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6 | La présentation avec Maitre Surin.
La rencontre avec Maitre Surin.
Les cordes grinçaient sur les anneaux solidement fixés à la lourde poutre en bois. Le balancier humain auquel j’avais été réduit temporisait de sa mélopée toute la cave chaude de Maitre Francis. Cette foutu chaudière qui tournait à marche forcée nous faisait crever de chaud dans ce cellier aux odeurs de bois et de cuirs. Je ne pouvais plus bouger. Le Maitre avait passé plus d’un quart d’heure à me saucissonner toutes les parties du corps pour pouvoir me suspendre sans aucune résistance à sa poutre. Les poignets liés derrière la tête, les bras ligotées sous le coup, les jambes repliées, les cuisses strangulés, aucune partie de mon corps n’était libre. Une flaque de bave s’agrandissait sur le sol au fur et à mesure que le bouche ouverte de force à cause du collier écarteur que le Maitre m’avait inséré. Mon corps virevoltaient au bout des cordes à la volonté de mon tortionnaire. Ma petite bite gigotait un peu comme lui semblait aussi, suspendu en l’air, et se raidissait drastiquement à chaque de le mouvement de balancier me faisait retourner en arrière pour m’empaler sur l’énorme chibre du Maitre. A chaque fois qu’il trainait mon corps attaché sur son énorme jonc et tenant fermement les cordage, le contact de son énorme flanc sur la prostate le filait une douloureuse trique immédiate. Il m’enfilait le cul sans ménagement me ruinant les intestins et la seul chose que je pouvais faire pour m’y opposer était de baver parterre abondamment sans sortir le moindre mot audible. Je sentais son énorme affaire m’écarter le cul et en sortir comme s’il m’avait enlever une partie de moi-même. Sa bite énorme me déformait un peu plus le rectum à chaque passage avec élan.
J’avais les courses dans la bagnole, je n’avais pas tout mon temps non plus. Ma femme m’attendais à la maison avec les gosses et j’ai dû trouver un bobard pour gagner une heure. Mais vu comme c’est parti je risque sérieusement d’arriver en retard et il n’y avait absolument pas moyen de négocier. Maitre Francis avait l’intention de m’utiliser comme une serpillière et il ne me libérerait pas tant qu’il ne ce sera pas vider les couilles. De toutes façons je ne pouvais plus bouger, et demeurer là, suspendu la bite et la langue pendante.
Le Maitre le pousser au cul et me laisser revenir par inertie droit sur son épais braquemart abondamment lubrifié. Les vingt-quatre centimètres s’enfonçaient d’un coup et allaient taper jusqu’aux couilles. Puis il repoussait doucement mon corps suspendu et le laissait revenir droit sur sa bite. A chaque pénétration je pensais un peu plus à ma femme qui devait se demander ce que je foutais de si intéressant chez Carrefour pour y passer autant de temps. La réponse était contenu dans l’énorme engin que le barbu vêtu d’un pantalon et de bottes cavalières me rentrait dans le cul avec un vice toujours plus accru. Il réussissait à surenchérir la soumission à chaque fois malgré le fait de l’avoir mis plus bas que terre la fois précédente. Un Maitre.
Chaque balancement le martyrisais de l’intérieur dans un claquement flasque sur ses cuisses. Mon anus encaissait rudement bien l’imposant diamètre de sa batte de base-ball gorgée de sang. Je sentais les variations de vitesse dans mon cul, l’imaginant regarder son énorme queue rentrer puis ressortir de mon œillet complètement ouvert. Chaque secousse me tirait un jet de bave sur le parquet en vieille planche, l’écarteur me défonçait les mandibules, j’en avais mal jusqu’au molaires.
« C’est bien mon petit Christian, c’est bien. Tu es bien ouvert on pourrais y passer la main. » Lâche mon Maitre en remuant du bassin dans mon cul. Il veut me fister?? Un fou, c’est un fou! En plus c’est bien le genre à ne pas enlever ses gants en cuirs. Un malade, c’est un malade. Un dernier coup de boutoir me fit moins mal que du bien, ma petite queue en a goutté.
« Aujourd’hui est un grand jour, je vais te présenter quelqu’un. Mas tu as intérêt à ne pas me faire honte!! J’ai bien ouvert ton cul pour qu’il s’y sente bien dedans, tu ne commence pas à faire ta mijoré à pas pouvoir prendre le calibre! Je te confiance, soit la bonne salope que tu as toujours été, compris? » Me balança a l’oreille en se tenant au solide cordage sans avoir enlever son gros sexe de mes entrailles. Je répond un minable « oui Maitre » en crachant encore plus parterre et on entendit la douce mélopée de la sonnette d’entrée.
Je sentis l’énorme chibre se retirer de tous son long et glisser jusqu’à hors de mon cul et j’entendis le braguette du pantalon cavalier se refermer. Il a dû garder sa queue bandante avec la capote bourrée de lubrifiant directement dans son froc, ça doit sérieusement tacher. Rapidement j’entends le son des bottes qui claquent sur le sol en s’éloignant, et je reste là, pendu, balançant un peu et transpirant avec la bouche ouverte forcée.
Ma trique ne s’arrête pas. Ma petite bite dur comme un bambou gigote au rythme de mes battements de cœur qui se font de plus en plus prononcé, souffrant de l’inconfort de la position. La porte d’entrée s’est ouverte et un courant d’air m’a fait sentir que mon trou-du-cul baillait.
Du bruit. On se rapproche. Le claquement des cavalières résonne jusque ici puis un autre tintement beaucoup plus sec l’accompagne. Ça tape, ça pique même le sol, comme un véritable talon.
Maitre Francis me repasse à côté sans me calculer et va débarrasser un fauteuil au fond de la pièce, l’époussetant de la main et l’installant face à moi. Impossible de voir qui est derrière je suis à la merci du balancier de corde et je ne peux pas bouger mes membres. Mais rapidement le claquement passe et j’aperçois une superbe créature, grande, fine, bardée de cuissardes en cuirs à haut talons et d’un long le manteau.
« Une femme? » pensais-je.
Une cagoule en cuir ne laissait apparaître que ses yeux d’un bleu acide et une paire de lèvres pulpeuses prête à sucer un pneu. Elle laissa choir la longue veste sur le dossier avant de poser confortablement son postérieur sur les coussins moelleux et laissa apparaître une formidable poitrine, volumineuse, ferme, recouverte d’un haut en latex. Elle se brûla immédiatement une cigarette les jambes croisées, talons en l’air.
Rapidement, une colossale forme me passa lentement à côté et se dirigea vers la jeune femme anonymisée. Un homme de presque deux mètres, large comme un frigo, une veste en cuir noir allant de sa nuque jusqu’au bas du dos, un pantalon en cuir épais, avec une bouche de ceinture large comme un repose café, des bottes larges et lourde de cuirs noir lacées avec un fil de peau. La chose la plus étonnante que je pu voir était son masque. Un masque de fer. Un vrai, en acier et dur comme une bite. Deux petites fentes laissaient des yeux bleus saillirent leur lumière et transpercer tout ce qu’ils pouvaient regarder.
Le Maitre vint à côté de moi et me chuchota.
« C’est Maitre Surin. Notre Maitre à tous. Il encule tout: hommes, femmes, soumis, maitre, maîtresse. Je t’ai préparé convenablement alors ne me fait pas honte! S’il n’est pas satisfait c’est moi qu’il va enculer, et je n’ai pas du tout envie aujourd’hui. Alors l’énorme braquemart de chirurgie qu’il se traine tu vas te le prendre et tu vas l’éponger bien sagement avec ton cul, c’est clair! »
Je hocha la tête sans pouvoir répondre. Mais qu’est ce qu’il pouvait se trimballer ? Plus gros que le Maitre Francis? C’était possible?
« Ah et la superbe créature avec lui, c’est son chauffeur au cas où tu te poserais la question. » et il s’éloigne du gibet à la vue du monstre qui avançais vers moi.
Sa veste ouverte laissait une rangée d’abdominaux saillant bordant deux pectoraux d’un volume abyssal. L’homme au masque ne me calcula absolument pas et fila se mettre derrière moi sans un mot. La jeune femme ne lâchait rien du regard et tirait toujours sur sa clope.
Je pensais à ma femme qui me pensait en train d’hésiter entre poulet ou bœuf lorsque d’un coup un truc énorme me déchira le cul. Un braquemart gigantesque s’enfonçait sans prendre cas de mon avis profondément dans mon cul. J’haletais, je bavais, je criais de douleurs la bouche grande ouverte, une larme a l’œil jusqu’à ce que je sente ses couilles toucher les miennes.
Un pic de stress m’envahît. Mais quelle taille faisait son engin? Un truc pareil était impossible. A peine eus-je le temps de mettre mon cerveau en marche que je sentais l’énorme cylindre se retirer, laissant un vide incommensurable dans mes intestins. Puis le colosse remit un coup de reins et me fit craquer la colonne vertébrale. Il accéléra sérieusement les coups, m’envoyant baver partout autour de moi et regardant comme je le pouvais la poitrine de la jeune femme devant moi. Maitre Francis savourait aussi le spectacle et je pouvais voir son énorme bosse à travers son pantalon cavalier. J’imaginais la capote encore étiré et ça m’aidait à prendre mon plaisir dans la tornade que la bête faisait tourbillonner dans mon tréfonds.
La poutre craquait, les cordes balançaient à tous va et je sentais le chibre gonfler sous la pression de mon rectum à sa limite. Aucun bruit, aucun son, c’était à se demander si ce Maitre Surin était humain. J’étais à deux doigts de tourner de l’œil sous le braquemart quand tous à coup tout s’arrêta. L’énorme masse glissa le lentement de mon cul y laissa un vide intersidéral. Le titan se rapprocha de mon visage, son enclume pendant hors de son pantalon de cuir. La capote en était martyrisé, étiré à l’extrême. La taille de cette bite était inexplicable, un truc impossible à sucer même seulement le gland. D’un grand coup de main il retira le latex qui claqua sa peau dure et me le laissa dans la bouche ouverte, avec son foutre coulant et son goût de lubrifiant.
La femme remis son manteau jusqu’à sa cagoule, agrippa fermement son chibre pour remballer comme elle pouvait l’interminable lance à incendie dans le futal, et le couple disparut comme des ombres, me laissant balançant, le cul défoncé et sa poubelle dans la bouche.
Je sentais petit à petit le foutre se déverser sur mes lèvres et couler parterre.
Maitre Francis dégaina alors son énorme matraque et se termina au fond de ma gorge dans un seul râle venu du fond de son ventre.
Après m’avoir détaché il m’expliqua un peu qui était ce type même si lui aussi ne le savait pas vraiment. Une sorte d’être mi humaine, mi mystique. Sa fortune est un mystère, il écrirait des livres. Je te les conseille d’ailleurs.
A peine ai-je eu le temps de débarrasser les courses que ma femme me reproche d’avoir oublié ses putains de yaourts nature à la con.
« Je ne te demande pas d’y retourner tu vas encore mettre trois plombes!»
Et au goût du foutre de ce Maitre Surin j’apprécierais beaucoup d’y retourner.
D’ailleurs si comme Christian tu veux lire les histoires de Jean Surin, demande lui par mail.
Jean Surin
jeansurin445@gmail.com
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