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Le bus de nuit

Hello tout le monde,

Je m’appelle Max, j’ai 22 ans et je suis étudiant à Paris. Très souvent je prend le train pour rentrer chez mes parents, mais avec l’approche des fêtes les prix sont devenus exorbitants. Je me rabat donc sur la solution de secours : le bus de nuit.
C’est pas la première fois que je prend un bus de nuit, mais j’aimerai bien que l’histoire que je vais vous raconter m’arrive un peu plus souvent…

Il est 23h j’arrive au bus, le depart est dans 30 minutes, on arrives vers 6h du matin à destination et on a deux arrêts de 30 min chacun sur le chemin. En general je dors tout du long donc je reste dans le bus.

Après quelques minutes d’attente, le bus arrive, les précédents passagers sortent, les chauffeurs effectuent leurs changements, et nous pouvons enfin embarquer.
Pour l’instant il n’y a pas foule, mais il reste encore 20 bonnes minutes avant le depart. Je suis installé à ma place, petit à petit le bus se remplit, mais toujours personne à côté de moi ! Aurais-je le luxe de disposer de deux sièges pour moi sur ce trajet ?

Je me perd un peu sur mon téléphone pour faire passer le temps, quand soudain je sens une tape sur mon épaule : c’est un jeune rebeu, mon age je dirai, cheveux longs un peu bouclés, habillé tout en survêtement et le teint basané. Il me regarde, pointe du doigt mes affaires que j’avais placé sur le siège adjacent, avant d’ajouter :

- Salut mec, je suis assis la, tu peux enlever tes affaires s’il te plait ?

- Oh oui bien sur pas de soucis.

Je me lève, prend ma veste et mon sac et passe devant lui pour les placer dans les compartiments supérieurs. En faisant ce mouvement je me rend compte que je m’approche très près de lui au point de frôler son paquet avec mes fesses. C’est tres subtil, et l’agitation générale des gens qui s’installent font que mon voisin de siège ne bronche pas.

Une fois mes affaires placées, je me rassois coté fenêtre, lui coté couloir.

Il me tend sa main en ajoutant :

- Moi c’est Sofiane !

- Max !

- Tu prends souvent le bus de nuit ?

- Nan que quand les trains sont trop chers…

Au fur et à mesure que la discussion avance je me perd dans son regard. Il a un visage doux, des yeux brun, des cils plutôt longs, une petite cicatrice sur l’arcade et des lèvres pulpeuses.
Il est rasé à blanc ce qui renforce un peu plus son côté juvénile, bien qu’il soit de deux an mon ainé.
Il a un baton de sucette en bouche avec lequel il joue et qu’il coince entre ses dents quand il sourit.
Il a un bon parfum, assez virile, qui me rappel d’ailleurs un de mes ex plans culs. Bref, toutes les conditions sont réunies pour que je soit déjà entrain de me faire des scenarios dans ma tête.

Après avoir discuté de banalités, le bus démarre, le chauffeur éteint les lumières et Sofiane sort un coussin pour sa nuque. Il place sa casquette sur le visage pour ne pas être ébloui par les phares des voitures et des lampadaires, et incline légèrement son siège. Message compris : Monsieur veut dormir !

Je traine un peu sur mon téléphone, la luminosité au minimum. Après un petit temps j’essaye de faire un somme, mais je n’y arrive pas. Sofiane, de son côté semble dormir profondément :
Ses bras sont croisés, les jambes légèrement écartées et toujours la casquette sur les yeux. Tout le monde autour de nous semble assoupi, la cabine est plongée dans l’obscurité mais j’arrive tout de même à distinguer une sacrée bosse dans son jogging ! On dirait même qu’il bande !!
J’ai du mal à quitter sa bosse des yeux, elle me donne tellement envie et je suis en chienne en ce moment !

J’ai quinze-mille scénarios qui me passent par la tête et je commence moi même à bander dans mon jean.
Soudain le bus freine brusquement à cause de travaux. On est un peu secoués, certains passagers se sont réveillés, dont Sofiane.
Il s’étire, relève la caquette puis baille. Il s‘approche de moi et me demande :

- Tu sais ou on est ?

- Non pas du tout, ça fait une petite heure qu’on roule, on est coincé sur l’autoroute à cause de travaux.

J’ai du mal à le regarder dans les yeux en répondant à sa question, il s’en rend compte rapidement, et rigole.

- Ah désolé ouais, je bande un peu, mais faut dire que j’ai envie de pisser de ouf !

- Haha je comprend, je pensais que faisait un rêve de cul.

- Ah donc tu mattes depuis un petit moment c’est ça ?

Je rigole d’un air un peu gêné avant d’ajouter :

- Tu sais y’a des WC si tu veux te soulager…

- Yes je vais faire ça.

Sofiane se lève à côté de moi, son jogging est tendu par sa gaule ! Il glisse sa main dedans pour la replacer et comme si de rien était se dirige vers les toilettes.
Je le vois tenter d’ouvrir la porte, avant de lire le mot placardé sur celle ci. Il remonte les trois petites marches et se dirige en direction du chauffeur.
Ils discutent quelques secondes puis, Sofiane revient s’assoir :

- Bon bah les WC sont condamnés et le prochain arrêt est dans 50 km, mais ça roule au ralenti à cause des travaux.

- Tu vas réussir à te retenir ?

- Mec, je sais pas, ma vessie est tellement pleine ça me fait bander.

- Ah ouais à ce point ?

- Ouais… matte…

Sans aucune gène, Sofiane sors sa queue raide de son jogging. Elle est immense, une vingtaine de centimètre je dirai. Circoncise avec quelques veines apparentes dû à l’affût de sang. Elle a en effet l’air bien tendue ! Elle claque sur son pull en sortant de son jogging, il ne porte visiblement pas de boxer. J’aperçois également le debut de ses couilles qui semble bien pleines également.
Je suis à quelque centimètres de sa queue, mon regard ne s’en décolle pas. Je sens l’odeur de bite doucement arriver à mes narines.
La scène dure en réalité une petite dizaine de secondes mais dans ma tête cela semble une éternité…

Un petit silence s’installe. Il arrête de regarder sa queue pour tourner son regard vers moi, avant de relâcher l’élastique de son jogging et me demander :

- Dis mec, t’aurai pas une bouteille vide ?

- Euh j’ai une bouteille de Coca mais il reste un fond pourquoi ?

- Ça te dérangerai de la finir comme ça je peux pisser dedans ?

- ICI ???

- Bah ouais mdr, avec les potes on fait ça tout le temps sur le chantier !

- Hmmm ok… si tu veux.

Je prend ma bouteille et la vide d’un cul sec, une fois vidée, je lui tend :

- Ok et comment tu compte faire ?

Il jette un oeil autour de nous : faut dire qu’on est au fond du bus, juste devant la banquette arrière. Sur celle ci : un couple qui occupe toute la rangée en étant affalés l’un sur l’autre à regarder un film; à coté, une petit mamie qui dort seule sur deux sièges, et les fauteuils sont assez larges pour permettre à nos voisins de devant de ne pas trop profiter du spectacle… Bref pas trop de vis à vis en perspective.

- Ok tout le monde semble plus ou moins endormis, tu peux m’aider à la tenir ?

- De quoi ?

- Bah la bouteille hahaha, pas ma bite !

Sans réfléchir je reprend donc ma bouteille, j’ai du mal à comprendre comment il veut procéder…

Sofiane baisse son jogging en s’assurant toujours que personne ne nous regarde. Il prend ses deux pouces, qu’il glisse au niveau de l’élastique des ses hanche. Il s’adosse ensuite sur le siège pour relever ses fesses, et d’un coup baisse son jogging laissant surgir à nouveau sa queue bien tenue qui vient claquer sur son pull. Cette fois si son jogging est rabaissé plus bas et me donne une meilleure vue d’ensemble : Ses couilles sont plûtot grosses et lisse. Il a une touffe de poils noirs au niveau du pubis, mais l’ensemble semble relativement bien entretenu !
Je regarde sa queue ébahi !!

Le regard de Yanis se dirige vers moi. Voyant que je me rince l’oeil il sourit avant de rajouter :

- Ok, tu tiens la bouteilles légèrement incliné, je vais poser mon gland sur le goulot et pisser dedans.

- Euhhh, okk ?

Pas même le temps de réfléchir qu’il se redresse, pose un genoux sur son siège pour se redresser, tiens sa queue de la main droite et tiens le siège de la main gauche pour garder l’équilibre. J’incline la bouteille comme demandé, puis il viens poser son gland sur la bouteille. Le goulot parait tout petit. Sa bite et si raide qu’il doit forcer pour la baisser au niveau de la bouteille. Je prie pour que les mouvements du bus ne le font pas se désaxer du goulot et que toute sa pisse finisse sur moi… quoi que…

Après quelques longues secondes, un premier jet hyper puissant sort. Il sourit comme un gamins et lève la tete au ciel de soulagement. Petit à petit, je sens la bouteille se réchauffer entre mes mains, elle devient de plus en plus pleine, plus en plus lourde. Son urine est jaune claire, rien de plus banal.

Une fois terminé il décolle son gland de la bouteille et se rassois sur le fauteuil. J’en profite pour refermer bien fort le capuchon. En faisant cette action je sens son urine chaude venir me caresser les narine, ça sens la pisse et la bite en même temps. Je ne tarde pas plus et lui tend la bouteille. La situation m’a bien excité, je sens dans mon pantalon une gaule de l’enfer.

À ma grande surprise, Sofiane s’est rassis mais n’as toujours pas rangé sa queue qui repose sur son pull. Je le regarde d’un air intrigué avant qu’il me réponde :

- Bah quoi ? Je bande trop, ça me fait mal dans mon jogging. Je la laisse dehors le temps que ça retombe.

- Mais t’as pas peur que quelqu’un voit ça ?

- Tout le monde dors mec, et toi tu l’a matte depuis avant donc je sais que t’es content de la voir.

Je ne dis rien, un peu gêné.

- Tiens d’ailleurs garde la bouteille. Ça te fera un petit souvenir de moi quand on se quittera. Dit-il en ricanant.

Je reste abasourdi, mais je ne peux m’empêcher de zyeuter sa queue, et ça ne lui échappe pas…

- À moins que tu veuilles prélever directement à la source ? Dit-il en attrapant sa queue d’une main et relevant son pull de l’autre.

Je ne sais pas quoi dire, la situation a escaladé tellement rapidement. Dans ma tête tout se mélange. Les secondes deviennent des minutes, mon temps de réflexion me parait multiplié par dix. Bien qu’en fait, en moins de 3 secondes, je me jeta sur sa queue !

Je commence par sucer son gland, et il a bien raison, à la source c’est bien meilleur. Le gout légèrement salé de son urine récente vient combler mes papilles. Je tête son gland comme une sucette pendant de bonnes secondes avant de glisser, centimètre par centimètre, sa queue au fond de ma gorge. Arrivé en bas il me maintiens la tete pendant plusieurs secondes, je manque de m’étouffer, mais j’essaye de faire un minimum de bruit pour n’attiser l’attention de personne. Il me libère la tête, je recrache alors sa queue. Je commence alors à embrasser ses abdos, puis ses poils pubiens. Son odeur de mâle me fait frémir. Je me cajole dans sa toison quelques instants, avant d’embrasser la base de sa queue puis de la remonter tout le long avec ma langue.

Je sens sa main passer dans mes cheveux. De temps en temps je lève les yeux, je le vois guetter les alentour, parfois, il me regarde m’appliquer sur son engin, et je le vois kiffer. Après quelques bonnes minutes de vas et viens, je décide de tirer un peu plus sur son jogging pour accéder à ses couilles. Monsieur ne se fait pas prier, il lève les fesses et fait carrément tomber le jogging aux chevilles. Je retrouves ses belles couilles biens rondes, biens remplies, et lisses à souhait.

On prend de gros risques, mais ça ajoute encore plus à l’excitation. J’approche ma tête de ses couilles, tant bien que mal au vu de la configuration des sièges du bus. Je sans la chaleur et l’humidité s’en émaner. Je commence à lui gober, d’abord une par une, puis les deux en même temps. Je le branle simultanément avec mon autre main.
Je continue par lui lecher les couilles, remontant avec ma langue le long de sa verge et finissant par lui embrasser le gland. Son regard m’enivre. Sa main sur ma tête, comme pour me féliciter me fait fondre.

Quand soudain…
Le bus s’arrête. Je me redresse d’un coup et me rassois correctement. Mon visage est encore humide de bave…
Sofiane attrape vite son jogging et le remonte de justesse quand les lumières du bus se rallument.

On comprend qu’on arrive au premier arrêt et qu’on va pouvoir se dégourdir les jambes. On laisse les gens sortir, certains récupèrent leurs valises car c’est là qu’ils descendent. Nous, nous avons encore de la route à faire…

Pendant que les gens du bus prennent leurs temps pour débarquer, Sofiane pose sa main sur ma cuisse et s’approche de mon oreille pour murmurer :

- Tu m’as fait kiffer ma p’tite chienne. Mais on vient seulement de commencer… Là on a 30 minutes de pause. Je vais te limer la chatte et te remplir tellement que mon sperme va couler sur le siège tout le reste du trajet.

Je souris, alors il attrape ma tête dans sa main et rajoute :

- C’est ça que tu voulais depuis le debut de toute façons hein ?

- Oui…

Il me regarde avec un sourire satisfait avant de me lecher d’une traite le visage de bas en haut.

- Allez suis moi, on va trouver un endroit….

Je m’exécute et on sort. Dans mon jean c’est la fiesta : je mouille tellement que j’ai l’impression de sentir couler le long de ma cuisse.

À peine sortis du bus, on guette les alentours pour trouver un coin sympa, quand le chauffeur de bus nous arrête :

- Le jeunes, on va que faire 10 minutes de pause, on a pris trop de retard avec les bouchons.

- Ça marche ! Pas de soucis, on va juste se chercher quelque chose à manger.

Purée 10 minutes ça ne nous arrange pas cette histoire. Je suis un peu frustré parce que j’avais bien envie de me faire baiser et mon partenaire semble d’accord avec moi :

- Dix minutes ça sera trop court. Mais suis moi.

Il est tard dans la nuit, on est aux abords d’une grande ville près d’un parc avec un petit magasin ouvert 24/24. On se dirige dans le magasin, je comprend pas trop pourquoi.
Je suis Sofiane sans broncher, je le vois se diriger vers le rayons soins médicaux et prendre le premier tube de lubrifiant qui lui passe sous la main. Il me le jette et me demande :

- Ça te va ça ?

- Yes parfait.

On retourne en caisse, et je regèle. On quitte la boutique, l’expédition fut breve. Je regarde ma montre, il nous reste 7 minutes. Sofiane se dirige vers le parc, il est très peu éclairé et il n’y a personne. On se retrouve dans un endroit un peu reculé très sombre et entouré de bussions. J’avoue que je commence un peu à stresser, mais Sofiane prend tout de suite les choses en mains. Il pose sa main sur mon épaule et d’un coup ferme me fait descendre au sol. Je me retrouve à genoux devant lui. Je comprend rapidement le signale et colle ma tete contre sa bosse. Il me fout une claque et me dit :

- Fous toi à 4 pattes et baisse ton froc.

Surpris de cette reaction, je m’exécute. Je baisse mon pantalon, mon boxer et me met à 4 pattes devant lui.
Il fait très sombre, je ne distingue pas tout et l’adrénaline me met dans un état second. Soudain je sens quelque chose de froid toucher ma rondelle. Je tourne la tête et je vois Sofiane avec le tube de lubrifiant, entrain d’appliquer une généreuse dose sur mon trou.
Je suis étonné car il me disant qu’on avait pas le temps, mais peut-être a-t-il changé d’avis et veut faire ça rapidement avant de repartir. Si c’est le cas, on a moins de 5 minutes.

Je sens alors Sofiane rentrer un doigt, sans même me prévenir. Je gémis de surprise. Il fait quelques mouvement lents puis accélère. Il glisse rapidement un deuxième doigt tout en continuant ses mouvement soutenus, rapidement il rentre un 3e doigt. Je sens ma queue durcir et mon trou se dilater bien comme il faut. Il me doigte le cul comme s’il doigtait la chatte d’une de ses meufs.

- Putain, t’as la chatte déjà grande ouverte, on voit que t’es habitué !

- C’est trop bon ce que tu me fais, mais on va devoir y aller.

- T’inquiète ma salope, c’était pour te préparer seulement…

- Me préparer ?

Sofiane me fou une claque sur la fesse, retire ses doigts et se relève. Je fais de même tout en me rhabillant, puis il approche son visages à quelques centimètres du miens en me disant :

- Si j’ai pas pu te défoncé ici, je vais te défoncer dans le bus…

Sur ces mots biens excitants on retourne vers le bus. Au loin on voit que le chauffeur a déjà remis le contact, on décide donc de courir rapidement. Je sens le lubrifiant entre mes fesses et mon trou encore dilaté par ce doigtage express.

On arrive finalement au bus et on retourne à nos places. Quelle ne fut pas notre surprise de voir que nos voisins sur la banquette arrière étaient descendus du bus. On décide donc de s’installer sur cette banquette.
Le bus redémarre, quelques kilomètres passent, les lumières sont à nouveau éteintes et les gens se sont rendormis.
Sofiane décide de passer à l’action :

- Baisse ton froc et pose ton cul sur mes genoux.

Je suis tellement excité que je ne réfléchis plus. Je baisse mon pantalon jusqu’aux chevilles, j’en fais de même avec mon boxer et viens m’assoir sur les genoux de Sofiane. Je sens sa queue déjà bien dure au travers de son jogging. Je commence des petit mouvements de vas et viens avant que Sofiane ne me stop :

- Pas comme ça !

- Quoi ?

- Mets toi à plat ventre, le cul au niveau de mes cuisses, comme si je voulais te mettre une fessée.

- Ahhhhhh

Je m’execute donc ! Par chance la banquette arrière et plutôt spacieuse, il me semble d’ailleurs que ces siège sont en général plus cher pour avoir plus de place justement.
Me voici à plat ventre sur les genoux de Sofiane, mon cul déjà bien dilaté offert à lui. Sans attendre, il insère un doigt. Contrairement à tout à l’heure il est moins bourrin, plus délicat. Il commence a me titiller la prostate tout doucement. La pression en moi monte, ma bite durcit rapidement. Sofiane le remarque immédiatement puisque nos deux queues sont toutes deux à la même hauteur. Elles se touchent à travers le jogging de Sofiane que je suis entrain de couvrir de mouille au passage.

Ce moment divin dure un bonne dizaine de minute. Sofiane prend le temps de bien travailler mon trou, alterne entre différents doigts, à différentes vitesses en ajoutant par moment des petits filets de bave pour humidifier le tout. Je l’entend parfois prononcer quelques mots en arabe, sans doute des insultes, mais je n’y prêtes pas trop attention.

Sofiane me redresse, remarque ma mouille sur son jogging et plaque alors mon visage :

- Tu vas me nettoyer ça p’tite pute !

Je lui sors mes plus beaux coups de langue. J’en profite au passage pour sentir l’odeur de sa queue au travers de son jogging ce qui le fait sourire.
Après à peine une minute, il baisse son jogging. Sa queue vient taper mon visage au moment ou elle se libère. Comme tout à l’heure je prend soin de m’occuper de sa queue et de ses couilles. Je le suce goulûment pendant de longues minutes, sa queue est de plus en plus raide.

Sofiane m’attrape alors par les cheveux pour me redresser. Nous échangeons un regard, il hoche la tête : je comprend immédiatement : j’ouvre grand la bouche, il me crache au visage avant de rappuyer ma tete sur sa queue pour forcer les vas et viens grace à de puissants et amples coups de bassin.

Le spectacle continue quelques minutes avant que Sofiane ne me redresse à nouveau. Cette fois-ci il me fait signer me tourner et m’assoir sur sa queue. Je commence par me poser sur ses genoux et frotter mon cul sur sa teub. Mon étalon semble impatient et d’un coup rentre ses 20 cm dans mon trou heureusement bien préparé !

Il me plaque la main sur la bouche pour m’éviter de gémir. Je sens son parfum sur ses doigts, c’est divin. Sans tarder il commencer des vas et viens très brusques, si bien que les petits claquement se font entendre. Par chance le bus est trop bruyant et couvre nos ébats. Il me lime le cul comme ça pendant 5 bonne minutes toujours la main sur la bouche.

Il s’arrête un instant pour se reposer, il faut dire que bien que spacieux, faire l’amour dans un bus reste un endroit exigu…
On ose pas changer de position de peur de se faire prendre… Les mouvements sont stoppés, je suis assis complètement sur lui. Je sens sa bite complètement au fond de moi. La courbure de sa queue est parfaite et vient juste taper au bon endroit ma prostate.

On reste comme ça pendant plusieurs minutes, on alternent entres vas-et-viens et temps de repos, en se roulant de grosse pelles tout du long. Aucun de nous deux n’avons envie que ce moment ne cesse.

Et pourtant, le bus marque un nouvel arrêt !
Cette fois si sur une aire d’autoroute. Je me retire de Sofiane, on se rhabille tout les deux et on quitte le bus. On demande au chauffeur le temps d’arrêt de la pause, « 30 minutes » nous répond-il !

- Parfait ça ! Je vais finir ce que j’a commencé dans le chiotte de la station. Me dit-il d’un regard pervers.

Nous sommes les seuls à sortir du bus, faut dire qu’on devait être aussi les seuls éveillés.
On se dirige vers la boutique de la station. Direction les toilettes, elles sont plutôt propres. On s’enferme tous les deux, il me plaque au mur avant de me rouler la plus grosse galoche de ma vie.

Je me mets rapidement à genoux devant lui pour le sucer

- Vas-y suces moi pour me refaire bander, comme ça je pourrai bien te défoncer la chatte !

Je m’applique comme jamais, une pipe bien baveuse, sans oublier ses couilles que je gobes, que je lèche et que je malaxe… Bref, il retrouve rapidement son érection.

Il me relève, plaque ma tete contre la paroi des WC et m’enfonce d’un coup sec sa queue. Je gémis de plaisir. Il continue ou il s’était arrêté, et il n’y vas pas de main morte !!

Son rythme est soutenu, ses mouvement sont amples, je sens ses couilles claquer sur les miennes… Il gémis de plus en plus. Son souffle s’accélère, il enchaine les féssées tout en continuant de me limer !
Ses gémissements se transforme en grognement…

Ça fait 10 bonnes minutes qu’il me baise comme ça dans des WC publiques. Je sens mon sperme monter également quand il me dit :

- Puuuutain, je vais bientôt jouir…

- Oh oui vas-y moi aussi….

- Je vais te remplir de mon sperme tu vas voir….

- Ohhh vas-yyyy.

Ses paroles m’excitent encore plus et me font jouir sans même me toucher. De grosses doses de spermes tombent sur la cuvettes des WC, secouées par les mouvements de limage de mon étalon. Je sens mon anus se contracter autour de la queue de Sofiane :

- Putai mec t’as jouis ??? C’est incroyable je vais…. HMMMMM

- …

- Ahhhhh puuutainnnnn

Je sens alors 5 gros jets de sperme bien chaud me tapisser l’intérieur. Je me sens remplis comme une pute et j’adore !
Il continue de grogner et de m’insulter en arabe, tout en essayant de réguler sa respiration. Il reste en moi quelques secondes, avant de se retirer.

Je sens son sperme couler, entre me fesses, puis le long de mes couilles. Je prend du papier WC pour essuyer tout ça lorsque Sofiane m’attrape la main pour me stopper :

- Qu’est-ce que tu fous la ?

- Bah je…

- Tu quoi ? Nan nan, je t’ai dit que j’allais te remplir et que mon sperme allait couler sur le siège tout le reste du trajet.

- C’est vrai.

- Rhabilles-toi il nous reste 5 minutes !

On se rhabille tous les deux et on retourne au bus. Un fois assis, je sens effectivement le sperme de Sofiane couler de mon anus bien dilaté…

Le bus redémarre. On est à nouveau plongés dans le noir, il doit nous reste encore au moins 4h de trajet… Je demande à Sofiane si je peux poser ma tête sur son épaule pour faire un somme, il me répond :

- Bien sur ma p’tite pute, mais tu sais, le trajet est loin d’être fini pour toi…

- Comment ça ?

- Chut, repose toi pour l’instant.

Je ne cherche pas à comprendre et pose ma tête sur l’épaule d’un mec que je ne connaissait même pas il y’a 4h, qui m’a défoncé et rempli de son sperme… Sacré trajet !

Oldyano

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