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Premier épisode | Épisode précédent

Maître Francis

5 | Maitre Francis me donne en pature

Mon corps enchaîné ballote sous les assauts de la route. À chaque virage mon crâne cogne contre les parois du coffre inconfortable dans lequel m’a enfermé Maitre Francis. Complètement à poil je n’ai pour seul vêtement que le bâillon-boule que le Maitre m’a rentré de force dans les gencives. Je n’ai pas résisté. J’ai ouvert docilement la bouche comme pour sa grosse bite et j’ai laissé la boule de silicone faire son travail. De ses gants de cuirs il avait serré la lanière sur l’arrière de ma caboche, me giflant amicalement la courge au passage.

« Bien, bien… tu es sage. Monte dans le coffre maintenant. »

J’avais obéi à son autorité naturelle les yeux rivés sur son jeans à deux doigts d’exploser sous la pression de son énorme paquet. Les boutons en torturaient le nylon sous le chahut du membre.

Il me menotta de bracelets en cuir reliés à deux épaisses chaînes. Lourdes, massives. Le genre de diamètre utilisé pour tracter un poids lourd. J’en peinais à les soulever, elle firent trembler le châssis rien qu’en se laissant glisser sur le sol du coffre. Il serra ensuite fortement le collier autour de ma gorge et le relia aux menottes, que je ne puisses plus bouger les bras, rivés à mon coup. Pour me finir en beauté il cadenassa le bout de la chaîne à un mousqueton soudé sur le plancher en aluminium, à peine caché par la moquette de sol de sa grosse berline allemande.

En laisse comme un chien.

Je ne pouvais me tenir au mieux qu’à quatre pattes, la face contre le sol. Une pute. Une merde. Un jouet.

Il avait violemment fermé le coffre et avait démarré sa bagnole. Je patauge dans le noir complet depuis une bonne demi-heure, bavant dans mon bâillon sans savoir où je vais me retrouver. J’entends à travers les sièges la musique puis les infos. Le Maitre a l’air de se sentir le plus naturellement du monde avec son vide-couille dans son coffre. La voiture ralentit. Elle vire soudainement sur la droite et je tape encore un relief du front. Les bruits de roulements changent, le confort aussi. On doit être sur un chemin, de la terre, sans doute un sol caillouteux.

Le carrosse poursuit sa route quelques secondes puis stoppe. Le ron-ron caractéristique de la berline s’estompe laissant place aux chants des oiseaux.

Plus un bruit. J’entends seulement les clapotis de doigts sur le portable du Maitre. Il écrit quelques chose. Puis la portière s’ouvre dans un claquement sec et je l’entend s’extirper de la bagnole. Je sens d’ici le cigare qu’il vient de s’allumer. Je l’entends aspirer l’air viciée de tabac puis s’en soulager les poumons.

Le temps passe et rien ne se passe. J’entends juste le bruit des pas des bottes du Maitre sur le gravier mais rien ne change. Je devine soudainement de l’oreille l’arrivée d’un autre véhicule. Les portières claques et le Maitre a l’air de s’en aller dans la direction de la voiture.

L’attente. Encore.

Sans prévenir le coffre s’ouvre m’aveuglant de la rude lumière du jour. J’en plisse les yeux. Je devine le Maitre en Perfecto dans les rayons du soleil. A côté de lui trois esquisses que je ne peux dévisager.

« Voilà, il est à vous. Essorez-vous bien les couilles c’est fait pour ça. » Et le Maitre se retira terminer son cigare probablement avachis contre la bavaroise.

Sans réellement comprendre je sens deux mains qui m’empoignent le bassin et me redressent droit sur les genoux. Prisonnier de la chaîne ma tête ne quitte guère le sol. Mes battoirs tentent quelques choses dans un tintamarre d’acier mais en vain. Quelques sons inaudibles s’échappent de mon bâillons mais je dois constater que je ne suis qu’un torchon sans aucun moyen de défense.

« Bouges pas! » fit le premier, « arrête de bouger ton cul je te dis! ‘Peux pas se faire enculer tranquillement ?! » éructant il me tartine le cul de lubrifiant et s’enfonce immédiatement après. « Ouf »

Le con, à froid. Ce n’était pas un calibre extraordinairement gros mais sans échauffement ça me tire les chairs. Le mec s’acharne tout de suite comme un dingue dans mes entrailles. J’ai du mal à respirer avec mon bâillon, la tronche dans mon coffre de bagnole. Je ne connais même pas le visage de mon besogneur. Il me tape dans le cul sans même s’être présenté. Je sents son gland qui va et qui vient claquant ses couilles au passage sur les miennes. Il en transpire de ses assauts et perle sur mon dos nu. Il m’agrippe les flancs à m’en arracher le foie tellement il me dérouille fort.

Prisonnier de mon carcan de ferraille j’attends que ça passe.

Je me sents la pauvre salope qui n’a pas d’autre choix que de subir et de cette sensation, immédiatement ma queue se raidit. L’un des autres protagonistes me claque les couilles du plat de la main, m’arrachant un crie étouffé.

Sous les contractions de verge dans mon tréfonds, je déduis que mon baiseur vient à l’instant même de se purger. Il se retire, arrache sa capote pleine pour me la lancer à la gueule, et laisse la place au suivant.

Celui-ci se met en place sans un mot, m’écarte le cul de ses mains râpeuses, crache un amas de glaires visqueuses, et me fourre sa bite jusqu’à la garde.

Il me baise immédiatement dru et sec.

Mécaniquement.

Les coups de cuisses sur mon postérieur rythment ma respiration difficile à travers le bâillon. Le bougre n’était pas là pour rigoler ou pour prendre du bon temps. Il était là pour se vider. Il branlait sa bite pour la moucher dans le kleenex crasseux que j’étais devenu. Il ne faisait même pas gaffe aux chants des oiseaux dont regorgeait cette foutu forêt dont je ne connaissais même pas l’adresse. Le salop restait focus sur ma rondelle et sur la nécessité de taper dedans comme un sourd pour dégorger ses bourses de son foutre visqueux.

Serrant les dents sur la boule de silicone, j’entends Maitre Francis qui discute de la pluie et du beau temps avec le premier enculeur à présent détendu. Je me faisais casser le cul depuis le coffre de sa voiture enchaîné comme un bagnard et tout paraissait normal pour lui. Cela ne l’empêchait pas de tirer de longue taffe sur son cigare que je pouvais humer depuis mon cachot.

Le larron enfoncé dans mon cul crache sans un bruit. Je sents sa bite se ramollir et s’extirper de mon trou avant de recevoir une deuxième capote sale sur la gueule.

Le troisième ne se fit pas prier et m’enfourche sans ménagement. Cigarette au bec, il s’enlise complètement avant d’en ressortir jusqu’au gland pour mieux se ré-enfoncer après. Le froc à peine baissé, je peux entendre sa ceinture claquer à chaque coup de boutoirs. Il pousse le vice jusqu’à discuter avec le reste de la troupe le salop, me reléguant au rang d’objet. Je ne suis plus que le trou qui vide leur parties, je n’existe plus en tant qu’humain. Ces mecs se servent littéralement de moi. Je suis le mouchoir dans lequel ils s’essuient . Je sents le préservatif gonflé sous les giclées du protagoniste et m’attends à la recevoir une fois de plus sur la tête. Sans me tromper je la reçoit dans les cheveux.

A peine eut-il remonter son futal que le coffre se referme brutalement me plongeant à nouveau dans le noir absolu.

La voiture des inconnus démarre et s’éloigne rapidement, rendant son silence à ce lieu paisible.

Pas une nouvelle de Maitre Francis. Il est toujours là car je l’entends faire les cents pas à côté de sa berline mais il ne daigne pas m’en dire plus. Il ne parle pas aux objets.

En plus, il m’est impossible de retirer les latex qui collaient à la peau a cause de mes menottes. J’en suis arrivé au rang de poubelles.

Des bruits de pneus déchirent soudainement le bosquet.

Quelqu’un d’autre approche. Putain mais il va y en avoir combien?

Le coffre s’ouvre brusquement et s’en meme essayer de voir ou d’apercevoir un visage, je me met en position, à quatre pattes. A peine stable sur mes genoux que le mec m’encule sans même poser ses mains. Il fracasse mes entrailles comme un demeuré pendant trente secondes, éjacule, me balance la capote à la tronche et se barre. A peine une minute d’air libre que je suis déjà dans l’obscurité. Et le Maitre qui fait toujours mine de ne pas connaître mon existence.

L’après-midi se poursuit et les ouvertures de coffres s’enchaînent. Deux chauffeurs routiers bulgares sont venus se vider les couilles dans un baragouinage incompréhensible, dont un avait un chibre sacrément large et autant de pitié qu’un bourreau. Un vieux randonneur marié m’avait rentré sa petite queue toute fripée et avait mis un temps fou à terminer. Un couple s’était arrêté permettant au mari de tremper sa bite dans mon tréfonds pendant que sa femme discutait chiffon avec Maitre Francis et d’autres bagnoles firent de rapides arrêts « pipi-sodomie » d’après ce que je me souviens. J’avais le cul et les genoux en compote.

Onze.

Onze personnes dont j’ignorais même le visage m’avaient toutes copieusement sodomisés. La malle claque sèchement une dernière fois et j’entends le six cylindres se mettre en branle. Il feule jusqu’à la fin du chemin et crie sa rage une fois sur la route.

Je bave à n’en plus pouvoir dans mon bâillon. Les préservatifs collés sur ma peau commencent à m’irriter et j’apprécierais vraiment de pouvoir ôter ce collier en cuir qui m’étrangle et m’empêche de pouvoir ne serait-ce que de lever la tête quand on m’encule.

La voiture ralentit puis coupa son moteur. La radio se tait et la portière laisse le Maitre sortir dans un bruit de talonnettes ferrées ce qui me fila immédiatement la trique.

« … ses bottes… »

La coffre s’ouvre vivement.

«Tu as été une bonne salope aujourd’hui, je suis content de toi. Mais j’ai vu ton trou-du-cul se faire défoncer toute l’après-midi et je n’ai même pas pu y fourrer ma queue. Alors je vais dégorger mon chibre que tu as fait gonfler en te faisant souiller comme une serpillière. »

J’aperçois du coin de l’œil que son engin était sorti de son jean. Lourd, épais, luisant, il suintait déjà. La mélopée caractéristique de la capote qui s’ouvre m’arrive aux oreilles et je prends d’un coup d’un seul la totalité du membre dans le cul. Ses couilles s’écrasent sur les mienne tellement il l’inséra fort. Une botte dans le coffre, il tambourine mes entrailles dans un tonnerre de bruit de suspension. Il m’écrase le colon de son sceptre qui dépasse de loin tous les autres que j’ai pu encaisser aujourd’hui. Ça cogne, ça frappe, mon anus déjà en marmelade n’en peut plus. Sa matraque massacre tout à l’intérieur comme à l’extérieur, je pense qu’une main pourrait passer avec son gant de boxe! Il lime tellement qu’il en fait chauffer le plastique du préservatif. Il me démonte sans même faire attention à ma douleur, je ne suis là que pour le servir, le vider. Je sens sa bite se crisper, tressaillir, presque fumer et d’un coup, il lâche une purée visqueuse inondant le réservoir du latex.

Il se retire en faisant glisser longuement son membre interminable de mon cul et fit comme les autres en me balançant sa capote pleine dans ma sale gueule.

« Tu as bien travaillé aujourd’hui, regarde certains m’ont même payé pour les remercier de leur avoir offert ton cul. Comme je suis gentil je te rend la recette de ton fion. Tu offriras un beau bouquet à ta femme. Tu lui paieras des fleurs avec ton trou-de-balle de salope! » je sentis le Maitre me glisser des billets à l’intérieur du cul comme dans une vulgaire tirelire.

J’étais devenu sa pute. Il me faisait tapiner! J’étais devenu son bien, son objet rentable et rien que de penser à ça ma petite queue étouffa mon gland de sang.

A peine arrivé chez moi je trouvais ma femme galérant à ouvrir un pot de cornichons. Je lui pris délicatement des mains et lui ouvrit d’une facilité déconcertante.

« Heureusement que l’on a un homme à la maison. » lâcha t-elle en effleurant ma joue de ses lèvres.

Oui…enfin presque un homme…

Jean Surin

jeansurin445@gmail.com

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