Cette histoire un mélange de faits réels et ainsi que de fantasmes.
Je suis en train de corriger des copies tranquillement dans la salle des profs lorsque je reçois un message de Marc :
"Je peux bosser chez toi ? J'arrive pas à bosser à la BU"
"Pas de soucis. Y a un colis, si tu peux le prendre, tu peux l'ouvrir, mais n'utilise rien. Je pars dans 5 min"
Je rassemble mon tas de copies et les mets dans mon sac à dos puis je pars tranquillement vers ma voiture en saluant les quelques collègues que je croise. J'en ai pour un bon trois quarts d'heure avant d'arriver à mon appartement. Je gare la voiture dans le sous-sol de la résidence puis je dirige vers l'ascenseur.
En cette belle journée d'été caniculaire qui sent bon les vacances, je suis quand même en jeans et tshirt, je me regarde dans le miroir de l'ascenseur. Moi, Flavien, 26 ans, des muscles qui commencent doucement à se dessiner par les heures à salle que je pratique depuis un an. Mon mètre soixante-seize me classe dans la moyenne. Une belle coupe de cheveux avec une bonne barbe bien foncée, je me dis que je suis loin d'être dégueulasse pour une fois. Je redresse mes lunettes avant de sortir. Je me dirige vers la porte de mon appartement au fond du couloir, en l'ouvrant l'air est correct, mais mon appartement mansardé présente son plus défaut en été. Je me dirige vers le salon, en lançant un "Je suis rentré".
Personne, je pose mon sac dans le couloir et je retire rapidement chaussures, chaussettes et tshirt. Je sens le mâle, le déodorant bon marché ayant lâché depuis le début de l'après-midi. Marc n'est pas dans la pièce, seul le colis ouvert et presque vide se trouve sur la table. Marc n'a pas été obéissant...
Je me retourne et me dirige vers ma chambre. J'ouvre la porte, la pièce est seulement éclairée par la lampe de chevet se trouvant de l'autre côté. Une vison d'excitation complète se présente face à moi au centre de la pièce. Marc, un mètre quatre-vingt, 25 ans, nu est à genoux. Son visage est recouvert d'un boxer sale qui est recouvert de tache de sperme séché qu'il tient de sa main gauche. Il effectue des va-et-vient, ses abdos dessinés et bien poilus (largement plus poilu que moi, j'en suis jaloux) se contractent. Il prend une grande inspiration à chaque descente. Je prends le temps de le regarder quelques minutes. Marc porte une barbe légèrement plus courte que la mienne, son visage est plus allongé que le mien, ses cheveux commencent sur les tempes à grisonner. On nous compare souvent à des frères simplement parce que nous portons la barbe et que nous sommes bruns. Il n'est pas entièrement nu, puisqu'il a mis un jock-strap bleu foncé avec un élastique rouge. Un de mes cadeaux. Une tâche s'est formée au lieu de la poche avant, il est particulièrement excité. Il frotte sa queue à travers le tissu avec sa main droite. Sa queue se dessine légèrement, elle rentre dans la catégorie "S". En parlant de queue, la mienne, elle est bien réveillée. Elle n'attend qu'une chose, c'est de sortir de mon jeans. Ses contractions sont rapides, et mon double décimètre n'est pas facile à cacher. Je reprends mon inspection en me décalant légèrement vers ma gauche pour m'approcher de la commode. Je vois la raison des va-et-vient, un de mes cadeaux entre et sort de l'anus de Marc. J'ouvre le tiroir de la commode et sors une cravate et une corde orange.
- Bonjour Maitre, je ne vous avais pas entendu.
- Ta gueule, je t'ai pas autorisé à parler. Position, tout de suite.
Marc en bonne petite chienne obéit et met les mains derrière le dos. Je m'approche de lui, lui retire mon boxer et le remplace par la cravate pour lui bander les yeux. Je me déplace face à lui, je prends ses bras et les mets devant lui pour les attacher avec la corde. Je me remets face à lui.
- Je t'avais pas demandé quelque chose ? dis-je d'un ton particulièrement sec.
- D'ouvrir le colis, mais de pas utiliser les jouets, Maitre.
- Une punition, maintenant tu vas répondre à une question simple : Depuis quand tu t'es pas touché ?
- Depuis lundi, Maitre. (nous étions vendredi)
- Je répète ma question : depuis quand tu t'es pas touché ?
- Je vous jure, Maitre, depuis lundi. Sa voix change, il essaie de me prendre en pitié, car il sait qu'il n'a pas été obéissant.
Je m'approche de lui, et le prends par le cou, juste suffisamment pour qu'avec mon pouce et mon index je sente son pouls s'accélérait. J'approche de son oreille, sa bouche fait une petite moue.
-Je répète une dernière fois, sachant que je t'ai surpris en train de te toucher à travers le jock-strap : Depuis quand tu t'es pas touché ?
- Maintenant, Maitre, s'il vous plait.
Je relâche ma pression sur son cou et j'enlève mon jeans. Ma queue reprend un peu de liberté avec l'élasticité de mon boxer. Je marque une tâche. Je suis moi aussi bien excité.
- Viens t'allonger à mes pieds.
- Oui, Maitre.
Marc s'approche, le "ploc" du gode se fait entendre dans la pièce qui reste en place avec la ventouse. Il s'allonge directement sur le dos sous mes pieds. Mon pied gauche s'écrase alors sur son visage, sa langue commence à me les lécher. Mon pied droit lui écrase son paquet. Il se tortille, mélange de douleur et de plaisir. Il gémit, encore plus lorsque je commence à frotter mon pied droit sur sa petite queue, je sens la mouille sur la voute plantaire. Cette situation l'excite beaucoup et moi aussi. Marc est une petite chienne, ma petite chienne.
- Position, petite chienne.
- Oui, Maitre.
Il se remet sur les genoux et attends sagement mes ordres.
- Nettoie mon pied droit de ta mouille.
- Oui, Maitre.
Il prend avec ses mains attachées mon pied droit et l'apporte vers son visage pour le lécher. Mon pied gauche se balade sur son torse, puis avec le dessus, je viens lui écraser ses petites boules. Il gémit, passe directement à mes orteils, qu'il suce un par un.
- Bonne petite chienne. Je me relève et lui tapote sur le visage.
- Merci, Maitre.
Je me lève et vais chercher le colis ainsi qu'une paire de ciseaux que je pose sur le sol à côté du lit. Marc attend sagement. Je me déplace vers la commode pour prendre une ceinture en cuire que je replie en deux.
Je la tiens de la main gauche ce qui permet de profiter de ma main droite pour le prendre par le cou et le mettre sur le lit. Marc a désormais son petit cul de chienne bien à disposition. Ses fesses sont bien poilues et son trou est bien dégagé. Il est luisant de lubrifiant.
- Depuis quand tu étais en train de t'amuser seul ?
- J'étais déjà là quand je vous ai envoyé le message, Maitre.
- Et bien tu vas pouvoir recevoir ma queue aujourd'hui.
- Oui, Maitre.
- Mais maintenant, c'est l'heure de la punition.
Je prends la ceinture et lui assene un coup sur la fesse gauche, il sursaute et un petit cri sort de bouche. Mélange de douceur et d'excitation.
- Compte !
- Un, Maitre.
Un coup sur la fesse droite. Le claquement résonne dans la pièce.
- Deux, Maitre.
Un coup sur la fesse gauche.
- Trois, Maitre.
De la mouille coule sur les draps. Un deuxième coup sur la fesse droite, je sais que je dois m'arrêter. C'est les termes du contrat que nous avons signé.
- Quatre, Maitre. Excusez-moi, Maitre.
- Retourne-toi, mets ta tête sur le rebord du lit.
- Oui, Maitre.
Marc s'exécute, il a compris la leçon. Je mets à genoux et l'embrasse en prenant sa tête dans mes mains. Je m'amuse à mordiller ses lèvres. Mes mains caressent son torse, et s'approchent de ses tetons. Je joue avec, je les tourne, je les pince. Marc gigote dans tous les sens. Gémis comme la petite chienne qu'il est. J'arrête de l'embrasser. Je m'approche du colis, et sors mon dernier cadeau. Je découpe l'emballage et sort la cage. Un problème apparait alors, Marc bande, je ne vais pas pouvoir lui mettre. Je pose la case sur le lit puis positionne mon paquet contre son visage.
- Lèche, tu vas te masturber en même temps, tu jouis dès que tu peux.
- Merci, Maitre.
- Tu me remercieras après ta deuxième punition.
- Bien, Maitre.
Il sort sa langue et commence à lécher mon boxer. Il aime quand ce dernier sent le mâle après une journée. Avec ses mains, il libère sa queue et commence à la masturber frénétiquement. Je joue avec ses tétons, il gémit de plaisir. Je décide d'enlever mon boxer et de lui ouvrir mes boules. Une par une, il les lèche puis les mets dans sa bouche.
- Occupe-toi de ma queue.
- Oui, Maitre.
Il commence à lécher la base et lui remonte tant bien que mal jusqu'au gland. Il avale la petite goutte de mouille qui sort de mon urètre. Mes mains remontent le long de son cou, et je commence à mettre ma queue dans sa bouche. Cela me fait toujours rire, Marc a une petite bouche, ma queue apparait encore plus énorme dans cette dernière. J'entre centimètre par centimètre. Cela but au fond, je force. Je vois ma queue avancer à travers sa gorge. Elle s'écarte, je peux avec mes doigts sentire exactement où elle se trouve. Marc se trouve le nez dans mes couilles et ma queue a totalement disparu.
- C'est la bonne chienne à son maitre.
Je ressors mon membre, il est plein de bave. Je la rentre entièrement d'un coup. Et je la ressors. Il n'a pas arrêté de se masturber, bien au contraire. Il a accéléré. Je décide de la remettre en bouche. Bien au fond, bien au chaud. Ce petit manège continue cinq fois, de sorte que Marc se retrouve avec le visage entièrement recouvert de sa salive.
- Maitre je vais venir.
Marc lâche six jets de sperme sur ses mains.
- Lèche.
- Oui Maitre.
Marc s'exécute. Je ne perds pas de temps, car je ne veux pas qu'il rebande tout de suite. Je prends la cage, je passe ses couilles dans l'anneau et clipse sa queue dans la cage.
- Bien maintenant tu te toucheras plus comme ça. Tu vas passer le weekend avec ta cage. Je te libérais pour ta douche. On dit quoi ?
- Merci Maitre pour cette punition.
- Brave petite chienne. Maintenant en position, tu vas me bouffer la queue.
Marc se remet au bord du lit, malgré ses yeux bandés, il connait par cœur sa position. Je m'allonge sur le lit, et il commence à passer ses mains sur la queue. Il sait que je lui laisse un petit temps de plaisir. Il va pouvoir s'amuser avec ma queue. Tellement en manque, car cela fait bien deux semaines qu'il n'a pas pu jouer avec. Il se jette immédiatement dessus. Il la dévore. J'en profite pour faire mon pacha. Je ferme les yeux, putain, c'est surement la meilleure bouche que j'ai connue. Il connait ma queue par cœur. Il sait quand il doit s'arrêter avant que je vienne. Je remarque que je suis en sueur. J'ouvre les yeux et lui aussi l'est. Ça sent la bonne odeur, celle de deux hommes, deux amis qui s'amusent bien. Je le laisse s'amuser pendant quelques minutes. Je suis bien trop excité pour me retenir plusieurs fois. Cela fait déjà deux fois qu'il s'attaque à mes couilles avant que je vienne, il est temps de le remplir. Je me relève et le mets directement sur le dos, son cul se rebord du lit. Je profite pour prendre le drap et lui essuyer le visage. Ma queue frotte contre son anus lorsque je mets ses jambes sur mes épaules. Son trou s'ouvre en direct, les quarante-cinq minutes à se mettre un gode dedans à bien préparer le terrain. Je crache sur ma queue et j'enfonce directement jusqu'à la garde. Un cri sort de sa bouche.
- C'est tellement bon, Maitre. Baisez-moi.
Il ne faut pas me le dire deux fois. Je pose mes mains sur ses hanches et attaque directement les hostilités. Il bouge dans tous les sens, dès que je suis au fond, il gémit. Je ne vais clairement pas tenir longtemps. Je le baise littéralement. La cage rebondit à chaque coup de butoire. J'en ai mal aux couilles tellement elle claque contre son cul. Je ne peux m'empêcher, ma bouche se dirige vers son téton gauche. Je le lèche puis le mordille. Chaque coup de dents ressert son anus. Putain que c'est bon. Je relâche le téton gauche, il est rouge et particulièrement gonflé, les marques de mes dents sont inscrites autour du mamelon. J'arrive au point de non-retour. Je mets toutes mes forces pour maintenir ma queue en lui et faire de long va-et-vient. Je sens son anus se contracter. Un liquide blanc sort de la cage. La petite salope à jouit sans m'avertir. Mais le mélange d'odeur, d'excitation et son trou serré m'empêchent de réfléchir plus. Huit jets sortent de ma queue et tapissent le fond de ma petite chienne. Je m'écroule sur lui. Je lui dépose un baiser avant de me rouler à ses côtés. Il se réfugie le long de mon flanc droit, et se pose contre mon épaule.
- Je vous aime, Maitre.
Nous nous endormons tout les deux sur ces belles paroles.
L3vicura
l3vicura@mailo.com
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