Chapitre 1 | Découverte de la sodomie hétérosexuelle
Mon histoire est très particulière, mais vraie. Je m’appelle Yannick j’ai 28 ans. Je suis informaticien itinérant dans une grande entreprise. J’ai un style BCBG sportif.1m75, cheveux châtains coupés court Je suis imberbe sauf autour du sexe. Je suis en concubinage avec Nathalie (de 3 ans ma cadette), depuis 4 ans déjà. Nathalie est infographiste. Ma copine est petite, 1m65, menues, frisée et espiègle. Son style à elle est plutôt artiste déjantée. Son look est une façade, mais son cœur est grand et surtout son appétit sexuel immense. Je vous avoue que le mien n’est pas en reste et nos relations sont quotidiennes et même parfois renouvelées dans la journée, si nous avons le temps.
Les présentations faites, mon histoire commence. Nous habitons dans un bel F3 en dehors de la ville, avec un petit bois à côté de chez nous. Même si je me déplace beaucoup mes absences de plus de 2 jours ne se comptent que 1 à 2 fois dans le mois. Dès que je reviens a l’appart, la première chose, c’est un rituel, nous partageons un long baisé baveux, une douche ensemble avec caresses a l’appui, et ensuite repas, discutions, et plumard ! Pour un moment d’amour et de tendresse.
Il y a 2 ans, dans ce rituel il y a eu un accroc, c’est l’évènement qui déclencha toute mon aventure et l’effondrement de mes convictions.
Dans notre grand lit de 160, nous nous cajolions mutuellement. Naturellement, je voulais comme toujours pousser mon sexe dans le sien. Comme j’étais en manque depuis 3 jours, je présentais déjà mon gland dans la foufoune de ma petite minette. Mais elle réagit vite.
– Yannick, tu n’as pas de capote aujourd’hui ? Ma réponse négative ne présentait aucune alternative.
– Sans capote Yannick, tu le sais pour moi c’est non. Je ne veux pas accidentellement me retrouver en cloque.
– mais ma puce je rentre de voyage et j’ai trop envie soit sympa, je me retirerais avant de jouir
– Non c’est non ! et elle me tournait le dos.
Doucement je m’étais approché d’elle pour la caresser, en m’attardant sur ses petits seins en pointes, ses épaules fragiles, ses petites fesses musclées. Naturellement, mes 19 cm étaient tendus à mort. Je voyais le coup que j’allais finir en me branlant ou à dormir sur la béquille.
Nous nous frottions l’un à l’autre et mon sexe s’insérait entre ses petites fesses. Je pensais pouvoir atteindre sa foufoune tout de même. Mais la belle veillait.
– Non Yannick n’insiste pas ou alors tu as un autre trou à ta disposition, qui ne risque rien lui.
– Mais ma puce, nous n’avons jamais fait ça Tu veux ?
– Pourquoi pas, nous avons qu’à essayer et si ça ne marche pas je te masturbe et toi aussi tu me fais plaisir.
Dans ce choix cornélien, entre niquer, même dans un petit trou vierge ou reprendre la veuve poignet, j’étais tenté par l’expérience
– Yannick si tu tentes, tu mets beaucoup de gel il y en a dans ta table de nuit.
Je m’enduisais copieusement le phallus m’approchait du gouffre tant désiré.
Bientôt, mon gland titillait l’entrée interdite jusqu’à ce jour. Je poussais et sentais s’ouvrir doucement ce fourreau étroit.
– Tu me dis si c’est douloureux, j’arrête.
Les contorsions de Nathalie pour m’aider à introduire mon petit monstre de 19 cmx5 traduisaient un plaisir non dissimulé. Alors que j’avais déjà entré facilement la moitié de mon sexe, je sentis un mouvement de la part de ma copine.
– Soit moins rapide Yannick, ce n’est pas désagréable, mais nouveau il faut être tendre.
Après plusieurs assauts puis retraits puis assauts, ma bitte était entièrement à l’intérieur et je découvrais un plaisir nouveau. Son trou enserrait beaucoup plus ma queue de son minou. Je découvrais une sensation nouvelle et Nathalie aussi.
– Elle y est toute dedans Yannick ? Vas doucement dans tes vas et viens.
C’était divin de connaitre cette nouvelle entrée, mais son cul étant plus serré je ne tins pas longtemps le mouvement et je déchargeais ma semence au fond de ses entrailles.
– Et bien Yan ! tu m’as remplie sans me demander mon avis, mais c’était bon et toi tu as aimé ?
J’étais aux anges je ne m’étais pas imaginé que cette première fois soit une proposition de ma copine alors que souvent c’était un phantasme de mec.
À suivre.
Yannick
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