le fils de la pharmacienne
Cette histoire remonte à 3 ans. Écrasé par le boulot dans mon agence de communication, j’ai décidé de faire une pause de 3 mois pour décompresser. Un ami m’a proposé de me prêter sa maison de campagne dans le cantal pendant l’été. Comme dépaysement pensais-je je ne pouvais pas trouver mieux.
Mon ami avait acheté l’année d’avant un pavillon dans un petit lotissement au bord d’un lac et proche d’un village de 6000 habitants. Me voila donc parti un samedi matin sur ma Ducati. Moi, Yannick, 50 ans sportifs je prends soin de mon corps. Bien que vivant avec ma copine 3 jours par semaine depuis 6 ans maintenant. Elle accepte que, j’entretienne des aventures régulières avec des minets, de son côté, elle fait aussi des escapades avec des copines, mais elle m’a garantie qu’elle ne baisait pas. Je sais les remarques acerbes de certains « le pauvre naïf ! » et bien non ! elle est psychologue de profession et me demande même de lui raconter mes plans cul (j’élude certains phantasmes, car elle n’aime pas le trash). Ça la fait rire de voir la faiblesse des mecs devant le sexe. Mais, quand nous sommes au lit, elle redemande ma queue par ses deux voies sauf la pipe, voir même parfois, pour mon plaisir, elle m’enfile un doigt. Donc à chaque fois et nous nous éclatons. Moi, 1m75, 72 kg, imberbe et entièrement rasé, actif en amours et toujours sur le qui-vive à la recherche d’un éphèbe passif et naturellement imberbe, je n’ai jamais trompé ma femme avec une autre. Aujourd’hui, je me posais, tout de même, la question. Ici dans le cantal, si ma première expérience longue durée en province n’allait-elle pas tourner en semaines d’abstinence ? À la réflexion j’étais persuadé que les bis, les homos étaient sur tout le territoire parfois plus caché en province. Après ce préambule je vais vous raconter ma superbe aventure avec Nicolas. Ma voisine immédiate, est une belle femme de 45 ans, divorcée, depuis 2 ans, elle est la pharmacienne du village. Elle terminait la construction de sa superbe villa, dont les extérieurs n’étaient pas tout à fait finis. Sandrine m’avait avertie qu’elle partait 1 semaine dans sa famille en Savoie pour récupérer des affaires personnelles. Elle m’avait demandé de jeter un œil sur sa propriété, nos terrains étaient mitoyens sans barrières. Elle m’avait aussi informé que son fils, Nicolas, étudiant à Lyon passerait dans la semaine, car il avait quelques jours de vacances. Un mercredi matin, j’étais dans le jardin de la maison, en slip de bain, torse nu sur une chaise longue, profitant du soleil. Tout à coup j’entendis une voiture arriver vite dans le chemin pierreux puis un grand bruit. La voiture avait cogné quelque chose. Je me lève et vois un jeune mec sweat et jogging Lacoste blanc devant une Opel corsa porte avant ouverte. La voiture avait une position bizarre l’arrière relevé sur un obstacle. Je descendais dans sa direction à 20 m de moi.
L’Opel avait passé les deux roues arrières sur un potelet en béton qui jonchait le sol ce dernier touchait le bas de caisse, et les deux pneus arrière étaient éclatés le mec à côté avait enlevé sa capuche et je découvrais un minet au visage lisse stature d’adolescent. Visiblement catastrophé de la situation. En m’approchant, je découvrais un petit minou aux yeux noirs, aux cheveux blond coupé court avec un visage poupin. Il était devant moi, les bras ballants en répétant « merde alors qu’elle galère ! ». Il leva ses yeux noirs humides. « Vous êtes Monsieur Yannick ? Je suis Nicolas le fils de Sandrine. c’est sa voiture de ville. Elle va me tuer ! »
« Bonjour Nicolas ? Oui tu es en galère, tu allais bien vite pour monter et ta marche arrière était de la même veine ! mais ce n’est pas la mort on va regarder ça. » Je me rendais compte que j’étais torse nu en slip de bain devant ce bel éphèbe. Ce sont ses yeux qui se baladaient pour détailler mon corps et mon sexe, qui m’en fit prendre conscience. « Excuse ma tenue, mais étais en train de bronzer tranquille » un léger sourire éclaira son visage ; » tout le plaisir est pour moi « Me dit-il. Je ne savais pas comment interpréter cette remarque. »Bon Nicolas, je peux te tutoyer ? Vu ton âge 18 ? 19 ? » « 19 depuis la semaine dernière » bon Nicolas regardons dessous la voiture comment se positionne le potelet bétons. De toute façon les 2 pneus ont été cisaillés par les ferrailles. Ils sont morts. Mais voyons si la caisse est touchée. » Je me couchai sous la voiture pour observer. Nicolas enlevait son sweat pour se trouver en tee-shirt blanc aussi.et se glissât à côté de moi.
Après expertise, nous convenions que ce n’était pas si grave, aucune pièce importante n’était touchée. Une fois sorties de dessous la bagnole, nous faisons le constat. Premièrement il fallait lever la voiture, la poser sur des chandelles démonter les 2 roues, sortir le potelet en béton, ultérieurement changer les pneus et si tout va bien ce serait tout.
« Bon, Nicolas, tu as du matériel ? » « Ben non, si j’étais aussi furieux tout à l’heure, c’est que Sandrine n’a pas laissé les clés dans le pot de fleurs et moi j’ai le double du trousseau à Lyon ; en 2 mots je suis dehors ! » Après l’avoir calmé, je lui proposais comme il était proche de midis de rentrer chez moi boire et manger quelque chose, nous en profiterions pour téléphoner à Sandrine pour savoir si elle n’avait pas posé les clés ailleurs. J’informais mon minet qu’il n’était peut-être pas nécessaire de i faire état, a sa mère, de la situation. Je sentis que le calme était revenu et que ma proposition le séduisait.
Il ramassa son sweat et nous nous sommes dirigés vers ma maison. Je le fis passer devant pour rentrer et là, je constatai que son jogging blanc était plein de terre. Je lui conseillai de l’enlever de le passer sous l’eau avec du savon, de le sécher avec des serviettes éponges et l’étendre au soleil, sinon enlever de la terre sur un jogging blanc dans quelques heures n’était pas gagné. Au moment où je lui faisais cette proposition, il ne me venait absolument pas à l’idée de profiter de la situation. J’agissais comme un adulte avec un ado. Moi j’étais toujours torse nu en slip de bain. Nicolas acquiesça, il enleva ses tennis fit glisser le jogging le long de ses fines jambes aux muscles secs presque sculptées. Aucun poil, pas plus sur les cuisses que les mollets. En posant son jogging vers l’évier, Nicolas me tournait le dos et je vis qu’il portait un jock-strap, laissant voir deux superbes fesses bronzées. »Excuse-moi Yannick, je te fais voir mes fesses. Mais Sandrine ne t’a peut-être pas dit, mais je suis étudiant en sport étude, je suis sélectionné national en cyclisme. C’est pourquoi tu l’as peut-être remarqué, je n’ai aucun poil sur les jambes pour éviter qu’en cas de chute ils rentrent dans les plais et engendre une infection. De plus le goudron chaud dans les poils ce n’est pas terrible. Le jock-strap peut être ne le sais-tu pas a été inventé au départ pour les cyclistes. Si tu as des questions sur mon bronzage, c’est qu’avec Sandrine nous pratiquons le naturisme. J’étais époustouflé de l’aplomb avec lequel il m’avait exposé les réponses aux questions que j’aurais pu effectivement me poser. Nicolas s’installait devant l’évier, mouillait le tissu, frottait les tâches, rinçait comme je lui avais proposé. Au bout de 5 min, il m’appela « Yannick vient voir je crois que c’est bon, mais tu m’avais parlé de serviettes comment faut-il faire ?. Je lui apportais 2 serviettes et nous avons frotte le tissus pour enlever le maximum d’eau et avons étendu le jogging au soleil. Lorsque je m’étais approché de l’évier, vu qu’il avait frotté sa bitte sur le bord je perçus qu’une légère érection tendait son jack. Ce gamin était à croquer. Maintenant, mon esprit lubrique reprenait le dessus. Bon Dieu qu’il était beau ! Après avoir grignoté et bu quelques verres, nous nous sommes découvert une vraie complicité naturelle. Lui toujours en Jock et moi en maillot de bain.nous posions sans aucune gêne.
Le coup de fil à Sandrine nous apprit qu’elle n’avait pas posé de clés pensant que Nicolas avait les siennes, mais qu’elle arrivait dans 3 jours. Le garagiste nous apprit qu’il allait commander des pneus et des gents qui seraient disponibles dans 2 jours. Le décor était posé nous étions Nicolas et moi prêts à cohabiter le temps nécessaire. J’étais ravi de la situation et Nicolas semblait l’être aussi. Je l'informais tout de mème que seul ma chambre était disponible l'autre était en rénovation, C’était le deal que j'avais passé avec le propriétaire en échange du prêt de sa maison.Après le dépannage de la voiture, nous nous sommes installés sur les transats au soleil. Sur ma proposition de tomber nos maillots puisque lui et moi étions naturistes je pus enfin voir l’objet de mon désir. J’exposais ma queue de 19 cm entièrement rasés avec mes grosses couilles glabres aussi, et lui, présenta un sexe de 18 de petit diamètre son gland était recouvert d’un prépuce tout beau, ses couilles rasées (toujours le cyclisme). Au-dessus de cette belle bitte, une touffe de poils noirs taillée court. Une merveille ! Après un après-midi de lézard, nous convenions d’un barbecue, au cours duquel j’appris que Nicolas était célibataire, en colocation avec un autre étudiant, qu’il connaissait depuis le lycée. J’appris même qu’il était puceau, mais je crus deviner qu’il n’était pas choqué par les relations entre mecs. Enfin le clocher du village sonnait 23 heures peut être était-il temps de se coucher.
C’est dans le plus simple appareil que nous nous positionnons dans le lit. Après nos échanges il m’affirma qu’il couchait toujours, soit sur le dos, soit sur le ventre. Et moi que je couchais presque toujours sur le côté gauche. Nous nous organisions pour nous installer sous le drap. La chaleur environnante excluait la couverture. Nicolas se couchait sur le dos les mains sous la tête. Je me couchais sur le côté gauche et vu le lit en 130, ma bite touchait le bassin de Nicolas. Sans aucune remarque nous avons coupé la lumière en vue de dormir. Au bout de quelques minutes avec un ton le plus neutre du monde, je rappelais à Nicolas nos péripéties de la journée ? En même temps que je lui parlais, je posais ma main sur les pectoraux de mon éphèbe. Nous avons discuté ainsi une bonne 1/2 heure au cours de laquelle insidieusement, tu je caressais la peau douce de mon compagnon de lit.. Je déplaçai ma main sur un téton que je sentais pointer sous mes doigts, je caressai aussi l’autre téton en le pinçant légèrement. Je glissais ma main jusqu’a son nombril.mon sexe augmentait la pression sur la hanche de mon minet enfin il dégagea un bras de dessous sa tête et vint me saisir la queue à pleine main. »Tu bandes Yannick et tu mouilles ; » Je n’avais rien à répondre. Avec son pouce il me caressait le méat gluant. La partie allait se jouer. Ma main glissa de son torse en direction de sa queue qui était aussi tendue. Doucement je tâtai le prépuce puis glissa dans sa couronne de poil. Je saisis ça bite à pleine main puis caressa ses couilles imberbes. Nicolas ne disait rien, mais sa respiration s’était accélérée. Je sentais cette peau douce sous me doigts et mon sexe vibrait de plus en plus fortement. Enfin je tentais de passer sous les couilles pour, avec un doigt arriver à sa rosette. Aucun poil non plus n’a cet endroit. Cette fois Nicolas gémissait doucement. Je titillais cette petite rondelle avec délice. Je me mouillais un doigt pour rentrer très légèrement dans son fondement, je compris rapidement qu’il était super serré et que pour arriver à mes fins il fallait que je développe un trésor de douceur. Je tentais le tout pour le tout. Je me levais du lit et me poste debout à côté. Je saisis les jambes de Nicolas pour le faire pivoter, le cul presque au bord du lit. Il n’opposa pas de résistance. Sa rosette se trouvait en face de mon gland, mais comme j’avais l’intention de le dépuceler jr voulais que ce soit le plus doux possible. Avec mes dents je déchirais une pochette de gel. J’enduisis mes doigts et tendrement je commençai à faire des ronds autour des sphincters de mon éphèbe. Je sentais sa rosette se détendre et s’ouvrir. Enfin, délicatement, j’introduisais un doigt. Les feulements de Nicolas me montraient que, bien que surpris, il ne « s’opposait pas à cet essai. Je pouvais introduire mes trois phalanges sans difficulté. Tout en laissant ma pénétration dans son fondement, je me penchais et commençais a lui sucer son gland luisant. cette fois j’eus droit a un « oui ! » de sa part.Je faisais coulisser son prépuce pour dégager le gland. Puis je tentais une gorge profonde. Son cul réagit immédiatement en se serrant autour de mon doigt. Je repris du gel et cette fois je rentrais index et majeur tout en gardant ma bouche autour de son beau pénis. Je n’avais aucun doute, même si je prenais, du temps je finirai par l’enculer. C’était objectif final de mon approche. Je le libérais ma pénétration anale, arrêtai ma fellation, je fis pivoter mon minet dans le lit et me couchais à côté de lui. Je le fis se positionner sur le côté et moi je me collais contre lui. Mon torse se plaquait contre son dos ma queue se trouvait en face de son petit trou. Je me dégageai un instant et ayant ouvert un sachet de capotes j’en déroulais une sur ma queue et l’enduisais à nouveau de gel. Ma proie ne bougeait pas et attendait la suite. Naturellement elle allait arriver. Je me positionnais face à son cul déjà ouvert par ma préparation, je lui saisissais sa queue avec une main et en même temps que je le masturbais lentement. Je poussai ma bite dans sa rondelle par des petits vas et viens de quelques centimètres plus profonds à chaque fois. En une dizaine de pénétrations, ma bite était entrée sans forcer. Était-il véritablement puceau pour n’avoir aucune douleur ? Ou ma tendresse avait fait effet ? Avec les halètements de Nicolas, je me sentis libre maintenant de l’enculer en profondeur. Bientôt, ma main qui entourait sa bite se remplit de son abondante semence. Je ne décelais pas, mais je caressais son corps avec son sperme jusqu’a que je sente que sa peau soit sèche. Ma bite toujours a l’intérieur commençait a débandé. Nicolas, se remit sur le dos, les bras le long du corps et je fis de même. Nos deux mains se trouvèrent et de longues caresses me démontraient que le plaisir était partagé.
Nous étions comme cela, sans un mot, mais nous sentions une tension affective qui nous ravissait. Et c’est ainsi que nous nous sommes endormies. Mais dans la nuit, Nicolas se mit à me caresser. Ma bite réagi de suite et rapidement il l’attrapa pour imiter une branle. Bientôt il se tourna son dos conter ma poitrine ma queue à bonne hauteur. Je déchirais une pochette de préservatif, mais au moment de la déplier sur mon sexe, Nicolas stoppa mon geste en me disant qu’il voulait savoir comment c’était sans caoutchouc, des copains lui avaient promis que c’était mieux. Je passais tout de même un peu de gel et comme la première fois je le pénétrais sans douleur. Je commençais a faire m’est vas et viens et lui se branlait. Nous étions à l’unisson et sentions notre plaisir monter. Je lui susurrais à l’oreille s’il voulait que je lui fasse un bébé. Je dus lui expliquer que cela signifia que je lui dépose ma semence au fond de son trou. Sa réponse fut positive en me disant qu’avec moi, il voulait tout connaître. Je pris mon pied à le remplir. J’allais me retirer, mais il me prit les fesses en me disant de rester comme ça jusqu’a ce que je débande. Doucement ma queue reprenait sa taille normale et je sentais mon jus couler entre ses fesses et inonder mon ventre. Je me retirais et lui léchait les fesses et le trou en avalant mon propre sperme qui coulait. Comme il continuait à se branler, j’attendais qu’il jouisse pour avoir ma dose. Au lieu d’avaler, je gardais le nectar dans ma bouche et le partageai en embrassant pour la première fois Nicolas. Il ne mit pas longtemps à comprendre, et avec sa langue il partageait son jus. avec moi. Mais, un coup de fil et le garagiste nous informaient que les pièces étaient arrivées et que la réparation pouvait se faire. Le lendemain, Sandrine arrivait nous gardions secret notre aventure jusqu’" au départ Nicolas. En cachette de sa mère il m’embrassa tendrement et me jurant de me revoir. Je vous raconterais la suite
Yannick.
Yannick
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