C’est en relisant mon souvenir à propos de cet arabe qui a joui sept fois de suite en vingt minutes tout en me fessant, que je me suis souvenu d’avoir pris beaucoup de plaisir à avoir mes cuisses et mes fesses qui picotent agréablement pendant mon arrosage de sperme (voir sept fois de suite*). Et oui, un souvenir chasse l’autre. J’ai voulu réaliser cette sensation en entrant dans un club de la fessée. C’est avec ce type de fantasme que je me suis aperçu qu’on pouvait déclencher une excitation foudroyante, que je ne connaissais pas…
L’organisation de ce club est assez bonne. On doit remplir un fichier dans lequel on précise le type de fessée qu’on veut. Des fessées douces, fortes, très fortes… Si on la veut à main nue ou avec des accessoires. Les accessoires c’est par exemple, avec un fouet à lanières de cuir, une ceinture de pantalon, une raquette de tennis de table, une canne anglaise etc… Il faut préciser si on est : fesseur, fessé, les deux à la fois, et si on accepte éventuellement des relations sexuelles. Beaucoup de mecs hétéros ont tendance à s’encanailler dans des organisations homos de ce genre. Alors on est prudent avec la vie privée des adhérents hétéros ; même volages ; même échangistes. D’ailleurs, pour les hétéros, j’ai eu des surprises dans ce club. On le verra plus tard.
Evidemment, j’ai coché la rubrique "fessée très douce à main nue" et en tant que fessé pour voir si ces fameuses fessées seront aussi bonnes que mon arabe. J’ai choisi la rubrique "sans relation intime" parce qu’on n’est pas sûr de la personne sur laquelle on va tomber.
C’est au cours d’une séance de photo porno fessée, et d’un tournage porno fessée pour le compte de ce club que j’ai eu mes deux plans fessés, tels que je les ai demandés. C’était très bien. La force de frappe était exactement la même que mon arabe. Evidemment les maitres fesseurs ne m’ont pas craché dessus en même temps comme lui. Ils n’ont pas fessé mes cuisses non plus. Il faut savoir que mes cuisses sont beaucoup plus érogènes que mes fesses. Ils n’ont certainement pas éjaculé sept fois de suite sans interruption tel qu’il l’a fait. Rien d’étonnant à cela. Je ne voulais pas de relations sexuelles. J’ajoute que pour avoir le titre de "phénomène sexuel", il faut être unique. Mon arabe l’était. Ejaculer abondamment par série de sept, c’est exceptionnel voir phénoménal.
Mais pourquoi une séance photo porno et un tournage ? Voilà une question intéressante.
Tout simplement parce que j’avais déjà joué dans deux films pornographiques auparavant. Je ne les ai jamais vus, mais certaines personnes ont dû les voir puisqu’elles m’en ont parlé. En tout cas, les organisateurs de ce club les ont vu. Ils ont même invité l’un des acteurs que j’avais eu dans l’un de ces films pour une petite exhibition publique (sans fessée parce que mon collègue n’aimait pas ça).
Ce club, organisait souvent des séances de fessée-repas. Ce genre de séance se déroule de la façon suivante.
Les adhérents, des invités et des curieux se réunissent dans un réfectoire pour un repas spécial. Les convives se font servir à manger par des serveurs à poil. J’étais serveur nu avec des collègues pornos et des mannequins modèles. Les convives nous caressent les fesses pendant qu’on leur sert à manger. Entre deux services, l’un des convives prend une fessée en public dans le style qu’il veut par un maitre fesseur. Certains stripteasers faisaient un spectacle dansé et fessaient timidement quelques convives. On voyait tout de suite que ce n’était pas leur spécialité.
Les maitres fesseurs eux, étaient beaucoup plus expérimentés. Les fessées à main nue qu’ils donnaient étaient d’une violence inouïe. Les fesses des suppliciés n’étaient pas roses, ni rouges, mais violettes. Par contre, les maitres fesseurs avaient les mains intactes. Il y avait des séances de canne anglaise aussi. Les fesses étaient fouettées à la canne avec une violence encore plus forte. Il faut souligner que les garçons fessés ne sursautaient pas et ne criaient pas comme on peut le voir dans des films pornos ou dans des films sado-maso.
Une petite parenthèse pour dire que lorsqu’on regarde un porno, on voie des acteurs qui hurlent de plaisir et en font des tonnes... Tout ça c’est du pipeau. Les mecs simulent. Ejaculer, ça ne fait pas si mal. Il ne faut rien exagérer. Même remarque pour les scènes sado–maso.
Mon fantasme (non réalisé) : c’est un mec assis à califourchon sur mon dos en face d’un autre mec assis à califourchon sur mes mollets. Tous les deux fessent mes cuisses et mes fesses pendant une heure. Ensuite ils arrosent mes cuisses et mes fesses à la cire de bougie pendant que je somnole paisiblement. Ils enlèvent les taches de cire de mes cuisses avec un peigne et recommence l’arrosage à la cire. Eh bien si ça me plait, je ne bouge pas, je ne sursaute pas et je ne crie pas. Sinon, on peut en déduire que je n’aime pas ça. Chez moi, les choses sont claires.
Pour un tournage pornographique, c’est la même chose. On peut chuchoter au cadreur qu’on va jouir pour qu’il place son équipe de cameramen et d’éclairagistes sur le centre du spectacle. Les voyeurs pornophiles pourront regarder les différents angles de cadrage de cette éjaculation. Ils auront le plaisir des images sans les hurlements du mytho de service. C’est comme ça qu’on devrait réaliser des films.
Cette petite parenthèse étant dite, les garçons qui se faisaient claquer les fesses avec férocité ne disaient rien et ne bougeaient pas comme je l’ai dit. Ils avaient à peine un léger pincement de lèvre à chaque coup de canne anglaise, et c’est tout. J’ai interrogé à part, l’un des "canné" pour voir si ça allait, et il était aux anges, il en redemandait. Je trouve que ce genre de pratique, c’est du vrai sado-maso. C’est celui qui subit qui est le maitre d’œuvre, et le dominateur n'est qu’un exécutant qui respecte les plaisirs de son acolyte. En résumé, on prend du plaisir à donner du plaisir.
Chapeau les artistes ! Sado-maso c’est mieux que sado-mytho.
Les séances de fessée "brutales" se finissent de la même façon. Les maitres fesseurs prennent un glaçon et caressent les fesses violacées de leur collègue. La chaleur des fesses du mec fait fondre le glaçon et atténue les agréables douleurs que ses fesses ont reçu. Quand le glaçon a fondu, ils en prennent un autre et renouvellent cette manœuvre jusqu’à ce que les fesses du martyr soient froides.
Pour ma part, la seule façon que je puisse prendre du plaisir, c’est comme cet arabe dont j’ai parlé : un fessage doux comme décontractant sexuel. Il faut préciser que la fessée que j’avais prise de sa part, faisait beaucoup de bruits mais je n’avais pas les fesses roses. Peut-être parce que suis un métisse à la peau mate. En résumé, j’avais cru avoir des fantasmes très compliqués, et je me suis aperçu, avec ce club que je n’étais pas le seul, et pas le plus excessif.
En tant que serveur nu, j’ai fait la connaissance d’un acteur porno qui servait avec moi. Il avait un léger accent méditerranéen dont il s’excusait parfois. Ce n’était pas des fessées qu’il voulait, mais des paires de gifles. Ses joues étaient très érogènes. Par contre ses fesses ne l’étaient pas du tout. Pendant les fessées repas, il lui arrivait quelques fois de s’y coller au milieu des convives pour récolter une séance de paires de claques sur ses joues. Et il dérouillait avec délectation. Voici à quoi ressemblait sa prestation.
Il passait à l’amende à cause d’une indiscipline fictive. Par exemple, une toute petite peccadille devient un acte inexcusable. La sanction tombe par une volée de paires de claques en série. Il lui arrivait parfois de subir un interrogatoire sadique à coup de gifles répétées. Evidemment, il faisait exprès de ne pas parler, de façon à dérouiller le plus possible. Peu importe le prétexte pourvu qu’il prenne sa ration de claques. Il ne bougeait pas et tendait bien sa figure en redressant ses épaules de façon que le gifleur vise bien ses joues. Parfois le gifleur se faisait aider par un acolyte qui tenait les mains du supplicié derrière le dos. On n'avait pas besoin de le tenir mais ça ajoutait un plus dans son délire sado-maso. En terme clair, pour sa mise à l’amende, il avait besoin d’une prise en main efficace. Plus le gifleur prenait du plaisir à le faire passer à l’amende, plus il était satisfait.
Après avoir fait applaudir bruyamment son visage à coup de gifle, il reprenait le service des convives entièrement nu comme nous. Il pouvait se faire peloter les fesses par les convives comme si rien ne s’était passé.
Si j’ai les cuisses érogènes, je supporte très mal qu’on touche à mes joues. J’en avais parlé dans mon souvenir à "l’Atlas" avec ce jeune rouquin frisé qui excellait dans ce type de plaisir. C’est là que je me suis rendu compte que les gifles sont un fantasme aussi courant que les fessées.
A ce propos, j’ai vu il y a longtemps au théâtre Saint Martin, une pièce de théâtre "love ! valour ! compassion !". Il y avait une scène dans laquelle un couple homo réalisait un fantasme de paires de claques. Pendant cette séance, les autres copains homos mataient le spectacle à l’improviste. On peut penser ce qu’on veut, mais le sado-maso à coup de gifles répétées marche très bien. Les "têtes à claques" ont une endurance d’une demi-heure à peu près comme les fessées avec violence. Avec les fessées douces, on peut tenir plus longtemps. C’est un sujet à débattre entre les pro gifles et les pro fessés…
Parmi les serveurs nus, j’ai également fait la connaissance d’un beau garçon hétéro, dont l’épouse tolérante savait ce qu’il faisait chez nous. Ce garçon, je l’ai revu plus tard et dans une circonstance assez spéciale.
On m’avait convié à un repas avec les organisateurs de ce club pour discuter d’un projet de tournage-fessée dans lequel je devais jouer un rôle de figurant. En arrivant à cette invitation, je voie mon bel hétéro en train de prendre une fessée à main nue qui aurait pu assommer un éléphant adulte. Il avait les fesses violettes lui aussi. Parmi les invités, il y avait aussi le beau mec porno à l'accent chantant un peu "tête à claques" dont j’ai parlé plus haut. D’ailleurs pour ce film, c’est cet acteur aux joues sensibles qui devait jouer le rôle de maître fesseur cette fois-ci. A lui de donner du plaisir aux autres. Pour ma part dans ce tournage, j’étais figurant. Je devais être casqué en bourreau comme les autres et tenir une torche avec les figurants pendant le supplice à la canne anglaise qu’un acteur très endurant devait subir pour ce genre de fantasme. C’était lui que j’avais interrogé sur sa prestation à la canne anglaise. Je n’ai jamais visionné ce film, mais je me rappelle du tournage dans des caves profondes de Paris. Si quelqu’un possède un VHS français avec de ce genre de scène, il est possible que ce soit ce club qui l’ait réalisé.
Revenons à mon bel hétéro. A un moment, il serrait les fesses et commençait à trembler. Il avait visiblement trop mal. A mon avis, il fallait cesser de le frapper de la sorte. Ensuite, il a tenté de protéger ses fesses avec sa main. J’étais sûr qu’il n’en pouvait plus. Mais le maitre fesseur a immédiatement immobilisé les deux mains du martyr en les tenant par les poignets. Ensuite, il a ramené les poignets du supplicié au niveau de ses omoplates avec sa main libre. Et, le fesseur pouvait reprendre le fessage à l’aide de sa main frappeuse, sans être gêné par les mains du bel hétéro. Le rythme a ralenti mais la frappe était beaucoup plus forte à présent. Comment peut-on frapper plus fort que ça ? C’est la grande question que je me suis posée. J’ai cru qu’il allait le tuer. Maintenant ses fesses commençaient à saigner. Dans ce réfectoire, les autres mecs mataient la scène avec délectation. Notamment l’acteur "tête à claques". Il faut savoir qu’un acteur porno doit être très exhibitionniste pour pratiquer son métier avec art. Il n’empêche qu’il peut être voyeur aussi. En plus, nous avions tous été conviés au spectacle avant de passer à table pour discuter des modalités du tournage. J’ai donc profité de la prestation fessante avec les autres.
La violence de cette frappe a produit son effet. Le bel hétéro a joui sur les genoux du fesseur. Il ne s’est pas masturbé puisque ses mains étaient prises en tenaille par la main libre du maitre fesseur. Il n’empêche qu’il s’est fait disputer pour avoir arrosé de sperme, le jogging du fesseur. Quand je pense que je fais bander et jouir des tas d’hétéros sur moi en salle de cinéma porno, j’ai été surpris par cette réaction de la part d’un fesseur homo. Le malheureux hétéro se confondait en excuses.
Je pense qu’il avait mis sa main, non pas pour faire cesser le supplice mais parce que c’était trop bon, et que ça allait le faire jouir. Un phénomène aussi celui-là. Jouir par excitation fesseuse sans se masturber c’est comme jouir sept fois de suite : voici deux phénomènes exceptionnels. Je n’en ai jamais vu de semblables dans ma vie. Et pourtant, j’ai vu beaucoup de choses.
Après cet intermède, le maitre fesseur a caressé ses fesses ensanglantées du bel hétéro avec des glaçons, comme il le fait à chaque fois. Ensuite, on a pu passer à table.
Boloc
celtilio010559@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :