Cela fait déjà plusieurs semaines, parlons même de mois que je dois aller deux fois par semaine chez le kiné à la suite d’un souci de santé qui touche à mon poignet. Il y a quelques semaines mon genou droit à décider de faire des siennes, mon médecin m'a alors ajouté quelques séances de kiné pour ce problème.
Le seul moment où je pouvais caser ces séances était le soir après 18 h 30, j'étais donc seul avec lui pendant une heure et demie.
Nous nous entendons très bien. Il me surnomme même son patient de 30 ans, mais avec un corps d'un patient de 80 ans. C'est vrai que malgré mes 30 ans passés, mon corps est loin d'être en forme. Je n'ai pas revu mes abdos depuis 4/5 ans, un petit ventre est même apparu. J'ai toujours ma barbe noire bien taillée depuis bientôt 10 ans et une calvitie qui commençait doucement à bien s'installer. Mon mètre soixante-seize faisait de moi un trentenaire des plus normales.
Au cours de nos discussions hebdomadaires, il fallait bien s'occuper pendant nos séances, j'ai appris que Charles est célibataire, a 4 mois de moins que moi et a un cul que je boufferais bien. Il est légèrement plus petit que moi, plus fin aussi sans être musclé. Il se rase complètement la tête tout en se taillant une barbe plus courte que moi. J'ai largement le temps de le détailler. Je me rappelle que pendant le covid, il avait remplacé ma kiné habituelle pour mes problèmes de dos. Il m'avait foutu une de ces gaules seulement avec ses mains.
Nous sommes jeudi soir, et comme d'habitude je suis son dernier patient. Nous commençons par ma main, pendant les exercices nous parlons de jeux vidéo (notre sujet préféré) et de ce que nous allons faire le weekend après 45 minutes de torture... pardon d'exercice, il me dit :
- Bon passons au genou, ça sera notre dernière séance pour cette partie, je veux bien que tu ailles dans la cabine cette fois-ci.
- La cabine ? je m'interroge, car habituellement j'utilise la table qui est présente dans la salle principale.
- Oui celle de la salle est cassée.
- D'un côté, avec autant d'exercice de torture, elle en avait peut-être marre.
Nous rigolons et je vais me mettre en short dans la cabine. Je m'allonge et je l'entends arriver. Il referme la cabine et il commence à relever mon siège à fin d'être assis. Il se pose sur son tabouret et commence à me masser le genou droit.
- Pour l'instant pas de douleur ?
- Non rien, tu peux y aller.
Immédiatement il commence à appuyer plus fort. Il fait ça pendant cinq minutes et prends de la crème hydratante pour continuer le massage.
- Ça te gêne pas si je masse un peu plus que d'habitude, tu n'as pas d'horaire ?
- Non, j'ai le temps.
Il commence fort, je ferme les yeux, tout en essayant de ne pas m'endormir et en me concentrant pour ne pas bander. Ce sont toujours les mêmes mouvements, mais j'ai l'impression qu'il met plus de douceur. Il change de position, mon pied frôle régulièrement son entre-jambe. J'ouvre les yeux et le vois en train de regarder son pied frotter son paquet. Je pensais qu'il allait reculer, mais il s'avance. Il lève sa tête et nous nous regardons.
- Excuse-moi, j'étais dans mes pensées, me dit-il en me souriant.
- Tu peux continuer, cela ne va pas me déranger.
Il descend alors ses mains pour prendre ma cheville et insuffler un mouvement sur son membre qui a pris du volume depuis. Je joue avec mes doigts de pied sur sa queue qui pulse. Il reprendra le massage tout en remontant le long de ma jambe. Ce traitement ne m'avait clairement pas laissé un différend, ma queue ne demandait qu'à s'échapper. Ses mains passent son mon short et commence à s'attaquer à cette barre dessinée dans mon boxer. J'en profite pour toucher à la convoitise de plusieurs mois, je passe ma main sous son t-shirt pour caresser sa chute de reins puis je passe sans vergogne sous son caleçon pour toucher son fessier. Mon Dieu, je suis au bord de l'extase, ses fesses son poilu à souhait, je commence à les malaxer. Il s'arrête et me regarde :
- Je dois t'avouer quelque chose.
- Je t'écoute.
- Je n'ai jamais fait ça avec un homme.
- Ce n'est pas un problème, dis-moi ce que tu aimerais faire.
- J'ai très envie de te sucer, et que tu me suces, mais je ne pense pas avoir envie tout de suite de sodomie.
- Y a pas de soucis. Est-ce que je peux caresser tes fesses quand même ?
- Oui ça m'excite.
- Tu veux que je baisse mon short ?
- Oui.
Immédiatement je baisse mon short, mon boxer est bien déformé par la bosse. Il pose ses mains sur ma queue et la caresse doucement. Je la fais sursauter pour l'encourager. Il enlève son t-shirt, ce qui me permet d'admirer son torse poilu, avec un léger ventre, il est très excitant. Il descend mon boxer. Ma queue de 20 cm avec de grosses bourses s'offre à lui, il regarde l'ensemble admiratif. Il s'approche doucement avec son visage. Il passe ses doigts sur mes veines, tout en tirant doucement la peau de mon prépuce. Il sort sa langue et commence à la lécher de son long. Je ne peux m'empêcher de retenir un gémissement. Depuis le temps que je fantasme sur lui. Il s'attarde sur mon frein puis ses lèvres délicatement sur pose sur mon gland. Il commence à l'entrer dans sa bouche.
- Prends ce que tu peux, ne sois pas trop gourmand au début.
Il commence alors des va-et-vient, il n'a pas d'expérience, cela se sent, mais il fait du mieux qu'il peut. Il est gourmand, je peux m'empêcher de gémir. Je décide de poser ma main gauche sur son crâne pour le caresser et de ma main droite toucher son torse. Ma main est attirée vers ses tétons, du pouce et de l'index, je m'amuse avec. Je les tire et les tourne, tout en serrant. Il répond favorablement en enfonçant encore plus ma queue dans sa bouche. Ce traitement dure bien cinq minutes, mais cela en est trop.
- Fou toi à poil et allonge-toi sur le dos.
- Euh... OK...
Il s'exécute. Il enlève ses chaussettes et son pantalon, puis il se retourne pour enlever son caleçon. Bordel, je démonterais bien ce cul poilu et bien formé. Mais sans pouvoir taper dans la pénétration anale, je vais tenter quelque chose. Il se retourne et tout en cachant avec ses mains son entre-jambes, il s'allonge sur le dos. Je m'approche de lui et je l'embrasse. Le début est assez timide puis ma main glisse sur ses tétons et sa bouche retrouve sa gourmandise. Je joue avec sa langue et la suce en l'aspirant. Je mordille sa lèvre inférieure et je relève la tête.
- Je suis pas fan de sucer, mais je vais quand même te faire plaisir. Si cela ne te plait pas, tu me le dis, OK ?
- OK, mais pas de sodo.
- Bien, mais tu retires tes mains de ton paquet.
Il les enlève sans trop savoir où les mettre après un moment d'hésitation, il les mains derrière sa tête. Clairement plus poilu que moi, je peux donc admirer Charles, il est terriblement bandant. J'ai envie de le manger tout cru, mais je vais surtout me concentrer sur partie particulière de son corps.
Je me mets en face de lui dans la continuité de la table. Je prends le haut de ses jamborees et les ramenés assez violemment vers moi. Il est surpris, mais se laisse faire. Ma queue se frotte sur son sillon. J'en profite de faire quelques mouvements pour regarder son entre-jambe tout aussi poilu. Sa queue est belle et bien bandée, du liquide s'écoule de son méat. Elle ne doit pas dépasser les 16cm. Je me demande si je ne l'impressionne pas trop avec la mienne. Il ferme les yeux. Je positionne mes mains derrières ses genoux et j'appuie pour donne un mouvement de balancier afin de me faire servir son trou poilu. Ni une ni deux je plonge ma langue à l'intérieur. Il gémit. Je lui bouffe littéralement le cul sans délicatesse aucune. À chacun de mes coups de langue, son anus s'ouvre. Mais quelque chose m'interpelle :
- Dis-moi, tu t'es préparé ?
- Ça fait un mois que je me prépare avant que tu viennes, je n'avais jamais osé sauter le pas.
Sans demander mon reste, je me remets à lui bouffer le cul. Je suis très excité par l'idée de le remplir. Je lui propose donc de se masturber. Je lis un soulagement sur son visage. Je me lève pour prendre de la crème de massage sur l'étagère et lui en mettre sur la queue. Je replonge ma bouche dans ses fesses pendant qu'il s'occupe de sa queue avec sa main. Je sens qu'il arrive lorsque son anus se contracte, dans un gémissement étouffé, il lâche cinq jets de sperme sur son ventre. Je décide de lui donner ma queue en particulier mon gland pendant que je me masturbe.
- Je te dis quand je vais venir.
- Hum hum
Je lui fais rentrer ma queue de plus en plus dans sa bouche pour lui baiser à défaut son cul. Il ne bronche pas pour un débutant.
- Lâche ma queue j'arrive.
Il prend le relais de mes mouvements sans lâcher ma queue. Je ne peux pas tenir plus et je me décharge dans sa bouche. Je l'embrasse tendrement, avec le goût de mon sperme. Je relève ma tête pour le regarder entièrement une dernière fois. Je lui dis alors :
- Fin de la séance, on se revoit mardi.
Nous éclatons de rire. Et nous nous habillons. Nous nous embrassons une dernière fois que je parte pour rentrer chez moi.
L3vicura
l3vicura@mailo.com
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