Souvenir personnel
Dans des lieux de drague de type backroom, on y fait de drôle de rencontre, et on y fait parfois des choses insolites, voir exceptionnelles.
Dans un de ces endroits, je suis tombé sur un bel arabe très mince, très fluet. Il était très typé et sexy, voir excitant. Il finit par me regarder intensément. Il m’aborde en me disant qu’il peut jouir sept fois de suite. A mon avis, c’est du mytho. Il m’est arrivé de faire deux voir trois fois de suite. Mais sept ? Ca me parait exagéré. Il le fait en sept jours mais pas en une heure. La suite des évènements va me prouver le contraire.
En guise de présentation, il me demande pour de l’argent. J’ai refusé immédiatement. Tous les mecs qui se "putainisent" de la sorte, sont des mauvais coups. En tout cas, ceux dont j’ai payé la putainerie, se sont révélé être de véritable brêlouses sexuelles. Tout est bâclé et mal fait. Quand on ne paie pas, on est mieux servi et moins déçu.
Un baltringue de moins, sauf qu’il est revenu à la charge, en évitant le sujet vénal cette fois. J’ai accepté avec beaucoup de méfiance. Des fois qu’il change d’avis après avoir tiré son coup. Il va jouir une fois et va me demander de payer pour continuer à jouir. C’est sûr. Dans tous les cas je m’en vais après son éjaculation. Il ne fera pas les autres.
Sur ces entre fait, on s’isole dans une cabine. Il baisse son pantalon et son slip au bas des chevilles, et commence à se masturber. Je baisse mon pantalon, il me retourne sans ménagement et me penche contre le banc lit. Il baisse mon slip sous mes fesses, met ma chemise derrière ma tête, sous mon menton. Mes bras sont couverts par mes manches de chemises Je m’aplatis sur le banc pendant qu’il me donne une fessée en se raclant la gorge pour cracher sur mes fesses. Il crachait sur mes fesses en frappant avec sa main libre, sans discontinuer, pendant qu’il se masturbait de l’autre. Ou trouve-t-il toute cette salive, personne ne sait. Mais il crache bien.
J’adore les crachats et certains mecs sont de grands spécialistes en crachat. Ils peuvent cracher toutes les deux secondes. En plus, ils connaissent toutes les tactiques de crachat :
- ils pratiquent une projection classique après s’être raclé la gorge
- ils compriment le jet de salive entre la langue et les dents
- ils gonflent la joue pour souffler un crachat
- ils font un grand "O", avec les lèvres pour souffler un jet de salive
- ils tirent la langue entre les dents et projettent le crachat qu’ils ont confectionné
N’oublions pas les mollards et les glaviots. Ils reniflent la morve et jettent une saveur que j’apprécie énormément. Eh oui, un bon glaire, bien épais, dans mon cas, ça ne se refuse pas.
Parmi tous les cracheurs que j’ai vus, les arabes ont un potentiel impressionnant de salive pour cracher sans interruption. Je l’ai souvent observé. Celui-ci n’en faisait pas exception.
Pour en revenir à la situation dans la cabine fermée, plan masturbation, fessée, crachat. Tout à coup, une série de jet de sperme, bien lourd, épais ont aspergé mon slip, mes fesses, mon dos, jusqu’à ma nuque. Il devait y avoir plus d’une vingtaine de jets de sperme, au moins. J’aurais dû les compter. Le chiffre aurait été intéressant, j’en suis sûr.
Après un court instant, je me suis redressé, ce qui a fait dégouliner le sperme du dos jusqu’au slip (déjà douché probablement par une des projections). Pendant qu’il reprenait son souffle, je le suce avec regret car j’aurai voulu tout avaler tout ce qu’il m’a envoyé. J’adore le sperme d’un mec qui m’excite avec son visage typé de bête de sexe. Même si c’est un mufle sans éducation, qui "putainise" ses excitations.
Pendant que je suçais sa bite sèche de sperme, en attendant qu’il reprenne son souffle, il me repousse légèrement et me dit : "Pas tout de suite. Attend. Ca va venir". Effectivement, on remet ça. Il se masturbe de nouveau et recommence le même manège. Il me retourne, fessée, crachats sur mes fesses, masturbation.
Il faut dire que pour les fessées, il le faisait très bien également. Ca piquait agréablement, sans faire mal. Il aurait pu faire ça pendant des heures. J’aurais été capable de somnoler pendant cette fessée, tant c’était décontractant. Ca claquait bien, bruyamment avec les crachats en prime, ça faisait comme un massage.
Et comme tout à l’heure, probablement plus d’une quinzaine de giclée vigoureuses, puissantes et copieuses comme la précédente inondaient ma nuque, mes épaules, mon dos, mes fesses, et mon slip. J’ai commencé à compter les giclés en loupant celles du début. On était proche de la vingtaine.de jets. La quantité éjaculatoire était la même que la précédente. Et, comme au début, je me relève pour le sucer, dans l’espoir de gouter quelque chose. Il me repousse légèrement comme la première fois et me dit la même chose : "Attend. Pas maintenant. Voilà. Maintenant, c’est bon". Il me retourne, en se masturbant, fessant et crachant sur mes fesses. Il lui faut moins d’une minute de récupération après une éjaculation, pour en reprendre une prochaine dans les deux qui suivent. Je n’ai jamais vu ça de ma vie.
Mes fesses claquent agréablement et bruyamment. Les volées de crachat aussi raisonnent bruyamment derrière la porte de la cabine. J’imagine ce que les gens qui passent derrière la porte de la cabine doivent se faire tout un film. Le claquement des fessée et le bruit des raclements de gorge et les crachats ; ça s’entend bien. Surtout que le bruit doit raisonner dans toute la salle du backroom. Tant pis, ils en seront quitte pour un fantasme torride. Qu’elles sont bonnes ses fessées. Et que ses crachats sont délicieux. J’aurais tant voulu recevoir ses crachats dans ma bouche et sur mon visage plutôt que sur mes fesses. Lui a la totalité de son plaisir, et je n’ai qu’une partie du miens. Je n’ai que la fessée seulement. Il me manque ses crachats dans ma bouche et sur mon visage et la totalité de son sperme giclé directement dans ma bouche (sept fois de suite d’après ce qu’il dit). Avec ce qu’il vient de faire, j’avais encore des doutes.
Tout à coup, sans prévenir, ça part. Quinze giclées. Cette fois-ci, j’ai compté. Il y en a un peu moins que les deux premières ; c’était évident. C’est un être humain après tout. Les premières giclées étaient plus copieuses, c’est clair, mais quel homme. Un étalon de cet acabit, je n’en ai jamais rencontré. Evidemment, en me redressant, le sperme dégoulinant, comme les fois précédentes jusqu’au slip qui était devenu une éponge à sperme. J’étais humide du haut de mes cuisses au pourtour de mes fesses. Sans oublier mon dos, ma nuque, mes épaules et mes cheveux cette fois-ci. Moins de giclées mais ça va loin. D’ailleurs une de ses giclés foudroyantes, est allé se coller au mur. Qu’est-ce que ça sent bon le sperme d’un mec excitant.
Un mec excitant, c’est un mec idéal pour la baise. Un mec qu’on aime, on le respecte, on baise moins bien et on le trompe dès qu’on peut. Avec un mec excitant on est échangiste, ou volage sans conséquence. J’aurai aimé avoir un mec comme ça dans ma vie. En moins mufle.
Cette sensation de sperme sur ma peau me rendait fou de bonheur. J’ai encore essayé de le sucer. Mais, j’ai vu qu’il allait encore manifester le même mouvement de recul. Sachant qu’il me laissera à peine sucer sa bite, j’ai décidé de lui lécher ses jolies cuisses, très minces. J’adore les jolies cuisses des beaux mecs. Peloter, embrasser, lécher les cuisses d’un beau mec, est un plaisir qui vaut le détour. Je peux lécher des belles cuisses très minces comme les siennes pendant des heures. Ca remplacera le suçage de bite sèche. Sa réaction a été la même pour ses cuisses. "Attend encore un peu. Ca va venir. Attend. C’est bon. Ca part." Il remet ça après à peine une minute de souffle comme les premières fois.
En pleine excitation, il me retourne et recommence à se masturber en claquant mes fesses inondées de sperme et de crachats des fois précédentes. D’ailleurs, il n’arrête pas de cracher bruyamment en fessant. Au bout d’un moment, ça part. Il m’a mis une bonne série de six giclée, cette fois. Cette série de giclées arrivaient jusqu’aux épaules, pour la première, en tout cas. Les autres jets étaient un peu plus faibles. Les deux derniers jets ont atterri, sur les fesses et mes cuisses. Il a même tenté de baisser mon slip plus bas sans résultat. J’étais cambré et il avait l’autre main prise pour sa prochaine masturbation. Il reprend son souffle et cette fois-ci, au lieu de le sucer ou de lui lécher les cuisses, j’ai voulu l’embrasser sur l’une de ses joues plutôt que ses lèvres, de peur qu’il me repousse. Hélas, un petit mouvement de recul de sa part.
Là je me suis posé quelques questions pendant qu’il se tenait la bite en attendant une érection nouvelle.
Il peut avoir son plaisir, et en échange je n’ai, ni son sperme, ni ses crachats dans ma bouche, et je ne peux même pas l’embrasser, ou lui lécher son visage bien typé. De son côté, il voulait de l’argent, gicler sept fois. Je lui laisse tous ses fantasmes et moi je n’ai pas grand-chose en échange. Alors que faire ?
Comme prévu, il est nouveau excité. "C’est prêt, allez encore, vite". Il me retourne et recommence à se masturber en ponctuant les claquements avec ses crachats sur mes fesses. Evidemment, la cinquième éjaculation arrive. Quatre giclées dont la dernière est moins gicleuse que les trois premières. C’est impressionnant, il faut reconnaitre. Je l’ai laissé se calmer et reprendre son souffle, comme les fois précédentes. Seulement, cette fois j’ai remonté mon slip bien juteux comme je l’aime (un autre de mes fantasmes). J’aime quand mes vêtements sont inondés de sperme.
Bref, je mets ma chemise sur mon dos immaculé de sa semence, avec la sensation agréable du sperme refroidi. Je remonte mon pantalon. Voyant ce "spectacle", mon acolyte, s’inquiète.
"Attend, je veux faire deux fois encore". Je suis parti. Et il pouvait largement les faire ses deux fois restantes. Cette fois, je le crois quand il dit qu’il peut jouir sept fois. Il était bien capable de faire sept éjaculations en quinze minutes. Quand il est sorti de la cabine, je me suis dit : "quel mufle. Il veut me faire payer le plaisir qu’il prend à mon insu, contre moi-même. La prochaine fois, il se putainisera ailleurs."
J’aurais tellement voulu avaler son sperme. Mais au fait, la giclée sur le mur de la cabine … Vite ! Pourvu que personne n’y soit.
Malheur, un couple y entre. J’attends vingt minutes avec le secret espoir qu’ils ne l’ont pas effacé pendant leurs ébats. Quand ils sortent enfin, j’y entre et cherche en vain la giclée de sperme qui a disparue. Probablement, le couple en déposant ses vêtements sur le banc lit, a effacé ma friandise.
Il ne me restait plus que mon slip trempé que j’ai laissé sécher en rentrant à la maison. Je l’ai gardé quelques années pour renifler les effluves de mon étalon. Il m’est souvent arrivé de le mettre pour y mélanger mes effluves avec les siennes. Malheureusement, j’ai pris du poids et j’ai jeté le slip.
Comme un malheur n’arrive jamais seul, j’ai suivi un régime récemment, pour des raisons médicales, et j’ai retrouvé mon poids taille s. La taille du slip de sperme.
Quel mufle, je ne sais même pas son nom, et il ne sait-pas le mien. Est-ce qu’il s’appelle Hafed, Abdelwahab, Hakim, Adil ou Taoufik. Impossible de fantasmer sur son prénom.
Pour conclure, eh oui un mec peut jouir sept fois de suite en moins de vingt minutes.
Si on le laisse faire bien sûr.
Boloc
celtilio010559@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :