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Chapitre -13 : Le meilleur ami de mon frangin
Cette soirée de vendredi a été sympa, il est près de 3 heures du mat' quand je rentre chez moi. Et là, surprise : avachi devant la porte de mon appart, en train de roupiller, Michael, le meilleur ami de mon petit frère. " Qu'est-ce que tu fais là ? Tu t'es fait virer de chez toi ou quoi ? " " Non, non, c'est pas ça. Je t'attendais. Je peux entrer ? "
Il s'installe sur le canapé et reprend ses esprits pendant que je nous sers à boire : " Bon, alors t'accouches ! " " Ben, ça y est, j'ai 18 ans. Depuis quelques heures... " " Et alors ? " " Ben, tu te rappelles, il y a un ou deux ans, ce que tu m'avais répondu quand je t'avais dit que j'avais envie de toi ? Qu'on verrait ça quand je serai majeur. Alors, voilà, je suis majeur. Et c'est à toi que je veux donner mon cul. Je veux que tu sois le premier à me baiser. "
Je reste interloqué, avant de réagir : " Si je t'ai dit ça, c'était une façon de parler. Ça ne marche pas comme ça, on prend pas rendez-vous des années à l'avance ! " " Mais moi ça fait tout ce temps que j'attends. Il n'y a pas eu une journée où je n'y ai pas pensé. Pas une où je ne me sois pas caressé, doigté, branlé en pensant à toi ! " " Écoute Michael, t'es gentil, mais tu as pris tes désirs pour des réalités. Alors maintenant, tu oublies, tu rentres chez toi. Moi je suis claqué, je prends une douche et je pionce. Allez, bonne nuit. "
La douche est vraiment la bienvenue, j'ai l'impression d'évacuer toutes les tensions de la journée. Je sens que je vais en écraser. Sauf que quand je rejoins ma chambre... elle est garnie ! Michael, loin de se barrer comme je l'y avais invité, tape l'incruste. Après avoir ouvert mon pieu en grand, il s'y est installé, étendu à poil, m'attendant pour que je lui fasse sa fête. Enfin, c'est ce qu'il espère.
" Arrête, Michael. Je t'ai dit non. Je t'aime bien, t'es très mignon et tu le sais. Dans d'autres circonstances, il y aurait peut-être pu y avoir quelque chose entre nous, mais là c'est vraiment hors de propos. Alors tu te rhabilles et tu rentres chez toi. " Je le vois qui se décompose. Il ne s'attendait visiblement pas à ma réponse. Soit qu'il ait pris au sérieux notre échange passé, soit qu'il se soit arrêté à ma réputation de queutard qui a de gros besoins. " Je ne peux pas : j'ai dit à mes parents que je dormais chez un pote, alors je vais pas rentrer à cette heure-ci. " " Écoute, si tu veux dormir ici, pas de problème. Mais j'ai bien dit dormir, OK ? " Obtempérant, il se pousse sur le côté du lit, et rabat la couette sur sa nudité. J'éteins, m'installe de l'autre côté du pieu, et tente d'oublier cet épisode pour enfin sombrer dans le sommeil.
Le lendemain matin, c'est le soleil qui me réveille. J'ai oublié de tirer les rideaux avant de me coucher. Je m'étire, en pleine forme. Et réalise que je ne suis pas seul : Michael dort toujours. Dans son sommeil, il a repoussé la couette. Son corps est nimbé de la lumière qui baigne la chambre. Je détaille cet ange qui a atterri dans mon lit et qui a une érection superbe. Pas un poil, sauf la touffe soyeuse dont émerge ce qui semble avoir la dureté du roc. Une peau dorée. Il est mince, avec les rondeurs de la post-adolescence, mais superbement dessiné. Son ventre se creuse à chaque inspiration.
Et là, toutes mes bonnes résolutions disparaissent. Comme si je n'avais pas mangé depuis trois jours et qu'on me mette sous le nez un repas cuisiné par un trois-macarons au Michelin. Vous ne voudriez pas que je fasse pénitence, tout de même ? C'est l'extrémité de ma langue qui vient effleurer son téton droit. Il dort profondément. Ma langue poursuit sa course jusqu'à son cou. Sa peau a un goût de miel. Je continue mon exploration, cette fois en redescendant. Veillant à rester léger, j'arrive à son sexe dressé. Je m'enivre de cette odeur sucrée. Le bout de ma langue se pose sur sa queue, qui tressaute à ce contact. Je remonte vers son gland, hésitant à poursuivre sans l'assentiment de Michael. Mais le désir est trop fort et j'engouffre sa baguette magique.
C'est en sentant ses mains se poser sur ma tête que je comprends qu'il est réveillé. D'autant que sa respiration s'est accélérée et que son bassin ondule légèrement pour accompagner le mouvement. Je me redresse et prenant appui sur mes deux bras, viens me positionner au-dessus de lui. Sans un mot, nous nous sourions. Lentement, je me laisse descendre vers lui, mon corps frôle le sien. C'est toujours le bout de ma langue qui le premier prend contact avec ses lèvres, que je parcours lentement, comme si je les redessinais. Il saisit ma nuque et écrase sa bouche sur la mienne. Nos langues font connaissance. La sienne est fraiche, agile, joueuse.
Mon corps écrase maintenant le sien de tout son poids. Ses mains caressent lourdement mon dos jusqu'à rejoindre mon cul, qu'elles malaxent. Je me penche vers son oreille et lui susurre d'une voix rendue grave par le désir : " Tu vas avoir ce que tu voulais. Je vais te faire voir des étincelles, mon minou. "
J'embrasse son cou, le lèche, lui mordille l'oreille. Il réagit comme à des décharges électriques. C'est maintenant tout son corps que ma bouche, mes dents et ma langue explorent. Mes mains s'activent tout autant, avec des caresses plus ou moins appuyées. Je découvre vite qu'il est hypersensible du bas du dos et des tétons. Je leur dédis tout le temps qu'il faut pour que Michael soit à point. A un moment, il se saisit de ma queue et l'engouffre à pleine bouche. Je dois accompagner ses mouvements en guidant sa tête de mes mains tellement il est fébrile. Il lèche maintenant mon gourdin tout du long, bouffe mes couilles, descend plus bas, puis réenfourne mon morceau. Tout en me suçant, il me regarde les yeux dans les yeux, avec un air innocent qui renforce encore mon érection.
Alors que nous sommes allongés l'un et l'autre sur le côté, moi collé contre son dos, je relève sa jambe et lui demande : " Tu veux ? Maintenant ? " Il répond d'un soupir. Je caresse doucement sa rondelle, la masse, teste sa résistance. Le gel m'aide à l'assouplir. J'ai la trique comme jamais. Collé à lui, bougeant à peine, j'entre en lui en douceur. Je prends tout le temps qu'il faut pour l'investir complètement, tout en continuant à le caresser. " Voilà, maintenant on va y aller à ton rythme. " Nous commençons par de petits mouvements lents, suffisants pour qu'il gémisse en rythme. Quand je le sens complètement détendu, j'accentue l'ampleur et la rapidité de mon limage. Au point que notre position n'est plus adaptée. Je le couche sur le dos, relève ses jambes et les pose sur mes épaules, positionne ma lance et la réintroduit à fond. Je le baise maintenant à grands mouvements réguliers. Mes couilles viennent claquer sur son cul.
Je vois deux larmes couler sur son visage et m'interromps : " Ça va ? Tu as mal ? " " Non, non, me répond-il. Au contraire. C'est tellement bon. " Je dois reconnaitre que c'est la première fois que je fais pleurer un mec de plaisir !
Chacune de mes mains saisit un de ses poignets, je relève ses bras et les plaque au lit. Il est complètement à ma merci. À grands coups de langue, je lèche ses aisselles imberbes, ce qui le fait gémir de plus belle. Tout en continuant à le baiser, je titille de la langue ses tétons. C'est debout, le soulevant entièrement, que je le finirai et que nous jouirons tous les deux. Avant de remettre le couvert sous la douche. Puis dans la cuisine après un petit-déj copieux.
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