Mon retour en Corrèze

Chapitre 4

Ce matin j'en étais sûr Pascal ne me ferait pas faux bond tant je l'avais provoqué hier en lui racontant comment j'avais baisé ma Femme Fanny alors que lui attendait le vétérinaire....il était énervé mon fermier à qui j'avais promis mon cul mais qui par 2 fois s'était défilé au prétexte d'avoir trop de boulot....Mon SMS de la veille ou je me demandais si il avait vraiment envie de moi avait du tourner en boucle dans sa tête....enfin je l'espérais. Il était à peine 8h quand la vibration de mon portable m'alertait d'un message....le message tant attendu de Pascal qui m'invitait à le rejoindre à la stabulation sans trop attendre car il avait très envie de moi....ENFIN!

Fanny dormait encore et je lui griffonnais à la hâte 2-3 banalités pour qu'elle ne s'inquiète pas de mon absence et enfourchais ma bicyclette pour rejoindre mon amant du matin moins d'1/4h plus tard. Pascal terminait juste de renouveler le paillage de l'étable et d'un signe de la tête me demandait de le suivre à l'intérieur. A peine le temps de le saluer qu'il me poussait dans l'enclos et me projetait au sol tout en dégrafant son pantalon pour sortir sa queue déjà en érection. "Alors comme ça tu me nargues avec tes SMS le Parigot"....oui tout ce qui est au dessus de la Loire est Parisien pour beaucoup de corréziens. " Ton SMS m'a excité grave et si tu avais pu te libérer hier soir je t'aurais fait la misère petite salope...". C'est la première fois que Pascal me parlait comme à un objet sexuel et non comme un ami de jeunesse....ça me surprenait dans un premier temps mais j'acceptais sans rechigner la situation et comme preuve de ma soumission j'engloutissais sa queue d'un trait et actionnais ce levier de bonheur.... " J'adore traire un fermier" ironisais-je entre 2 coups de langue magique.....Pascal souriait avec un petit air narquois et me répliqua " C'est moi qui vais te traire comme une vache". Il me releva et me tira par le bras jusque dans la salle de traite ou il me mît à poil en arrachant littéralement mon cycliste, m'installa sur le petit muret de séparation, démarra la machine à traire et prit une ventouse qu'il me colla sur le penis...."T'inquiète il m'arrive de le faire et ça surprend au début mais après c'est assez agréable"...Effectivement cette fellation mécanique devenait agréable après un instant de flottement ou j'imaginais la machine aspirer ma queue alors que finalement le «tchouc tchouc » rythmait le va-et-vient sur ma bite raide comme jamais. Pascal me relevait, me retournait et plongeait ses doigts dans un pot de crème à traire et enduisait copieusement mon anus ou il enfonçait son pieux direct sans sommation! « La c'est pas ta femme la pute, c'est bien toi…tu la voulais ma bite dans le cul et bien tu l'as….tu en penses quoi? »…difficile de lui répondre puisque ses assauts me coupaient la respiration, il me défonçait sans retenue en accompagnant chaque coup de rein d'un râle animal qui en disait long sur le plaisir que lui procurait mon intimité parfaitement huilée et maintenant bien élargie….mais je me surprenais à lui chuchoter des mots du style « plus vite plus fort » tellement cette sensation d'être aspiré par l'avant et bien calé par l'arrière était intense….Je ne demandais pas mon reste et éjaculais mes quelques millilitres de lait dans la machine alors que peu de temps après mon vacher dans un dernier hurlement se retirait brusquement et larguait sur mes fesses et mon dos son foutre qu'il rêvait de déverser depuis 2 jours et qu'il avait gardé précieusement dans ses bourses…..lui s'asseyait sur le muret pour reprendre son souffle et moi je restais debout le cul dégoulinant et pris d'un tremblement au moment où mes muscles se relâchaient….waouh mon fermier Corrézien, ami d'enfance venait de me combler d'un coup de baguette magique….je planais quand Pascal interrompait mon songe «planque toi il y a le facteur », Après avoir enlevé la ventouse, je me glissais derrière le mur à poil tandis que Pascal renfilait à la hâte sa combinaison….j'observais mon cycliste en Lycra jonchant le sol sans pouvoir venir le chercher. Le facteur 2-3 lettres à la main venait se faire payer le café tandis que je restais 10 bonnes minutes dans une position inconfortable mais en m'assurant de ne pas faire de bruit pour ne pas que tout le village sache que le Parigot venait de se faire tringler dans l'étable.

A peine notre postier avait tourné les talons que je m'empressais de récupérer mon cycliste plein de paille et me reculottais fissa au cas où quelqu'un entre.

Pascal avec un grand sourire me tendait un café, et m'annonçait que le plan Q n'était pas terminé puisqu'il avait donné RDV à Andreï le jeune Ukrainien que j'avais surpris dans la grange avec lui et quelques part à l'origine de mes vacances sexuelles. Nous voilà partis en quad rejoindre cette fameuse grange pas si cachée que ça d'ailleurs mais assez à l'écart pour batifoler sans trop de risque. Je trouvais sympa l'idée de Pascal de boucler la boucle avec Andreï comme dessert… « Ah au fait Andreï est versatile et je lui ai promis ton cul car il n'en n'a pas pris un seul depuis qu'il ramasse les myrtilles» me glissa à ma grande surprise mon agriculbuteur… « Ah ok pas de problème…. » répondis je sans certitude que cette version me convienne mais étant l'invité je ne pouvais pas non plus imposer mes envies…Pour dire vrai mon cul me faisait encore un peu souffrir des coups de boutoir subis à l'étable et le quad n'avait rien arrangé. Andreï était déjà arrivé et le temps que Pascal déverrouille la porte du hangar il me pelotais les fesses « Tu as gros cul, jamais baisé si gros », je sentais mon gaillard excité comme une puce à l'idée de m'enculer….mais pourvu qu'il prenne soin de ma rondelle quand même. Pascal pour bien montrer qu'il était le patron se dessapait et nous présentait son sexe en erection pour une fellation en duo, qu'on lui prodigua sans rechigner à genou. Mais Andreï n'avait vraiment qu'une chose en tête, et profitait de la situation pour introduire un puis deux doigts dans mon cul encore bien graissé vu la tonne de crème à traire enduite précédemment. Mon ukrainien crachait la bite de notre agriculteur et se relevait pour présenter sa fine queue à l'entrée de mon orifice et d'un seul coup de rein se retrouva planté jusqu'aux couilles. Il resta un moment figé dans mon cul, appréciant visiblement l'instant. « Toi trop manger donc grosses fesses mais très bien pour te baiser… ». Le petit jeunot était ravi et actionnait enfin son engin mais sa sur-excitation le faisait cracher en quelques minutes seulement, je pensais mon cul épargné mais Pascal raide comme un cochon voulut prendre le relais et ce n'était pas la même histoire puisque son ramonage durait depuis une dizaine de minutes en levrette debout ou j'avais la tête et les bras posés sur un ballot de paille quant mon Andreï tout content brisait le murmure de notre plaisir par un « moi encore bite dure…deux dans ton cul », Pascal se positionna couché sur une botte de paille, je m'empalais sur lui basculant au maximum mon postérieur pour offrir une chance à Andreï de venir glisser sa bite en complément de celle de Pascal…..mais ma souplesse légendaire et la relative maladresse de notre partenaire empêchaient cette réalisation qui aurait été une première pour moi….mais Pascal avait une autre idée et laissa mon cul à notre ukrainien qui me ramonait un peu plus sévèrement que la première fois et lui prit Andrei en sandwich sans vraiment l'épargner car à chaque coup de rein de Pascal, la bite d'Andreï venait cogner mon cul qui décidément prenait cher aujourd'hui. La situation était assez sympa et jouissive surtout quand mes deux partenaires éjaculaient presque simultanément…..alors que je me terminais à la main pour inonder à mon tour le sol de la grange…

Nous sommes restés quelques minutes à reprendre nos souffles, puis Pascal m'a raccompagné à la ferme pour que je reprenne mon vélo…. « Tu reviens quand tu veux ce sera notre secret…. », il ne restait plus que 2 jours de vacances et nous avions déjà planifié nos occupations avec Fanny donc pas cette année……bien dommage. Je pédalais en danseuses incapable de poser les fesses sur la selle pour rentrer à la maison, Fanny m'attendait pour le petit-déjeuner….À la vue de mon cycliste souillé et avec de la paille « tu t'es roulé dans l'étable pouah ? » « presque c'est un veau qui m'a bousculé et je suis tombé » « va prendre une douche je te rejoins…j'ai envie de toi…. ». Ma matinée n'était pas finie.