Chapitre-7
Assis sur la couchette côte à côte, Andrej prend sa tablette et choisit le porno gay que nous allons visionner.
Il lance le film.
Les scènes se passent dans une salle de finesse réservée uniquement aux hommes gays ou hétéros. Mais les acteurs sont tous homos, bien bâtis et surtout bien équipés dans l'entrejambe.
Andrej m'entoure de son bras au niveau des épaules et je viens poser ma tête contre son cou. J'embrasse mon amant tendrement et nous commençons à regarder ce qui se passe sur l'écran de la tablette.
Chaque gars fait son exercice.
Il y en a un qui fait des tractions sur une barre fixe et il est vite stoppé dans son élan par un autre qui lui baisse son short, laissant apparaître un jock-strap blanc avec la poche bien garnie.
Le mec maintient le gars de la barre fixe par les cuisses pour éviter qu'il ne lâche la barre. Il vient alors poser son visage contre le jock-strap et commence à le lécher et taquiner ce qui se trouve dedans.
Un gros plan pour montrer que ce qui se trouve à l'intérieur prend du volume.
Avec les dents, il descend le devant du jock-strap et apparaît une belle barre droite et raide qu'il prend directement en bouche.
Plus loin, c'est un homme jeune qui soulève de la fonte sur un banc. Il est allongé, les jambes écartées de chaque côté du banc et la tête renversée en arrière.
Après chaque levée de fonte, il se retrouve avec le nez dans l'entrejambe du coach où il a le loisir de deviner ce qui se dissimule dans le jogging et ça a l'air appétissant.
De l'autre côté, où il a les jambes écartées, un autre sportif le maintient au niveau des cuisses, mais vite les mains deviennent baladeuses au niveau du paquet.
S'en suit alors, une constitution de groupes de 2 ou 3. Ceux-ci qui ne cachent plus leurs intentions et un peu partout dans la salle de gym, c'est un tournoi olympique de pipes, de branlettes et d'enculaded qui s'engage entre sportifs et coach.
Puis tout ce beau monde se regroupe sur les tapis de sol pour profiter des manches dressés.
Seuls 3 ou 4 hétéros restent à l'écart, matant plus ou moins ce qui se passe.
Deux coachs vont les voir et les invitent à se joindre au groupe. Bien que réticents, ils suivent timidement les coach. Est-ce par curiosité, par envie cachée ou par peur.
Les hétéros se retrouvent alors avec le groupe qui prend directement l'initiative.
Des mains viennent aussitôt caresser leurs bijoux de famille à travers leurs shorts pendant que d'autres leurs présentent leurs bouches à embrasser.
Décontenancés au départ, ils se laissent faire mais très vite leurs maillots disparaissent, les shorts sont retirés et ils commencent à avoir les mains sur les corps musclés des gays. Les mains descendent et se logent sur les bites offertes et des baisers fougueux s'échangent entre les hétéros.
Les gays, ravis de cette situation, ne se privent pas de leur ôter leurs sous-vêtements très serrés, leurs queues étant en bandaison totale.
Tous, gays comme hétéros se retrouvent entièrement nus, et ce sont des gros plans sur ces braquemars tendus . A croire que le réalisateur veut nous faire identifier la plus longue, la plus grosse pour établir un classement.
Les coachs se dirigent vers les hétéros et les initient. Chaque coach prend un hétéro en main mais surtout par la bite, le branle et se met à le sucer.
Surpris par l'effet produit, ils prennent goût à la dégustation de leurs queues et motivent les coachs en appuyant sur les têtes pour en prendre plus en gorges profondes.
Puis ce sont les hétéros qui se risquent aux pipes sur les coachs.
Ça y est les hétéros sont dans l'ambiance globale.
Plus de différence, tout le monde suce tout le monde, et certains participants se font déjà limer le cul. Ça tourne à la bonne partouze. Chacun se prend de la bite dans le trou et sans capotes. Ça bouffe du trou en pagaille, tous mélangés. A 2, à 3 ou à 4 ça baise à tout va.
Les hétéros ne rechignent plus, ils mettent du cœur à l'ouvrage. Ils sont eux aussi devenus frères de jeux.
Puis c'est une séance de masturbation collective. Un jeune plus petit mais aux belles plaques de chocolat se retrouve allongé et tout le monde se branle autour pour le couvrir de giclées de foutre qu'il aura sur tout le corps. Il sera le dernier à cracher son jus sur ses plaquettes de chocolat.
Le film se termine ainsi pendant tout ce temps avec Andrej nous nous sommes embrassés, caressés, poletés. Nous avons récupéré, nous sommes prêts pour le passage à la nouvelle année.
Bouleetbite
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