Une randonnée

Nous profitons de notre été avec mon petit ami pour profiter des boucles de la Seine. Cela fait déjà deux heures que nous marchons en forêt, et nous n'avons croisé personne sur le chemin. Antoine mène en tête. Je sais qu'il n'est pas fan de randonnée et qu'il le fait pour me faire plaisir, mais dans deux mois il partira en Chine pour ses études. Nous profitons l'un de l'autre avant le départ.
Cette position me permet de le détailler. Antoine a 22 ans, il rentre dans la catégorie minet, car peu poilu hormis ses fesses. Il est de corpulence normale pour ses 1m80, ni gros, ni musclé, ni fin. Son visage est rond, surmonté d'une touffe blonde avec ses cheveux épais rebelles. Il porte une barbe de quelques jours, légèrement rousse. Ce qui marque le plus est son sourire avec son espace entre les incisives. Il porte un bermuda, avec un t-shirt blanc. Je me demande ce qu'il porte comme sous-vêtement, car j'observe son fessier depuis une demi-heure, ce qui commence largement à me donner faim.

Il se retourne d'un coup, me regarde, Flavien, 26 ans, d'un corps légèrement musclé d'1m76. Portant toujours une barbe d'une semaine sur le visage avec mes lunettes et mes cheveux bruns dont on détecte un début de calvitie. Ses yeux s’écarquillent.

- Toi tu n'as pas pris ton traitement avant de partir.

Il retourne son sac et en sort une plaquette d'aerius pour me la tendre. Je prends immédiatement le cachet avec une gorgée d'eau de ma gourde mise dans mon sac en posant ce dernier par terre.

- On va faire une pause, le temps que le cachet fasse effet. Tout en disant cela, il s'approche de moi et pose les mains sur mon cou.
- Tu as des plaques jusqu'à ton torse. Ses yeux se plongent dans les mieux et il me fait apparaître son sourire.

Il passe sa main sous mon t-shirt. Il caresse mes poils sur mon torse, et approche sa bouche près de mes lèvres. Je l'embrasse, je sais très bien où il veut en venir. De toute façon mon érection est immédiate et une barre de 20 cm est particulièrement visible sur mon bermuda. Il continue ses caresses et passe mon t-shirt pour le coincer derrière ma nuque.

Nos regardes se croisent et nous nous embrassons encore une fois, je ne peux m’empêcher de sucer sa langue et de mordre sa lèvre inférieure. Je balade mes mains dans son dos pour les descendre dans son bermuda. Je sens ses fesses poilues, il n'a rien mis. Il a préparé son coup le petit cochon.

Quand je lâche ses lèvres, je vois ses yeux regarder aux alentours. Il descend pour se mettre au niveau de mon paquet. D'une main, il ouvre mon bermuda et sort mon pénis aussi rapidement de mon boxer. Il caresse avec ses mains en touchant chacune des veines. Je suis tellement excité qu'on pourrait croire que je suis circoncis, ce qui est presque douloureux au niveau du frein. J’entrelace mes mains dans sa tignasse pour lui faire comprendre qu'il faut y aller avec sa bouche, ce qui calmera la douleur.

Il commence par y poser ses lèvres, il s'amuse, car il essaie de ne pas la toucher avec sa langue. Son nez touche mes poils lorsque je commence à sentir le fond de sa gorge. Il renifle une grande inspiration, comme une drogue. Sa langue commence à toucher mon membre. C'est un gémissement qui sort sans contrôle de ma bouche qui annonce le début d'une bonne fellation. Il pose ses mains sur mes fesses et commence ses va et vient. Il se délecte centimètre par centimètre de ce bout de chaire.
S'amusant avec ses lèvres. Tournant sa langue autour de mon membre. La rentrant jusqu'à la gorge. Alternant une délicatesse dans sa tâche avec un brut va et vient de quelques secondes. Cela fait déjà plusieurs minutes que mon copain déguste ma queue. Il la sort et lèche du bout de la langue, insistant sur le frein comme une glace.

- Si tu continues, je vais venir. Je le lui annonce en relâchant sa tête de mon emprise.
- Non, pas maintenant.

Il prend ma queue dans sa main gauche, pour m'accompagner vers un arbre. Je le suis, toujours aussi excité en espérant ne pas juter rapidement. Une légère prise apporte un peu de fraîcheur. Il lâche mon membre et se pose face à l’arbre collant ses avant-bras contre l'arbre. Il écarte les jambes et se cambre. J'avance vers lui et l'enlace, j'embrasse sa nuque tout en le serrant dans mes bras. Ma queue frotte sur le tissu au niveau de ses fesses. Je sens sa peau au niveau de sa nuque, je descends mes mains suffisamment pour libère ses fesses de leur prison, mais pas assez pour que sa queue maintienne le bermuda. Ma bite commence alors à caresser son trou poilu. Il s'ouvre légèrement, car mon gland se bloque un peu lors de mes caresses, mélange d'excitation et de nos ébats aux aurores. Je commence à suivre sa colonne avec ma langue tout en m'agenouillant. Un frisson parcourt son corps. J'arrive juste en face de son bouton de rose délicatement dégagé de ses poils. Je prends de mes deux mains ses globes poilus, en enfourne mon visage pour lui lécher son anus. Chacun de mes coups de langue, un gémissement sort. De sa main gauche qu'il pose sur ma tête, il me force à manger son cul encore plus profondément. Son trou s'ouvre à chacun de mes assauts. Un léger parfum de savon et de sperme commence à se faire sentir.

- Putain, mets-la-moi.

Je ne compte pas me faire prier, je dépose un filet de bave sur son trou puis je me relève. Ma queue trouve immédiatement son fourreau. Centimètre par centimètre j'entre en lui. Lorsque je suis entièrement en lui, je le prends à nouveau dans mes bras et lui dépose un baiser au creux de ses épaules. Je sens son anus se dilater, je descends mes mains sur ses hanches et je commence mon travail. D'abord des petits coups puis je m'amuse à sortir ma queue jusqu'au gland puis la rentre doucement à fond. Je fais cela pendant cinq minutes, je veux en profiter, mais je ne veux pas lui faire du mal ni juter trop vite. Lorsque je sens que cela passe sans difficulté, j'y vais à fond. Je le démonte littéralement, je fais régulièrement des périodes plus lentes pour éviter de venir trop rapidement. Ses gémissements suivent le rythme de mes mouvements.

Sa respiration accélère, quelques minutes après son traitement et ne suit plus le rythme. Je sais très bien ce qu'il se passe. Son anus se resserre, j'accélère jusqu'à ce qu'un râle sorte de sa bouche. Il vient de jouir dans son bermuda. Son anus reste bien serré, ce qui augmente mon excitation. Je décide d'ouvrir le devant de son bermuda pour qu'il tombe sur ses chevilles. De ma main droite, je prends sa queue, d'environ 15 cm, pleine de sperme. Il bande toujours. Je continue le traitement dans son trou qui épouse ma queue parfaitement comme une bouche chaude et humide. De la mouille coule le long de mes bourses, à moins que ça soit mon jus du réveil. Je le masturbe au même rythme. L'odeur de sperme et de sueur commence à être présente. Cela m'excite, je tiens plus. Je remplis son anus, au plus profond possible, mais, je continue de le branler. Je sens son membre pulsé et j'entends le bruit discret de quelque chose qui tombe sur les feuilles. Je m'amuse à provoquer des spasmes avec mon membre pour suivre ses éjaculations. J'embrasse son cou.

Je récupère au maximum le jus sur sa queue avec ma main, je le retourne et m'essuie dans son tshirt. Je descends reprendre son bermuda pour lui remettre ne place. J'en profite pour lécher la dernière goutte qui sort de son méat. Je prends son tshirt, et commence à lui enlever. Je coince sa tête et l'embrasse. Je finis d'ôter son haut pour m'en servir de serviette sur ma queue.

- Super comment je fais maintenant, j'ai pas de rechange. Il me regarde énerver.
- Il reste à peine une demi-heure de route, tu peux continuer torse nu. Je vais faire de même.

Je fourre mon tshirt dans mon sac. Cela le calme, il m'embrasse.
- Je t'aime mon ours, dit-il en récupérant son sac.
- Je t'aime aussi ma loutre.

Je dépose nos tshirts dans mon sac et nous repartons pour la randonnée.