Premier épisode | Épisode précédent
Je me réveille doucement.
Je sens la main de Thomas me caresser le bas du dos.
Ma tête est posée sur son torse, une de mes jambes par-dessus les siennes.
Je regarde ma propre main avec le sourire. Je n'en reviens toujours pas de pouvoir la poser sur un corps aussi parfait, moi le simple Cali qui n'attire pas les foules.
Je relève légèrement la tête pour voir l'heure : 11h, j'ai dormi à peine 6 heures.
Ma fleur souffre encore un peu, mais ça y est, je peux enfin m'offrir entièrement à lui... Et il en a bien profité.
Je repose ma tête sur ses pectoraux.
Thomas : "bien dormi ?"
Je grimpe sur lui et love ma tête dans sa nuque. Je lui fais des bisous tout en lui répondant "comme un bébé."
Ses mains caressent mes fesses. Je sens sa queue grossir contre la mienne.
Je sais ce qu'il veut, et j'en ai envie aussi, mais je ne le pousse pas, profitant de ce moment câlin.
Je viens prendre ses lèvres avec tendresse. L'une de ses mains vient me caresser la joue.
Thomas : "je veux pas t'obliger, j'ai passé une nuit extraordinaire mais... Tu serais d'accord pour..."
J'ai déjà tendu le bras pour attraper le lubrifiant. Je caresse un peu ma fleur puis son membre.
Alors que je rentre son gland en moi, je sens une bouffée de chaleur. Ma fleur, ultra sensible, me fait un effet de dingue.
Je coulisse lentement jusqu'à être posé sur ses larges cuisses.
Ma prostate semble tout aussi sensible que ma fleur, je suis pris de tremblements.
Je la ressors un peu puis retourne embrasser mon chéri.
Moi : "t'as vu ? Mon corps est tout à toi. Tu peux me prendre où tu veux (je l'embrasse), quand tu veux (je l'embrasse encore), comme tu veux."
Je l'embrasse passionnément.
J'aime bien le libertinage, mais c'est à lui que je veux être, je le lui montre par mes gestes à cet instant.
Ses bras me serrent plus fort.
Nos corps se mêlent dans un câlin passionné. Plus besoin de mots, il sait que je suis à lui, et je sais qu'il tient vraiment à moi.
Je me décolle de son beau torse, prenant appuie sur lui avec mes mains, et fait coulisser lentement son penis en moi.
Je perds presque mes moyens chaque fois que je la rentre à fond, mais il me tient fermement par la taille.
Thomas : "mmmhh... Putain, continue !"
Bien sûr que je continue. Je lui caresse le visage. Il ouvre ses yeux.
Je plonge mon regard dans le sien et accélère un peu.
De temps à autre je m'arrête et vais chercher ses lèvres avant de recommencer.
Je m'arrête alors qu'il est au fond et trémousse mes fesses. Je sens son membre bouger en moi.
Alors que je perds de nouveau mes moyens, il m'attire contre lui, nouveau câlin.
Thomas : "ah! C'est trop bon, mon ange ! Je t'aime !"
Il m'embrasse et me caresse tout en me maintenant bien contre lui pour rester au fond.
Je gémis de plaisir.
Il nous retourne. Il commence un long va-et-vient sur toute sa longueur, sans jamais se décoller de moi.
De toute façon, je m'accroche à lui de toutes mes forces.
Son mouvement titille ma fleur, et son gland m'electrise chaque fois qu'il est en moi.
Je pense qu'il aura des griffures dans le dos quand on aura fini.
Il me garde dans ses bras 20 bonnes minutes, je suis au paradis.
Enfin il sort.
Il me tourne sur le côté, la jambe gauche tendue sur le matelas, la jambe droite pliée pour bien ouvrir ma fleur, le torse contre le lit pour bien cambrer mon cul.
Une main sur ma taille, il guide sa queue en moi.
Il rentre son gland puis vient saisir ma nuque.
Il la rentre d'un coups.
Je cris sous la surprise et sous la vague de plaisir qui m'envahit.
Finie la douceur, il me pilonne sans retenue.
Thomas : "tu l'aimes ma queue ?"
Moi : "han ! Han ! OuiaAAH !"
Il accélère. Son bassin tape mes fesses à un rythme effréné. Le clac puissant m'excite.
Moi : "han ! Han ! Oui han ! Core !"
Il me met une bonne fessée, puis une autre.
Je cris dans le matelas alors qu'il accélère encore.
Mes mains ont viré les oreillers et s'accrochent désespérément au drap.
Thomas, essoufflé : "fff ! J't'ai bien trouvé... Jvais te prendre... Tous les jours... Compte sur moi... Ouf..."
Moi : "oui ! Han ! Site... Han! Plaît! Han !"
Il finit par un grand coup de rein et m'écrase les fesses. . Je sens sa queue déverser en moi un flot abondant de sperme.
Il se pose sur moi et me caresse tout en restant en moi.
Thomas : "ça va ?"
Je ne réponds pas. Il sort lentement.
À peine est-il dehors, je me tortille pour être face à lui et l'attire contre moi, lovant ma tête dans mon endroit favori, les larmes aux yeux. J'ai dû mal à reprendre mon souffle.
Moi : "c'était... Trop bon... Je t'aime !"
Il me serre fort tout en me calinant.
C'est à ce moment là qu'on frappe à la porte.
C'est Math.
"salut les amoureux ! Je vous apporte le petit déjeuner !"
Il porte un plateau avec café et tartines beurrées.
Il remarque mes yeux humides.
Math : "Thomas! Qu'est-ce que tu as fait à mon Cali ?"
Il s'approche, pose le plateau et me caresse le visage.
Math : "s'il te fait du mal, tu me le dis hein ?" et il me fait un bisou sur le front.
Il ressort et me jette un dernier regard avant de fermer la porte.
Thomas rigole : "je crois que lui aussi il t'aime... Ah ! Ah !"
J'aimerais rire, mais je n'ai pas encore récupéré.
Ça, c'est la petite surprise qu'il me réserve : on boit nos cafés, puis il m'emmène sous la douche. J'ai le droit à un câlin très soft, toujours dans ses bras.
Je suis encore dans un autre monde quand on ressort.
On descend avec nos affaires. La plupart sont déjà partis. On dit au revoir au proprio, qui ne manque pas de me mettre une main au cul en disant "à la prochaine".
Benji et Math chargent leur voiture.
Je fais la bise à Benji.
Math vient me voir tout sourire.
Moi : "je savais pas que vous étiez ensemble tous les 2 ?"
Math : "pourquoi ? T'es jaloux ?"
Il sourit de plus bel.
Math : "non, on s'est connu à la fac, c'est mon plan cul... Tu sais, on habite pas très loin l'un de l'autre toi et moi..."
Il rougit.
Moi : "t'es le bienvenue quand tu veux."
Il soupire de soulagement, affichant son beau sourire.
Il vient m'embrasser avec tendresse.
Math : "alors je te dis à bientôt." et il monte dans la voiture en me faisant un clin d'œil.
Je rejoins Thomas.
Alors qu'il fait sa marche arrière, je pose ma tête sur ses jambes pour dormir.
Je n'oublie pas mon nouveau doudou : je descends sa braguette et sort sa queue.
Je lui fais un bisou, la branle un peu, puis je ferme les yeux, mon jouet à la main, le gland tapotant mes lèvres au rythme des cahots de la route.
Fin de "amour et libertinage"
Cali
li.cali@yahoo.com
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