Premier épisode
Chapitre 2
Karim était arrivé dans l’équipe de direction ( et dans la famille, les deux étant indissociables) un an auparavant. Il avait épousé la cousine Clothilde, une insupportable pimbêche, qui avait fait du forcing auprès de son père pour faire embaucher son nouveau boy toy. L’affaire avait été un véritable scandale dans la famille : la petite « Cloclo » s’était acoquinée avec un arabe !!! Mais force était de constater que Karim était un garçon brillant. Il avait trente ans, avait fait de belles études, qu’il s’était payé en multipliant les petits boulots, et surtout, il était beau comme un dieu.
Sa peau était tout simplement parfaite, d’une belle couleur caramel, avec juste une petite cicatrice sur le haut de son nez ( parfait également) qui lui donnait un petit air de bad boy. Son corps splendide était parfaitement ( décidément !) moulé dans ses costumes Armani, qui lui faisaient un cul complètement pornographique. Il se la donnait dans son job, charmant tous ses clients, se faisant une belle réputation, et rattrapant par son bagout tout ce qu’il n’avait pas eu par des privilèges de naissance.
Bien malgré lui, Charles commençait à vraiment l’apprécier, voire l’admirer.
Élise et « Cloclo » étant très proches, elle et Karim étaient souvent invités pour des repas. Élise avait été une alliée précieuse pour sa cousine quand il avait fallu faire accepter son histoire avec Karim à la famille, c’était tout à son honneur, et Charles n’en avait que plus respecté son épouse.
Karim était naturellement sportif. Il avait pratiqué le foot pendant toute sa jeunesse, ainsi que la boxe ( d’où sa cicatrice sur le nez) et s’était maintenant mis aux sports de sa nouvelle classe sociale : le golf, l’aviron, le tennis, le squatch ( Il était tout naturellement devenu le nouveau partenaire régulier de Charles, au grand désespoir du père Henry) et il accompagnait régulièrement Charles pour ses footings dans le bois familial.
Il ne se passait pas un week-end sans que Karim ne se défoule dans un sport où un autre, et il allait à la salle de sport tous les matins, pendant une heure avant de venir au bureau. Ses efforts payaient : son corps était digne d’un Dieu grec, et Charles ne manquait pas de le remarquer. Karim lui avait confié que le sport était une vraie drogue pour lui, qu’il n’aurait jamais réussi ses études sans la discipline que ses différents Entraîneurs lui avaient inculqué. De plus, il était fier de son corps. C’était sa « carte de visite » aimait il répéter. Karim n’avait pas côtoyé toute la bourgeoisie locale toute sa vie. Son boulot dépendait de sa capacité à séduire sa clientèle. Il assumait ce fait, sans s’en vanter, juste comme une évidence.
Il était devenu l’objet des fantasmes de Charles, petit à petit, remplaçant Henry, et tous les autres mecs imaginaires dans ses parties de branlette. Charles imaginait la bite de son cousin par alliance, qu’il n’avait jusque là vue qu’au repos, mais qui était monstrueuse, arborant une fière erection. Il pensait à son odeur, son parfum de luxe mélangé au fumet naturel de sa peau d’algérien. Tout l’excitait.
Un jour, alors que Karim avait du sortir précipitamment de son bureau, Charles avait ouvert son sac de sport, tout tremblant, et avait reniflé ses affaires. Ses chaussettes, son short qu’il mettait toujours sans sous vêtements à la salle ( une véritable torture pour son cousin) , son teeshirt. L’odeur indescriptible avait failli le faire éjaculer sur place. Pour la première fois de sa vie, il avait du s’éclipser aux toilettes pour se masturber, comme un adolescent en rut. Il avait regretté de n’avoir pas osé voler au moins une chaussette, pour profiter de l’odeur mâle du bel oriental. Mais le vrai trophée aurait été son short. Un simple short de football, bleu roi, qui avait le privilège chaque matin de se frotter contre le membre suintant, les couilles et le trou du cul du beau sportif. Un short de foot qui l’avait enivré tellement le nylon avait retenu les phéromones mâles de son fantasme.
Charles prenait de plus en plus de distance avec le père Henry, mais celui ci semblait ne pas comprendre. Un samedi ou Élise et Clothilde étaient à une œuvre de charité, et où Charles était seul à la maison, le curé s’était incrusté, et avait supplié Charles de le défoncer. D’abord froid, celui ci avait fini par céder. Mais c’était maintenant l’image de Karim qu’il avait devant les yeux pendant qu’il baisait son amant, même s’il avait énormément de mal à imaginer son beau collègue en tant que soumis.
Paradoxalement, ça avait été une des meilleures baises qu’il avait eu avec sa salope, comme il aimait maintenant appeler le père Henry . Celui ci s’était vraiment donné sans aucune retenue, peut-être parce qu’il savait que leur relation allait prendre fin. Charles aussi , une fois lancé, avait offert à son amant tout ce qui le faisait monter au septième ciel. Il s’était laissé pomper le chibre à travers son boxer, laissant son soumis s’enivrer de son odeur de bite avant de lui ordonner de la libérer et de la bouffer. Il l’avait ensuite installé, allongé sur le canapé, sa pauvre queue raide alors que Charles ne la toucherait probablement même pas, pour lui baiser la gueule jusqu’aux amygdales, le faisant baver et lui mettant les larmes aux yeux. Henry était comme possédé, haletant, suppliant, réclamant le chibre de son mâle. Il s’était ensuite assis sur sa face, sans aucune précaution, le tenant par les cheveux, pour lui faire lécher son cul, en l’insultant copieusement. Les « bouffe moi bien le trou salope, vénère ton mâle, espèce de pédale » mettaient le prêtre en transe. Il avait attrapé divers objets pour les mettre dans le cul d’Henry, un énorme tampon en bois, à la forme bien adaptée, un martinet ancien, avec lequel il s’était amusé à fouetter le cul blond et poilu du curé. Il était comme fasciné par le spectacle du trou de balle ouvert devant lui. « Tu as une chatte magnifique ma pute, je vais t’ouvrir, puis te saillir comme jamais on ne t’a chevauché ma salope. Après tu rentreras chez toi plein de foutre, et tu te branleras en pensant que je t’ai engrossé comme une femelle »
Il avait mis ses menaces à exécution, et l’avait sailli. Sailli et sali aussi, lui crachant dessus, l’insultant, pendant que sa pute réclamait toujours plus de bite. « Tiens, jusqu’aux couilles pédale ! Putain t’es vraiment la pire des chiennes, tu le sais ça ? Que t’es une vraie chienne ? »
« Oui ! Je suis une chienne ! Ta chienne ! »
De temps en temps, Charles arrêtait sa baise , et venait présenter son trou à Henry pour qu’il le lèche encore. « allez, suce moi le trou salope. T’aimerais me la mettre hein ? Il t’excite le trou de ton mâle ? Mais tu sais que t’es bon qu’à prendre des queues toi ! Jamais tu me pénétreras, tu m’entends ? Jamais ! Toi tu as juste le droit de me soulager » .
Après une bonne heure de ce traitement, Charles avait enfin décidé de remplir la chatte de son amant, en gueulant, et s’était affalé sur le dos d’Henry, haletant, quasi inconscient après cet orgasme phénoménal. Henry avait giclé, sans même se toucher la queue, sur le parquet. La pièce sentait le sexe , la sueur, le mâle en rut, et il avait intérêt à aérer avant que les dames ne rentrent. D’ailleurs, quelle heure était il? Il fallait peut-être s’activer.
Et c’est en se levant pour aller ouvrir la fenêtre, la queue encore luisante de foutre, qu’il avait découvert qu’il avait eu un spectateur : Karim…
Teddy
gnacracfrac@gmail.com
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