Mon retour en Corrèze

Chapitre 1

‌Me voici dans ma Corrèze natale qui me manquait temps, humant ces odeurs de nature égayée par les bruyères fleuries des Monédières. Je suis originaire d’un petit patelin à proximité de Meymac dont je tairais le nom de peur que les acteurs de mon histoires soient reconnus….C’était en Juillet dernier et avec ma femme nous avions loué une petite maison dans le bourg du village pour y passer 7 jours. Par chance le soleil avait été de la partie, permettant les premières sorties après de longs mois perturbés par le Covid. Madame étant plutôt «grasse mat’ », j’enfourchais mon vélo pour une ballade improvisée au travers des chemins. Habillé d’une tenue de cycliste qui moulait mon corps d’ours je profitais de l’air frais qui venait aérer mon entre-jambe provoquant une demi-érection….j’étais vraiment bien et appréciais cette sortie matinale, admirant à droite et gauche ces paysages de mon enfance, me remémorant moult bêtises faites ici ou là mais aussi mes premiers émois amoureux avec les filles….j’étais heureux….simplement heureux.

Me voilà passant devant une grange à foin que je savais appartenir à l’époque à la plus grosse ferme du bourg et remarque un quad garé sur l’arrière. Je stoppe mon vélo et fais le tour du bâtiment espérant croiser un des fils que je n’avais pas vu depuis 25 ans environ et probablement Pascal qui je savais avait repris la ferme. Effectivement aux bruits de mes pas, c’était bien Pascal qui me toisait devant la porte pour savoir qui pouvait bien venir à cette heure là le déranger….. Très physionomiste Pascal m’interpella « Tu es Jean Louis, le fils de Pierre B, qui faisait l’école Forestière de Meymac…. » et moi de lui répondre « et toi c’est pascal…. ». Il me serre la main virilement et me fixe. Mais je le sentais un peu gêné, il était vêtu d’un bleu de travail avec des bretelles mal repositionnées sur son torse nu et il était pied nu, drôle de tenue pour quelqu’un sois-disant parti faire le tour de ses champs…. Mais pas de chance la porte de la grange entrouverte me permettait de voir que mon Pascal n’était pas tout seul puisqu’un jeune blondinet de 25-30 ans entièrement nu était assis sur un ballot de paille et attendait probablement que notre discussion s’achève et de pouvoir reprendre avec le fermier là ou ils en étaient…..mais la situation me provoqua une réaction dans mon entre-jambe que je pouvais difficilement cacher n’ayant que mon «cycliste » en Lycra bien extensible…..j’ai eu beau mettre maladroitement mes mains devant ça n’y changeait rien et Pascal remarqua très vite mon excitation et comprît que j’avais découvert pourquoi il était là…..Pascal a 3-4 ans de plus que moi donc 53-54 ans et il est bourru et pas sûr que le village se doute de sa bisexualité car moi j’avais su qu’il s’était marié et avait eu 2 enfants mais que sa femme l’avait quitté. Pascal me rappela la situation que je connaissais et me dit tout de go « au départ de ma femme je me suis rendu compte que les hommes m’attiraient et j’ai enchaîné des plans mais bien sûr pas question de vivre avec un H car au village ça ferait jaser » Je le comprenais aisément car moi aussi je gardais pour moi cette envie d’homme qui a accompagné ma vie de couples avec des femmes. Je lui fis l’aveu que moi aussi je faisais des plans avec des hommes en secret de ma femme. Du coup Pascal me fit entrer dans la grange et me présenta Andreï un jeune Ukrainien venu ramasser les myrtilles pour la saison et qu’il avait trouvé via une application gay bien connue. Pascal me dit être 100% actif et aimer casser des culs de jeunes et me proposa de l’assister pour cette fois…..et que puisque je lui avais révélé que pour ma part j’étais versatile il m’honorerait avant mon départ lors d’une de mes futures balades. L’heure ayant un peu tournée j’envoyais un SMS à ma femme pour lui dire que j’avais trouvé Pascal et qu’on prenait le café ensemble et qu’elle ne m’attende pas.

Andreï se levait, rabaissait les bretelles de Pascal laissant retomber son pantalon, libérant directement sa queue car quand il m’avait entendu il n’avait pas pris la peine de remettre son slip, puis venant vers moi il fit glisser mon équipement de cycliste qui dévoilait mon équipement d’homme: Une bite épaisse et 2 boules prêtent à être sucées. Andreï balbutiait quelques mots simples en Français mais on se comprenait vite puisqu’il gobait mon engin tandis que Pascal sans grosse retenue lui dévorait le cul pour l’humidifier suffisamment pour y glisser un puis deux doigts qui dilataient sa rondelle qui rapidement épousait la grosse et longue queue de l’agriculteur qui poussait un râle à chaque coup de rein. La puissance de Pascal projetait vers l’avant notre passif qui du coup s’enfonçait mon sexe au fond de sa gorge pour son plus grand plaisir….puis nous inversions les rôles avec le cul pour moi et la bouche pour lui et Andreï cria « pas jouir maintenant….les deux dans mon cul… ». Pascal s’assied sur la botte de paille, notre jeunes venant s’empaler sur lui en le faisant doucement basculer en arrière, il ne me restait plus qu’à me positionner au dessus de la bite de Pascal, de cracher sur ma queue et de pousser progressivement pour offrir à notre jeune slave une belle double sodomie….je fus le premier jouir dans son cul puis Pascal au prix de quelques va-et-vients supplémentaires lui inonda également la rondelle….Nous nous sommes rhabillés, je donnais à Pascal mon numéro et on se promettait de s’appeler le lendemain pour se faire un bon plan Q et que je puisse à mon tour sentir cette belle queue en moi ( ce sera la suite)…..je repris mon pédalage jusqu’à la maison puis direction la douche pour effacer toutes traces de mes ébats matinaux...

Chapitre 2

Ma matinée à la grange avec Pascal et Andreï m’avait un peu claqué au point que je passais une partie de l’après-midi vautré sur un bain de soleil à somnoler tandis que ma femme venait me rassurer en pensant que cette fatigue était due à mon travail et que du coup les vacances étaient propices à se reposer. A peine avais je fermé les yeux que je nous revoyais baisant dans la paille et invariablement mon sexe devenait dur. La journée passa assez vite et une fois le repas pris et une petite promenade effectuée me voilà couché vers 23h au côté de madame chaude comme la braise que je me devais d’honorer, devoir conjugal oblige. Néanmoins je me surprenais et culpabilisais d’avoir Pascal en tête alors même que je sautais ma bien-aimée….étais je injuste ou simplement excité à l’idée d’être le lendemain ou cet ami d’enfance devait m’appeler….

L’avantage (ou l’inconvénient pour certain…) c’est qu’en Corrèze point de réveil pour vous sortir du lit mais juste le coq du voisin chantant à tue-tête pour montrer qu’il est bien là. Petite douche rapide et petit déjeuner dans le plus simple appareil sur la terrasse qui nous préservait d’éventuels voyeurs, je restais scotché sur mon portable prêt à décoller au moindre appel de celui qui devait visiter mon intimité et me combler. Ma chère et tendre me proposait une virée sur le lac de Sèchemaille que j’acceptais même si je préparais le terrain en lui disant que j’avais revu un gars du village et qu’il devait m’appeler pour me montrer ses tracteurs et sa ferme et que donc j’étais susceptible de m’absenter une heure ou deux.

Nous voilà à naviguer sur un petit voilier pour redécouvrir cette sublime Corrèze de mon enfance et contempler ce beau paysage aidé il est vrai par le magnifique soleil qui nous faisait l’honneur de briller. Pour le déjeuner nous avions réservé dans le restaurant de la base nautique puis avec Fanny nous sommes allongés sur la plage. Nous étions heureux blottis l’un contre l’autre mais quelque part ce satané téléphone ne sonnait pas et je me posais la question de savoir si Pascal n’allait pas renoncer à notre plan Q. Inconsciemment je m’endormais bercé par la bise quand enfin ma sonnerie retentit….oui c’était lui, mon cœur battait plus fort, je décrochais et m’éloignais un peu de peur que ma femme entende mon interlocuteur qui « oh bonheur » me proposait ENFIN de le rejoindre pour 17h. Aucun risque que Fanny m’accompagne ayant une sainte horreur des odeurs de ferme et ayant prévue d’aller faire 2-3 courses à Meymac. Nous avons replié les serviettes direction notre voiture pour regagner la maison. Un brin gonflé je demandais à Fanny si elle pensait que je pouvais enfiler mon cycliste et y aller comme ça, ce à quoi elle me répondit « c’est pas une femme que tu vas voir…. ».

Je pédalais en direction de la ferme ou j’avais rendez-vous et posais le vélo et apercevant Pascal j’allais à sa rencontre. Il me fit grimper dans son tracteur ou ce cochon était déjà à poil. Il démarra l’engin ( à moteur pour l’instant 🤣) et me demanda d’enlever ce qui cachait à peine ma virilité. Nos gabarits faisaient qu’il n’y avait pas beaucoup de place dans la cabine mais Pascal trouva vite le chemin de mon sexe qu’il empoigna avec vigueur alors que nous roulions à travers un chemin. « C’est marrant on ne s’imaginait pas il y a 25 ans qu’un jour on serait tous les 2 nus à se tripoter dans mon tracteur…. ». Ma bite était droite et la branlette énergique faisait monter rapidement la sauce et un peu honteusement j’envoyais valser une giclée de sperme sur le pare-brise. « Tu vas lécher ça » m’ordonna Pascal alors que son tracteur n’était pas non plus d’une grande propreté. Je m’avançais et commençais à nettoyer à coups de langue les quelques millilitres de foutre pendant que Pascal profitait de ma position penchée pour caresser mon cul et tâter ma rondelle « hum ton gros cul ce sera pour demain car là j’ai trop de boulot mais il faut que tu me soulages donc suce-moi ». J’arrivais tant bien que mal à m’agenouiller dans le tracteur et pris les chose en mains et Pascal démarra l’engin ( de corps caverneux cette fois 🤣) qui se redressait illico pour combler ma petite bouche. Les soubresauts du tracteur permettaient quasi naturellement de faire des va et vient et je sentais Pascal moins attentif à la route et prudemment il arrêta le tracteur pour que je puisse le terminer paisiblement et sans risque. Pascal était plutôt du genre endurant mais pas de problème j’étais patient et prodiguait consciencieusement la pipe que j’avais mainte fois imaginer la nuit précédente quand c’était Fanny qui me suçait…. . « Waouh ton coup de langue est merveilleux ça fait longtemps qu’on ne m’a pas….aaaargh oh oui » pas le temps de finir son compliment que Pascal déversait son foutre dans ma gorge, provoquant un haut-le-cœur mais je ne recrachais pas et avalais sa semence. On se rhabillait et Pascal redémarra l’engin ( à moteur🤣) et retour à la case ferme. « demain rendez-vous ici à 8h j’aurais plus de temps pour m’occuper de ton cul car quand tu t’es penché dans le tracteur j’ai vu ta belle rondelle qui visiblement en a vu passer des bites et ça m’a excité de fou mais la il faut que je m’occupe de traire mes vaches, elles n’attendent pas »….Je montais sur mon vélo et ronchonnais un peu « que moi aussi je n’aime pas attendre et que j’avais encore du lait à produire et à consommer…. » mais je m’imaginais déjà le lendemain matin.

Chapitre 3

Quand nous avions choisi notre destination de vacances avec Fanny je ne me serais pas imaginer vivre ces pulsions sexuelles avec Pascal cet agriculteur que j’avais connu 25 ans plus tôt…..Quand je dis pulsions c’est bien que mon psychique orientait toutes mes pensées sur ce qui s’était déjà passé et ce qui devait se passer ce jour là où j’étais promis à passer à la casserole ou au faitout vu mon gabarit…..mais la vie des agriculteurs est semée d’embûches et c’est avec désarroi que je recevais ce sms ou Pascal m’informait qu’il attendait le vétérinaire pour une vache malade et que du coup il remettait notre rdv à plus tard…..mais je pensais « pas trop car dans 4 jours je ne suis plus là ». Cette défection me coupait les jambes et je renonçais à pédaler et préférais comme un petit cochon retrouver Fanny sous la couette pour évacuer mon surplus d’excitation….Ma belle m’avoua au petit déjeuner n’avoir pas joui comme ça depuis longtemps et me susurra à l’oreille « je suis prête à recommencer….si tu en es capable bien sûr…et que t’as envie de moi ». Ni une ni deux je la soulevais et la basculais sur la table, arrachant littéralement sa petite culotte et enfonçant sans attendre mon pieux dans sa chatte dégoulinante. Avec mon doigt je récupérais ces sécrétions vaginales pour lubrifier son anus qu’elle ne m’avait encore jamais offert et puisqu’elle m’avait aguicher pour une nouvelle partie de jambes en l’air j’allais lui montrer que je savais varier les plaisirs en déflorant son cul pour qu’elle puisse ressentir ce que moi je pensais ressentir avec Pascal ce matin là. Ma bite pénétrait enfin l’interdît tandis que les doigts de Fanny me lacéraient le dos….je me surprenais à lui lâcher quelques grossièretés « je t’encule ma salope, j’vais inonder ton cul » ce qui mettait ma femme dans un état second….poussant des gémissements qui me montraient qu’elle ne se maîtrisait plus, j’explosais en elle et nous restions enlacés un long moment pour nous remettre de ces émotions sexuelles…..puis direction la douche ou nous avons fait l’amour pour la 3eme fois….La Corrèze rimait avec terre de baise….

J’envoyais un SMS à Pascal pour lui raconter que j’avais trouvé un bon réconfort dans les draps et les bras de ma femme et qu’il ne savait pas ce qu’il avait perdu car j’étais chaud comme la braise aujourd’hui, j’espérais provoquer chez lui une pointe de jalousie devant ce cul perdu et effectivement il m’envoyait une vidéo de sa queue qu’il branlait avec pour message « Rien demain ne m’empêchera de te la mettre dans le cul, je suis trop dégoûté de ne pas avoir tenu ma promesse ». J’étais de nouveau tout excité à l’idée d’être pour Pascal ce que Fanny avait été pour moi aujourd’hui: Son objet sexuel….

Nous avons passé la journée à faire une grande balade sur quelques sentiers de randonnée proches de Neuvic en improvisant un pique-nique sur les bords de la Triouzoune. Fanny a tenu à revenir sur notre chaude matinée et m’avoua regretter de ne pas m’avoir offert son cul plus tôt tellement elle avait joui et moi comme un grand bêta de lui dire « Oui c’est si bon de se faire enculer… » mais je me rattrapais vite « J’avais lu des témoignages… »….Ni vu ni connu ma gaffe passait inaperçue….Ouf!