Olivier

Bonjour à tous c’est Alain, (Fanlycra06) une nouvelle histoire mi-romancée, mi-vraie.

Je vais vous raconter une histoire qui s’étale dans le temps.

J’ai maintenant 50 ans.

Chapitre 1 : le lycée

L’histoire commence dans mes années lycée, j’étais un jeune homme sans trop de succès, je me sentais complètement bisexuel mais mes expériences étaient peu nombreuses ni côté filles, ni côté mecs malgré un physique plutôt pas mal mais à l’époque j’étais, je l’avoue, un peu coincé et gauche.

A l’époque la star du lycée s’appelait Olivier, ce mec était toujours entouré d’une nuée de groupies, je l’ai remarqué de suite par son physique, il illuminait la cour quand il la traversait, toujours bien habillé, une belle gueule et une démarche de mâle.

On n’a jamais vraiment échangé avec Olivier, il n’était pas dans ma classe, ne me calculait pas, je l’entendais parfois se vanter de s’être “tapé” toutes les filles du lycée.

Un mec macho, pas franchement sympathique mais qu’on avait envie d’avoir dans son lit.

Tous les mercredis il avait un cours de sport, comment je le savais ? Il venait en tenue le matin. Ce qui m’a marqué à l’époque (mi-80) c’était les premiers joggings en matière de couleur grise, légère et très moulante. On en voit beaucoup aujourd’hui mais à l’époque c’était plutôt rare.

Olivier, toujours à la mode en portait un, mais il avait une façon bien à lui de le porter : en effet il roulait la ceinture du jogging ce qui avait pour effet de lui remonter le paquet, c’est à ce moment que je me suis rendu compte qu’il était plutôt gâté par la nature. C’était presque indécent tant la bosse était visible, on aurait dit un danseur étoile dans son collant.

La première fois que je l’ai vu, j’ai eu du mal à décoller mes yeux de son paquet, visiblement, je n’étais pas le seul, le verso n’était pas mal non plus car son jogging lui moulait les fesses à la perfection, Olivier, passionné de foot avait des jambes musclées et un fessier de dingue.

Mais Olivier avait aussi un regard à faire fondre la banquise, je dois dire que j’étais carrément sous son charme.

Un jour, j’ai pu vérifier la taille de sa queue, il était dans un coin sombre en train d’embrasser une fille, visiblement elle lui faisait de l’effet, ce jour-là, j’étais heureux qu’il porte don jogging moulant et j’ai pu voir que l’engin était largement au-dessus de la moyenne de ce que j’avais pu observer.

Malheureusement, mes (gauches) tentatives de rentrer en contact avec lui furent vaines, et puis de toute manière, vu comme il parlait des gay, je pense que je me serais pris une humiliation si j’avais tenté une approche, ce n’est même pas un plan cul que je cherchais, je voulais juste être en sa compagnie, comme hypnotisé par son aura et surtout son physique.

Mais le hasard me permis de le voir de plus près...

Chapitre 2 : la fac

Bac en poche, je pensais ne plus avoir à faire à lui... Je le regardais une dernière fois le jour des résultats (qui étaient à l’époque affichés dans le lycée pas sur le net...), il enlaçait une nouvelle conquête, il avait réussi l’épreuve comme moi.

Mon été se passait cool, soirée entre potes, quelques flirts... je n’ai plus jamais pensé à lui... jusqu’à ce jour...

Nous habitions dans l’arrière-pays Grassois et la fac était à Nice, on a donc décidé de prendre une chambre d’étudiant à Nice pour m’éviter les allers-retours.

Proche de la fac il y avait un super appart proche de la fac, le propriétaire nous dit qu’il fallait le prendre en collocation, il y avait 2 chambres.

Je demandais donc à rencontrer le 2e étudiant, et le jour venu ce fut le choc pour moi : Olivier était cet étudiant.

Je fus immédiatement envahi d’une joie extraordinaire, je ne m’en rendais pas compte mais je pensais toujours à lui et le fait d’habiter au même endroit me remplit de satisfaction...

En fait, ce ne fut pas une partie de plaisir : durant nos 4 années de fac, certes j’habitais avec un des plus beaux mecs de la fac mais il était 100% hétéro, se baladait la plupart du temps uniquement vêtu en boxer sans que je puisse y toucher et enfin ramenait régulièrement des filles à l’appart dont les cris auraient réveillé un mort.

Il y avait tout de même beaucoup d’avantages : je pus contempler Olivier dans tous ses recoins : son torse musclé, son paquet était très souvent à “portée de main” (ce qui me permis de confirmer l’imposante taille de sa queue). Il avait une manière de mettre en valeur son corps par l’habillement qui me confirmait aussi que j’étais quelqu’un de calme : n’importe qui lui aurait sauté dessus.

J’ai bien tenté plusieurs fois une approche, mais il arrivait -par son côté macho-hétéro bourrin- à tout couper rapidement : “Dis-moi Alain, tu ramènes jamais de copine, comment tu fais ? T’es pas PD au moins ?” “T’approches pas de moi hein ?” et il partait dans un éclat de rire.

Un soir il rentrait complètement bourré, ses potes de soirée le déposèrent à l’appart (non sans avoir sonné comme des dingues à 4 heures du mat’). Le pauvre Olivier était à moitié endormi.

Il portait un 501 hyper moulant et un t-shirt.

Il me dit “aide moi à me déshabiller, je suis HS”.

Je l’amenais donc dans sa chambre, il était assis sur son lit les yeux fermés.

J’enlevais son t-shirt, il tombait sur le dos.

J’avais le temps de l’admirer cette fois, quel mec ! Des abdos dessinés un torse en V, une fine couche de poils descendait jusqu’à son pubis.

Il fallait maintenant s’occuper du bas, ma queue était raide dans le short que j’avais passé rapidement quand ses potes l’avaient ramené.

J’enlevais ses baskets et ses chaussettes et j’entrepris de déboutonner son 501.

Mon cœur battait au maximum, je déshabillais mon fantasme... j’aurais préféré qu’il soit éveillé !

Je détachais un par un les boutons puis fis glisser le jeans très (trop serré) sur ses jambes musclées.

Je prenais mon temps, je voulais savourer, ma main a plusieurs fois effleuré son paquet.

Il portait un slip Athéna très moulant, bleu foncé, mon Dieu quel paquet ! J'aurais tant aimé avoir une queue comme la sienne !

Une fois déshabillé je ne me demandais même pas s’il dormait nu, il fallait que je retire ce slip.

Je le fis descendre, encore une fois très lentement et dévoilais l’objet de mes désirs, cette queue non-circoncise, épaisse, avec des couilles énormes.

Je plaçais Olivier correctement dans son lit, j’allais remettre le drap et partir mais je me dis qu’il fallait que j’en profite.

Je tentais donc de caresser sa queue. Quelle sensation, il dormait et ronflait très fort mais sa queue semblait vouloir autre chose. Elle se mit à gonfler, je le branlais donc doucement. Je n’avais jamais vu une queue aussi longue et grosse mais j’avoue qu’à l’époque, j’avais peu d’expérience. Elle reste quand même une des plus grosses que j’ai vues.

Mais même à moitié endormi, son côté hétéro repris le dessus il me saisit le poignet et me dit “ça va pas la tête ? Arrête ça de suite” mais il se rendormit aussitôt.

Je partis immédiatement de la chambre pour aller me branler, j’éjaculais en jets puissants d’un orgasme mémorable.

Le lendemain, nous n’avions pas cours, je préférais éviter le contact avec Olivier, je quittais l’appartement tôt avant le lever d’Olivier et ne revins que tard pour le diner.

Je pensais qu’il sortirait encore et que je pourrais l’éviter mais Olivier était là seul dans l’appart.

Il m’accueillit avec un grand sourire, je ne savais que penser, il se confondit en excuses me remercia de l’avoir couché... visiblement il ne se rappelait pas de l’épisode de ma masturbation, je bénissais pour une fois l’effet trou noir de l’abus d’alcool.

Ce fut la seule fois en 4 ans que je pus le toucher.

Nous avions toutefois créé une amitié... on a trouvé des points communs malgré nos grandes différences, on s’entraidait, parfois on sortait ensemble au cinoche ou dans des bars mais jamais avec ses copains insupportables, je ne supportais pas leurs blagues vulgaires et leurs allusions salaces dès qu’une fille passait à proximité.

Je le considérais un peu comme mon frère.

Chapitre 3 : l'âge adulte

Notre diplôme en poche, on a chacun pris un chemin différent, au début on s’appelait et puis plus rien. J’ai appris qu’il s’était marié.

Pour ma part j’enchainais des histoires sans lendemain, avec des filles ou des mecs.

Et puis un soir tard, j’eu une drôle de surprise, je reçus un appel d’un mec en pleurs.

“Alain ?”

“Oui ?”

“C’est Olivier, je ne savais pas qui appeler, elle m’a quitté, elle est partie, j’ai besoin de parler, je peux te voir ?”

Sans lui demander comment il avait eu mon numéro, je lui donnais mon adresse.

Je ne me faisais plus d’illusions sur nos chances de coucher ensemble.

Il arriva 30 minutes après.

Il avait visiblement un peu bu.

Il était magnifique, encore mieux que plus jeune, il avait maintenant une barbe de trois jours, il entretenait toujours son superbe corps et était habillé d’un jeans noir et d’un t-shirt.

Il vida son sac : il avait vécu 3 ans avec elle, elle était partie après qu’il l’ait trompé, ça faisait 1 mois, il ne s’en remettait pas.

Franchement, même si je compatissais, je n’avais pas envie de l'entendre resasser sa “vie rêvée” “avec une super meuf” qui “baisait tout le temps” et qui “était un super coup”.

Je commençais à m’agacer et lui dit “OK mon gars c’est fini maintenant, avec ton physique tu vas pas avoir de problème à retrouver quelqu’un”.

Il était un peu éméché, mais je ne m’attendais pas à la suite il se déshabilla complètement.

Nu comme un ver, il me dit “tu me trouve bien ? je suis à ton goût ?”

Je me retrouvais face à un mec d’une beauté et d’un charisme à rendre jaloux le plus beau des hommes. Je me demandais comment les évènements allaient tourner, je n’osais rien faire connaissant son côté hétéro-borné.

Mais je vis une étincelle dans son regard et sa queue se mit à gonfler.

“Alain, tu ne veux pas me refaire ce que tu m’avais fait dans la chambre ?”

Là j’étais scotché, il n’était donc pas complètement inconscient quand je l’avais branlé.

“Allez, j’ai pas baisé depuis un mois, fais toi plaisir !”

Là ça ne me plaisait plus “Ecoute Olivier, je ne suis pas un vide couille pour hétéro plaqué, va voir une pute !”.

“Mais non, Alain, j’ai envie, c’est juste qu’à l’époque j’étais con, mes potes m’influençaient”.

Sa queue dressée devant moi eu raison de mes hésitations et je le gobais sans attendre.

Le rêve de 10 ans se réalisait enfin.

Je le pompais goulument, je ne voulais pas qu’il regrette sa première pipe faite par un mec.

Il gémissait fort, je me rendis compte qu’à l’époque, c’était ses cris que j’entendais.

Je léchais son gland et ses couilles, suçait en gorge profonde.

Il me dit “Alain, c’est trop bon, on m’a jamais sucé comme ça !”

Je voulais en profiter plus longtemps mais il jouit dans un râle rauque dans ma bouche il me fallut m’y prendre à 2 fois pour tout avaler.

Il s’écroula dans le canapé en me disant “merci”.

Mais j’en voulais plus... je me déshabillais rapidement, ma queue était fièrement dressée.

Il me dit, “faut que tu m’apprennes”, il prit ma queue et commença à la branler, mais rapidement, il comprit que je ne me satisferais pas d’une branlette, il me prit en bouche.

Je ne m’attendais pas à une telle maitrise, sa langue était agile et me procurait des frissons, je ne mis pas longtemps avant de me lâcher à mon tour.

Il recracha tout par terre, bon j’avais été un peu vite...

Je ne voulais pas laisser tomber la tension sexuelle et je l’amenais à ma chambre sans tarder.

On s’enlaçait, et on commença à s’embrasser. Ses pelles étaient aussi agiles que ses pipes, j’étais aux anges et je sentais sa queue battre contre mon ventre.

Je le couchais et me mis sur lui queue contre queue. Il ondulait on s’embrassait et Olivier eut un second orgasme comme ça.

Ce type avait faim de sexe, je lui proposais donc de me prendre.

Il me confia que c’était la première fois qu’il tentait la sodo, je lui fis remarquer qu’il avait baisé sans doute dix fois plus de partenaires que moi et que ça me surprenait mais il me confirma que c’était sa première fois.

Je lui enfilais un préservatif, je me lubrifiais le trou et je m’assis à califourchon sur sa queue.

Ce ne fut pas simple vu la taille de l’engin mais il fut patient et j’avoue que l’envie tant retardée de l’avoir en moi me motivait beaucoup !

“Alain c’est trop bon c’est serré, putain c’est meilleur qu’une meuf !!!”

Je me mis à bouger lentement puis plus rapidement.

Soudain son côté mâle alpha reprit le dessus, il me m’allongea sur le lit mit mes jambes sur ses épaules et me pénétra d’un coup sec.

Il bougeait rapidement, il criait, grognait comme une bête.

Il ne tient pas longtemps vu son excitation et jouit dans un bruit assourdissant.

Presque en même temps j’eus un orgasme sans même toucher ma queue.

Il s’écroula sur moi, je pus constater qu’il été sacrément baraqué, j’étais écrasé mais heureux. Sa queue encore en moi un mec magnifique dans mes bras.

On se levait alors je lui proposais une douche.

Il réapparu quelques minutes après la queue dressée, il me dit “Alain, je veux que tu me prennes”.

Je lui dis “tu es sûr que tu ne vas pas trop vite ?”

Mais il insista.

Je le préparais comme si c’était la chose la plus précieuse qu’on m’avait jamais confié.

Je le pénétrais doucement lui à 4 pattes sur le lit, mais il me dit “Défonce moi ! Défonce-moi !”.

Je me mis à le limer avec force, il couinait, je me dis que je ne durerais pas longtemps et après quelques minutes je me vidais en lui.

Je le retournais et me mis à le sucer, il partit rapidement en longs jets dans ma bouche.

Je lui proposais de rester avec moi pour la nuit, il accepta.

J’ai découvert que ce mec que je croyais hétéro était en fait un amoureux du sexe comme moi, peu importe le ou la partenaire.

On a passé quelques jours extraordinaires, je n’avais jamais autant baisé de ma vie en si peu de temps.

Il était surtout hyper sensuel, il aimait le toucher, les caresses, un truc de fou.

Mais Olvier par contre ne se voyait pas vivre avec un mec, il avait gardé ses “réflexes hétéro” pas de sorties ensemble, il venait discrètement chez moi et on baisait comme des bêtes, parfois tout un week-end.

Et puis encore une fois on a espacé nos rendez-vous et... il s’est remarié.

Il a maintenant une vie bien casée avec une femme et des gosses.

Depuis le mariage, on n’a jamais plus eu l’occasion de coucher ensemble.

Moi, ça me dirait bien !