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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Maître Francis

4 | Maitre Francis me partage

Maitre Francis m’ajustait le collier en cuir cranté autour du cou en aillant l’amabilité de ne pas trop serrer pour ne pas faire de marque. Il s’appliquait à la pose, faisait en sorte qu’il soit bien droit. Il y gâcha une chaîne à petit maillon et tira un peu dessus comme tester sa résistance.

« Bien. Voilà tu es très bien comme ça. Reste un petit détail. » ajouta-t-il.

Il récupéra dans un coin du cagibis le bâillon boule, proprement disposé sur un promontoire, et me l’enfila entre les molaires. La boule de cuir m’infligea immédiatement une trique monstrueuse que le Maitre ne put louper. A genoux, complètement à poil, ma bite se dressa d’un bond d’un seul sous la pression du bâillon. Elle alla se cogner dans le galbe de la botte cavalière de Maitre Francis. Il baissa les yeux sous le contact de mon tuyau durcit à sa chaussure. Il l’a caressa du bout de la pompe et termina de me serrer le bâillon.

« C’est bien mon petit Christian, ta petite queue et toujours autant réactive que la première fois. J’apprécie. » sur ce le son d’une braguette claqua jusqu’à mes tympans.

« Mais n’oublie pas qu’il y a qu’un seul chibre qui commande ici. Il est gros et c’est le mien. » Il accompagnait son plaidoyers en empoignant son sceptre d’une pleine main et en me le frottant sur le visage. Son gland violacé odorant suintait déjà un liquide visqueux et brillant. Il m’en tartina jusque sous les nasaux pour marquer son territoire. Il me le claqua ensuite délicatement trois ou quatre fois sur la joue pour assoir encore un peu plus sa domination. Même légères, les biffles firent vibrer mon crâne sous le poids du mastodonte.

« Allez viens mon chien. » dit-il en tirant légèrement sur la laisse.

Je ne réfuta pas. Docilement je le suivis à quatre pattes comme il l’exigeait. Il me fit faire quelques pas en rond dans la pièce chauffée par la lourde chaudière à gaz qui brûlait son combustible dans un ronron hypnotisant.

« Voilà tu es prêt. »

Prêt à quoi? D’ordinaire lorsqu’il dit ça j’ai déjà sa barre à mine au fond de la gorge où il entreprend de me déchirer le cul, mais là je suis simplement à poil dans sa cave avec une laisse et le bâillon-boule.

Soudainement la mélopée de la sonnette d’entrée raisonna dans toute la bâtisse.

« Ça y est ils sont là. » lâcha-t-il dans un sourire. « Aujourd’hui je vais te partager. Des amis sont venu spécialement pour toi. Tache de ne pas de décevoir! » et il fila ouvrir la porte, me laissant là, à genoux et à poil dans la pièce avec ma petite bite toujours droite.

Il réapparu armé de quatre autres hommes. Certains avaient chaussé des bottes et s’étaient parés de pantalon seyant en cuir mais d’autres étaient fringuaient comme ce qu’il y a de plus normal. Pas de fesses apparentes pour Maitre Francis aujourd’hui. Un pantalon cavalier lui couvrait toute la peau et une veste typée Rock à lanières et sangle lui ajustait le haut. Des gants en cuir terminait de parfaire le personnage et ses grosses lunettes de soleil carrées masqués son regard perçant. Il posa ses gants sur deux épaules un peu plus hautes que les siennes et enchaîna:

« Voilà, je ne t’ai sélectionné que des grosses bites. Tu seras leur jouet autant de temps que je désire et tu as intérêt à me faire honneur! » il me pianota sur la tête en criant ces mots tout proche de mon visage. J’acquiesça d’un geste de tête, le bâillon me faisant plus baver qu’autre chose. Il saisit alors la laisse et tira un peu dessus.

« Et ben alors? Tu crois que c’est froc vont se défroquer tout seul? Au boulot ma salope! » à peine eut-il terminé sa phrase que quatre énorme bosses m’entourèrent. Mécaniquement je commença à déboutonner et dézipper les futals pour en voir jaillir comme des ressort des cylindres de peau tendue volumineuse. Que des monstres. Tous différents mais tous colossaux. Les bites me frappèrent au visage sous la pression. Les effluves du chibres me montèrent immédiatement au nez, quelques paires de grosses bourses balancèrent sous l’inertie à leur sortie de caleçon. Mon membre se sentit serrer dans son prépuce sous la farandole qui tournoyait sous mes orbites, mon cœur battant y injecta encore plus de sang.

Certains gardèrent leur futal de cuir noir, d’autres se mirent à l’aise en jockstrap, balançant leur chibre de gauche à droite sous les mouvements de déshabillés. Un seul ne se prît pas la tête et se désappa entièrement sans demander son reste. Toujours à genoux et légèrement aveuglé par l’halogène, je leva les yeux vers ce dernier. La stupeur me fit mordre mon bâillon. Equipé d’un cigare fumant, Maitre Francis s’approcha et prit l’homme nu sous le bras.

Il était assez grand, peut-être le mètre quatre-vingt-dix, mais longiligne, fin, presque chétif. Mais ce qui dénotait le plus dans cet atmosphère était son visage d’enfant. Un jeune, très jeune, avec le physique d’une jeune mais avec un membre d’éléphant entre ses cuisses frêles. Pas aussi large que Maitre Francis même si cela restait imposant, mais long. Interminablement long et courbé sur la gauche.

« Une nouvelle recrue dont je suis très fier. Ajouta le Maitre. Dix-neuf ans à peine et monté comme un taureau. Et tu vas être sa souillon. »

Un gamin. Je vais être la serpillière à foutre d’un gamin sans aucun charisme. Être l’esclave de Maitre Francis me rendait soumis mais être le vide-couille de ça me ramenait plus bas que terre. Et à cette pensée je cru ressentir un prémisse d’éjaculation. Je baissa les yeux et aperçu une coulure aqueuse s’évanouir de mon gland.

« Bon, au boulot messieurs, dérouillez-moi ça… » et Maitre Francis tira violemment sur la laisse pour me faire mettre face au sol. Des menottes boulonnées dans le plancher m’empoisonnèrent poings et pieds et une cordelette me ligatura les couilles par un nœud expert du Maitre.

« Il est à vous… » et il fila s’asseoir dans un faste fauteuil de cuir cigare au bec. Il croisa les bottes et lança d’une pression sur une télécommande un fond de musique techno.

Je sentis tout de suite une liquide froid couler dans mon cul puis sans doute deux doigts s’y enfoncer sans ménagement. Je tire la gueule, fronce les sourcils mais seul un son étouffé sort de mon bâillon. Les doigts rentrent, sortent, tournent. Le gars derrière s’en donne à cœur joie pour me triturer l’anus. Il y enfonce même une troisième doigt assez rapidement mais on est loin du diamètre des gourdins que j’ai aperçu tout a l’heure. Le minet dispose alors en même temps son corps nu face à moi avec son énorme manche qui m’effleure le bâillon. Il m’en déleste adroitement pour libérer ma bouche de ce carcan. A peine eu-je le temps de récupérer mes maxillaires qu’il m’enfonça sa queue au fond de la gorge. Si profond que j’en ai un réflexe vomitif. Je tire sur mes menottes, je m’agite mais rien n’y fait il essaye encore de l’enfoncer jusqu’aux boules. Il met tout son poids sur ma tête pour parvenir à faire frotter son gland dans mon œsophage. L’air ne passe plus, alors je tire la langue pour me soumettre à la volonté du gamin. Un flot de bave jaillit et s’en va mourir sur le parterre.

Les deux autres se sont agenouillés de part et d’autres de ma tronche et jubilent en me bifflant et écrasant leur masse violacée sur ma gueule pour y laisser des traces visqueuses. Derrière je sens que l’ultime protagoniste vient de poser son manche sur ma rondelle.

Et d’un coup il pousse fort.

Putain son membre me transperce! J’ai sentis son gland m’ouvrir le cul comme un tournesol. Son engin est rentré de moitié sans prévenir, j’en ai les boyaux qui en tremblent. Mon colon s’est dilaté comme une andouille à la braise, son truc m’a anesthésié les terminaisons nerveuses en l’espace d’un coup de reins.

Je sens plusieurs mains m’appuyer la tête sur le gros chibre du bambin membré. Ils ne veulent pas me laisser de répit pendant que l’autre termine de m’envoyer son bon vingt-deux centimètres dans le tréfonds.

Je sens ses couilles qui se pose délicatement sur les miennes pendant que le bout de son tube gorgé de sang tape dans le fond de mes entrailles. Elles épousent parfaitement la forme de mes bourses, les enveloppant du surplus de peau distendus qui flotte dans les airs. Ses cuisses se ventousent à mon cul pendant que ses mains me malaxent le ventre pour s’en rapprocher toujours plus profondément. Il y est. Il est au fond. Je sens les palpitations de son cœur à travers sol membre qui me transperce. En même temps la bouche baveuse et grande ouverte pour subir le chibre du minot, j’ose tourner le regard en direction de Maitre Francis enveloppé dans son immense fauteuil de cuir marron. Je le vois tirer une longue taffe derrière ses lunettes noires et disparaître dans un écran de fumée. Je n’aperçois que le sourire en coin accroché à ses lèvres. Le sourire qui présage le calme avant la tempête. Il inspire sur son cigare puis lâche tout en direction du plafond.

Tout à coup mon besogneur se retire de quasiment toute sa longueur, m’agrippe le bassin et vient taper comme un sourd dans mon anus avec son manche de pioche. Les cavalcades s’enchaînent plus destructrices les unes que les autres, j’ai l’impression de revivre les enculades de Maitre Francis tellement il me fourre fort. Les claquements de cuisses sur mon cul résonnent dans toute la pièce. Le bois des poutres en tremble sous l’écho.

Les coups de chibres pleuvent de tous les côtés. Le minet me brosse les dents avec son borgne et m’oblige à lui sucer les deux couilles en même temps. Les deux autres fou furieux me giflent de leur sceptre en m’empoignant par les cheveux. En apnée, j’alterne en le sexe démoniaque du bambin et l’anus de l’hurluberlu à ma droite dont les mains qui dirige ma tête me force à lécher. Il m’est difficile de ne pas insérer ma langue dans la rondelle poilu tant les coups de boutoirs de l’autre cintré sont puissant.

Je le sens se retirer, m’écarter le cul, cracher dedans puis se réinsérer. Une autre le rejoint. Je l’entends déchirer une capote et l’enfiler en massacrant la matière. Les deux dingues s’éclatent a alterner leur bites dans mon cul pour en voir la rondelle s’ouvrir à chaque retrait. L’un m’écarte largement les fesses pendant que l’autre s’enfonce jusqu’aux couilles.

J’aspire, je suce, je gobe les boules imberbes du petit jeune qui agrémente mes pipes forcées de paires de claques derrière le crâne. Je deviens l’esclave de ce merdeux sans prestance, je deviens plus bas que terre et tous ces sentiments envoient des décharges électrique dans ma moelle épinière ayant pour don de me faire triquer à mort. Ma queue si droite veut exploser, se dissoudre mais les grands coups d’engins monstrueux l’en dissuade. Un des quatre protagonistes m’agrippe les couilles qui sont certainement devenues bleues sous la pression du garrot.

Il les presse, les malaxe, les écrase de sa main puissante. Il tire dessus pendant que l’autre m’encule jusqu’à la garde comme pour gagner encore quelques centimètres de profondeur. Mes entrailles rendent l’âme et mes muqueuses se gercent sous la pression du manche du merdeux. Son énorme bite imberbe se retire d’un coup, laissant entrer enfin de l’oxygène dans mes poumons. J’en exulte de manque d’air, aspire les molécules d’azote comme un cabillaud. Le gamin me biffle légèrement dans la joue et me gifle paisiblement de l’autre côté.

« Bien, maintenant on va passer à ton cul ma salope » et je le voit qui se détend de ses longues jambes interminables et qui nonchalamment file derrière.

Les trois autres se reculent, bites en main. Du coin de l’œil j’aperçois Maitre Francis qui avait sorti son gros chibre de la braguette de son futal en cuir. De ses gants il le lustre lentement le cigare au bec sans louper une miette du spectacle. Une énorme claque des deux mains sur mon cul me ramène à la réalité. Le mioche est fin prêt à me défoncer. Une lourde goutte de sueur dégringole le long de la moelle épinière sous le stress. Je vais me faire humilier le tréfonds par un minet, un quasi stagiaire qui devrait m’appeler « monsieur ». Non, là il est membré comme un âne et il a le gland bien positionné sur mon trou du cul.

Il pousse sans retenue.

Putain il me paralyse sous la stupéfaction! Son engin long comme un dimanche sans bite est venu sonner le glas de mon colon. Il balance son corps frêle d’avant en arrière pour me secouer l’arrière train, il trémousse son manque de muscle pour faire virevolter son colosse gorgé de sang. Cette humiliation ne fait que faire vaciller ma petite queue en marbre qui ne veut pas dégonfler. Tout regarde, tout le monde se marre en se secouer le gourdin, certains me crache dessus de loin.

Maitre Francis se donne toujours du plaisir dans son fauteuil en faisant glisser son index ganté le long de sa gigantesque verge. Volumineuse et courbée, son massif gland violacé touche sa botte posée sur sa cuisse. Les jambes croisées, son manche suinte sur le cuir de sa pompe cavalière. Je devine des pupilles dilaté par la perversité derrière les carreaux noires charbons qui lui masquent le visage.

Les couilles du mouflet cognent plus fort encore contre les miennes, redoublant d’intensité.

« Tu te fais mieux baiser que ta femme petite salope, je suis sûr qu’elle ne prend pas les membres que t’encaisse dans le fond de ton cul! Traînée ! » et il me colle des fessées humiliante faisant rire l’assemblée. Il n’a pas tort d’ailleurs. Si ma femme voyait ça…

Gavroche me tire subitement les cheveux dans un râle. Il cogne, cogne et cogne encore! Ses coups de reins se font de plus en plus saccadé, j’imagine les gonflements de bites post-éjaculation. Sa transpiration me ruisselle dessus.

« Stop! Arrête-toi là » ordonna le Maitre du fond de la pièce. Le jeune se ravisa immédiatement et obéit à la consigne quasi divine. Je sentis son anaconda glisser longuement bord de mon cul.

« Il lui manque un accessoire, on va finir en beauté. »

Maitre Francis décrocha d’un cintre le ring ball et s’approcha de moi, la bite balançant de gauche en droite en fouettant l’air. Il me détacha du plancher et m’inséra de force le bâillon chirurgical dans les molaires. Je ne montra aucune résistance, vide, amorphe. La seule énergie qui me restait était dans ma queue qui ne désenflait pas. Il serra bien le collier derrière mon crâne, et s’assura que mes menottes qui n’était plus reliées au sol étaient quand même bien verrouillées.

« Voilà un beau chiotte à foutre. Parfait pour recevoir du jus de bite. Que tout le monde se vide là-dedans ! Et toi! Tu n’avales pas! Je veux voir un océan de sperme dans ta sale gueule! »

Les quatre barbares m’encerclèrent et approchèrent leur glands visqueux dans l’antre forcée que je leur présentait à genoux. Le garnement m’envoya plusieurs salves chaudes et gluantes directement dans les gencives. Son râle accompagné la piscine qui se remplissait au fond de ma bouche. Rapidement le second, puis le troisième me remplit la bouche. Tous s’égouttèrent en me bifflant la gueule et en s’essuyant dans mes cheveux. La quatrième faillit faire déborder le niveau de jus mais visa comme un pro. Je me retrouvait alors avec un marécage de sperme à la place des dents dans une pièce chauffée à blanc.

« Parfait… parfait… maintenant je vais t’aider à avaler mon petit Christian… »

Maitre Francis m’attraper la tête et enfonça son énorme chibre droit dans ma gorge, poussant comme un piston hydraulique la masse de foutre droit dans mon estomac. Il me baisa la bouche violemment, fouettant ses couilles sur mon menton, m’étouffant à la limite du coma jusqu’à envoyer lui aussi sa frustration gluante dans mon œsophage. Il essuya son gland sur mes lèvres et me laissa là, seul, à genoux, menotté et la bouche grande ouverte par son engin de torture au milieu de sa cave. Je les entendait prendre l’apéro dans une pièce au loin pendant que j’attendais sagement que le Maitre m’autorise à partir.

Je marche vers l’école de mon fils et je me rend compte que du jus coule encore légèrement sur mon menton. Je rectifie ça rapidement d’un coup de manche.

Jean Surin

jeansurin445@gmail.com

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