Dans mes souvenirs, je parle souvent des lieux de drague hétéros. Je vais tenter d’aborder cette fois-ci les lieux de drague homo que j’ai fréquenté pour traiter un sujet dont je suis rétif : la sodomie. Je vais souvent chez les hétéros pour éviter cette pratique. Je déteste la sodomie. Même quand on me le demande. Pourtant je n’ai-pas eu que de mauvaises expériences. Parmi toutes les expériences que j’ai vécues, j’en ai eu au moins une bonne, très classique, et une autre très bonne et plus torride. Voyons la plus classique pour commencer.
En face du "Méry", salle de cinéma porno hétéro dont j’ai parlé dans un de mes opuscules, il existait un ancien sexe club. C’est là que j’ai fait la connaissance d’un danseur de ballet contemporain qui m’a abordé dans un sexe club à Paris. On s’est isolé dans une cabine, il m’a sucé. Aïe ! Il m’a mordu, et ça fait mal. Ensuite, il a voulu se faire pénétrer. J’ai accepté avec beaucoup d’appréhension à cause des mauvais souvenir que j’ai eu. J’y suis entré facilement, car il avait probablement préparé ses fesses avant de venir dans cet établissement. En sortant ma bite de ses fesses : tout était propre. Après cette assurance, j’étais agenouillé contre ses fesses, alors qu’il était à quatre pattes sur le banc lit de la cabine. Pénétration, gigoteries dans ses fesses, puis éjaculation.
Après avoir éjaculé sur l’écran vidéo de la cabine, on en a profité pour bavarder ? C’est là que j’ai appris qu’il était danseur de ballet contemporains. De son côté, il a découvert que j’étais un passionné des ballets classiques et contemporains. On a donc échangé nos goûts en matière de stars masculines de la danse, du plus sexy au plus talentueux. On a également parlé des chorégraphies contemporaines les plus scabreuses qu’on a vue.
J’ai revu ce danseur [dont j’ai oublié le nom] une deuxième fois, dans ce même sexe club pour la même manœuvre. J’ai bandé, et il m’a mordu pour la deuxième fois (il m’a fait très mal cette fois). J’ai rebandé dans ses fesses pour un pilonnage comme la fois précédente.
Quand toute la partie de jambes en l’air a été réglée, on a discuté ; mais sodomie cette fois.
Je lui ai expliqué mes appréhensions concernant tous les "accidents" dû à la pénétration. Il a été choqué de savoir que des gens ne se préparent pas les fesses avant une sodomie. Il faut savoir que les films pornos diffusent des sodomies à sec, et ne filment jamais la préparation qui précède l’image qu’on voie sur l’écran. Les gens font ce qu’ils voient à l’image. Voilà le problème.
Un grand débat en perspective, mais qu’ai-je pensé de ce que nous avons fait ?
Pour moi, cette position sexuelle ne me donne rien de particulier sur le plan de la sensation. La levrette n’a de valeur que dans le monde pornographique. Si on regarde bien ces films, on constate que cette position permet de mater les cuisses et les fesses du sodomiseur, car les muscles de ses fesses et de ses cuisses sont sous tentions. En analysant bien ces images, on constate que la pliure du genou fait bien ressortir les contractions musculaires des cuisses. Sans oublier les va et vient du pilonnage qui durcissent les fesses du sodomiseur, au fur et à mesure que ces deux muscles se tendent et se détendent. C’est ça qui donne à l’image une belle vision de cette gymnastique sexuelle. Le voyeur en prend plein les yeux. Encore faut-il le filmer de profil pour donner au voyeur sa délectation visuelle.
En réalité, je dois reconnaitre que c’est bon de bander dans les fesses d’un mec qui nous plait, quelle que soit la position sexuelle pratiquée. Et c’est bien l’attirance qu’on a pour le mec qui nous fait mieux ressentir sa température corporelle pour nous procurer une cette excitation.
Pourtant, j’ai trouvé ces deux expériences sodomiques très schématiques, et sans aucune sensualité particulière. En résumé, ce danseur était très beau mais n’avait pas de charme. Cette critique concerne la plupart des danseurs de ballet que j’ai eu dans mon intimité. Evidemment, ce n’est que mon avis personnel. Toutefois, je dois reconnaitre qu’un danseur classique russe [Viktor] dont j’ai fait la connaissance dans un sauna homo plusieurs années après cette histoire, m’a laissé un bon souvenir. Et c’est le seul. On ne peut pas juger toute une population de danseur de ballet sur les danseurs que j’ai connu. Eh oui, j’en ai connu beaucoup, et ils m’ont donné un résultat global plutôt pas terrible. Il faut reconnaitre que je ne connais-pas la profession de tous les mecs qui ont partagé mon intimité. Il se peut que j’ai eu d’autres danseurs plus sexy sans le savoir. Dans les lieux de drague homo, je les attire facilement. Ils doivent avoir un sixième sens qui les guident vers moi. Comme s’ils se doutaient que j’étais bon public de leur talent.
La deuxième expérience a été un peu plus torride. Jugez-en.
Le deuxième garçon que j’ai sodomisé avec plaisir était un bel informaticien. Il s’appelait Thierry. Et voici comment se sont passés nos deux rencontres, car il y en a eu deux comme le danseur, et dans le même sexe club.
Il m’a accosté en me demandant de boire ma pisse. J’ai accepté tout de suite. Pour commencer, on s’est isolé dans une cabine, et on s’est déshabillé. Après s’être embrassé sur la bouche, il s’est accroupi pour me sucer en caressant mes cuisses pendant que je pissais doucement pour qu’il puisse tout boire. Le goût de ma pisse devait être assez puissant car il ouvrait grand la bouche après chaque gorgée pour faire entrer de l’air avant de poursuivre sa succion pour boire les jets suivants. Quand il a fini de tout boire, il s’est redressé. Je l’ai embrassé sur la bouche pour profiter du goût de la pisse que je lui ai donné. En effet, son haleine était un urinoir public. J’ai adoré le goût de ma pisse. J’ai compris pourquoi il ouvrait sa bouche. Il faisait rentrer les effluves urinaires puantes qu’il a absorbé avec de l’air pour rôtir ses bronches. Je connais cette sensation, miam, miam.
Ensuite, il a commencé par mettre un peu de vaseline à l’ouverture de ses fesses. J’ai compris qu’il voulait se faire sodomiser. Je ne sais-pas si c’est son haleine qui m’a excité, mais je me suis allongé sur le banc lit contre lui, la bite bien au chaud à l’intérieur de ses fesses. C’était très bon. Il avait des fesses qui sucent. Une de mes mains caressait ses cuisses et ses balloches (en chatouillant ses poils pubiens avec un de mes doigts). L’autre main tenait doucement sa cage thoracique, juste en dessous du téton. Surtout, ne pas pincer ses tétons comme on le voie trop souvent dans le porno, hélas. Chez moi, pincer les seins, c’est un tu l’amour. Pendant ce temps, je léchais et suçais sa joue tout doucement, pour ne pas lui laisser de marque. En suçant son visage, j’avais son souffle mélangé au le mien, avec un petit son de délice [hum, hum…] qui n’a rien à voir avec ces hurlements pornographiques, que font les homos. Les saveurs de sa joue mélangées à son haleine de pisse forte, sans oublier les caresses de mes mains baladeuses sur ses cuisses, mélangées à la chaleur de ses fesses qui emprisonnaient ma bite… Un plaisir intégral. Mais que demande le peuple ?
J’ai changé de main et de joue pour accomplir la même manœuvre afin de goûter mon mec du mieux que je puisse faire. J’aurai voulu rester dans ses fesses plus longtemps, mais j’avais peur que ça lui fasse mal. Je me suis redressé, il m’a sucé pendant que je me masturbais. Et tout est parti. Mon sperme a jailli en deux ou trois giclées dans sa bouche. Il a tout avalé. Quand il s’est redressé, je l’ai embrassé sur la bouche pour goûter les nouvelles effluves de pisse et de sperme mélangé. Mais que c’est bon ce que je lui ai donné. J’aurai voulu être à sa place. Il a de la chance d’avoir bu et avalé ce que je lui ai donné.
La deuxième fois qu’on s’est vu dans cet endroit, on ne s’est rien dit. Je savais ce que je voulais de lui, et lui de moi.
On s’est isolé dans une cabine pour nous déshabiller en paix. Il m’a sucé, et comme la dernière fois, j’ai pissé jet par jet, au fur et à mesure qu’il buvait. Quand il a fini de tout boire, il s’est redressé en me disant :
"t’as vu ? j’ai tout bu. J’ai tout bu." Il avait l’air d’avoir accompli un exploit. Je ne sais-pas s’il a oublié ce qu’on a fait la dernière fois.
De mon côté, je l’ai embrassé sur la bouche pour goûter son haleine moins forte que la fois dernière. J’aurai du manger plus épicé, ou plus salé. Ensuite, je l’ai sodomisé de la même manière, c’est-à-dire allongé sur lui en lui caressant les cuisses et lui suçant la figure. Contrairement à la fois précédente, il bandait terriblement. J’aurai tellement voulu le sucer pour boire sa pisse et avaler son sperme, mais j’étais trop occupé par ma voracité sexuelle. Le problème, c’est que j’étais préoccupé par la chaleur de ses fesses et la sensualité de son corps. On ne peut pas savoir le plaisir qu’on a de prendre la température avec sa bite, à l’intérieur des fesses d’un mec qu’on aime, pendant qu’on l’aime. C’est là qu’on découvre le plaisir de la sodomie. Après la pénétration torride que je lui ai donnée, il m’a resucé, et a commencé à me lécher les cuisses.
Il faut savoir que mes cuisses (au-dessus de la pliure du genou jusqu’à la naissance de mes fesses) sont les zones les plus érogènes de tout mon corps. Il l’a senti tout de suite. Il léchait toute la longueur de la cuisse, en s’arrêtant vers points les plus sensibles. Il poursuivait mon agréable supplice, jusqu’à mes poils pubiens dont il titillait le pourtour de mes cuisses. Il était probablement guidé par mes soupirs, mes tortillements de plaisir et ma voix retenue, presque sourde, chaque fois que sa langue touchait un de mes "centres de gravité". [Si on peut appeler ça comme ça].
Après ça, il a changé de jambe pour m’infliger les mêmes sensations. Il s’amusait à me chatouiller toutes les zones les plus érogènes de l’autre cuisse, sur toute sa longueur, comme la précédente. Je goutais mon agréable "martyre" avec délectation. Il m’a rendu fou. Je bandais de toute mes forces pendant qu’il me léchait. Lui aussi bandait, mais sans se masturber, et en me léchant en même temps.
Dès qu’il a vu que j’étais prêt, il m’a sucé et j’ai joui dans sa bouche en me masturbant. Il a tout avalé. Ensuite, en se dressant face à moi, il m’a dit : "j’ai tout avalé, t’a vu ? J’ai tout pris". Il rayonnait de bonheur de m’avoir donné toute sa sensualité qu’il a poussé jusqu’à l’érotisme.
Mon verdict est beaucoup plus positif que le précédent. Il était plus sensuel, plus inventif, et plus câlin. C’était très bon. Finalement, j’aurai aimé vivre avec lui. Après cette dernière rencontre, je n’ai jamais revu ce beau Thierry. On s’est quitté et c’est plus tard que j’ai réagi. Trop tard hélas. J’aurai dû lui demander de le sucer pour boire sa pisse et avaler son sperme. Un peu de ses saveurs intimes en moi, ça ne se refuse pas. Et je ne l’ai pas fait. Imbécile que je suis. C’est dans ces moments-là, que je me rends compte que je suis mal placé pour critiquer les danseurs de ballet. S’ils ne m’ont pas laissé un souvenir intarissable, je dois avouer que je me suis comporté pire qu’un danseur de ballet. J’ai été superficiel voir trop schématique dans mes manières. J’ai pris mon bonheur intime, sans qu’il ait prit le sien. En tout cas, sur ce coup-là, j’ai marqué un point contre mon camp en faveur des danseurs de ballet. Bravo pour eux et honte à moi. Plus exactement : bien fait pour moi. Mon égoïsme a été sanctionné.
"Le bonheur c’est le plaisir sans remords" (Socrate). J’ai eu le bonheur, les plaisirs, et aucun remord. C’était un bon souvenir avec une petite pointe de regret, quand même.
Boloc
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