C’est plus un témoignage qu’une histoire que j’écris aujourd’hui et ça appelle forcément vos commentaires, vos expériences notamment sur les jeux sexuels comme le fist fucking ou l’introduction de toutes sortes de gros objets dans l’anus. Je n’ai jamais été attiré par ces pratiques et ne le serais pas plus après ce que je viens de vivre. Mon témoignage n’est en rien alarmiste ou donneur de leçons chacun faisant comme bon lui semble.
Si j’évoque ces pratiques sexuelles c’est que je n’arrive pas à comprendre comment les uns et les autres n’avez pas d’avantage de séquelles aussi douloureuses qu’incommodantes.
Venons en à mon histoire et vous comprendrez sans doute (ou pas?) ou je veux en venir. Je sors de 3 mois de douleurs intenses dues à une profonde fissure annale et même si rien indique que ma dernière expérience sexuelle en est à l’origine c’est quand même fort probable. Aujourd’hui ça va mieux, j’ai été opéré il y a 1 mois et la cicatrisation semble OK pour le chirurgien mais je ne sais toujours pas si un jour je pourrais de nouveau prendre un sexe dans mon for intérieur et si c’est le cas je risque de le vivre comme une première fois....Bien entendu étant marié avec une femme je n’ai pas évoqué la question avec le chirurgien mais je reste persuadé que ma dernière sodomie a causé cette fissure tellement elle avait été intense et accompagnée de l’introduction de godes tous plus gros les uns que les autres.
Adepte de rencontre « One Shot » en secret de ma F, j’avais accepté l’invitation de Ludovic un jeune homme de 25ans qui m’avouait avoir un penchant pour les vieux ( j’ai 49...ça va quand même) et me proposait un plan Q chez lui. Dans nos conversations d’avant le Rdv il m’avait bien parlé de son sexe assez énorme et m’avait promis d’y aller progressivement et d’utiliser ses jouets en plastique pour détendre ma rondelle que j’allais bientôt lui offrir.
Nous sommes début Octobre et la porte de ce jeune homme s’ouvre et me laisse entrer dans son petit appartement de Senlis, ou après un petit café pour faire connaissance nous commençons à nous dévêtir et dévoiler nos anatomies respectives. Pour ma part si j’ai plutôt un sexe moyen et large ( 14cm x 14 de circonférence) celui de Ludovic est bien plus impressionnant qu’en photo avec (18X 16 à ce qu’il m’a dit mais ce qui est cohérent comparé au mien que j’ai souvent mesuré). Nous voilà nus, bandant rapidement au contact de nos doigts puis de nos bouches qui s’occupaient volontiers nos queues respectives. Pour tout dire, je recrachais rapidement la verge de mon jeune étalon pour ne pas risquer l’étouffement ou plus sérieusement d’avoir un haut le cœur fort gênant dans un moment d’intimité. Ludovic commençait déjà à me farfouiller mon intimité car son objectif était bien de me sauter car comme il l’avait écrit «c’était disette depuis un bon mois... ». Rapidement je me trouvais à quatre pattes sur le lit la croupe en l’air et sentis le froid du gel qui tombait sur mon trou que les doigts experts de Ludovic commençaient à détendre un peu, bientôt aidé d’un gode vibrant qui entrait et sortait lentement. Ludovic montra un gode «mammouth » enduit de gel qui remplaça rapidement le précédent et que je sentais m’écarter plus que de raison le sphincter et n’appréciant guère cet instant invitait plutôt mon jeune impatient à utiliser son bel organe. Le bruit de la capote déroulée sur le penis puis une énième giclée de lubrifiant annonçait le début de la pénétration. Ludovic s’exécutait après m’avoir crié quelques grossièretés qui en disait long sur sa disette sexuelle et son impatience. Son gland se présenta et n’attendit pas mon autorisation pour profondément écarter mon anneau et venir percuter ma prostate d’un coup de rein énergique, puis ressortis pour mieux réentrer en me projetant sur le ventre. Tel un animal sur sa proie Ludovic vint se plaquer sur moi pour mieux me sodomiser et me re-sodomiser à grand coup de reins. Mais rassurez vous ce n’était pas un viol mais un moment intense ou je me faisais défoncer bestialement par mon partenaire plus maladroit que violent. Ses râles accompagnaient chaque coup de butoir alors que de mon côté je prenais un certain plaisir a être ainsi soumis par un homme en manque de sexe. Après dix bonnes minutes de sodomie aussi intense que douloureuse mon partenaire me proposa de me mettre sur le dos et de poser mes jambes sur ses épaules pour lever au maximum mes fesses pour pouvoir venir en moi encore plus profondément. J’acceptais sa proposition et voyais son engin reprendre des va et vient rythmés à la cadence d’une musique de Metallica. Ludovic prît dans sa main le premier gode (assez étroit) et arriva à l’introduire en complément de son sexe qui occupait pourtant déjà beaucoup de place dans mon cul....mais la vibration décuplait son excitation de jeune chien fougueux et assez rapidement il se retira brusquement, éjecta le préservatif et m’inonda le ventre de sperme et comme si je n’avais pas assez pris cher me rentra son gode mammouth pour comme il me le criait à l’oreille « me terminer... ». Préférant vraiment le naturel au plastique je lui fis retirer l’intrus et bien qu’annalement endolori repris sa bite à demi molle en bouche pensant juste la nettoyer mais visiblement sa jeunesse lui offrait une nouvelle virilité et c’est de nouveau un pieux érigé que je suçais délicatement. Ludovic me releva et me plaqua contre le mur puis m’encula direct sans se soucier que mon trou soit encore lubrifié et qu’il n’avait plus de préservatif. Je me laissais sauter ainsi, mon cul pourtant en feu prenait de nouvelles salves pendant de longues et interminables minutes ou mon amant de l’après midi semblait rattraper son retard sexuel....Nous avons juste été interrompu par le voisin cognant le mur et demandant à Ludovic d’arrêter de bricoler.....Si il avait su quel était son outil....
Son sperme inonda mon trou élargi par ces fécondations féroces, Ludovic plutôt épuisé par ses assauts sexuels se posa sur le lit et m’invita à venir glisser mon sexe entre ses fesses, ce que je fis volontiers après avoir soigneusement lubrifié l’endroit. Loin de moi l’idée de rendre sa saillie aussi sauvage que la mienne mais je crûs rêver lorsqu’il me demanda d’y aller doucement pour ne pas lui casser le cul....un peu gonflé le gars.... N’ayant pas ou plus son endurance et étant un peu perturbé par mon cul qui me faisait souffrir j’explosais en moins de cinq minutes. Petite douche et rhabillage rapide pour ne pas rentrer trop tard retrouver ma femme.
Voilà la suite vous la connaissez ou presque car 4-5 jours après la douleur annale s’est intensifié devenant quasi intolérable mais difficile d’en parler mais comme les cachetons ne faisaient rien je me décidais à consulter mon toubib qui me parla d’hémorroïdes et me renvoya vers un proctologue qui lui découvrit la fissure qui ne se referma jamais m’obligeant à être opéré.
Je regrette aujourd’hui de ne pas avoir calmé l’ardeur de mon étalon fou qui m’a très certainement cassé le cul car pour une bonne demi heure de plaisir (quoique...) ce sont 3 mois de souffrance et au moins six d’abstinence voire ne jamais plus pouvoir être sodomisé.....donc attention protégez vos arrières et votre derrière c’est mon conseil du jour surtout pour les adeptes de pratiques dilatant l’anus car quelque part je m’en tire pas mal car mon chirurgien m’avait parlé du risque de rester incontinent si le sphincter était trop « lâche »....il n’aurait plus manqué que ça....
Ludovic m’a recontacté dernièrement pour qu’on remette ça car il avait adoré notre plan Q je lui ai dit que ça n’allait pas le faire....et que d’ailleurs si j’ai le bonheur de rééssayer la sodomie je choisirais un partenaire avec une queue toute fine pour commencer. Il était un peu penaud et m’a promis de faire un peu plus attention à ses partenaires a l’avenir.
Candide78
candide78@laposte.net
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