ été extrêmement généreuse. Des hanches étroites, s'élargissant sur des cuisses musclées. Une raie imberbe avec laquelle j'ai immédiatement joué. Ma langue était à son tour devenue autonome. Elle avait trouvé sa moitié d'orange, la reconnaissait, la retrouvait après une trop longue séparation. Mes mains caressaient les deux globes, les frôlaient, les massaient plus fermement, suivaient les deux vallées les séparant des cuisses qui les supportaient. Je n'avais jamais touché de peau aussi douce.
Je l'ai évitée quelques minutes, mais son appel a été trop fort : à un moment, il a fallu que ma langue rencontre cette rondelle qui palpitait. La jonction a d'abord été timide, de petits coups de langue établissant le premier contact. Puis la relation s'est faite franche et directe. Jamais je n'aurais cru que ma langue pouvait avoir une telle agilité.
Ne me demandez pas comment, mais j'ai su tout de suite que j'étais le premier, que cet oeillet n'avait jamais été pénétré, sauf peut-être par les doigts de son propriétaire. Mon pouce s'est mis à masser la chair. Puis mon majeur, humidifié par la bouche de mon partenaire, est entré en action, millimètre par millimètre. Lorsqu'il a enfin pu coulisser tout au long de ce tunnel accueillant, j'ai cru une nouvelle fois que j'allais jouir. J'avais l'impression de sentir tout ce corps vivre autour de mon doigt. J'ai pris tout le temps qu'il fallait, mais deux autres doigts l'ont rejoint.
Ma queue s'est rappelée à moi, dure au point d'en être douloureuse : elle réclamait sa part. Je me suis redressé, ai récupéré dans ma veste une capote XL et du gel et me suis préparé à investir les lieux. J'en devenais fébrile tellement l'envie était là. Mon gland enduit de gel est venu masser la chair de la porte d'entrée. Et la suite s'est faite naturellement, sans effort, comme si ce cul avait été moulé sur ma queue : je l'ai pénétré sans forcer, sans violence, de façon naturelle. Une fois lové dans son enclos, mon gourdin aurait pu rester là tellement il y était bien. Mais il a répondu à l'appel de la nature et a commencé ses va-et-vient, bien régulièrement, accélérant parfois, se retirant pour mieux réinvestir les lieux.
À ce moment-là, j'aurais aimé que le reste de ma vie ne soit constitué que de la répétition de cette séquence : ma queue en train de faire l'amour à ce cul. Sans limite. Sans fin. J'avais enfin trouvé le lieu où tous mes sens pouvaient se rassasier. Mais j'ai senti le conduit dans lequel je m'activais se contracter fortement. Sans même se toucher, son propriétaire était en train de jouir, arrosant le mur sur lequel il était appuyé des deux mains, gémissant et criant. Et là, je n'ai pas pu me retenir et j'ai explosé à mon tour, le souffle coupé, le plaisir exacerbé au point que j'ai cru en finir là.
Il m'a fallu du temps pour reprendre conscience, un peu effaré par l'intensité de ce que je venais de vivre. Et là, je me suis dit que je devais bien au propriétaire de ce cul hallucinant de le remercier, en lui faisant l'amour à lui, pas seulement à son cul. Nos mains, nos bouches, nos corps sont entrés en action. Nous avons pris le temps de nous découvrir. Entre les caresses que nous avons échangées, les patins partagés, sa bouche qui s'est activée sur ma queue, le plaisir a été complet. Mais c'est à l'issue de ce partage, quand j'ai retrouvé et réinvesti son cul, que j'ai vraiment à nouveau été transporté. Avec un sentiment de retrouvailles. Là, j'ai pris le temps de découvrir comment ce cul et mon morceau s'ajustaient l'un à l'autre selon les positions.
C'est après avoir tout essayé que nous nous sommes endormis tous les deux, moi le tenant serré, ma queue contre sa raie. Et ne me demandez pas comment cela a été possible, mais quand nous nous sommes réveillés quelques heures plus tard... j'étais déjà en lui. Nous nous étions rejoints dans notre sommeil.
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