Je me présente, je m’appelle Max, j’ai 22 ans, je vais régulièrement à la salle de sport près de chez moi pour essayer de me maintenir en forme.
Je ne suis pas le plus musclé, mais je commence à voir quelques petits abdos et biceps se dessiner, à force d’efforts.
Je m’entraîne dans une grande chaîne de salle de sport 3 ou 4 fois par semaine. Il y a des visages que je connais bien, souvent les mêmes aux mêmes heures, mais je suis assez timide, donc je ne me suis pas trop fait de gym buddy.
De temps en temps je vais sur Grindr quand j’y suis, mais je ne vois pas grand monde dans ma tranche d’âge à proximité.
Niveau sexe, je suis ouvert à tout, mais j’adore être soumis. J’avoue que j’ai un petit faible pour le rebeu et les mecs un peu dominateur alpha…
Je suis aussi très branché exhib. Il m’arrive donc régulièrement d’aller à la salle avec un petit jockstrap, que je laisse intentionnellement dépassé, dans le cas où un BG aurait envie de faire de moi son quatre heures.
Je suis dans une période de ma vie ou je suis hyper excité et j’ai envie de me faire baiser H24. Récemment j’ai donc testé de faire mon sport avec un plug dans le cul :
Avant de partir une folle envie de me branler me prit. Je me dis que c’est l’occasion de tester quelque chose de nouveau moi qui kiffe l’exhib…
J’enfile mon jockstrap, je commence à me toucher, je me cambre, me mets des fessées et me tripote les fesses. Je passes mon doigt être mes fesses et commence à me caresser la rondelle. Rapidement, je porte mon doigt à ma bouche pour l’humidifier et commencer à me l’enfoncer. D’abord doucement, puis de plus en plus profond. Ma respiration s’accélère, tout comme mes mouvements. Après quelques instants, quand je sens ma chatte commencée à être dilatée, je décide de passer aux choses sérieuses.
J’ouvre mon placard, prends ma bouteille de lubrifiant et un de mes plug anal, celui-ci à un petit diamant argenté au bout. Je mets une bonne dose de lubrifiant sur le plug et l’approche de mes fesses. Doucement je commence à titiller l’entrée de mon cul. La sensation du lubrifiant froid sur mon anus me donne un frisson immédiat. J’enfonce délicatement les premiers centimètres, mon visage se crispe… Je continue, la plus grosse partie rentre, le voilà bien calé en moi.
Je bande comme un âne dans mon jockstrap à tel point que ça me fait mal. Je décide alors de laisser tomber le jockstrap, tant pis j’y vais commando.
Je me relève, la sensation du plug en moi est étrange, mais loin d’être désagréable. Je décide de porter pour ma séance du jour un short large et un t-shirt running noir.
Il fait 26°C dehors, et quand il fait chaud, j’ai pour l’habitude d’aller à la salle déjà en tenue de sport.
Je sors donc comme ça dans la rue, avec mon petit sac en bandoulière, la chatte bien dilatée par le plug toujours en moi, et les couilles à l’air dans le short.
La sensation est très agréable : il fait bon, il y a du soleil, et une légère brise vient caresser mes couilles imberbes à travers mon short large…
Après quelques minutes de marche j’arrive à la salle, toujours les mêmes têtes présentes, mais deux trois nouveaux que je ne connais pas, sans doute motivés par l’arrivée des beaux jours.
Je ne fais pas attention plus que ça et dépose mon sac dans un casier, je me dirige ensuite vers le tapis de course pour m’échauffer.
J’en avais presque oublié que j’avais un plug en moi tellement je m’étais habitué à la sensation… Je commence donc à courir, et rapidement, les sensations du plug se font à nouveau ressentir. Plus j’accélère le rythme, plus je sens celui-ci en moi. Je commence à avoir une demi-molle, par chance mon short est bien large et ça ne se voit pas trop quand je cours. Je sens ma queue durcir et rebondir contre ma jambe gauche.
Je décide d’écourter mon échauffement avant que mon érection ne soit visible de tous, et me dirige vers les haltères pour entraîner le haut du corps.
Je vous passe le détail de ma séance, rien de bien fou, l’effort me fait suer, et après une bonne heure sur place, il commence à se faire tard et il n’y a plus grand monde, je décide de filer aux vestiaires.
Les vestiaires sont collectifs, et il y a une rangée de plusieurs douches individuelles collées les unes aux autres. Un peu à la manière des WC publics, les portes des douches ne font pas toute la hauteur, si bien qu’on peut apercevoir les pieds des gens dans les cabines, et les cheveux des plus grands quand ils sont dedans.
Ce moment est toujours un petit plaisir pour moi, j’entre dans la pièce, l’odeur de mâle enivre mes narines et me fait déjà envie. Un mélange entre la transpiration et le déodorant bon marché. J’en profite aussi pour mater les mecs, certains sont timides, mais d’autres sont beaucoup plus à l’aise et se baladent à poil entre le vestiaire et la douche. D’autres s’admirent, ou se prennent en photo avec juste une serviette autour de la taille devant les miroirs, bref il y a de tout.
J’arrive, il y a 3 autres mecs dans le vestiaire et un sous la douche que l’on entend couler. Je les observe rapidement, les 3 que j’aperçois sont jeunes, semblent bien se connaître puisqu’ils discutent entre eux, et sont déjà entrain de se rhabiller. Aucun ne me fait particulièrement envie, je me place donc un peu plus loin sur le banc, à côté des affaires du mec qui est sous la douche.
Je m’assois un peu pour reprendre mon souffle, j’enlève mes chaussures, je kiffe sentir l’odeur de la chaleur de mes pieds après une bonne séance. Dans la foulée, j’enlève mes chaussettes et mon t-shirt. À ce moment la, les trois autres gars s’en vont. Il quitte le vestiaire, leurs bavardages s’éloignent, on entend plus que la douche couler. Je suis seul dans le vestiaire, l’autre mec est toujours à la douche.
J’en profite pour me caresser, je passe la main sur mon corps humide, je descends jusqu’à mon short, je glisse la main. Je commence à me caresser la queue, pendant quelques secondes, je continue mon chemin, j’arrive au niveau de mes couilles, elles sont chaudes et encore humides par l’effort. Je les attrape et les serre fort. Avec l’autre je caresse mon torse. Je sens mon érection monter. J’ai les couilles pleines et je suis hyper excité par le fait de faire ça dans un lieu public et de pouvoir me faire choper à tout moment. Mon visage est chaud d’excitation, je m’apprête à sortir ma queue pour me branler quand j’entends la douche arrêter de couler.
Je mets immédiatement fin à mes caresses, et essayer de cacher mon érection. Même pas le temps de reprendre mes esprits, un gars sort de la douche, complètement à poil :
Le mec est un putain de BG, je l’avais déjà repéré, mais ça faisait un petit moment que je ne le voyais plus. Un beau rebeu d’1,80m, brun, peau matte, des abdos finement dessinés, et surtout un cul musclé et bombé à en faire pâlir les stars de téléréalité…
Il est entrain de se sécher les cheveux en même temps qu’il commence à marcher vers moi. Je n’ai pas l’impression qu’il m’ait vu, il continue de s’approcher, secoue sa serviette une dernière fois dans ses cheveux longs, relève la tête, et d’un mouvement de surprise rapide et gêné, place devant sa taille pour cacher ses attributs :
- « Oh merde, désole, je pensais eu j’étais seul et que les 3 autres gars étaient partis » dit-il gêné.
- « Oh t’inquiète, on est dans les vestiaires après tout, on est entre mec, t’as le droit de te balader la queue à l’air » lui répondis-je avec un clin d’œil.
Il me sourit et se place à côté de moi, face à ses affaires. Je suis toujours assis sur le banc, lui debout à quelques centimètres de moi. Je vois les gouttes d’eau perler le long son corps de ses pecs, le long de ses abdos pour arriver à sa taille, la ou il avait placé la serviette.
- « T’as raison, mais je m’attendais pas à te voir ici, je pensais être seul, je voulais pas t’imposer la vision de mon corps à poil comme ça » dit-il en rigolant.
En même temps, il retire la serviette de sa taille pour commencer à s’essuyer.
Je découvre alors, une belle bite circoncise surmontée d’une touffe de poils noirs et d’un chemin de poils qui lui remonte au nombril. Il a l’air d’avoir de grosses couilles bien remplies lui aussi. J’ai du mal à défaire mon regard de ce spectacle. Il se frotte le visage avec la serviette pour se sécher, il ne voit donc pas que je suis bouche bée, à quelques centimètres de sa queue entrain de la contempler.
Je reprends mes esprits et ajoute :
- « Un corps comme le tien ça fait toujours plaisir à voir ». Sur le coup je sais pas ce qui me passe par la tête de dire un truc aussi con que ça, mais visible ça passe, il rajoute :
- « Merci haha, ça faisait un moment que j’étais pas venu à la salle parce que je me suis séparé de ma meuf donc j’avais pas trop la motivation… »
- « Ah merde désolé, oui je me disais bien je te voyais plus… »
Il pose sa serviette sur ses affaires, il est désormais complètement nu face à moi, toujours debout, moi assis, il tend la main.
- « Moi c’est Ilyas »
- « Max, enchanté »
On se serre la main, il a une poignée forte. Il est clairement sûr de lui…
Après notre poignée il prend un boxer dans ses affaires propres et fait quelques pas vers le miroir qui est face à nous, il est donc dos face à moi mais je peux voir son corps de face dans le reflet du miroir, il s’admire quelques secondes
- « J’en profite tant qu'il n’y a personne » dit-il
- « T’as raison, fais » répondis-je, toujours assis sur mon banc et bien content de pouvoir mater le spectacle
Tout en se caressant les abdos face au miroir, il ajoute
- « Purée j’ai perdu avec toutes ces conneries de séparation »
- « Arrête, t’es hyper gaulé »
Sans prévenir, il se retourne, s’approche de moi d’un pas décidé prend ma main :
- « Regarde par toi-même, touches ! Avant c’était du béton, maintenant on sent que j’ai perdu des abdos »
Je n’en reviens pas, j’ai m’a main posé sur son corps nu, à quelques centimètres de son pubis. Je ne peux m’empêcher de regarder sa queue, littéralement face à moi.
Cet instant qui me paraît tout droit sorti d’un rêve me laisse sans voix, je lève les yeux et croise son regard :
- « Je heuuu… Moi je te trouve bien comme ça »
Je retire ma main et essaye de reprendre mes émotions. Ilyas se rapproche à nouveau du miroir pour s’admirer. Rapidement je me lève, je suis toujours en short, j’en ai presque oublié mon plug tellement la situation est improbable…
Je tourne le dos à Ilyas pour chercher mon gel douche dans mon sac, et dans la foulée, je retire mon short pour me diriger vers la douche. En baissant mon short, je me penche, laissant clairement apparaître mon plug…
- « Mec, t’as quoi dans le cul ? »
Je me décompose intérieurement… Je me redresse et lui réponds :
- « Euh rien du tout pourquoi ? »
- « Bah si, j’ai vu un truc briller quand tu t’es penché »
- « Quoi ? Tu dois avoir mal vu »
Ilyas s’approche de moi un grand sourire aux lèvres
- « Penche-toi et montre-moi ton trou alors, si t’as rien à cacher »
Il est face à moi, un combat de regard se lance, il me fixe, je le fixe… Il est un peu plus grand que moi. Ses yeux ployants vers les miens. La scène dure quelques secondes
- « Bon très bien, c’est mon plug anal, t’as bien vu »
- « Ahhhhh ! Je savais que t’étais une petite chienne »
Je lâche un rire nerveux, je suis tout autant surpris qu’excité par sa réaction…
- « Il est gros comment ? »
- « Euh je sais pas t’aille standard je dirai ! »
- « Tu me le montres ? »
- « Je sais pas je suis un peu gén… »
- « Allez, fais pas ta tapette, la salle va bientôt fermer et il n’y a plus que nous deux ! »
- « Ok, si t’insiste »
Ilyas, la serviette autour de la taille, s’installe sur le banc. Il est face à moi, les jambes bien écartées. Il ouvre sa serviette, sa bite repose sur sa paire de couilles, qui elles pendant à moitié dans le vide, à moitié posées sur la serviette.
Je suis face à lui, nu comme un ver. Il pointe le sol du doigt :
- « J’ai envie de m’amuser un peu mec, fous-toi à 4 pattes et expulse ce truc de ta chatte »
La situation m’excite de ouf ! Ma bite commence à durcir, je tente de cacher ma demi-molle en plaçant mes mains devant. Ni une ni deux, je m’exécute, je me place dos à lui et m’agenouille. Je place mes deux mains un peu plus loin devant moi et commence à me cambrer pour lui offrir mon cul. Je tourne la tête, Ilyas ne quitte pas mon cul du regard, je décide d’en jouer : je le remue, je cambre, je contracte mon trou pour faire bouger le plug. Visiblement ça lui fait de l’effet je vois sa bite commencer à durcir.
- « Tu veux me le retirer pour voir s’il est gros ? »
Ilyas ne dit rien, il pose un genou à terre, puis l’autre. Il place une main sur mon cul, puis l’autre. Il joue avec mes fesses, les écarte, les malaxe. En même temps je contracte mon anus pour faire bouger le plug, Ilyas semble fasciner du spectacle.
- « Je peux ? » demanda-t-il, la voix presque tremblotante
Je ne répondis rien et cambra un peu plus pour lui faire comprendre ma décision.
Sans attendre, il saisit l’embout diamant de mon plug, le tourna délicatement dans un premier temps, avant de le retirer lentement.
La sensation est extraordinaire, je lâche un petit gémissement en même temps…
- « T’avais ça toute la journée dans ton cul ? »
- « Ouais, ça m’entraîne pour prendre des grosses queues »
- « Comme la mienne ? » demanda-t-il
Toujours à 4 pattes devant lui, je tourne la tête et vous mon étalon en full érection, la bite dure comme un roc. Elle devait bien faire 18 cm et bien épaisse, comme je les aime.
Je n’ai même pas le temps de dire quelque chose qu’il crache un bon coup sur mon trou encore dilaté avant d’y coller son gland.
- « Tu la veux ? »
Il frotte légèrement son gland sur mon trou pour y étaler son crachat
- « Oui ! »
- « Quoi ? J’ai pas entendu petite salope »
- « Oui Ilyas, je veux ta queue »
- « Je préfère ça, mais à partir de maintenant t’es ma chienne, ça sera maître Ilyas »
- « Oui maître Ilyas, défoncez-moi »
Ces mots dits, il enfonce d’un coup sec ses 18 cm en moi. Je crie de surprise et de douleur avant qu’il ne vienne mettre sa main sur ma bouche et relève ma tête pour l’approcher de la sienne.
Je sens sa queue au fond de moi, sa respiration dans mon cou. Il reste immobile quelques secondes avant de commencer de doux vas et vient.
- « Voilà, regarde comme tu kiffes ça petite chienne »
Accélère le rythme tout en gardant sa main sur ma bouche et en m’embrassant le cou.
Sa main étouffe mes gémissements.
- « Tu couines comme une petite pute hein ! Tu kiffes ça le bon zob dans ta chatte ? »
Ses coups de reins s’accélèrent de plus en plus, ses lèvres remontent vers mon oreille, il commence à l’embrasser, puis à la mordiller.
Il me lime depuis quelques minutes maintenant, le plaisir est tellement intense que je jouis sans même me toucher. 4 gros jets de sperme sortent de ma queue plus dure que jamais pour atterrir sur le sol du vestiaire.
Ilyas enlève sa main de ma bouche, la lâche un râle de plaisir, mon anus se contracte en même temps que je jouis. Il me susurre à l’oreille :
- « Je vais te remplir la chatte de mon foutre bien chaud »
Je sens mon anus encore serré autour de sa queue, il donne 4 derniers coups de reins secs, d’une violence inouïe qui résonnent dans tout le vestiaire. Je sens alors un liquide chaud m’envahir au plus profond de moi, la sensation est incroyable. Ilyas lâche un gros râle de plaisir, et retombe, essoufflé sur moi.
Il reste allongé sur mon dos quelques instants, sa bite en moi, puis se retire.
Sa queue est humide pleine de sperme.
- « Redresse-toi et nettoie-moi ça »
Je m’exécute, il est debout, face à moi, je suis à genoux devant sa queue. Sans les mains je la prends d’un coup dans ma bouche. Je m’applique et passe avec ma langue sur tous les recoins de sa verge en insistant bien sur son gland. Son sperme est salé, je me régale. Je termine par se couilles que je lèche et gobe abondamment.
Une fois terminé, il reprend sa serviette et s’essuie. Je reste à genoux quelques instants pour me remettre de mes émotions. Pendant ce temps Ilyas se rhabille, il reprend son sac, se tourne une dernière fois et me dit :
- « Je viens tous les mardis, jeudi et samedi à la même heure. » puis quitte le vestiaire sans un mot.
Je me relève et file à la douche, je me rhabille, enfile mes affaires, ferme mon sac et quitte le vestiaire.
En montant les escaliers, je sens le sperme d’Ilyas encore chaud couler.
Je passe devant l’accueil, visiblement je suis le denier de la salle, il est presque 22h.
Le réceptionniste me regarde avec un grand sourire :
- « Vous êtes le denier, vous êtes resté un sacré temps au vestiaire. »
Au fond de moi je suis mort de honte, je me demande s’il nous a entendus, ou même surpris sans que nous ne le remarquions ?
- « Oui merci d’avoir attendu »
« Pas de soucis, j’ai l’habitude avec Ilyas »
Sa remarque m’intrigue, me je ne relève pas.
On se souhaite mutuellement la bonne soirée et je rentre chez moi.
Histoire à suivre… ?
Oldyano
oldyano67@gmail.com
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