Tournantes en série

A la fin des années quatre-vingt-dix, ma voracité sexuelle m’a poussé à fréquenter des racailles que je connaissais, pour me taper des plans à plusieurs. Ils ont donné un nom à ces plans sexuels : une tournante. La règle du jeu est simple.

Chacun prend son tour de baise, tire son coup et passe au suivant. En terme clair, ils partagent leur mec et le font "tourner" d’une racaille à l’autre. Les autres attendent leur tour et mate les performances de leur collègue. Quand on passe au suivant, il s’inspire du précédent pour se mettre en vedette devant leurs complices.

On voie qu’ils prennent du plaisir à être tout nu ou les jambes à l’air. Ils aiment être pantalon baissé jusqu’au chevilles, en gardant les baskets, tandis que je suis habillé pendant leurs performances sexuelles. En résumé, la tournante est une forme de pornographie pour hétéros frustrés dont ils sont les vedettes. Ce qu’ils nous donnent, ils ne le donneront jamais à leur gonzesse.

En général, mes mecs étaient cinq, parfois six ou sept, car il leur arrive d’inviter un ou deux copains. Ils étaient tous arabes. Les uns ou deux mecs ajoutés à mes lascars, me donne une faciale alors que les autres me donnent une buccale, directe au goulot. Avec leur accord, j’avais mis au point une double tournante dans le style de mes plaisirs. Ils me donnent rendez-vous dans un club vidéo porno hétéros qui n’existe plus actuellement. Quand les disponibilités sont prêtes on se donne rendez-vous. Deux heures avant de se voir, ils ont tendance à manger du fromage bien fait pour donner du goût à leur pisse. Et ma double tournante ressemblait à ça.

Le mec me fait sucer sa bite devant son entourage pendant qu’il pisse par petits jets pour ne rien perdre. Je bois tout, petit à petit pendant qu’il chuchote des obscénités pour frimer devant les autres. Il conclut par une séance de crachat sur le visage pour voir dégouliner la salive qu’il m’envoie, toujours en m’insultant à mi-voix. Quand les crachats commencent à sécher, on passe au suivant pour la même pratique. Une fois qu’ils sont tous passé et que mon visage est presque sec, on remet ça.

Cette fois-ci le mec se masturbe pendant que je le suce. Une fois qu’il a joui dans ma bouche, j’avale tout. Ensuite, il me confectionne un mollard qu’il me projette dans la bouche de façon que j’avale un gros glaviot. Le suivant l’imite aussitôt après.

La tournante sexuelle a un avantage. On peut apprécier et goûter séparément chacun des protagonistes. Par contre, pour les séances d’éjaculations faciales, on peut le faire en même temps car on ne goûte rien. On peut également en profiter pour laisser sécher le sperme sur le visage. Quand tout est sec, on a la peau qui pèle à l’endroit où le sperme a marqué. C’est joli à regarder surtout quand ça craquelle si je grimace. L’idéal est de photographier le sperme frais et le sperme séché. Je n’ai pas photographié ça à l’époque, et c’est dommage.

Description.

Première tournante

Il s’agit d’une séance de pisse dans la bouche et crachats sur la figure comme je l’ai dit plus haut. Voici le langage qu’ils tiennent.

"Bois ma pisse, salope." Ensuite il s’adresse aux autres qui le regardent en silence : "attends, ça vient [il pisse et je bois]. Y en a encore. Suce-moi bien. Bois tout sale pute. Ouai, c’est fini, y en a plus "… Jets après jets, gorgées par gorgées, les autres me regarde en silence avec un sourire sadique. Au fur et à mesure qu’il annonce un jet de pisse, ils écoutent les gorgées qui suivent. Il ne parle pas trop fort pour qu’on puisse entendre ces fameuses gorgées de pisse que je bois. Il continu de décrire ce qui se passe dans ma bouche pour qu’ils imaginent ce que ça donne avec les gorgées qu’ils entendent. Ensuite, il s’écarte un peu pour cracher à distance de façon à utiliser mon visage comme cible vivante. "Maintenant met toi comme ça ; bouge-pas". Il vise et tire un crachat sur le visage, par exemple sur la pommette droite et il regarde la salive dégouliner entre le nez et la lèvre supérieure. "Tourne un peu, Là, voilà, comme ça." Un autre crachat par exemple sur la joue gauche. Et il regarde la salive dégouliner derrière le menton, sur ma poitrine. "Ouai, ça te plait ça, hein ? Salope." Et il recommence deux ou trois fois de suite en contemplant son ouvrage. A peine sec, il s’adresse à son comparse. "Vas-y, c’est ton tour. Profite, ça va lui plaire.". Excité par ce qu’il a vu, il l’imite. Il était silencieux pendant la démonstration de son prédécesseur, à présent il parle et les autres se taisent. "Suce pétasse pendant qu’je pisse dans ta bouche de pute. Ouai, ça m’excite grave, putain". Il pisse doucement. "Bois tout pétasse." Il recommence. "Attends, t’as pas tout prit. Bois toute ma pisse, bâtard. Putain, c’est bon ". Il continu. "Il en reste encore" Un jet de pisse que je bois, le feu dans les bronches car certaines pisses sont plus gouteuses que les autres. C’est ce genre de pisse qui donne le plus de plaisir car le goût reste longtemps. Ce fort goût d’ammonique, bien salé, amer, et très épicé qui m’excite au plus haut point… Ensuite, il conclut comme l’autre. "Maintenant, mets-toi comme ça que j’crache dans ta sale gueule de pute." Et il m’asperge le visage de crachats à plusieurs reprises. Il laisse dégouliner sur mon visage sa salive mousseuse sous les sourires vicelards de ses complices qui mate ses saloperies pour s’en inspirer quand leur tour viendra. Quand la salive a fini de sécher, on recommence pour la deuxième tournante.

C’est une tournée de sperme dans la bouche ou sur la figure avec mollard dans la bouche, et ce n’est-pas triste non plus.

"T’as cru qu’on t’avait fini à la pisse ? On r’met ça. Allez, vas-y, goûte mon zob. On va t’gaver. Ouai ! Suce-moi bien pendant qu’j’me branle dans ta sale bouche de pétasse." Aux autres qui regarde, il chuchote : "ouai les mecs, ça vient. Vite, ça part. Putain, c’est bon. Suce. Salope. Yen a encore un peu". Je continu de sucer et j’avale en même temps. En s’adressant à moi : "putain tu m’excites. Suce mon gland, ça fait du bien". En approchant son visage du mien : "maintenant ouvre ta bouche de salope. Il se racle la gorge et balance un mollard vert que je mastique avec voracité. "T’aime, ça t’plais ça, hein ? Tu voulais faire ta poufiasse ? J’t’en met encore un autre, bouge-pas. Ouvre. " Il renifle, se racle la gorge et en projette un autre. Il s’écarte et s’adresse à son copain : "allez, vas-y, prend ton tour. " La petite canaille lubrique qui se taisait chuchote à son tour. "Suce, ça me fait bander, sale pute. Ta bouche, c’est un bordel à foutre. J’vais t’la remplir, tu vas voir. Tu seras-pas déçu. Tu voulais faire ta pétasse ? Hein ? Alors tu seras servi." Au bout d’un moment, à ses complices… "Ouai, les mecs, ça y est, c’est bon là." A mon attention : "avale tout pétasse. Suce bien. Ouai. T’es un sac à foutre, putain. Ah, c’est bon. T’es content là ? Hein ? Maintenant ouvre ta sale bouche de chienne." Et la séance de glaviotage continue. S’il n’arrive pas à saisir un bon glaire malgré le fait qu’il renifle et tousse, il prend une épingle à cheveux de gonzesse. Il la tord légèrement pour que ça rentre dans ses narines. Il chatouille ses sinus jusqu’à ce qu’il éternue. Après avoir éternué une fois ou deux fois, il renifle, se racle la gorge et réussit à capter la morve qui s’était desséchée pour confectionner son glaviot bien épais. Ensuite, il le projette brutalement dans ma bouche. Il tousse et se racle la gorge pour en projeter un autre. "Attend, j’ai-pas fini". Il pousse son sadisme en faisant couler sa bave dans ma bouche. Le fait qu’il soit debout et moi accroupi, la salive se refroidit en dégoulinant dans ma bouche. Ensuite, il s’approche et comprime sa salive entre sa langue et ses dents pour faire jaillir brutalement sa salive dans ma bouche à plusieurs reprises. Il passe son tour au suivant qui doit rivaliser devant les autres.

Toutes ces saveurs et cette ambiance me surexcite. D’abord, le goût de la pisse contraste avec le goût presque sucré de leur sperme. Les crachats eux n’ont pas de goût particulier mais donnent plus de vulgarité et de hard crade à l’ambiance.

J’avais cru être trop vicieux dans mes goûts, et j’ai trouvé pire que moi dans ce fameux vidéo club.

C’était un jour ou j’espérais trouver un de ces mecs pour me programmer une tournante pour une date prochaine dans ce vidéo porno. A mon entrée, j’ai été accueilli par un arabe que j’ai souvent vu dans ce lieu. Il est venu me parler d’un mec d’allure très jeune, qui se godait dans la grande salle principale. Il m’explique que c’est une vraie salope qui aime se faire prendre par plusieurs mecs dans des chantiers, des caves, des foyers etc… Le garçon en question confirme. Après avoir fini de se goder, il se dirige dans un couloir pour se faire sodomiser par un mec qui était déjà dans la salle. L’arabe qui m’a accueilli, matait la scène en insultant le sado maso au physique d’étudiant. Quelques minutes plus tard, deux autres mecs font leur entrée en scène dans ce vidéodrôme porno. L’arabe voyeur et instigateur quitte son poste pour accueillir les nouveaux venus. Il en profite pour présenter le sado maso aux deux entrants afin leur résumer l’affaire.

De mon côté, j’étais dans la grande salle en attendant l’un de mes mecs pour me programmer ma tournante prochaine. Le sado maso était en train de se faire sauter devant les nouveaux venus qui ont profité de l’accueil pour mater la scène. Ensuite, l’un des nouveaux venus a pris la place du sodomiseur pendant que l’autre se faisait sucer.

Au bout d’un moment, et de là ou j’étais, j’entendais que les insultes chuchotées se sont tues. J’en ai déduit que l’un des baiseurs a joui dans ses fesses ou dans sa bouche du sado maso. J’en ai profité pour marcher dans les couloirs de cet établissement. Et j’ai vu le beau sado maso allongé parterre avec l’un des deux nouveaux venus assis à califourchon sur sa poitrine. Il a placé sa bite devant sa bouche ouverte pendant qu’il pissait par à coup afin de lui permettre de boire au fur et à mesure. L’arabe instigateur lui a mis un crachat mousseux qui flottait dans sa bouche ouverte sur la pisse qu’il buvait. Après, un autre a joui dans sa bouche pendant qu’il se masturbe. Il a tout sucé comme je le fais, c’est-à-dire en lui caressant les cuisses pendant qu’il jouit ou pisse. Après les avoir vidangés, il donne ses coordonnées téléphoniques aux trois mecs pour lui organiser une tournante. L’arabe instigateur a voulu son numéro de téléphone aussi. Le sado maso m’a proposé ses coordonnées également et je n’ai pas répondu.

Les protagonistes se sont éclipsés, sauf l’arabe du début et moi. Arrive à présent un efféminé hyper vicieux. Quelques instants après, un autre mec au visage patibulaire, assez grand entre en scène accueillit par l’arabe du début qui fait les présentations que le sado maso confirme.

Je m’assois dans la salle principale en attendant que l’un mes mecs viennent. Pendant mon attente, j’entends le sado maso prendre une fessée pendant que l’efféminé joue à son tour, l’instigateur et s’amuse. A l’oreille, j’entends qu’il s’agit d’une fessée en pouilleux massacreur vu le tirage et le comptage des cartes à jouer, sanctionné par le nombre de claquements que j’entends, ponctué par les moqueries de l’efféminé.

Ces claquements ont accompagné mon attente. Et j’ai meublé mon attente par le souvenir de mon plan fessé sur mes cuisses avec les deux arabes que j’ai connus deux ans auparavant. J’ai mélangé mon souvenir avec le bruit de ces claquements que j’entendais dans le couloir à côté. Dans mon souvenir, ces deux arabes étaient très minces. L’un était de taille normale, l’autre plus petit. Mes cuisses sont plus érogènes que mes fesses. C’est la raison pour laquelle je ne veux pas voir ce qu’ils font dans ce couloir du sexodrôme pour me concentrer sur mon souvenir.

Quand j’arrivais chez eux, je baissais le jogging du premier, je le suce en caressant ses cuisses et ses fesses pendant qu’il pisse. Idem pour le second à la différence que ses petites fesses sont les plus belles que j’ai vu. Ensuite, le plus grand se masturbe pendant que je suce sa bite jusqu’à ce qu’il jouisse. Idem pour l’autre. J’ai constaté que la pisse du plus grand est beaucoup plus forte que celle du petit mec. Et son sperme était très abondant et gicle très fort par rapport à l’autre. Il n’empêche que les fesses du petit sont agréables à caresser. J’adorais son petit cul. J’aime caresser les cuisses et les fesses des beaux mecs que je suce.

Ensuite, ils mettent un drap de bain sur les oreillers et le lit pour que je m’allonge sur le ventre. Ils s’assoient à califourchon l’un sur mes mollets, l’autre sur mon dos, et claquent mes cuisses. Le picotement est hyper agréable et reposant. Après, ils inversent leur position sur mon dos et mes mollets pour recommencer les claquements sur mes cuisses. Quand la fessée est terminée, ils arrosent mes cuisses avec de la cire de bougie. Quand la cire est durcie, ils retirent les taches avec un peigne et recommencent l’arrosage à la cire.

Pour finir, je me retourne sur le dos, la tête sur le drap de bain posé sur l’oreiller pour la séance de crachats dans la bouche et sur le visage. Cette fois-ci, c’est le plus petit qui crache nettement mieux que l’autre. Il serre les dents et fait gicler sa salive par à coup. Ensuite, il en profite pour cracher à distance sans rater sa cible (mon visage ou ma bouche). Il est capable de cracher toutes les deux ou trois secondes. J’ai connu beaucoup d’arabes comme ça.

Pendant mon phantasme souvenir, j’ai constaté que les fessées du couloir se sont interrompues. A mon avis, le supplicié est arrivé jusqu’au pouilleux. J’entends : "… C’est déjà fini, Je veux qu’on recommence." C’était la voix de l’efféminé. Puisqu’il va reprendre des fessées et que mes mecs ne sont pas venus ce matin, je décide de voir le sado maso, l’arabe instigateur, l’efféminé et le patibulaire dans le couloir.

L’efféminé ramasse une plume de pigeon qui a dû coller aux baskets d’un client, et qui a échappé au ménage. L’efféminé en profite pour chatouiller les joues du sado maso, d’une joue à l’autre, pendant que le patibulaire remet les cartes en ordre pour recommencer son pouilleux massacreur. Bizarrement le sado maso était assis avec l’efféminé derrière son dos. Pour quelqu’un qui prend une fessée, la position est étrange.

D’ailleurs, à mon arrivée, l’arabe instigateur m’a dit : "t’as tout loupé. Ils vont recommencer tu vas voir." Le sado maso ajoute à mon attention : "toi aussi, tu peux t’amuser si tu veux." Le patibulaire attend que l’efféminé ait fini de chatouiller les joues de son supplicié. "Aller, on r’met ça". L’arabe instigateur ajoute : "tu vas voir, il passe à l’amende, là". Les fessées que j’avais cru entendre étaient en réalité des paires de gifles en cascade. Je déteste prendre une claque, par contre j’adore regarder ce genre de spectacle. J’en ai vu quelques fois, et notamment dans ce vidéo club.

Le patibulaire commence à pincer la joue du sado maso entre le pouce et l’index. Il tire et tortille la joue, la secoue et frappe avec le dos de ses doigts. Il fait la même chose avec l’autre joue. Puis il repince la joue du sado maso, mais entre l’index et le majeur plié, pour lui donner une pichenette avec le dos de ses doigts. Le patibulaire s’amuse quelques instants avec les joues de sa victime qui en redemande. Quand ses joues sont prêtes, on passe aux châtiments.

L’efféminé tient le sado maso par les cheveux et place la tête du supplicié en biais pour sa volée de claques. Le patibulaire tire un dix de pic. Comme le pic est multiplié par quatre, ça fait quarante claques par joue. Quand il a fini de prendre sur ses deux joues ses quatre-vingt claques, le patibulaire demande au sado maso : "alors, ça t’plait ?" Le sado maso fait un oui de la tête. "Si t’es accro aux baffes, tu vas en avoir, fils de pute". Et les quatre-vingt taloches reprennent pendant que l’arabe instigateur ajoute à mon attention : "tu te rends compte ? Les dérouillées qu’elle prend cette chiennasse. T’as vu ?".

Après sa série de claques, le patibulaire enchaine : "encore un coup pour mon compte personnel [à 80 claques]. Moi aussi ça me plait." Quand tout est terminé : "à présent, c’est pour ton compte" [l’arabe instigateur], et les claques reprennent. L’efféminé demande une tournée générale. Il prend quatre-vingt claques pour mon compte. Moi qui n’ai rien demandé. Après la tournée générale, le jeu des cartes continue jusqu’au pouilleux. Je ne sais pas comment on peut supporter autant de claques ?

Le langage de l’efféminé est plus poli mais très vicieux.

"C’est bon quand tu pinces comme ça. Elles sont très élastiques. Celle-là, tu l’as senti, hein ? Tu fais plus le malin maintenant ? J’voudrai que tu la refasses cette carte, t’en as raté une ? On refait cette joue, elle est jalouse… J’adore quand on prend des gifles à cause de moi… C’est fou c’que ça m’excite. J’ai l’impression d’avoir un esclave pour mes caprices. [Au patibulaire], ton boulot, c’est d’lui mettre des claques pour que ça m’plaise. Je suis très méchante. Il faut qu’il prenne selon mes goûts sinon, je suis infernale. Je suis une grande vicieuse moi."

Arrivé au pouilleux, les claques cessent et le patibulaire baisse son pantalon jusqu’aux chevilles. Il se masturbe pendant que le sado maso le suce. Au bout d’un moment, la respiration en saccade du patibulaire, s’immobilise, il s’essouffle un peu et se calme. Visiblement, il a joui dans sa bouche. Le sado maso a tout avalé. Le patibulaire crache au visage du sado maso sous les ricanements de l’efféminé et l’arabe instigateur. L’instigateur l’imite et lui met une belle balafre de salive blanche qui lui barre le visage.

Le sado maso, propose ses coordonnées téléphoniques pour le patibulaire et l’efféminé, mais l’efféminé veut les coordonnées du patibulaire pour le partager avec un autre efféminé de sa connaissance. Ce qui excite le sado maso.

Je suis parti déjeuner pendant que le sado maso et l’arabe ont grignoté un sandwich dans l’établissement. On avait le droit de s’absenter et revenir à cette époque. Quand je suis revenu pour voir si l’un de mes mecs était sur place, le sado maso se godais pour d’autres sodomies en préparation. Effectivement, trois autres mecs sont arrivés dont un qui me plaisais cette fois-ci. Il était très mince voir maigre. Les squelettes boys ça m’excite.

L’arabe rabatteur fait les présentations.

"Il aime les tournantes à plusieurs. Il fait ça dans un local poubelle, un local électrique, un chantier, un terrain vague tu vois ?"

Le sado maso complète. "…Les foyers sociaux aussi et les cages d’escalier, un hangar ou un garage… La dernière fois, c’était dans une usine désaffectée. Ils étaient douze, ils encourageaient et applaudissaient à chaque fois qu’il y en avait un qui me baisait. Tu choisis l’endroit, tu contactes tes copains et tu leur dis d’en faire venir d’autres. Pour moi c’est no limit."

C’est ainsi que les trois mecs se sont relayés pour le sodomiser à tour de rôle pendant que l’arabe instigateur se faisait sucer. J’ai pu voir mon squelette boy les cuisses à l’air, à genoux en tenant les flancs du sado maso. Il le pilonnait brutalement avec ses cuisses et ses fesses qui se tendaient et se détendaient à chaque claquement de baise. Mon spectacle était total. J’aurai tellement voulu lui caresser ses cuisses et ses fesses pendant la sodomie. Il bandait tellement qu’il pouvait le pénétrer sans tenir sa bite. Il s’amusait à la retirer et la replonger violemment dans ses fesses à plusieurs reprises, tout en le maintenant par les flancs. Après, il s’est immobilisé à l’intérieur pendant un moment. En quelques souffles il s’est calmé et a retiré sa bite pour céder sa place au suivant.

Le sado maso se tourne vers moi et me dit : "tu peux participer si tu veux." J’ai continué de regarder mon squelette boy s’habiller. J’aurai bien voulu l’ajouter à ma liste avec mes autres mecs, qui ne sont même pas venu. Quand les autres ont fini de lui remplir sa bouche et ses fesses, le sado maso leur donne ses coordonnées avec la recommandation d’amener du monde. Visiblement, ce qui comptait chez lui, ce n’était pas la qualité mais la quantité de mecs.

A ce moment, deux autres types sont entré. Ils ne me plaisaient pas physiquement. Trop musclés à mon goût. J’avais déjà vu l’un de ces deux mecs dans cet établissement. Notamment le noir africain en coupe rasta. Exceptionnellement, il avait la tête couverte par un durag de flibustier, mais je l’ai reconnu tout de suite avec son visage de trafiquant. La dernière fois, je l’ai déjà vu pisser dans la bouche d’un asiatique et lui cracher au visage et dans la bouche. Son éjaculation ne gicle pas mais elle suppure. En plus, il a très peu de sperme. Une demi cuillère à café à peine sur le visage de l’asiatique au milieu des crachats qu’il a reçu. C’est l’arabe rabatteur qui les accueille immédiatement.

J’ai compris que mes mecs ne viendraient pas. Alors je suis sorti définitivement de cet endroit. J’en ai profité pour comparer ses tournantes avec les miennes. J’ai constaté qu’il aime se faire sauter par le plus de mecs possibles. Il est capable de passer à l’amende à coup de gifles pour exciter une ou deux tapettes enchantées. Sans oublier la pisse et les crachats pour récompenser les tortionnaires et les voyeurs.

En me comparant à ce garçon, mes tournantes, c’est du catéchisme. Il est clair que je veux avoir le contrôle sur mes excès. Mes "tortionnaires" sont esclaves de mes bons plaisirs. Par contre, le sado maso a eu son carnet d’adresse rempli pour cette journée.