Premier épisode
Chapitre 2 | L'attente
Le lendemain matin, je me réveille avec le contact chaud de ses bras. Je souris et me blottis plus profondément dans ses bras. Il finit par se réveiller et me sourire. Je craque. Il regarde l'heure et sursaute d'un coup. Il doit rapidement partir car il a un rendez-vous assez important à l'autre bout de la ville et il ne doit pas traîner. Je suis déçu mais en même temps il a une vie et elle ne peut pas s'arrêter pour moi alors que je ne le connais que depuis peu. Il finit de se préparer et m'embrasse tendrement en me promettant de me donner rapidement des nouvelles.
Il passe la porte de l'appartement et je fais quelques pas de danse dans la joie. Je suis tellement heureux de ce qu'il m'arrive. C'est pas toujours qu'un beau gosse comme ça m'accorde autant d'intérêt. La plupart des gars que j'avais rencontré de ce style étaient plutôt du style "Je te baise et je te zappe". Mais lui semble être différent et je ne laisse pas de place au doute. J'ai envie de le raconter à mon meilleur pote mais c'est un de ses potes donc je sais déjà qu'il ne réagira pas comme je le souhaite. Puis je pense à Pauline mon autre meilleure pote à qui je sais que ça va la mettre dans tous ses états. Je l'appelle et lui raconte tout. Comme prévu elle est toute excitée d'avoir tous les détails et me demande pleins de photos. Je me rends compte alors que je n'en ai pas et que je ne crois pas qu'il a Facebook car je l'ai déjà recherché sans succès. Je lui envoie un sms pour le remercier et lui dire qu'il me manque déjà mais je n'ai toujours pas de réponse. Il doit être assez occupé donc je ne me pose pas de questions.
La journée se termine et toujours aucune nouvelle. Le lendemain rend le même et triste constat. Je me tente à lui renvoyer un sms mais toujours sans réponse j'abandonne pour ne pas faire mon harceleur. La semaine passe et aucune nouvelle de plus. Les doutes sont arrivés et je l'ai rangé dans la case des connards des mecs que je citais plus tôt. Je suis dégoûté mais je reste droit car après tout je n'ai pas non plus partagé beaucoup avec lui. Je suis juste dégoûté que mes projections mentales ne se soient pas réalisées. Moi qui pensais avoir rencontré quelqu'un avec qui partager un peu plus qu'un coup d'un soir. Et encore si on peut dire ça comme ça car on n'a même pas couché ensemble. Mais je reste un peu énervé parce que c'est pas si compliqué d'envoyer un sms pour dire à l'autre qu'il n'est pas intéressé.
Une deuxième semaine s'apprête à se terminer depuis les événements. Je n'attends plus rien de Paco et, heureusement, je passe mes journées au travail donc je n'ai pas le temps de trop penser ou de sortir. On est vendredi et Benoit m'a dit de passer cet après-midi après le boulot. Je termine mon service à 14h et file directement chez mon meilleur ami pour se faire une aprèm console. J'arrive chez lui et il avait déjà tout préparé. Plus qu'à se poser sur le canapé et jouer toute la journée. On commence à jouer et on échange sur nos vies comme on en a l'habitude. Au bout de deux heures une question me brûle les lèvres mais je n'ose pas la poser. Je cogite un bon moment puis décide de la poser de manière plus discrète.
"Et aufaite, ton pote qui m'avait ramené tu le vois souvent ou il s'est fait son réseau ?"
"Paco ? Non il a pas grand monde à part moi. Il a juste deux ou trois potes mais rien de plus. Après je le vois plus ou moins souvent. Ces dernières semaines un peu plus parce qu'il a eu un accident de moto il y a deux semaines. Il a faillit mourir et a passé une semaine à l'hôpital. Il est rentré à son appart lundi ducoup je passe quand j'ai le temps pour lui tenir compagnie. Il a la jambe droite immobilisée. Il s'en ai bien sorti le con parce que sa moto elle existe plus."
Je ne m'attendais pas du tout à cette réponse et je fais un effort énorme pour ne pas laisser paraître. Une personne normale qui connaît quelqu'un de loin et qui a un minimum d'empathie va être désolé et consolant sans pour autant en faire trop. Comment je peux jouer ça ? J'ai juste l'envie de me lever et de courir chez lui. Je sens une force en moi me compresser et les larmes en viendraient presque à monter. Je repense à tout ce que j'ai pensé de lui alors qu'il était à l'hôpital. Il faut absolument que je puisse aller le voir. Mais je n'ai pas son adresse. Je joue encore la comédie en inventant un prétexte pourri pour avoir son adresse. Heureusement Benoit ne capte rien et me la donne en pensant que c'est purement procédurier pour lui apporter de la compagnie.
Le lendemain, je me décide à aller. J'envoie quand même un sms au cas où mais je ne pense pas qu'il le recevra. J'arrive chez lui vers 15h et je sonne. Ça finit par répondre et j'entends sa voix grave à l'interphone qui me demande qui je suis. A mon prénom, j'entends un éclair de joie dans sa réponse et il me laisse entrer. J'arrive chez lui et frappe. La porte est ouverte et il me dit de rentrer. Il me crie depuis le salon pour me dire de venir car il ne peut pas trop bouger. J'en profite pour regarder son appartement et l'atmosphère est très légère. La décoration est bien ordonnée et je sens que c'est quelqu'un qui prête aux détails.
J'arrive vers lui dans le salon et il me regarde avec un grand sourire. Dans le doute des deux semaines passées, je lui fais une bise et une accolade. Je lui dis que j'ai appris qu'il avait fait un accident et que Benoit m'avait donné son adresse. Je regarde les dégâts et sa jambe droite et dans le plâtre total jusqu'à la cuisse. Il a plusieurs éraflures plus ou moins importantes sur les bras et le visage et quelques ecchymoses. Ça ne lui enlève en rien sa beauté et il me dit de m'asseoir à côté de lui. Je n'ai pas commencé à parler qu'il s'excuse de pas avoir donné de nouvelles.
"Yo' je suis vraiment désolé de pas avoir donné de nouvelles. J'ai eu l'accident en partant de chez toi pour aller à mon rendez-vous. Dans l'accident j'ai explosé pour portable et j'avais que ton numéro pour pouvoir communiquer avec toi. J'ai hésité à demander à Benoit mais il ne sait pas pour moi et il n'y aurait aucun intérêt à ce que je lui demande ton numéro donc il aurait eu des soupçons. En plus j'ai pas Facebook ducoup je ne pouvais vraiment pas te retrouver."
Son regard me fait fondre et je lui renvoie mes propres excuses d'avoir pu penser qu'il était un connard et que je ne pensais pas une seconde qu'il avait eu un accident. Il rit en me demandant ce que je pensais de lui et assez honteusement je lui raconte mes pensées. Il rigole et me prend la main et me rassure qu'il ne fait pas partie de la catégorie de ces connards et pour le prouver il prend mon visage dans ses mains et l'attire à ses lèvres. Je l'aide dans se rapprochement car je n'attendais que ça. Je retrouve ses lèvres contre les miens et instantanément mon pénis commence à prendre plus de place. Je tente de prendre une autre position plus confortable mais ma main rippe et tape malencontreusement le plâtre de Paco. Il pousse un gémissement et je le recule en me confondant en excuse. Il semble vouloir sourire pour me rassurer mais la douleur l'en empêche et il se contente d'un "T'inquietes c'est rien". Quand la douleur s'apaise il me sourit et me dit que c'est devenu un peu plus compliqué pour être confortablement installé. Ça ne l'empêche pas de me redemander un dernier bisou. Je vois qu'il est aussi excité car une bosse grossit dans son caleçon. Et autant dire que ça se voit beaucoup car il est obligé de porter des shorts un peu court à cause de son plâtre.
On entend soudainement sonner à la porte et en une fraction de secondes je stresse en pensant à que ce soit Benoit. Puis la poignée se tourne et la porte s'ouvre. Apparaît alors un mec qui doit avoir 25 ans. Il est de taille moyenne, les cheveux un peu plus long sur le haut du crâne et une mâchoire assez carrée. Il semble plutôt bien foutu et je me demande qui cela peut bien-être vu qu'il n'a pas beaucoup d'amis. Mais ce qui est sûr c'est que le gars est super canon. Paco et le jeune homme se saluent et je le vois aussi me regarder plus ou moins surpris. Paco fait les présentations et j'apprends que ce mec prénommé Samuel est son infirmier qui passe pour les soins. D'après Paco, il passe tous les jours pour voir l'état et lui faire la toilette car c'est encore trop douloureux pour lui de le faire seul. Il ne me faut que 2 minutes pour comprendre que ce Samuel est gay et qu'il est en kiff total sur Paco. Je le sais parce qu'il aussi rapidement capté que je suis sur Paco et me place en concurrence. Il commence alors sa routine et je l'observe avec attention. Je cerne vite son jeu qui consiste à parler de leur bref passif depuis l'hôpital et où il laisse induire une proximité. Et dans le même temps, il met en avant ma présence comme le fait que je sois nouveau car il ne m'a pas vu en deux semaines. Je sais très bien ce qu'il fait et ce comportement peut généralement m'énerver. A vrai dire il m'énerve au fond car je suis sûr qu'il s'est passé quelque chose. Mais d'un autre côté pas totalement car le mec est sacrément bien foutu et je pourrais presque être excité à l'idée de les imaginer. Mais Paco intervient et lui raconte notre histoire en dissimulant notre nuit ensemble. Mais je sais bien que Samuel a fait le lien et je le regarde discrètement avec un sourire en coin du style "je suis le premier". Je vois bien qu'il ne compte pas lâcher le morceau car il répond une phrase dont je ne me souviens plus en me faisant un clin d'oeil. Sa réponse évoquait comme un challenge et je comprends qu'il est encore plus motivé à me challenger. Il attaque d'ailleurs directement en l'emmenant le laver, me laissant seul dans le salon. Il n'oublie pas de me sourire largement en disparaissant vers la salle de bain.
Je reste seul sur le canapé et je l'entend faire des commentaires dont je sais qu'ils me sont destinés. Je reste au fond du canapé un peu tendu. Mais ce qui m'énerve le plus c'est que j'ai une demie molle qui ne veut pas s'arrêter. Pourquoi cette situation me fait bander bordel ? Enfin la réponse je la sais je ne veux pas me l'avouer. L'infirmier est canon et ses provocations ne me donnent qu'une envie : le baiser.
Il termine sa toilette et le ramène sur son fauteuil. La situation tourne alors à mon avantage car lui doit partir. Je ne me gêne pas pour lui envoyer des petits pics à mon tour. Particulièrement quand je le remercie en lui disant que je prends le relais pour bien occuper de lui. Il sourit jaune et me dis qu'on se reverra sûrement alors, ce à quoi je lui répond par l'affirmative.
Samuel sort de l'appartement et Paco n'attend pas 10 secondes avant de me demander c'était quoi cette tension et ce qu'il venait de se passer. Je ne lui répond que par une question "Qu'est-ce qu'il se passe entre vous deux ?". Il sourit.
"Ah c'est de la jalousie c'est ça ! Ahaha. Il était mon infirmier à l'hôpital et il fait aussi mon suivi à domicile. Il m'a allumé plusieurs fois et il m'a déjà proposé son cul quand je serai libre de ses mouvements."
"Oui et ?"
"Et quoi ?"
"Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Me la joue pas à l'envers je sais reconnaître quand il y a que de l'allumage ou quand il y a plus. Parce que vu son état c'est que tu accèdes à ses demandes ou du moins que tu n'as pas mis de stop."
"Oui c'est vrai j'ai pas mis de stop, j'avoue. Après il est mignon et ça me passait le temps de flirter avec."
"Oui enfin il fait quand même ta toilette donc il fait plus que flirter là. Il s'est passé quoi ?"
"A l'hôpital rien. Puis ici il a commencé à me branler et hier il m'a sucé mais c'est tout. T'es jaloux ?"
"Jaloux ? Je sais pas. Peut-être bien oui mais d'un autre coté il est super canon."
"Tu comprends donc mon avis. Imagine je suis ton infirmier et je te caresse avec mon gant de toilette en t'allumant. Tu accepterais pas ?"
Sa phrase m'allume en deux secondes rien qu'en imaginant la scène. Je lui demande alors s'il a fait quelque chose aujourd'hui. Paco rigole un peu choqué en me disant que je suis fou et qu'il n'aurait jamais fait ça ici avec moi à côté. Il prend ensuite ma main et d'un ton plus grave et sérieux, il me dit que je peux satisfaire mon envie. Sur ces mots, il place ma main sur son paquet et, sa main plaquée contre la mienne, se frotte le paquet. Son regard est devenu sérieux et viril. L'atmosphère change en quelques secondes et je le laisse se caresser le paquet avec ma main pendant qu'il me dit toutes sortes de phrases qui n'ont que pour but de m'exciter. Il me parle de toutes ses nuits où il a pensé à moi, de cette nuit contre mon corps. Il cherche à me faire le plus explosé en me disant qu'il a rêvé toute la nuit à me faire l'amour mais qu'il ne se l'est pas autorisé pour garantir le lien avant la baise. Sa main me laisse seule palper son énorme paquet tandis qu'elle part se poser contre ma queue qui n'en peut plus.
"Yohan, fais moi un striptease. Allume moi comme jamais on m'a allumé"
Je prends ses mots comme un ordre et me lève pour mettre de la musique sur son enceinte. Après avoir choisi une bonne musique, je commence à me mettre en mouvement. Je suis d'abord un peu hésitant car ce n'est pas dans les habitudes mais très vite je me prends au jeu car je suis carrément excité. J'y vais doucement et joue beaucoup sur le regard. Il ne me quitte pas une seconde de ses yeux bleu vert. Sa main gauche contre ses pectoraux et sa droite dans le caleçon à se palper la queue. J'enlève mon tee-shirt premièrement et caresse mes abdos. Je sais d'après ses compliments qu'il est fou de mon corps et de mes abdos alors je joue avec eux. Je m'approche ensuite de lui et enlève son polo. Il est sacrément bien foutu et le voir caresser ses pectoraux me rend dingue. Je continue mon striptease en bougeant bien mes fesses. Puis au fur et à mesure je me retrouve nu face à lui. Entre temps il a baisser son short et boxer en bas de ses fesses pour pouvoir se branler aisément.
Je décide de le prendre à son jeu de m'avoir allumé. Il est évident qu'on ne pourra pas baiser avec son plâtre et que je ne pourrai que le sucer. M'allumer de cette manière me provoquera forcement de la frustration car mon cul est en feu. Je décide donc d'y aller encore un peu plus fort quitte à ne pas pouvoir baiser. Je m'approche alors de lui et frotte mon beau boule bien rond contre son corps. Il me caresse de ses mains et je vois qu'il est à fond. Je m'éloigne alors et me met à 4 pattes et commence a faire des mouvements plus lassifs et carrément sexuels. Je cambre, offrant mon cul à quelques mètres de lui. Lui qui ne peut pas bouger. Je sens sa frustration et j'en rajoute en commençant à me caresser l'anus. Il soupire et je rentre un premier doigt. Au même moment où je le rentre je me dis que je suis en train de me frustrer autant que lui et que j'ai trop envie d'une queue pour me baiser.
C'est là que mon souhait se réalise car j'entends à l'autre bout de la pièce une voix masculine.
"Mais qu'est-ce que c'est que ce délire ?"
C'est Benoit qui était arrivé. Aucun de nous deux ne l'a entendu arriver car trop pris dans notre excitation. Je me redresse sur la surprise et Paco pousse un petit gémissement car sur la surprise il s'est mis un coup à la jambe. Il dit avoir zappé que Benoit devait venir. On était tous les deux nus et on etait un peu mal à l'aise. Surtout moi face à mon meilleur pote. Je ne savais pas quoi faire.
"On parlera après d'accord ? Là on a d'autres affaires"
C'est Benoît qui venait de dire ça en s'approchant de moi. Il sort sa queue en demie molle et me la claque sur le visage avant de me la mettre en bouche. Je ne capte pas trop ce qui vient de se passer. Je connais Benoit depuis des années et c'est mon plus proche meilleur pote et on a tout partagé sauf ça. Et a aucun moment j'ai pensé qu'il en serait capable même dans les phases où je voulais tenter quelque chose avec lui. Parce que Benoit est aussi un canon de beauté avec un corps svelte et finement musclé un peu du style cycliste. Il est peu poilu, grand et blond. Il a une queue que je connais bien car je l'ai souvent vu nu. Elle est longue et fine. Un bon 20cm et une queue légèrement incurvée vers le haut. J'en avais entendu les éloges des meufs mais n'avait jamais pu tester. On dirait bien que ce temps est révolu.
Je suce maintenant sa queue bien dure et je l'entends faire ses commentaires. Paco observe bien excité et se branlant consciencieusement. Benoit me retourne pour me doigter et je me retrouve avec la queue de Paco en bouche. Je suis tellement heureux de la retrouver et de la lécher comme il se doit. Elle n'a pas perdue de sa prestance et s'impose avec largeur. Il me tarde de la sentir en moi. Je fais attention à ne pas mettre de coups pour ne pas lui faire mal. Il est en extase et je sens Benoit derrière moi avec ses doigts dans mon cul. Il est comme un dingue et je ne l'ai jamais vu dans ce contexte mais il dégage pas mal de virilité et de pouvoir sexuel. Il est excité au possible et continue ses commentaires en disant qu'il a toujours voulu me baiser comme une chienne dans ses plus obscures désirs. Il claque sa main contre les fesses. Et sors une capote. Paco glisse sa main sous le sofa et sort du lubrifiant. Il me dit de m'approcher et je me place à quatre pattes sur le sofa. Il commence alors à me doigter avec le lubrifiant et rentre rapidement 3 doigts bien durs. Voyant la scène, Benoit attend un peu avant de mettre la capote et vient me remettre sa queue en bouche. Il me baise littéralement la bouche et il soupire d'aise pendant que j'essaye de reprendre mon souffle. Il se recule ensuite pour mettre sa capote et me place, toujours sur le canapé, en parallèle à Paco et à quelques centimètres pour qu'il ne rate rien de la scène tout en pouvant nous toucher.
Je sens en moi la queue bien raide et longue de Benoit qui n'y va pas très doucement. Il arrive rapidement au garrot et commence ses vas et viens. Il commence alors à me baiser comme un animal. C'est un putain de baiseur bordel ! Je gémis en l'incitant à continuer et il me demande de le supplier encore tout en me giflant les joues. Il est déchaîné et décroche aussi quelques gifles à Paco et en le masturbant un peu. S'en est trop pour Paco et il part en extase crachant de nombreux jets sur son torse musclés.
Benoit me tourne alors pour que je nettoie la bite de Paco et repart dans mon cul à grands coups. Finalement il se retire et enlève la capote. Il me met à genoux et se branle à 2 cm de mon visage en me fixant et en sortant toutes ses pensées sur le bon passif que je suis. Il me décroche quelques gifles avant de gicler plus d'une douzaine de jets de sperme bien frais sur mon visage. Il ne retient aucun de ses râles et semble peu concerné sur le fait qu'il y ait des voisins. Il me remet sa queue en bouche et me relève pour me lécher le visage et me rouler une pelle. C'est la première fois que je l'embrasse et sa langue vient me chercher bien profond. Il n'y va pas mollement. Ses mains serrent fortement mes fesses et il continue d'onduler nos corps comme s'il baisait encore. Il prend ensuite ma queue en main et la branle. Contre toute attente, il se met à genoux commence à me sucer comme un déchaîné. Je lui dis que je vais venir et il continue de me branler à toute vitesse la bouche grande ouverte. Je finis par jouir dans sa bouche tout mon jus. Il se relève et vient m'embrasser puis se dirige vers Paco qui nous regardait et qui avait repris de la force. Il commence alors à faire le même procédé à Paco et récupère son jus de sa deuxième éjaculation et l'embrasse à pleine bouche.
On finit par s'affaler sur le sofa épuisé de cette baise de ouf. Je me colle contre Paco et Benoit vient derrière moi me retrouvant pris en sandwich entre les deux. Ils me caressent et s'embrassent. Je ne m'attendais pas à vivre ça un jour et j'en suis plutôt heureux.
Une fois qu'on a repris nos esprits et s'être nettoyé, cette fois-ci c'est moi qui ai nettoyé Paco, on commence à reparler sérieusement de ce qu'il s'est passé et on explique la situation à Benoit avant qu'il ne s'explique sur son envie de me baiser depuis tout ce temps. Paco précise toute fois qu'il veut refaire ça quand il pourra marcher et être libre de ses mouvements. Ce à quoi on accepte instantanément. On passe la soirée ensuite à jouer et rigoler sans trop revenir sur la baise et sans montrer plus d'excitation. Benoit finit par partir et Paco me demande de rester dormir avec lui, ce que j'accepte sans besoin d'arguments.
Ninemark
ninemark@hotmail.fr
Autres histoires de l'auteur :