Nous voilà une belle après-midi de janvier. Je me suis tranquillement posé devant un paquet de copie sur la table de mon salon. À 26 ans, je fais enfin le métier de mes rêves avec le gros avantage de pouvoir bosser chez moi-même si ce sont les vacances. J'attends avec impatience mon nouveau pc qui ne devrait pas tarder à arriver. Cela me permettra de faire une pause dans ce que je lis...
Une heure après le début de ma correction et un demi-litre de café, je décide de faire une pause. Sous les toits, malgré l'hiver, je crève de chaud et décide d'enlever mon t-shirt. Ce qui réveille immédiatement ma queue. La pause peut bien se terminer en branlette... Je me dirige alors vers mon lit, le miroir faisant face, cela me permet de me regarder un peu. Brun aux yeux marron avec mon mètre soixante-seize, les abdos couverts de poils se sont dessinés avec les 3 à 4 heures de sport par semaine que je fais avec mon meilleur ami (et toujours mon soumis ;). Je laisse pousser ma barbe, avec ses reflets roux, je sais que cela plait. On ne va pas se mentir, je suis dans mon âge d'or.
Je déboutonne doucement, mon jeans et laisse sortir ma queue de mon boxer. De la main gauche, j'empoigne ma queue et avec celle de droite, je sors mes couilles pour les faire passer au-dessus de l'élastique. Je commence des caresses douces, je profite de chaque centimètre de chaire, et je m'amuse à bien tirer mon prépuce pour faire ressortir ma queue. Malgré les poils que je n'ai pas débroussaillés depuis quelque temps, mes 20 centimètres s'imposent. Je commence doucement à fermer les yeux et à penser à la bouche de Marc, me suçant à genoux et toujours aussi gourmande. Je mors ma lève inférieure d'excitation.
Cela ne dure quelques minutes puisque mon téléphone se met à vibrer. L'appartement étant totalement silencieux, ce dernier se faire entendre facilement sur une table en bois du salon. Je me précipite la queue encore à l'air. Je décroche avant que mon répondeur ne prenne le relais.
- Allô ?!?
- Flavien X ? Je suis le livreur, je suis devant votre portail et je vais clairement avoir besoin d'aide, c'est léger, mais j'ai plusieurs colis.
- Très bien, j'arrive tout de suite.
- Merci, à tout de suite.
Il pouvait pas plus mal tombé, je prends mon t-shirt, mets un sweat et enfile rapidement mes baskets. Mon jeans est déformé, je suis vraiment très excité. Je sors et descends rapidement les trois étages par l'escalier.
J'arrive dans le hall, pour voir le camion bleu devant le portail de ma résidence. J'attends que le livreur décharge mes colis du camion. Le temps d'arriver au portail, je me retrouve face à un petit blondinet. Pas plus de 25 ans, légèrement plus petits que moi, des yeux bleu profond, et une barbe de trois jours. Il est svelte même si avec le manteau de la société, je ne vois pas grand-chose.
- Bonjour, Monsieur X ? Je vais vous aider à transporter vos colis. Je vous suis.
- Bonjour, OK pas de soucis, on va passer par l'ascenseur.
Je prends les devants et commence à ouvrir les différentes portes tout en étant chargé des plus petits des colis. J'appelle l'ascenseur pour ouvrir les portes et laisse passer le livreur qui se met face au miroir et pose le plus gros colis contre la rambarde. Je me retrouve derrière lui, j'en profite pour regarder son fessier, petite ferme et surtout bien moulé dans ce jeans. Ma queue reprend de plus belle. Je relève les yeux et vois le livreur me regarder en me souriant. Fait chier, j'ai pas été discret.... Heureusement, les portes s'ouvrent juste pour éviter de continuer le malaise. J'ouvre directement l'appartement, et pose le colis sur la table du salon. Le livreur pose alors le sien à côté.
- Merci, c'est plus rapide, lui dis-je en souriant.
- De rien, je vous souhaite une bonne journée. Il commence à se diriger vers la porte d'entrée.
- Un café, ça vous dit ?
- Si c'est valable dans une petite heure, le temps de déposer le camion au dépôt à côté et que je revienne. Il me répond avec un grand sourire.
- Oui oui, je suis là toute la journée.
- À tout de suite.
Il se dirige vers la porte d'entrée, j'en profite désormais de la mater sans autre forme de procès. Je suis vraiment en chaleur, car ma queue se met à regonfler immédiatement. Je vais éviter de me toucher avant qu'il arrive. Dès qu'il ferme la porte, je me mets en boxer. J'en profite pour déballer mes colis, c'est mon nouveau pc que je vais monter, je vérifie que j'ai tout, et surtout que rien n'est abimé vu le prix. Je commence à m'attaquer à la carte mère, et j'entends que cela sonne à mon interphone. Je laisse monter le livreur, en n'oubliant pas de laisser la porte entre-ouverte.
Je ne prends pas la peine de m'habiller, ce qui le surprend, mais ne semble pas le déranger puisqu'il se met directement à genoux et commencer à humidifier mon sous-vêtement.
-Tu pourrais au moins me dire ton prénom ? lui dis-je.
- Hum hum
- Et en français ?
- Nicolas
- Et bien enchanté.
- Tu m'autorises à descendre ton boxer ?
- Fait comme il te plait.
Je m'assois sur ma chaise et avec ses deux mains, il descend mon boxer. Ma queue est enfin libre, et je bande tellement qu'on a l'impression que je suis circoncis.
- Elle fait combien ? Dit-il en à la prenant dans sa main droite pour faire le tour.
- 19 à 20 cm environ, cela dépend de mon excitation. Je peux te dire que là, je suis très excité.
- Je vais me régaler.
Nicolas commence par sortir sa langue, il joue avec mon frein et tout en tenant fermement ma queue bien droite. Il ferme les yeux et la met dans sa bouche, la moitié seulement. Sa langue fait le tour de mon chibre, il s'amuse et me fait lâcher un râle de plaisir. Lui-même exprime son excitation par de petits gémissements. Sa main gauche se balade sur mon torse, il s'attarde sur mes tétons. Cela ne me fait rien, car je suis insensible, mais je le laisse faire. Je décide de me lever et de prendre les choses en main en particulier sa tête. Je commence doucement à faire des va et viens dans sa bouche, j'essaie d'aller le plus loin possible à chaque aller. Ses mains se collent contre mon fessier, je prends cela comme une invitation à me faire plaisir. Mais je veux y aller doucement, je suis très excité et même si je ne jute pas facilement lorsqu'on me suce, je veux éviter un départ précipité. Je décide d'y aller entièrement centimètre par centimètre. J'arrive enfin au fond de sa gorge. Je me doutais bien que j'avais mal mesuré mon degré d'excitation, six jets sortent et lui remplit la gorge. Chaque coup lui extirpe un gémissement. Je sors de sa gorge et n'oublie pas sa langue pour lui apporter la dernière goutte.
- Putain, ta bouche est vraiment bonne, lui lâché-je en mettant sur la chaise.
- Et encore tu n’as pas testé mon cul. Ça te gêne si je me mets comme toi ?
- Vas-y je te ramène la tasse de café. Je l'embrasse juste avant de me lever, le gout de mon sperme lui a envahi la bouche.
En revenant avec les tasses, j'ai pu le retrouver en boxer sur le canapé. Le petit Nicolas est vraiment à croquer. Il est moins fin que je le pensais, car il a une certaine carrure, il n'est ni trop fin ni trop gros. Son torse est imberbe, mais une ligne se dessine entre son pubis et nombril. Je lui donne sa tasse et je me pose à côté de lui. Il se faufile directement dans mes bras et pose sa tête contre mon torse.
- Alors Monsieur est gameur ?
- Exact, toi aussi ?
- Je joue de temps en temps.
- Et ça t'arrive souvent de passer après la livraison ?
- Non c'est la première fois que je fais ça, mais j'ai bien vu comment tu me mater dans l'ascenseur.Et j'ai besoin de confirmer quelque chose.
- J'avoue ne pas avoir été des plus discret.
Nous discutons pendant une bonne demi-heure, pendant ce temps le blondinet n'a pas arrêté de caresser mon boxer. Dès que ma queue s'est réveillée, il s'est mis à la sortir pour jouer avec sa langue. J'en profite pour balader ma main gauche dans son boxer pour toucher son fessier. Légèrement poilu comme j'aime, je vais me régaler. Je lui touche la rondelle, un gémissement lui échappe. Il en profite pour enfourner ma queue dans sa bouche. Je ne vais clairement pas tenir vu comment il va s'en servir. Ni une ni deux je le transporte dans le fauteuil lui met les jambes en l'air et sort son fessier de son boxer. Je me mets directement à genoux. J'ai la vue sur mon quatre-heure, je l'embrasse tout en frottant ma queue sur son trou avant de descendre. Ma bouche lui mordille tour à tour ses fesses, un petit sursaut et un petit cri lui échappent. Ma langue décide de lui lécher l'aine, je lui fais passer un souffle dessus qui lui provoque un frisson de plaisir. Je ne peux tenir plus et lui mets un grand coup de langue sur le trou. Il avait prévu le coup de la petite salope, car je sens un léger gout de savon. Je recommence ce traitement cinq fois avant de lui dévorer littéralement son trou. Chaque fois que je rentre ma langue, son anus s'ouvre et je lui arrache un gémissement. Ma queue sursaute d'excitation en l'entendant. Je m'arrête d'un coup pour l'embrasser.
- Je peux te prendre ? Je tiens plus, j'ai envie de te défoncer.
- Vas- y j'attends que ça depuis que je t'ai vu.
Je pars dans la chambre, récupérer les capotes et le lubrifiant, j'en profite pour la mettre directement. En retournant dans le salon, je le retrouve à quatre pattes sur le canapé appuyé sur le dossier.
- Vas y mon cul est à toi.
Je lui glisse un doigt de lubrifiant avant d'y glisser ma queue. Malgré ce bouffage de cul en bon uniforme, il reste serré. Je rentre jusqu'à la garde doucement, arriver au bout , j'attends que sa respiration reprenne. Je commence les aller-retour assez amples, je veux que son cul s'habitue à ma queue. Un gémissement lui échappe dès que je suis au fond. Cela dure bien pendant 5 mins, après que son anus soit bien habitué, mes aller-retour se font plus rapides. Je le colle contre le dossier du canapé, et je le défonce sans ménagement. Le canapé couine au rythme de mes coups de reins, mais celui qui couine le plus c'est lui. Au fur est à mesure mes bras l'entourent, mon bras droit le ramène de plus en plus vers moi. J'en profite pour l'embrasser dès que sa tête se pose sur mon épaule. Il en a le souffle coupé.
Je sens que son trou commence à se serrer de plus en plus, et sans se toucher, il déverse un flot de sperme sur mon canapé. Je décide de ralentir pour éviter de lui faire mal.
- Continue à me baiser, c'est trop bon.
- T'es sûr ?
- Oui, vas-y, je veux que tu remplisses la capote.
Je reprends alors mon processus de burinage de petit cul de blondinet. Il continue à gémir. Son cul est tellement serré que j'ai l'impression qu'on me branle la queue. 5 mins de ce traitement suffisent à me faire remplir la capote. 8 jets puissants sortent. Je sors ma queue de son cul et vois la capote remplie de liquide blanc. Je l'embrasse et je vais retirer la capote tout en allant chercher de quoi essuyer le canapé.
- Merci, tu as confirmé ce que je pensais. Me dit-il en se rhabillant.
- Comment ça ? Tu sais tu peux rester pour la soirée, je suis bon cuisinier.
- Je peux revenir ce soir, mais je dois régler un truc avant.
- C'est-à-dire ?
- Expliquer à ma copine que c'est clairement la bite que je préfère.
- Attends-tu l'avais jamais fait avec un mec avant ?
- Quelles fois seulement, mais j'avais des gros doutes depuis quelque temps tu as confirmé ce que je pensais. Je reviens dans 2 heures. Tu auras le temps de monter le pc avant de me démonter à nouveau.
- Euh OK...
Je reste planté là abasourdi par ce qu'il vient de me dire.
L3vicura
l3vicura@mailo.com
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