Julien

Chapitre 2

Suite à mon divorce, je m'étais installé dans un petit appartement.

Je m'éclatais bien, y compris de temps à autre avec Julien.

Et puis il s'est fait plus distant, la lassitude sans doute, pour ma part, je profitais bien de la vie.

Et un matin, la nouvelle est tombée : Julien allait se marier !

Je n'en croyais pas mes oreilles. Notre chaud lapin allait se caser.

Au début je n'y ai pas cru, mais il est vrai qu'avec le recul, il n'était pas distant uniquement avec moi mais avec les filles aussi.

Le mariage aurait lieu l'été venu, je ne connaissais pas l'heureuse élue et pour parler franchement, je la jalousais : j'aurais bien voulu être à sa place, même si mon divorce m'avait donné un sentiment de liberté sans limite.

J'ai évoqué la possibilité de continuer nos rencontres tous les 2 mais sa réaction a été assez franche "Écoutes Alain, j'ai adoré ce qu'on a fait mais c'est du passé, faut que tu passes à autre chose..."

C'était un peu gonflé vu comme il avait insisté à l'époque où j'étais encore marié...

De ce que j'ai entendu, les filles de l'accueil étaient également un peu vexées que leur charme n'agisse plus sur le bogosse de la boite. Il était passé de l'état de dieu vivant à l'état de "gros bourrin" comme quoi, tout peut changer rapidement.

Un matin, le boss me convoqua dans son bureau, nous allions recevoir un stagiaire.

Vu le boulot que j'avais ne me permettais pas vraiment de m'en occuper, je me sentais mal à l'aise d'encadrer un stagiaire sans vraiment en prendre le temps mais il ne me donna pas le choix : c'était son neveu !

Quand Henri fit son entrée un matin, j'avoue que je n'ai plus hésité à le prendre en charge...

C'était le sosie de Henry Cavill (The Witcher, superman) en plus jeune.

Non content d'être le sosie de mon acteur préféré, il avait le privilège de la jeunesse, j'aurais payé pour le voir dans le costume moulant de superman, en tout cas, vu comme il était bâti, il aurait pu faire sa doublure lumière : un corps de rêve.

Maintenant, j'avais le double de son âge et il était le neveu du patron, en plus il était d'une timidité maladive, il rougissait à tout, semblait ne pas avoir vraiment vécu, bref, passé l'image, en réalité il faisait un peu ado attardé. Je l'aurais bien déniaisé mais il ne semblait pas vraiment intéressé par le sexe.

Du coup, je me concentrais sur mon travail et l'encadrement du stagiaire.

On partageait un nouveau bureau entre Julien Henri et moi.

Curieusement, je ne sais pas ce que sa future femme avait fait à Julien mais il n'avait même pas tenté une approche sur Henri. Il semblait indifférent à son "charme".

Bon j'avoue que le charisme de Henri était assez faible.

Un matin, le boss me demanda de participer à un séminaire à Lyon. Vu qu'il durait 2 jours, il fallait loger sur place donc 2 nuits en arrivant la veille.

Julien était de la partie mais le boss me demanda d'amener le stagiaire.

J'avoue que je n'étais pas super emballé mais on ferait avec.

Au moment de réserver l'hôtel, la secrétaire me dit qu'il ne restait qu'une chambre de 3 dans l'hôtel, les hôtels étant surbookés à cause du séminaire.

On ferait avec...

Le voyage en voiture fut glacial : Julien évitait toute conversation, Henri était encore plus timide que d'habitude, ça promettait un super séjour.

On prit la chambre en fin d'après-midi, elle était spacieuse, en forme de L, 2 lits côte à côte et un de l'autre côté un peu isolé.

On prit les 2 lits côté à côte avec Julien.

Après un repas un peu plus détendu que le trajet, chacun fit un tour de son côté.

Je me jetais sur mon application de rencontre préférée mais vu la localisation de l'hôtel en zone industrielle, il n'y avait personne à proximité. J'étais un peu frustré...

Quand je rentrais à la chambre, Julien et Henri étaient chacun sur leur lit sur leur portable, il était 23 heures et ils voulaient dormir.

Je n'insistais pas et me couchais après une bonne douche.

Mais l'envie de sexe était trop forte...

Henri semblait dormir, Julien était couché en boxer sur son lit. Il faisait chaud dans la chambre.

Je tentais une approche, je mis ma main sur son paquet, il me repoussa, je réessayais, cette fois sa queue semblait bien tendue, il me repoussa de nouveau mais plus mollement.

Je saisissais donc sa queue et je me mis à le caresser au travers du boxer. Sa queue était maintenant bien raide.

Je me glissais sur le côté de son lit et m'approchais, je fis glisser sa queue hors du boxer et commençais à le pomper goulûment.

Visiblement il appréciait et n'avait plus l'intention de me repousser, mais je devais faire vite avec Henri à proximité, d'autant plus que Julien commençait à respirer fort...

Je redoublais d'effort et il explosa dans ma bouche. J'allais pour me recoucher quand Julien me pris par le bras. J'étais debout, il fit glisser mon boxer et me suça à son tour, j'explosais avec force dans sa bouche.

On entendit Henri bouger dans son lit, on se coucha donc très vite.

Le lendemain, on se retrouvait en salle de petit déjeuner. Henri n'était pas encore là.

Julien me dit qu'il fallait arrêter les conneries, qu'il allait se marier mais fini par me dire qu'il avait adoré le moment : en effet depuis qu'il était avec sa copine, il n'avait plus couché avec un mec, je lui dis qu'on pourrait recommencer tant qu'on était à l'hôtel, d'autant plus que la présence d'Henri m'avait bizarrement excité.

Le séminaire était ennuyeux à mourir, épuisant...

Après le dîner, on remontait ensemble à la chambre.

Je ne me doutais pas de ce qui allait arriver...

Henri, généralement silencieux nous dit : "on regarde la télé" ?

Moi "bof", il me répondit "j'ai un superbe programme à vous montrer".

Il bricola un truc sur son mobile et soudain l'image de son téléphone s'afficha sur la télé de la chambre, il lança une vidéo et là Julien et moi furent pétrifiés : il nous avait filmé !

Julien pompé, moi pompé, il avait fait un superbe montage digne d'un porno. Avec le recul je me demande comment il a pu nous filmer sans qu'on s'en rende compte.

Il ne tarda pas à expliquer : le soir il avait posé un truc sur le meuble en face de nos lits c'était une caméra, je n'aurais jamais pu imaginer un tel stratagème, en plus la caméra pouvait filmer de nuit avec une qualité impressionnante... Quel con j'étais, pourtant je connais la technologie, je ne me suis même pas posé la question quand il a posé cet objet à cet endroit...

Cette fois, c'était Julien et moi qui étions silencieux.

Henri se fit menaçant : "Je vais envoyer ça à mon oncle, il va apprécier, en plus vous faites ça devant moi !!!".

J'essayais de le calmer "écoute Henri, on croyait que tu dormais, on est désolés, n'envoie rien, tu vas nous attirer des ennuis, en plus Julien va se marier si elle l'apprend c'est pas seulement son boulot qu'il va perdre".

Le petit ange Henri sembla changer de visage, il eut soudain un rictus, mi-amusé, mi-excité, il nous dit : "pauvres idiots, vous allez faire ce que je veux OK ?"

Cette histoire prenait une autre tournure.

Henri dit "foutez vous à poil !"

On s'exécutait avec Julien, je vis qu'il était à moitié bandé.

Henri se mit à poil également.

"Je vous veux tous les 2 !"

La vache, le petit coincé semblait plus vicelard qu'il ne semblait l'être...

Julien était raide, moi aussi, bizarrement le jeu m'excitait.

La découverte de la queue d'Henri fut la découverte du jour : elle devait bien faire 23 cm, plus grande et surtout plus épaisse que cette de Julien.

Henri dit "à genoux ! Sucez !"

On se mit tous les 2 devant lui, j'aspirais sa queue tandis que Julien commença à lécher ses couilles. On échangeait, on se roulait des pelles.

Henri gémissait. Il ne semblait pas trop expérimenté il ne se contrôla pas et jouit de nombreux jets sur la moquette.

Il nous dit "Julien, prends-le !".

La situation était bizarre, il nous parlait mal, nous donnait des ordres, mais on ne refusait pas. Mais l'état du membre de Julien comme du mien trahissait notre excitation.

Julien commença à me préparer pour me prendre mais Henri s'énerva "Allez, prends-le !"

Julien expliqua qu'il fallait préparer son partenaire, mais Henri menaça d'envoyer la vidéo à son oncle.

Il se positionna à l'entrée de mes fesses (moi à 4 pattes) non sans avoir enfilé une capote et poussa doucement, j'eus très mal mais ça ne dura pas.

Julien commença à se lâcher, il me défonçait en prenant du plaisir manifeste.

Henri m'enfonça sa queue en bouche, entièrement, je crus qu'il allait me décrocher la mâchoire !

Après quelques minutes, les 2 jouirent en moi, cette fois, Henri avait tenu un peu plus longtemps.

Henri dit à Julien "Suce-le !"

Julien s'exécuta et cette fois je jouis très rapidement.

Je ne comprenais pas pourquoi j'étais si excité, Julien semblait réagir pareil.

Puis Henri me dit : "bon les gars vous allez réaliser mon fantasme !"

Je me demandais ce qu'il avait en tête, il semblait moins coincé qu'il ne l'avait dit.

Il continua : "vous allez remplacer çà !" il se retourna et retira de son anus un énorme plug !

Le salaud avait ça depuis le début !

"Julien allonges-toi sur le lit !"

Julien s'exécuta.

Henri grimpa sur lui déroula une capote sur sa queue et s'empala sur Julien.

Il me dit "Alain, viens en moi toi aussi !"

J'hallucinais ! En 1 heures, je faisais mon premier plan à 3 et ma première double pénétration.

J'enfilais rapidement une capote, je me positionnais à l'entrée, et puis merde, ce connard avait trop joué avec nous, j'entrais d'un coup jusqu'à la garde.

Henri hurla, mais lorsqu'on commença à bouger en lui, il se mit à gémir bruyamment.

Julien me regardait avec un sourire malicieux, je sentais sa queue contre la mienne. C'était trop bon comme sensation.

On était bien coordonnés.

Soudain, Henri hurla son plaisir et juta en longs jets sur Julien.

Nous avons rapidement déchargé dans son cul, on passa chacun à notre tour sous la douche avant de nous coucher.

Nous devions libérer la chambre le matin.

Henri se leva avant nous, il voulut nous sucer chacun à notre tour. Belle manière de nous réveiller !

Nous terminions tôt et prirent la route dans la foulée.

Henri nous dit qu'il était désolé de nous avoir forcé avec la vidéo, qu'il ne savait pas comment s'y prendre pour coucher avec nous, mais visiblement il avait eu vent de notre relation passée.

On ne lui en voulait pas avec Julien, il avait été infect, nous avait "un peu" forcé mais on s'était éclaté.

De retour au bureau, j'eus l'impression que tout était comme avant : le stagiaire coincé, Julien en hétéro envouté par sa future épouse préparant son mariage et moi un peu paumé dans mes sentiments.

Henri termina son stage, honnêtement il était plus doué pour le chantage que pour le travail. Je ne le notais pas mal, j'aurais pu dire qu'il avait une belle queue et un cul accueillant mais je ne suis pas sûr que ça lui aurait apporté une meilleure note.

Je ne l'ai jamais plus revu, une étoile filante dans mon job et dans ma vie.

Peu avant le mariage de Julien, il me dit qu'il voulait me parler.

Je l'invitais donc chez moi à l'apéro le soir même, il me dit qu'il viendrait après son footing quotidien. "Il ne faut pas se laisser aller!" me dit-il.

Il sonna à l'heure prévue.

Il était magnifique: t-shirt noir sans manche en lycra, cuissard de running noir également, je ne pus m'empêcher de contempler son superbe paquet moulé dans le lycra. Mais il fallait chasser mon excitation, on était là pour parler.

Il commença à vider son sac, il me dit qu'il adorait sa femme, qu'il était amoureux, je m'y attendais, la soirée allait être longue, pourvu qu'il ne me parle pas de plan de table et de traiteur...

Et puis il me dit un truc étrange: "mais j'aime trop les queues, je ne pourrai jamais m'en passer, est-ce que tu voudrais qu'on continue à se voir régulièrement ?"

Je fis une drôle de tête, je n'avais pas envie d'être la roue de secours, le plan-B, et même si je ne connaissais pas sa future femme, je ne voulais pas être l'amant du futur marié.

Mais il me tua avec la phrase suivante : "J'en ai parlé à Sophie" (sa future femme), "elle est d'accord, on est un couple assez libre, mais je ne coucherai avec aucune autre femme".

Alors là, je n'en revenais pas, décidément Julien m'amenait de surprise en surprise.

J'étais partagé, mais le charme, le physique et le charisme de Julien eurent raison de mes hésitations. Je le pris dans mes bras et l'embrassais.

Le baiser dura une éternité, plein de tendresse mais l'excitation pris rapidement le dessus.

Je sentais son sexe durcir contre le mien.

Je glissait ma bouche le long de son torse puissant, agaçant ses tétons au passage, puis je descendais vers son cuissard, sa queue était tendue vers le haut, je me mis à lécher d'abord son gland, puis descendant le long de la hampe, il gémissait, je me mis à lécher ses couilles, l'étoffe était douce et moulait sa queue et ses couilles à la perfection.

Je caressais en même temps ses fesses musclées.

Mais j'avais envie d'une chose rapidement, qu'il me prenne !

Je me déshabillais rapidement, je n'avais jamais enlevé mes vêtements aussi rapidement !

Je couchais Julien sur la moquette, me mis à le chevaucher, je fis entrer sa queue en moi et me mis à bouger.

C'était bestial, j'avais l'impression que c'était la première fois que je couchais avec lui, il avait l'air heureux, je me déchaînais sur son pieu, ça me faisait du bien, après quelques minutes, je jouissais sur lui, j'eus l'impression que j'allais perdre connaissance tellement j'avais du plaisir, il jouit presque en même temps et me remplit de son jus.

Je m'écroulais sur lui, sa queue toujours en moi, on s'embrassait avec passion.

On s'endormit enlacés.

Son mariage fut mouvementé mais ce sera une autre histoire !