J'arrive enfin à l'hôtel après 3h de voyage, je suis tout excité, j'en tremble. Je me dirige vers la réception et demande la clé de ma chambre qui a été réservée. Je la récupère et monte m'y installer.
À peine entré, je souffle un grand coup, je referme bien la porte, je vire tous mes vêtements et je fonce sous la douche, je la veux brulante pour me déstresser, car la tension monte.
Je procède au nettoyage total quand je commence à me détendre un peu. Je suis totalement excité, mais je n'arrive pas à bander, car j'ai peur...
Je finis ma douche, je me sèche et me dirige vers mon sac de voyage pour en sortir tout mon équipement.
Je commence par poser mes bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets puis vient le tour de mon collier.
Je me lubrifie le cul, car, dans quelques minutes, je vais devoir m'y enfoncer un gode.
Je me saisis de mon bâillon avec plug intégré, j'ouvre la gueule et le mets en place, je l'adore ce bâillon avec son anneau métallique en forme de D sur le devant.
Je vais pouvoir mettre mon gode, au moins on ne m'entendra pas couiner quand je vais l'enfoncer. J'ai le cul serré, très serré et il me faut du temps malgré le lubrifiant pour qu'il rentre à fond. Je souffle comme un boeuf dans mon bâillon et je force un bon coup, je gueule, mais c'est étouffé et je ne bouge plus en attendant que la douleur passe.
Je pose les chaines à côté du lit sur une chaise et j'attends en regardant mon téléphone.
J'attends une bonne heure, mon cul va beaucoup mieux, le gode est bien installé à présent et a fait sa place.
Petit bruit de sms, je me rue sur mon téléphone " dans 2 minutes à partir de maintenant ".
Je fonce à la porte de ma chambre, la déverrouille et m'assure qu'elle ne va pas se refermer toute seule et je fonce sur le lit, je me mets à genoux, mains dans le dos, les pattes bien écartées et le dos bien droit.
Je respire fort dans mon bâillon, tous mes membres tremblent, j'ai carrément la trouille.
Lorsque j'entends la porte s'ouvrir, c'est encore pire, on dirait que je grelote de froid tellement, j'ai peur.
J'entends la porte se refermer, j'inspire très profondément et je le vois entrer lentement dans la chambre en me regardant. Il sourit, je tremble toujours autant, mais je sens la joie monter, il est enfin là devant moi, mon Maitre fait enfin son apparition physique. Heureusement que j'ai mon bâillon, je voulais absolument le porter pour cette première rencontre afin de ne rien dire, du moins tout de suite.
J'admire mon Maitre, je crois que je suis en train de verser une larme de joie depuis le temps que j'attends ce moment.
- Salut mon bâtard, ça va ?
Je fais un signe de tête positif en couinant dans mon bâillon.
- T'es content de voir enfin ton Maitre ?
Je reproduis le signe positif, mais beaucoup plus vigoureusement. Il s'approche, je tremble de partout. Il est à 1 mètre de moi et il se marre.
- Ben viens alors ma raclure, viens saluer ton Maitre...
Je saute du lit pour venir me mettre à genoux devant lui et je pose ma tête dans son entrejambe, je chiale de joie, je l'agrippe fermement, je sens sa main se poser sur ma tête, il me caresse les cheveux, je ferme les yeux. Un long moment passe en silence, je m'apaise tout doucement. Puis il se déplace, m'obligeant à le lâcher, il s'assoit sur le lit.
- Allez, ma lope, tu vas me déshabiller maintenant.
Je m'approche à genoux, je prends sa chaussure droite que je pose sur mon torse et lui défais ses lacets, j'ôte la chaussure avec précaution puis la chaussette et je fais de même avec la chaussure et la chaussette gauche. Il se lève, je défais sa ceinture, descends sa braguette et fais glisser son pantalon le long de ses jambes puis avec délicatesse, je lui relève la jambe gauche pour enlever le pantalon et fais de même avec l'autre jambe. Je saisis très délicatement son boxer et le fais descendre lentement, sa queue apparait raide. Si je n'avais pas mon bâillon, je lui boufferais direct... Je défais délicatement la ceinture de son pantalon et lui tends, tête vers le bas, il s'en saisit puis il s'assoit de nouveau et écarte les jambes. J'avance à genoux entre elles et je commence à déboutonner sa chemise, je le regarde en respirant fort, il me caresse le corps avec la ceinture.
J'ôte délicatement sa chemise, il est nu, assis sur le lit, je me recule, l'admire encore quelques secondes puis je pose ma gueule par terre, joue droite bien au sol en signe de soumission totale et de ma dévotion pour lui.
Lentement il pose son pied droit sur ma gueule, je remonte mes mains dans mon dos.
Je lui appartiens depuis plusieurs années, mais nous habitons loin l'un de l'autre, notre relation s'est tissée à distance. Au fur et à mesure, nous nous sommes rapprochés et confiés. Il était devenu indispensable de se voir, de passer cette étape physique et aujourd'hui, il est là, je suis à ses pieds, honoré de sa présence, tout tremblant... Parce que j'ai toujours peur, peur de le décevoir.
Il saisit un mousqueton et le pose sur mes menottes dans le dos, je peux relâcher l'effort, mes mains y resteront.
- Allez, sur le lit petite pute que ton Maitre te dérouille.
Je me redresse, monte sur le lit, je m'y mets à genoux et pose ma tête sur le matelas, j'attends.
Il écarte mes fesses, je l'entends grogner de satisfaction et il se saisit de mon gode qu'il fait entrer et sortir lentement de mon cul. Il accélère le mouvement, je souffle, je ne suis pas habitué. Rapidement, il le sort entièrement pour le remettre à fond plusieurs fois de suite, j'ai du mal à encaisser, mais pour lui, je dois tenir !
Je prends quelques claques sur les fesses et je le sens se relever, je tremble un peu, je sais ce qui va arriver, mais je dois accepter. Un petit bruit sec, le premier coup de ceinture tombe et la douleur au niveau de mes fesses se fait sentir, je vais prendre 10 coups. Pas parce que j'ai désobéi, mais parce que je suis son bâtard et je les veux aussi. J'encaisse, il sait que je n'aime pas la douleur, il n'y va pas trop fort, sauf sur le dernier, où il me fait beugler dans mon bâillon... Puis il me fait tourner à 90 degrés pour accéder à ma gueule. Je le sens ôter le bâillon, je tremble de tout mon être, je vais avoir le droit à la parole...
- Bonjour Maitre, votre lope est honorée de vous rencontrer enfin.
Je n'ai pas relevé la tête, je n'ose pas. Sa main se pose sur mes cheveux, je sens ses doigts se refermer sur eux lentement puis il me la fait relever, ma gueule est juste devant sa queue dressée. Je l'ouvre, attendant qu'il y prenne place quand il lui plaira.
- Tu la veux hein salope ? Tu veux que je te fourre bien ta gueule de tarlouze hein ?
Je fais un signe de tête positif, je m'interdis de parler. Il saisit ma tête à 2 mains et s'enfonce d'un coup, butant contre ma gorge, le choc me fait tousser il s'enfonce au plus loin possible en soupirant de plaisir. Quel bonheur d'entendre son Maitre prendre du plaisir, quel bonheur de voir que l'on remplit son rôle de bâtard !
- Aller sous-race, suce bien ton Maitre.
Il écarte ses mains, je couine, je gémis et je suce du mieux que je peux. Les mains attachées dans le dos, à genoux sur le lit, je pompe mon Maitre comme un fou. J'adore tellement sucer, sentir sa bonne bite dans ma gueule de bâtard. Tel un affamé, je m'active dessus, j'y vais même trop fort, je prends une gifle.
- Doucement raclure, tu suces, je ne t'ai pas dit de me faire jouir.
J'obéis donc en y allant plus lentement, c'est tout aussi délicieux de se délecter de la queue de son Maitre et il me laisse faire un long moment, il se penche parfois pour me coller une claque sur le cul, il m'insulte régulièrement et je couine en remerciement.
Lorsqu'il estime que c'est suffisant, je reçois l'ordre de m'allonger sur le dos, il attache mes bras au lit pour que je ne puisse plus les bouger et il se dresse devant le lit fièrement, enfile un préservatif, je le regarde et l'admire en silence, il sourit.
- Je vais te faire l'amour Yan maintenant...
N'y a-t-il pas plus belle récompense que d'entendre ces mots ? Il estime que je suis digne qu'il me fasse l'amour. Je reste sans voix, relève les jambes et attends mon Maitre. Il s'approche lentement, ôte mon gode et s'enfonce en moi en râlant de plaisir. Je n'ai pas l'habitude de me faire enculer, je n'ai jamais eu de plaisir dans ces moments-là, mais pour autant, cet instant est magique, il est en moi et il va me faire l'amour... Il s'installe confortablement tout en souriant, je commence à sourire de plus en plus, il me caresse et je lâche un " merci Maitre ". Et jamais un homme ne m'a offert autant de plaisir que pendant l'éternité qui a suivi. Douceur, gentillesse, précaution... Pour un bâtard, je suis comblé. Lorsqu'il me roule une pelle, je monte au 7ème ciel et là, je ne veux plus que ça s'arrête, je veux qu'il me fasse l'amour pendant des heures, j'ai ma récompense pour mes loyaux services depuis que je suis à son service. Certes mon Maitre est sadique, mais il a mon respect, mon admiration et ma dévotion. Il sait ce que j'aime et il est de ceux, tellement rares, qui savent qu'un bâtard n'est pas qu'une poupée gonflable, mais aussi un être humain qui a simplement accepté de se plier aux exigences d'un mâle qu'il considère au-dessus de lui. Et en récompense, il me donne ce plaisir que je n'ai pas sans lui, vivant en couple, mais n'ayant pas de plaisir physique...
Cela dure longtemps, à mon plus grand plaisir, puis il se redresse et saisit ma bite, il me branle, je suis tellement excité qu'en 30 secondes, je gicle un flot de foutre incroyable, il plonge ses doigts dedans et les présente devant ma gueule, je lui suce les doigts, mon Maitre me nourrit. Lorsque tout est bien nettoyé, il saisit mes jambes et accélère ses coups de bite, il jouit, je le vois se contracter, j'admire mon Maitre pendant son orgasme. Alors il retombe sur moi, m'embrasse, me caresse et je le remercie. Il me détache, nous nous enlaçons, nous embrassons, nous caressons pendant une dizaine de minutes puis il se lève.
- Enlève tout, dit-il en ôtant sa capote pleine de sperme à laquelle il fait un noeud.
J'obéis et me retrouve totalement nu sans mes bracelets. Il m'attrape par les cheveux et m'emmène dans la salle de bains. Je m'agenouille dans la douche, il me tend sa capote, j'ouvre la gueule, il la fait tomber dedans.
Je garde la gueule ouverte, il se met à pisser, lorsque j'en ai assez, je referme ma gueule et baisse la tête pour qu'il m'asperge intégralement. Pendant qu'il s'affaire à marquer son territoire, je mâche la capote pour la percer et, lorsque c'est fait, j'aspire son jus tout en buvant sa pisse, je mange et bois mon Maitre pendant qu'il termine de me recouvrir de sa pisse. Je suis honoré par cet évènement.
Lorsqu'il a fini, il m'informe qu'il va aller se reposer un peu, bien entendu, je n'ai pas le droit de bouger et je dois laisser sécher. Je le remercie et lui souhaite un bon repos.
Lorsqu'il revient, tout est sec, ça a dû durer entre 30 minutes et 1 heure. Puis il me douche, avec gentillesse, nous la prenons ensemble, lui debout, moi à genoux dans la douche. Puis il se sèche, j'en fais autant après lui et nous allons dans la chambre, nous nous rhabillons et nous allons au restaurant presque comme si nous étions égaux sauf qu'il me tutoie et que je le vouvoie. Nous discutions, rions et passons une excellente soirée.
Le repas fini, nous retournons à l'hôtel. À peine entré, je me fous à poil et viens me mettre à genoux devant lui. Il sort sa queue et me pisse dans la gueule, j'avale tout puis il me fait monter sur le lit à 4 pattes. Cette fois, il me prend en levrette, totalement habillé, il est plus violent, plus sauvage et je le laisse faire. Lorsqu'il a terminé, je le déshabille à sa demande et il se couche. Je le regarde tel un chien triste et il se marre, j'ai un peu peur de la suite, je sais qu'il aimerait que je dorme par terre, mais je dois avouer qu'intérieurement, je veux dormir avec lui. Il doit le sentir, car il m'indique de le rejoindre dans le lit. Tellement heureux, je couine de joie et viens m'enfoncer sous la couette en me blottissant contre lui. Il m'entoure de ses bras, m'embrasse dans le cou et me caresse un peu.
- T'avais peur de dormir par terre salope ?
- Oui mon Maitre...
- Je peux encore changer d'avis.
- je sais Maitre et j'obéirai à vos ordres, mais là, je suis tellement bien dans vos bras. Et j'ai envie de profiter de ce moment le plus longtemps possible, je ne vais pas pouvoir revenir avant un moment...
Il ricane, il adore me taquiner et je tombe tout le temps dans le panneau tellement j'ai toujours la trouille de le décevoir... Il m'embrasse dans le cou de nouveau et me serre fort contre lui, j'ai l'impression qu'il est bien alors je le suis aussi. Lorsque je l'entends commencer à ronfler, j'affiche un large sourire, mon Maitre s'est endormi avec son bâtard dans les bras. Je suis fier d'être sa propriété.
Je suis le bâtard, le vide-couilles, la salope, la tarlouze, le pédé, la raclure, la lope de mon Maitre depuis bientôt 2 ans. Il a toute mon admiration et ma vénération, car il a su comment me gérer. Il sait être attentionné et compréhensif tout en restant autoritaire et sévère si je ne suis pas à la hauteur.
Je remercie mon Maitre pour être là chaque jour de la semaine, pour savoir m'écouter, m'engueuler, me réconforter, me donner ses ordres, me récompenser en fonction du plaisir que je lui donne.
Merci Maitre, merci d'être là et d'être un bon Maitre.
Yan
ftasm@yahoo.fr
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