Chapitre 1
Je m'appelle Alain, bientôt 50, je me porte plutôt bien, physique agréable, marié, 2 enfants.
Avec ma femme il y a de l'eau dans le gaz, on s'engueule tout le temps, je la trouve distante mais bon on fait avec.
Je travaille dans une société informatique, il y a 6 mois, un nouvel employé a joint notre équipe : Julien, la trentaine, chatain, yeux marrons, un bon mètre 90, épaules carrées, super bien musclé. N'étant pas gay, je me suis pourtant surpris à regarder un superbe paquet moulé dans des jeans bien serrés.
Ses chemises semblaient avoir du mal à contenir ses pecs ou ses biceps...
Julien a tout pour rendre un homme jaloux : un superbe physique, un charisme extraordinaire, et lorsqu'on veut même s'énerver après lui, il vous répond par un sourire à vous faire fondre.
Je voyais souvent Julien avec les filles du bureau, elles tournaient toutes autour de lui, riant bêtement à la moindre de ses plaisanteries... oui, j'avoue, j'étais un peu jaloux.
Pourtant Julien était super sympa avec moi.
Mais j'avais un avantage sur elles, on m'avait demandé de le superviser, nous occupions un bureau ensemble.
Non seulement j'avais des relations privilégiées avec lui mais surtout, le midi, il allait faire du sport et se changeait dans le bureau.
Il était pudique mais en se changeant, il était obligé de dévoiler là une fesse, là un torse, et j'avoue que j'étais très troublé.
Mais un évènement allait tout changer dans ma vie.
Le week-end, nous avions à tenir une permanence au bureau à tour de rôle, c'était vraiment inutile car on aurait pu faire les interventions à distance, mais ça rassurait le patron d'avoir les employés sur place. Le fait de travailler le week-end (payé double) me permettait d'arrondir mes fins de mois, je me portais souvent volontaire, de toute manière l'ambiance était électrique à la maison.
Par contre il n'y avait rien à faire la plupart du temps.
Ce Dimanche matin, je me rends donc sur place, je traîne, je bois mon café et m'installe devant mon PC.
L'atmosphère d'un bureau vide, habituellement bruyant et occupé change beaucoup, on sent seul au monde, je me mis donc à fouiller dans le placard de Julien, je trouvais ses affaires de sport, ce cher Julien pratiquait à peu près tous les sports de la terre mais je m'attardais sur un cuissard cycliste blanc. Il était doux, brillant... J'ai eu envie de l'enfiler. Étant certain que personne ne viendrait me déranger, je me déshabillais et enfilais la tenue : c'était un cuissard blanc de la FDJ avec des bretelles. Je me mis instantanément à bander, bizarrement, je pensais au corps de Julien, à son visage craquant, à ses muscles saillants... je sortis ma queue et me mis à me branler. Je fermais les yeux et m'imaginais avec Julien.
Soudain, j'entendis un bruit dans le couloir. Avant même que j'ai le temps de rentrer ma queue, la porte s'ouvrit et je me retrouvais face à Julien en tenue de jogging: short et t-shirt.
Imaginez la scène, moi dans son cuissard la queue sortie et bandée avec de la mouille et lui en face.
A cet instant j'aurais aimé pouvoir disparaître instantanément.
Le visage de Julien passa de la surprise à l'amusement, son sourire en disait long, je serai grillé, voire peut-être viré dès le lundi !
Mais rien de ceci ne se passa.
"Eh bien, je vois que tu t'amuses bien !" me dit-il.
J'étais rouge de honte, je commençais à débander.
"Tu sais que c'est à moi ce truc, t'as pas honte ?"
J'essayais de balbutier un truc... "Oui désolé, je le trouvais sympa, j'ai voulu l'essayer"
"Ah ben çà oui tu le trouve sympa, il te fait bander ! Ou c'est peut-être moi ?"
"Non, je suis désolé, je ne suis pas comme ça"
A ce moment, Julien fit glisser son short et son boxer à ses pieds, il était juste en t-shirt.
Je ne m'étais pas trompé, il était bien gâté par la nature, mais je remarquais immédiatement une chose : il bandait lui aussi.
J'ai une queue de 18 épaisse mais la sienne devait faire au minimum 22 cm.
Il me dit : "Allez, on va s'amuser ensemble, tu vas te faire pardonner".
Je m'étais assis à mon bureau, il s'approcha, la queue tendue.
Je ne sais pas ce qui m'a pris, je l'ai avalée immédiatement.
"Hummm oui t'es une bonne suceuse..."
Il gémissait sous mes coups de langue.
"Tu aimes ça hein ? Je vais te faire découvrir autre chose !"
Il me fit relever, m'enleva le cuissard, j'étais raide comme jamais.
Julien me fit mettre à plat ventre sur le bureau, il se mit à me lécher la rondelle.
Je gémissais, je ne me reconnaissais, plus, je lui disais "oh oui continue !"
Il commença à me préparer avec ses doigts puis approcha sa queue immense de mes fesses.
Je me surpris à désirer être pris... Il ne me fit pas attendre et s'introduisit lentement.
La sensation que je ressentais était extraordinaire, il se mit à aller et venir en accélérant, il soufflait fort, il gémissait aussi.
Il m'avait pris par la taille et me défonçait littéralement, je n'avais pas mal... Au contraire, je sentis une jouissance venir du fond de mes entrailles, et je crachais soudain 5 longs jets de sperme sur le bureau.
Après quelques minutes il lâcha son jus en moi dans un hurlement bestial.
"Tu as l'habitude non ?"
Je lui répondis que c'était ma première fois avec un homme.
Il me dit qu'il était Bi et qu'il avait adoré la situation.
J'avoue que j'avais aussi aimé être un peu dominé par ce mâle musclé.
Tandis que nous discutions de sexe, tous 2 à poil, je me remis à bander et lui aussi.
Il me fit alors asseoir sur le bureau, s'assit à la chaise devant et commença une fellation comme rarement j'en ai reçu. J'avais l'impression qu'il m'aspirait en entier dans sa bouche.
Je lui dit "je vais venir", il me répondit par un regard amusé.
Je lâchais donc mon sperme dans sa bouche et il avala tout avec gourmandise...
Puis, il me fit glisser sur lui et me fit m'empaler sur sa queue, lui assis sur la chaise.
Après quelques minutes de baise acrobatique sur une chaise, il jouit de nouveau dans mes fesses.
J'appris plus tard qu'il passait par le bureau pour récupérer des affaires, un hasard heureux pour moi...
Il se rhabilla, me roula une pelle d'enfer et me dit "je dois y aller, à lundi !".
Je me rhabillais à mon tour et continuais mon travail en essayant de ne pas penser à ce qui venait de se passer.
Le soir en rentrant chez moi je me sentais vraiment mal, je n'avais jamais trompé ma femme, encore moins avec un homme.
Je me couchais après ma femme et essayais de dormir.
J'arrivais au bureau tôt le lundi, je m'installais, je remarquais des traces sur le bureau laissées par mon sperme. La femme de ménage ne passe pas le dimanche, heureusement !
J'étais en train de nettoyer le bureau quand Julien entra.
Je sentis mes jambes se dérober il vint vers moi et me fit la bise, je restais scotché sur place car d'habitude on se serrait la main...
Il me dit : "Alors bogosse, tu as bien dormi ?"
Je ne répondis pas, il continua "J'ai bien kiffé hier, j'ai beaucoup pensé à toi !"
Je ne savais plus trop quoi penser.
Je continuais donc mon travail en évitant d'interagir avec lui.
Heureusement, il passa sa journée au téléphone, je ne me sentais pas de commenter nos exploits de la veille.
Au moment de partir le soir, Julien m'arrêta avant de sortir du bureau.
"Qu'est-ce qui se passe tu es fâché ? Tu m'as fait la gueule toute la journée !"
"Bon écoute Julien, j'ai adoré ce qu'on a fait hier mais je me sens mal, je ne veux plus qu'on en parle, c'était une erreur"
"Bah tu n'as pas à être mal, viens on va en parler, je t'offre un verre"
Ce type était non seulement beau comme un Dieu mais en plus sympa, j'acceptais donc avec plaisir.
J'appelais ma femme pour dire que je rentrerai tard.
Vu que je venais au bureau en transports en commun, il proposa de me véhiculer.
On roulais depuis 2 mn quand il commença la conversation.
"Tu sais tu n'as pas à culpabiliser, tu en avais envie".
"Je sais mais c'est par rapport à ma femme et je ne suis pas homo et faut pas mélanger travail et baise".
"Bah tu as kiffé pour un hétéro ! T'es simplement Bi".
"Tu as peut-être raison mais je ne veux pas continuer"
A ce moment il entra dans un parking d'immeuble.
Je lui dis:
"Tu fais quoi là ?"
"Je t'ai dit que je t'offrais un verre non ? On va chez moi ! T'inquiète, je te violerai pas !"
"T'es infernal !"
On entrai dans son appart, il me dit de me mettre à l'aise, il mit de la musique et servit 2 bières.
Je lui expliquais donc que j'avais fait une erreur, que je ne voulais pas trahir ma femme et que même si j'avais adoré, je ne voulais plus recommencer.
Il me répondit : "Tu as tort, faut profiter de ta queue tant que tu peux encore".
Puis il partit aux toilettes.
Quand il revint, il était entièrement nu et bandé.
"Putain arrête tu fais chier !"
"Écoutes je te kiffe vraiment, j'ai encore envie de toi"
Ce corps de Dieu Grec, cette queue énorme eurent raison de mes hésitations je me jetais sur lui pour l'embrasser tout en le branlant à fond.
Il me déshabilla et on se retrouvait rapidement en 69 sur le canapé.
On jouit tous les 2 quasiment en même temps.
Je me rhabillais rapidement et je rentrais chez moi. Julien voulait me ramener mais je ne voulais pas.
En rentrant chez moi je me dit qu'il fallait parler à ma femme.
Elle était devant la télé, les enfants couchés.
Je lui dit "Écoutes, faut qu'on parle !"
Je n'étais pas au bout de mes surprises.
Elle me dit qu'elle fréquentait un homme depuis quelques temps et qu'elle voulait me quitter.
Je vous passe les détails de la séparation...
Et Julien alors ?
On a continué à se voir, il papillonnait avec des hommes et des femmes mais il revenait régulièrement vers moi, on passait des soirées mémorables à parler de tout et de rien mais surtout à baiser comme des sauvages.
La situation s'est normalisée au bureau, on n'en parlait plus, pas d'allusions non plus, même si on était plus complices.
Et puis un jour un nouveau est arrivé !
Mais je vous raconterai ça une autre fois...
Fanlycra06
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