Chapitre -01 : Baise brothers
Quand je suis arrivé à l'hôtel ce soir-là, je n'imaginais pas ce qu'allait être ma nuit. J'ai garé mon 4x4 sur le parking, pris ma chambre et me suis douché. Puis je me suis décidé à aller jeter un oeil à la boite de nuit de l'hôtel.
Je l'ai tout de suite vu. Il était en train de se donner à fond sur la piste. Torse nu, musculature fine, un jean baggy qui laissait apparaître le haut de sa raie et de son pubis, les cheveux mi-longs, des traits fins, ce joli blondinet de 19 ou 20 ans a aimanté mon regard pendant les 10 minutes qui ont suivi. Puis il est venu s'affaler sur le canapé d'où je le matais. " Bravo, tu danses super bien. " " C'est vrai, ça t'a plu ? " " Regarde si ça m'a plu. " Ai-je répondu en mettant en évidence la bosse de mon jean. À le regarder bouger comme ça, j'avais choppé une trique d'enfer. Il a maté le morceau, un peu intimidé. " C'est moi qui te fais cet effet-là ? " " Ben oui, et tu ne peux pas me laisser dans cet état... viens. " Je me suis levé et me suis dirigé vers la sortie, sans même être sûr qu'il me suivait. C'est en poussant la porte que j'ai vu qu'il était bien derrière moi. J'ai continué jusqu'à mon véhicule. Là je me suis tourné vers lui, l'ai saisi par la nuque et ai écrasé mes lèvres sur les siennes. Ma langue a forcé le passage et nous nous sommes roulés une pelle comme je les aime, ma main glissée dans son jean commençant à caresser son cul.
Je l'ai fait monter dans le 4x4... les vitres fumées, ça a du bon. J'ai enlevé ma chemise et ouvert d'un coup sec ma braguette pendant que lui faisait glisser son fut. Il s'est jeté sur mon morceau : il avait faim. Il l'a engouffré et a commencé à me pomper goulument. Il s'est un peu calmé et m'a léché tout du long, s'est occupé de mes couilles. Il savait y faire. Je l'ai fait basculer pour qu'il vienne s'assoir sur mes jambes, face à moi. On s'est mis à se bouffer la gueule pendant que je m'occupais avec mes deux mains de son petit cul bien ferme et rebondi. Je suis allé explorer du doigt sa rondelle, puis son trou, le faisant gémir. " Viens t'empaler, mec ! " lui ai-je glissé à l'oreille. Le temps d'enfiler une capote et de bien graisser le contenu et le contenant, il s'est soulevé et est venu se positionner... Il a fallu un peu de temps pour qu'il se l'enfourne toute entière. Il faut reconnaitre que je suis gâté avec mes 22 centimètres sur 6. Une fois bien empalé, il s'est mis à bouger, doucement au début, puis de plus en plus vite. Une vraie bombe : chaque fois qu'il se laissait retomber sur ma queue raide, j'avais l'impression que tout mon corps s'embrasait. J'ai fini par exploser pendant que lui partait aussi. On est restés une ou deux minutes sans bouger, épuisés par la violence du truc. Le temps de remballer le matériel et on repassait la porte de la boite.
J'allais le suivre sur la piste quand on m'a empoigné le bras. " Tu fous la paix à Geoffrey, OK ? " Je me suis retourné pour détailler l'énergumène. Je n'ai pas été déçu : un beau brun, look gogo dancer en plus viril, grand, musclé, une belle gueule carrée adoucie par des yeux clairs. " C'est le blondinet, Geoffrey ? " " Ouais. Et tu le lâches. Il a pas besoin d'une petite bite comme toi ! " Petite bite : me dire ça à moi ! Ma répartie a fusé. " Qui t'es pour me traiter de petite bite ? C'est de la noix de cajou que t'as dans le slip que tu parles ? On compare, si tu veux, et celui qui a la plus grosse encule l'autre ! " Il a eu l'air surpris, m'a détaillé et son regard a changé. Visiblement, il me trouvait à son goût et se disait qu'il tenait là un morceau de choix à se mettre au bout de la queue. " Ok. Pari tenu. Mais tu vas la sentir passer, mec ! Suis-moi. "
Jusqu'à sa chambre, au 3èmeétage, nous n'avons plus échangé un mot. Je me suis affalé dans un des fauteuils, il a fait de même. Me matant avec un sourire en coin, il a commencé à se masser le paquet. D'un coup, il a ouvert sa braguette, d'où a jailli un beau morceau. Presque aussi long que le mien... mais sensiblement moins épais. Continuant à sourire, j'ai pris tout mon temps pour défaire un à un les boutons de mon jean. Quand il a vu mon gourdin, il est devenu tout pâle. Pas besoin de pousser plus loin la comparaison. Il s'est levé brusquement, a enlevé son t-shirt et son jean en deux ou trois mouvements saccadés. Il m'a tourné le dos, s'est penché en écartant ses fesses des deux mains. Et d'un ton vindicatif, s'est exclamé : " Ben vas-y, sers-toi ! Et profites-en. Tu seras le premier et le dernier : je suis actif et puceau du cul ! Bonne bourre, mec ! "
Je l'ai saisi par le bras, fermement, mais sans brutalité, et l'ai fait se redresser. " Pas comme ça. Je veux pas. Je te trouve bandant, j'ai très envie de faire l'amour avec toi. Mais je ne te forcerai pas. On le fera seulement si tu en as envie. " Je l'ai emmené jusqu'au lit où il s'est allongé. Mes lèvres se sont approchées des siennes, ma main caressant son visage. Nous avons pris tout notre temps pour chacun investir la bouche de l'autre. Nous avons commencé à nous caresser. Il avait vraiment un corps parfait.
Ce n'est que plus d'une heure après, alors que nous nous étions palpés, léchés, embrassés, sucés, bouffés le cul et doigtés à tour de rôle, qu'il a relevé les jambes, me regardant au fond des yeux et m'a dit : " Viens. Maintenant. J'en ai envie. " Je l'ai pénétré en douceur. Il a aimé. Nous avons fait l'amour une bonne partie de la nuit. Et c'était bon. Lorsque je l'ai embrassé doucement avant de quitter sa chambre, alors qu'il semblait endormi, il a murmuré un merci.
Et en fin de matinée, lorsque je suis arrivé dans la salle de restaurant, espérant prendre un petit-déj tardif, sur qui suis-je tombé, attablés ensemble ? Mes deux conquêtes de la veille, le joli Geoffrey et mon beau brun. Pas décontenancé, je leur ai balancé un " Ça va, les amoureux ? " Le brun a réagi : " Mais t'es pas bien. Geoffrey, c'est mon frère ! " " C'est pas vrai, j'ai baisé les deux frères le même soir ! " Le brun a réagi en se tournant vers son frère : " Les deux ? Mais je croyais que t'étais puceau, Geoff ? " Un sourire en coin, l'air un peu gêné, Geoffrey a répondu " Ben oui... je l'étais. " C'est là que j'ai réalisé que je n'avais pas seulement baisé les deux frères, mais que je les avais aussi dépucelés tous deux du cul.
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