L'éphèbe webmaster -02

La soirée se poursuivait et certains salariés, papa ou maman dans le civil, prenaient congé. Le groupe de 4 designers, le comptable, le technicien repro attaquaient une bouteille de bourbon. Yann se tenait en retrait et écoutait les uns les autres avec un sourire amusé. Enfin, je l'abordais "alors tu es chez nous pour six mois, comme prise de contact tu ne pouvais pas mieux tomber.' "Merci de me donner la chance de ce stage et désolé pour tout à l'heure.' "Bon ce n'est rien maintenant tu connais mon cul il te faudra connaitre ce que j'ai dans la tête.'

Par les ouvertures de son jean, je découvrais des morceaux de peau blanche recouverte de poils noirs contrastant avec son visage complètement imberbe. "où habites-tu ?' "à la résidence U de la Doua, c'est Cédric qui doit me ramener après minuit plus de bus, j'espère qu'il sera en état !' "ta remarque est juste, tu as mangé un bout de tarte ? non ? allez viens' tout en discutant nous nous servions. Yann maladroitement tombait son morceau sur le superbe dessin de son t-shirt. "Mon gars si tu ne le laves pas dès ce soir la tache de myrtille ne pardonne pas' je le voyais très ennuyé de cet évènement.

Je constatais aussi que mes designers commençaient à être marqués par l'alcool" "Yann, tu veux attendre Cédric ? Mais je crois qu'il est bien chaud ! si tu veux je peux te raccompagner la Doua est sur ma route." Affaire conclue nous informons Cédric que nous partons et que je raccompagne son stagiaire, en lui rappelant que demain a 7H nous devons partir ensemble pour trois jours a Marseille " " pas de soucis boss j'ai mes affaires dans ma voiture ". Enfin

2 h 40 du mat j'arrivais en bas de la résidence " vous voulez voir mon antre et boire une bière ou un café ? " " À cette heure je ne suis pas pressé OK. " La pièce faisait 10 min 2 s : a gauche un w.c. et douche, un lit gigogne de 90, une petite table de travail et 8 étagères pleines de livres. Une armoire bois clair avec une glace sur la porte. " Bravo Yann bien rangé pour une chambre d'étudiant. " Il sortit deux bières d'une table top et nous nous asseyons sur le lit pour discuter.

Tout à coup je me rappelais " Yann ton t-shirt il faut savonner la tache et le passer sous l'eau froide ! " " ah merde j'avais oublié, c'est mon t-shirt AC/DC que m'a offert mon père. J'y tiens beaucoup ! " Tout en disant cela, il ôtait son sous-vêtement. Face à moi se tenait une crevette à la peau laiteuse, le torse recouvert de poils noirs se renforçant vers le nombril. " je n'aurais jamais pensé que tu étais aussi poilu alors que tu n'as aucune barbe. " " Ça me gonfle tous ces poils c'est mon désespoir, mais il faut faire avec, vous avez de la chance vous de ne pas en avoir. " " je n'en ai jamais eu sur le corps et les quelques que j'avais sur les jambes et les aisselles j'ai fait épiler au laser c'est définitif " Nous discutions de sa formation, sa vie de célibataire, son père mort l'an dernier dans un accident de voiture, sa mère qui depuis était hospitalisée en psychiatrie, ses rêves de réussites en communication. " Lui toujours torse nu et moi en chemise la situation était touchante. 4 h 30 !! Nous en étions à la 3e bière et j'avoue que la tête me tournait. Yann pour sa part me semblait intact la sympathie pour ce petit éphèbe me troublait. " Dans une heure je dois retrouver Cédric je n'ai pas le temps de rentrer chez moi, je peux tirer ton lit gigogne pour que je me repose ? " Il était enthousiaste " bien sur boss je vous dois bien ça " Il tirait le lit posait un drap sans demander mon reste je me dépoilais en slip " tu vois je ne suis pas toujours en string ! " " je vois j'aimais bien aussi " dit-il en riant. " Moi désolé, mais je n'ai ni l'un ni l'autre je déteste les sous-vêtements " Sans aucune pudeur il se mit à poil et je vis une paire de miches maigrichonnes et une petite bite entourée d'une forêt vierge de poils. " Avec autant de poils tu peux bien te balader sans sous-vêtement ça ne se voit pas ! tu es le premier éphèbe que je vois si poilu. "

" Éphèbe dites-vous ? Pour cela il faut être puceau, " " et alors je me trompe ? " " Non en effet je n'ai pas rencontré de nana " " ni de mec ? " pas de réponse ! " Vous voulez prendre une douche avec de vous coucher ? Surtout que pour le temps qu'il vous reste ce sera fait pour demain matin " je sautais sous la douche puis m'allongeais sur le petit lit. Yann était déjà allongé, nu sur ses couvertures sans aucune gêne. Ce corps pâle qui n'avait pas vu le soleil depuis longtemps, des bras et jambes minces et musculeuses et poilues !! Comme il m'avait expliqué, il était adepte du Triathlon ce qui se traduisait par sa morphologie.

6 h mon téléphone sonne et me tire d'un début de sommeil " " Allo ! Yannick à l'appareil que se passe-t-il ? " c'était la compagne de Cédric qui m'informait qu'il avait accroché sa voiture en rentrant que ce n'était pas très grave mais qu'il devait passer une radio ce matin pour vérification. " J'étais très irrité de cette situation. À quel moment ils sauraient les uns et les autres se limiter ! il est vrai que je ne donnais pas l'exemple aujourd'hui ; " OK qu'il se soigne je vais aviser et vous tiens au courant. " Yann était appuyé sur le coude et me regardait " Il se passe quelque chose de grave ? " " Non Cédric, a cogné sa voiture et dois passer une radio de contrôle ce matin. Donc l'accompagnement est raté. " Je commençais à chercher dans mon agenda qui pouvait venir avec moi pour les 3 jours. Au 3em appel chou blanc !.

Yann descendit toujours à poil de son lit, j'avais sa bite devant les yeux, mais ça ne le dérangeait visiblement pas. " Boss si vous voulez je peux vous accompagner je n'ai rien de prévu, je ne serais pas aussi efficace que Cédric, mais vous ne serez pas seul ! " Je n'avais pas envisagé cette solution. " Pourquoi pas Yann ce sera peut être ton baptême du feu. Tu serais OK pour partir 3 jours ? Banco si tu veux c'est une solution pas inintéressante, et tu pourras être en contact permanent avec Cédric pour t'aider. " Après lui avoir indiqué qu'il pouvait garder son jean déchiré et son sweat pendant le voyage, mais qu'il devait se saper un minimum pour les clients. Il sortit un jean clean, un pantalon beige, un t-shirt Hugo boss et une chemise Lacoste. " Voyer boss j'ai même une réserve ! " nous partions d'un grand éclat de rire, le voyage allait être sympa. Je lui posais la main sur l'épaule sentant ses os fragiles sous mes doigts.

L'autoroute A7 était déserte en cette période et les kilomètres furent rapidement avalés. Le client, un vieux ronchon nous attendait pour nous expliquer son problème. Il ne quittait pas Yann des yeux. En fin de matin il s'était déridé et nous allions conclure l'affaire. " Vous savez Mr Yannick vos explications étaient bonnes, mais votre collaborateur a un regard d'ange qui donne confiance. De plus il ressemble dans son style à mon petit fils. Allez affaire conclue " nous avons signé notre premier contrat de la journée pour un joli montant.

Pendant le repas je charriais Yann " Bravo, avec ta tête d'ange imberbe, tu arrives a bout des vieux ronchons ! je n'étais pas certain d'arriver à le convaincre, mais grâce à toi... heureusement qu'il ne t'a pas vu à poils sinon il nous vendait l'entreprise. Je crois savoir qu'il est en couple avec un mec bien plus jeune que lui qui était son ancien commercial. Il aime bien les petits jeunes Bravo Yann. "

L'après-midi fut sans histoire. Yann fit son rapport à Cédric qui lui indiquait mes méthodes afin qu'il analyse bien les techniques ".

Après une soirée dans une rhumerie sans excès nous allions prendre possession de notre hôtel quatre étoiles de belle tenue avec hammam et sauna. Yann fit l'expérience des 2 en s'amusant comme un gosse et heureux de découvrir ce qu'il considérait comme un luxe.

La grande chambre avec deux lits jumeaux en 140, réfrigérateur, télé grand écran, chaîne stéréo, et une salle de bain avec douche italienne, baignoires, w.c.. Sauf qu'elle était entièrement vitrée avec la chambre. Il était possible de fermer une persienne qui n'arrivait cependant pas jusqu'au sol. Yann passa le premier sans fermer les persiennes et je pouvais de puis le fauteuil l'observer se savonner le corps, les jambes, le cul, il décalottait sa bite pour se laver, tout à fait naturellement.

Il revint dans la chambre toujours à poil " Allez je vous laisse la place. "