Bonjour, ça fait un petit moment que je n'ai pas publié,
Je me présente, je m’appelle Max, j’ai 22 ans, je suis étudiant en architecture et je vais vous raconter une histoire qui m’es arrivée la semaine dernière.
J’avais un gros projet à rendre, donc je limitais au maximum les sortis et j’essayai de me concentrer sur mes travaux. Je suis souvent du genre à sortir, flâner, et me balader dans les rues de Paris dès que je sors faire la moindre course.
Ça faisait un petit moment que je n’étais pas allé au supermarché, et pour ne pas me distraire je décide de faire une commande en livraison. C’est un peu plus cher, mais je me dit que ça me prendra moins de temps et que je n’aurai pas la tentation d’acheter des trucs inutiles.
Je passe commande sur le site de mon supermarché, livraison prévue pour le soir 19h. La journée passe… Je reste enfermé dans mon petit studio étudiant, et travaille sur mes maquettes à rendre pour le lendemain.
La nuit tombe, je regarde l’heure, 19h35, aucune nouvelle de mes courses. Je vérifie le mail de commande et je me rend compte que c’est en fait un créneau de deux heures 19h-21h.
Je commence à avoir faim, mais je prend mon mal en patience, de toute façon je n’ai plus rien dans le frigo. J’en profite pour continuer mon travail.
Arrive 20h45 et on sonne à la porte. Je vois dans l’interphone deux jeunes :
- « Oui, bonjour ? »
- « Bonjour on a une livraison de course à domiciles. »
- « Oui parfait, je vous ouvre, c’est au 7e, y a un ascenseur ! »
- « Ça marche. »
- « À tout de suite ! »
Je me réjouis d’enfin recevoir ma commande, je décide d’enfiler rapidement un jogging, car j’étais en boxer - t-shirt toute la journée. À peine de le temps de m’habiller, que les deux jeunes sonnent à ma porte.
J’ouvre la porte et je tombe nez à nez face à deux rebeux en survet’, la vingtaine je dirai.
Ils ont l’air assez décontractés et rigolent ensemble :
Le premier (Yassir) est grand, environ 1,80m, la peau mate, les yeux bruns, le cheveux noirs courts, plaqués sur le côté au gel. Il portait un survêtement noir Puma et des TN rouges au pieds. Il avait un chewing-gum en bouche qu’il mâchait assez grossièrement. Il paraissait sûr de lui, ça le rendait encore plus sexy !
Le deuxième (Younès) était un peu plus petit, 1,73m je dirai, les cheveux bruns, mi-longs et bouclés, lui portait également un survêtement de foot avec un hoodie gris Nike. Il avait un beau sourire, des lèvres plutôt pulpeuses il était menu, mais très mignons également.
Le deux étaient imberbes et semblaient avoir mon âge.
Évidement en ouvrant, un tas de scénario me passent par la tête. Avec tous les projets en cours, ça fait un petit moment que j’ai pas vue une queue, et je dirai pas non à une petite pause dans mon taff.
- « Bonjour ! Décidément je ne vous attendais plus » dis-je pour briser la glace.
Les deux se regardent, ne disent rien, je sens que cette blague ne passe pas trop…
- « Ouais, t’es notre dernière livraison de la journée, on et KO, heureusement y’a un ascenseur dans ton immeuble » Rétorqua Yassir.
- « Ah, oui je comprend, je peux vous proposer quelque chose à boire ? » Dis-je poliment.
- « Ça sera pas de refus ! » Répond Younès.
J’ouvre la porte plus grand, les deux prennent mes 5 sacs de courses (dans les commandes en livraison ils n’ont pas la main morte sur le nombre de sacs) et passent devant moi pour entrer.
En passant, les deux me frôlent l’un après l’autre, je peux sentir leurs parfums de mâle, une odeur de mec hétéro, genre déodorant Axe.
Ils entrent et posent les sacs par terre. Yassir remarque un énorme paquet de céréales et dit en rigolant :
- « Très bon choix, c’est mes préférés »
Younès rigole, les deux semblent plutôt sympa et à l’aise.
- « Qu’est-ce que je vous serre à boire les gars ? »
- « Je serai pas contre un petite bière si t’as » demande Yassir.
- « Ah j’en ai plus, mais normalement j’en ai dans mes courses »
- « T’inquiète on veut pas te déranger au pire un verre d’eau ça fera l’affaire » reprend Younès.
Je commence à ranger mes courses et je rajoute :
- « Regardez dans les sacs il doit y avoir des canettes de bières, bon elle seront pas très fraîches »
Yassir se penche, fouille dans un des sacs à ses pieds, il ne trouve rien, regarde dans un deuxième. J’ai le dos tourner, mais soudain je l’entend ricaner et dire à Younès
- « Téma ça mon reuf »
Je me retourne, je vois Yassir accroupi devant mes sacs de courses une main encore dans le sac, l’autre tenant un objet que j’ai du mal à discerner. Il se lève s’approche de moi, et là, la honte de ma vie : me tend un tube de lubrifiant que j’avais commandé.
Je rougis, je prend le tube que Yassir me tend, il rajoute en ricanant :
- « Tiens mon frérot, t’inquiète, moi aussi j’ai une grosse queue donc je prend du lubrifiant pour baiser des meufs » dit-il avec un petit clin d’œil.
Yassir est face à moi, il est légèrement plus grand que moi donc je lève les yeux, le regarde et bégaye légèrement :
- « Haha je heu.. »
Younès derrière lui, ouvre deux canettes, les poses sur la table et intervient :
- « Gars, arrêtes de dire des conneries et vient prendre ta bière, on est encore au taff la ! »
Yassir regarde sa montre et répond :
- « Dernière livraison effectuée, pour moi je suis plus au taff, je suis chez un pote » dit-il en me donnant une tape sur l’épaule, toujours avec mon tube de lubrifiant dans les mains, mitigé entre honte et excitation…
Je rigole, gêné, et décide de d’y aller franco :
- « À vrai dire, je suis pas trop comme ça, c’est plus quand des mecs viennent me défoncer que j’utilise ce lubrifiant » dis-je en rendant un clin d’œil à Yassir.
Les deux éclatent de rire :
- « Tu vois frérot, je te l’avais dit ! » jubilât Yassir
- « Quoi de quoi vous parlez ? » demandais-je
- « Quand tu nous as ouvert à l’interphone, on a parié dans l’ascenseur que t’étais PD » répond Younès.
- « Ah c’est pour ça que vous rigoliez quand je vous ai ouvert ? »
- « Ouais mais tranquille, on a rien contre les PD t’inquiète » repris Yassir.
Je suis un peu inquiet de la tournure que prennent les évènements, et je me dit que je n’aurai pas dû être aussi cru.
Les deux finissent de ricaner et trinquent leurs bières. Je les regarde se désaltérer, un peu en retrait de mon côté.
- « On peut s’asseoir ? » demande Younès
- « Oui oui allez-y »
Les deux s’installent à ma petite table en face de ma kitchenette, pendant que je continue de ranger les courses. Je les entend marmonner, mais je ne prête pas forcement attention, j’ai juste envie que ce moment termine et que les deux se barrent.
Soudain, venu de nul part, Yassir me sort :
- « Du coup le lubrifiant tu le prend parce que t’aimes te faire baiser par des grosses queues ? »
Younès ricane, un peu gêné.
Bien que déplacée je pense que sa question révèle surtout un manque de connaissance quant au sexe gay, du coup je décide de lui répondre franchement :
- « Bah tu sais, le sexe gay c’est pas comme chez vous les hétéros, c’est plus compliqué, même si la bite est pas si grosse… »
- « Ah ouais donc t’aime pas les grosses queues ? » demande Yassir innocemment
- « J’ai pas dit ça ! Ça dépend ce qu’on entend par grosse ? » répondais-je
- « Je sais pas moi, la mienne elle fait 21cm t’en dit quoi ? »
Younès rigole :
- « Haha t’es un putain de mytho mon gars »
- « La vie d’ma mère ta gueule toi »
J’interviens et répond :
- « Bah c’est sur que 21cm c’est pas mal, après faut que ça soit vrai hein » dis-je en lâchant un clin d’oeil.
- « Mas vas-y les gay pourquoi vous aimez la bite c’est chelou aussi ? » demande Younès.
- « Bah toi pourquoi t’aimes la chatte ? » demandais-je.
- « Bah je sais pas c’est normal en vrai, mais une bite c’est moche » répond Younès.
- « Non, c’est pas moche, mais c’est un tout, y a pas que la taille qui compte » dis-je en rigolant face à ces deux mecs bien clichés.
- « Ouais y a le gout et l’odeur » répond Yassir.
- « Haha en vrai ça joue aussi » répondis-je.
- « Tu kiffe l’odeur de la teub ? » demande Yassir en se mettant la main sur le paquet.
La tournure de la situation commence à m’exciter, je sent ma bite commencer à gonfler dans mon boxer, je répond :
- « Bah ouais, mais c’est un tout je t’ai dit »
- « Ah ouais, et le gout de la teub tu kiffes ? Ça a quel gout ? » demande Younès
- « Bah je sais pas ça dépend des bites et du mec, t’as jamais gouté ton sperme ? »
Le deux tirent une grimace :
- « Beerkk mais t’es fou ou quoi ? »
- « Bah je sais pas, tu kiffes bien quand une meuf avale ton foutre ? » lui dis-je.
- « Ouais mais c’est une meuf » me répondit-il.
- « Mdr ça veut rien dire ça, tu devrais gouter pour savoir ce que tu imposes aux meufs que tu baises ! »
- « Ouais nan merci ça me dégoute » rétorqua-t-il.
- « Et toi t’avale ? » me demanda Yassir.
- « Mdr c’est un peu indiscret comme question ! »
- « Vas-y, c’est bon répond, ça m’intéresse ! »
- « Ça t’intéresse ? Hmmm …. Oui en général j’avale »
Je vois du coin de l’œil Younès se remettre je paquet en place, je me demande si ça ne lui ferai pas de l’effet ?
- « De toute façon les gays vous sucez mieux de ce que les meufs j’ai entendu dire ? » s’interrogea Yassir.
- « C’est pas impossible, en général on sait ce que les mecs kiffent donc ça aide »
- « Ah ouais genre on kiffe quoi ? » demande Yassir.
- « En général les mecs aiment bien qu’on les vénèrent, ils aiment se sentir dominants et puissants »
- « Ouais nan mais ce qu’ils kiffent que tu leur fait » repris-t-il.
- « Ah, des trucs classiques, genre jouer avec leur gland, bien leur bouffer les couilles et leur faire des gorges profondes »
Je vois à travers le survet de mes deux lascars une bosse se former, je crois que la discussion leur fait bien de l’effet.
- « Ouais moi je kiffe qu’on me bouffe les couilles, mais pour le gorges profondes, le meufs ont du mal » continua Yassir
- « Fermes ta gueule frérot, tu vas nous faire croire que t’as une giga teub comme ça ? » se moquait Younès.
- « La vie de moi, tu veux la voir peut-être ? »
Je repris la conversation en disant :
- « Bah vas-y petit malin, que je te donne mon avis ! »
- « Oasis vas-y, on vas voir ce que dit l’expert en queue » répondit Yassir avant de se lever.
D’un coup, Yassir se met debout il est presque face à moi. Younès est toujours assis à coté de lui.
Yassir baisse son survet, il ne portait visiblement pas de boxer. S’en échappe un monstre ! Un bite longue, il n’avais pas menti sur les 21 cm, circoncise avec deux veines qui la traversent en longueur. Il a un début d’érection. Sa longue queue repose sur une grosse paire de couilles étonnement lisses et surplombée d’une toison de poils noirs frisés.
Je regarde le spectacle, j’en ai l’eau à la bouche, j’ai du mal à décoller mes yeux de son engin, Younès lâche un « Pas mal frérot » en rigolant.
- « Alors t’en pense quoi ? Elle te plait ma queue ? » demande Yassir
- « Je heuhh… »
- « Après, il t’as dit c’est un tout » rajouta Younès en rigolant.
- « Nan déjà visuellement elle est immense et très belle » répondis-je.
- « Et encore, faut voir si elle remplit les autre critères comme dit Younès »
Il sous pèse sa bite dans sa main, j’admire le spectacle. Il lève un peu son t-shirt, j’aperçois son torse, il est mince avec de légers abdos dessinés et une ligne de poils menant du pubis au nombril.
C’est trop pour moi, j’ai qu’une envie : m’agenouiller devant lui et commencer à sucer ce monstre.
Je suis perdu dans mes pensées, Yassir prend sa bite de la main droite et la tape à plusieurs reprises dans la main gauche. Le bruit est lourd, son chibre pourrait littéralement assommer quelqu’un. Sa bite commence à durcir, le spectacle dure une quinzaine de secondes, personne ne dit rien, je ne fait même plus attention à Younès sur le côté.
Yassir saisi sa queue, la soulève pour la plaquer contre son ventre, et, de la main gauche, vient se malaxer les couilles. Tout en faisant ça, il lève ses yeux, son regard me fixe et il dit :
- « Viens sniffer l’odeur de mâle »
Je suis bouche baie, je ne sais pas quoi faire, mon cœur palpite, je regarde Younès, il me sourit de manière taquine avec son sourire ravageur, je décide donc de m’exécuter sans broncher, de toute façon j’en rêve d’envie :
Je m’avance d’un pas, je m’agenouille devant lui. Je lève les yeux, il baisse sa tête, nos regards se croisent, il hoche la tête comme pour m’ordonner de commencer mon travail. Je baisse totalement son survêtement, je m’approche lentement de sa queue. Plus mon visage s’approche, plus je sens la chaleur de sa bite chaude s'émaner vers moi. Sans les mains, je colle son gland sur mes lèvres fermées et prend une grand inspiration par les narines, son odeur de mâle m’enivre. Je prend plusieurs respirations avant de continuer mon chemin : je glisse mon nez le long de sa verge pour en renifler chaque centimètre, je suis ses deux grosses veines qui deviennent de plus en plus apparentes, j’avance et m’approche de sa toison. Je niche mon nez dans ses poils et prend une grande inspiration. Je relève les yeux en même temps. Son regard me fixe, il a un petit sourire en coin. Il m’attrape la tête de la main gauche et saisi sa queue de la main droite. Il appui ma tête contre son pubis. Ses poils me chatouilles les narines et son odeur, un mélange entre une légère transpiration et de l’urine me fait vibrer…
Il relâche ma tête, je m’écarte légèrement, avec sa main il soulève sa queue dévoilant face à mois ses deux belles couilles pendantes, imberbes et lisses.
- « Tu kiffes l’odeur de ma queue hein, viens sentir mes bonnes grosses couilles »
Il reprend ma tête et me plaque le nez contre ses couilles. Elle envahissent presque tout mon visage, je sens sa chaleur et l’humidité de sa transpiration. Je prend une grande inspiration et commence à sniffer ses bonnes couilles de rebeu.
Je fais ça pendant plusieurs secondes, je sens que la respiration de Yassir s’accélère, j’en déduis qu’il kiffe ça. Du coin de l’œil de check Younès, il et toujours assis et regarde le spectacle sans broncher, mais en se tripotant le paquet tout de même…
Yassir m’attraper les cheveux redresse ma tête pour que mon regards croise le sien et me dit :
- « Alors, ma queue ? Tu la kiffes ? »
- « Elle est exceptionnelle ! »
Il rigole et rajoute : « Vas y tu vas me dire si elle a bon gout maintenant »
Il prend sa bite dans la main et me tapoter a 5 reprise son gland sur mes lèvres, j’ouvre la bouche tout en le regardant dans les yeux. Sans les mains, j’introduis son gland et commencer à le téter, nos regards ne se lâchaient plus. Dès les premières succions un grand sourire se dessine sur son visage. Il lève la tête au ciel et pousse ma tête pour enfoncer sa queue. Je manque de m’étouffer mais je réussi ! Mon nez touche littéralement ses poils pubiens et et je sent son gland au plus profond de ma gorge. Il me maintien comme ça 5 bonnes secondes avant de me relâcher. J’expulse sa bite de ma gorge, un filet de bave tombe sur le sol et je souffle fort pour rendre ma respiration. Même pas remis de mes émotions qu’il colle à nouveau ma tête contre ses couilles. Pour le coup, je n’y vais pas de main morte, je lui lèche et je lui gobe l’une après l’autre. Ses couilles sont pendantes et luisantes de bave. Je remonte doucement avec ma langue le long de sa verge pour finir par embrasser son gland.
Je m’arrête un instant, Yassir et moi tournons nos regards vers Younès qui ne perdait pas une miette du spectacle.
- « Viens la mon pote, je veux pas être le seule à en profiter »
Younès se lève, se met face à moi, le gars bande dur ! On voit clairement sa bite à travers son survêtement. Son bulge est à ma hauteur, Yassir pousse ma tête contre son pantalon. Je hume son odeur de mâle à travers son survêtement et commence à lécher abondamment. En quelques secondes il est trempé. Younès sors les mains de ses poches et baisse d’un coup sec son pantalon (lui non plus ne portait pas de boxer). Sa bite surgit littéralement et vient taper contre mon visage. Il mouillait déjà, si bien qu’un filet de precum coulait le long de son gland. Une belle queue : 18 cm, un peu plus épaisse que Yassir, des couilles et un pubis poilu.
Je ne résistes pas et prend la bite de Younès en bouche, son precum donna un petit goût salé, il gémit. Je fais plusieurs vas et viens avant de descendre m’occuper de ses couilles, son odeur était plus forte, mais tout aussi enivrante. Je suis aussi anges. Je suis littéralement à genoux face à deux rebeux montés comme des chevaux qui s’apprêtent à me défoncer…
Je m’arrête de sucer Younes, je prend les queues de mes deux rebeux dans chacune de mes mains et commence à les branler en les regardant dans les yeux. Les deux ont un grand sourire. Yassir, les mains dans le dos, penche la tête vers le bas, crache un filet de bave qui atterrie précisément sur sa queue pour la lubrifier. Je souris…
- « Alors salope, qui a la meilleur queue ? » demande Yassir.
- « C’est pas une compet’ les gars, j’ai assez de compétence pour m’occuper de vous deux en même temps »
Les deux se regardent, échange un sourire et retirent l’un après l’autre leur haut.
Ils sont tous les deux nus face à mois, les survêtements retombés sur leurs TN. Il se rapprochent pour être côte à cote, bras dessus bras dessous. Je comprend très vite ou il veulent en venir et tente de prendre les deux bites de mes mâles en bouche. J’essaye, mais je n’arrive pas à aller bien loin. Je les suce donc à tour de rôle l’un après l’autre pendant plusieurs minutes. Je m’applique bien sur le gland, lèche le long de leurs manches et leur bouffes les couilles bien comme il faut pour leur montrer que les gays sont bien les meilleurs en pipes.
Je relèves les yeux, les deux ne me lâchent pas du regard, ils apprécient le spectacle bras dessus dessous. Je m’arrête et leur dit :
- « Embrassez vous »
- « T’es taré toi, on est pas des PD » répond Yassir
- « Ouais non je suis pas chaud » ajoute Younès.
- « Ouais c’est toi la petite salope qui doit nous servir » reprend Yassir.
Ok le ton monte, je kiffe ça et répond :
- « Ok maître »
- « T’as dit quoi la ? » demande Yassir, Younès rigole en même temps
- « Ok maître »
Yassir éclate de rire avant de rajouter « Ok j’étais pas sûr d’avoir entendu ça petite salope. À partir de maintenant tu vas faire ce qu’on te dit ! Ouvre la bouche »
Je m’exécute, Yassir se penche et crache un gros mollard dans ma bouche. Je garde la bouche ouverte et il rajoute :
- « À ton tour poto »
Younès s’exécute, il se penche et fait comme le premier.
- « Avale maintenant salope, ça t’apprendra à nous demander de faire des trucs de PD » ajoute Younès.
Les deux prennent en confiance et deviennent dominant, ça m’excite beaucoup, mon érection se voit à des kilomètres et je commencer à mouiller sévèrement.
Le deux me soulèvent par les aisselles, me jettent sur le lit. Younès commence à me déshabiller et fini par déchirer mon boxer, tandis que Yassir me biffle avec sa queue pleine de bave. Je me retourne pour me mettre à 4 pattes Yassir enfonce sa queue au fond de ma gorge avant de rajouter en ricaner à son pote :
- « J’ai mis le lubrifiant sur la table »
Younès se lève pour le chercher, j’ai toujours la bite de mon premier rebeu en bouche, je m’applique, mais je sens que les prochaines minutes vont être intenses pour moi. Younès prend une bonne dose de lubrifiant qu’il applique sur mon trou, la sensation fraîche me donne un frisson avant de sentir son doigt pénétrer en moi. Je commence à gémir, très vite il insère un deuxième. Il fait des mouvement rapides avec ses doigts comme s’il doigtait un chatte…
Je continues de sucer Yassir, j’accélère le mouvement des vas et viens je sens son corps se contracter. Au même moment, Younès colle son gland sur mon trou. Je tourne la tête pour le regarder et dit :
- « Doucement s’il te plait »
Il regarde Yassir, ce dernier hoche la tête avec un grand sourire suite à quoi Younès enfonce sa queue d’un coup sec en moi. La douleur projète ma tête contre le torse de Yassir, je tiens sa bite en main, il me caresse la tête et j’encaisse les coup de Younes en même temps. Je gémis, je lâche quelques petit râles de douleur, lui, de plaisir…
Son bassin claque contre mon cul, les mouvement sont soutenues, il est littéralement entrain de me limer le cul.
Yassir m’attrape les cheveux et de son autre main, m’enfonce sa queue dans la bouche. Ses poils de pubis chatouillent mon nez et ses couilles se plaquent sur mon menton. Je suis pris des deux côtés par ces mâles hétéros. Younes et Yassir me liment chacun le cul et la bouche pendant plusieurs minutes, le rythme est rapide, mais j’encaisse. Nos corps en action commencent à transpirer, je vois la transpiration de Yassir commencer à couler sur son torse, Younès me claques des fessées en même temps :
- « Tu kiffes ça petit pute hein ? Le bon zob de rebeu » cria Younès juste avant un râle de plaisir
- « Oui j’adore »
- « Tu kiffes te faire prendre par deux mâles hein ? »
- « Putain ça fait trop du bien de se défouler avec toi après un longue journée de taff mon poto » rajoute Yassir avant de taper dans les mains de son pote presque comme un signe de victoire.
- « Vas-y je lui ai bien écarté la chatte, à ton tour »
Y’assir m’attrape pare le coup et me crache au visage, je suis leur chienne et je kiffe.
- « Tu vas nous vider bien comme il faut après notre journée de taff, on est pas tes putes à te livrer tes courses nous, c’est toi notre pute ! »
Younès se couche sur le lit, je me place la tête être ses jambes et Yassir se place derrière moi. Il ne prend même pas de lubrifiant, il crache dans sa main, étale sur sa queue et enfonce d’un coup ses 21 cm en moi. La surprise me propulse sur Younès, je m’effondre la tête sur ses pectoraux. J’encaisse la queue Yassir en moi. Il n’y va pas de main morte. Une larme coule sur mon visage tellement la douleur est intense au début. Je me serre sur Younès pour encaisse la douleur, il avait les bras derrière la tête laissant entrevoir ses aisselles poilus. Je plonge ma tête dans ses aisselles et commence à lui embrasser. Ses aisselles sont humides et encore chaudes, ça fait un bon quart d’heure que je me fait limer par mes deux mâles et son odeur de transpiration me réconfortait. Je commence à embrasser ses poils, lécher son aisselle et remonter vers son coup pour lui embrasser. Je relève la tête. Je suis tête à tête avec Younes qui est en dessous de moi, nos regards se croise et il me crache au visage avant de me mettre une gifle.
Je lui répond « Merci ». Je descend doucement le long de son torse pour commencer à le sucer. Derrière moi Yassine accélère le rythme, il me met des fesser en murmurants des insultes diverses, parfois en arabe, auxquelles je ne fais plus attention tellement mon plaisir est intense. Je sens ses couilles claquer contre les miennes, mes yeux roulent en arrière de plaisir.
Yassir continue d’accélérer, ses gémissement sont de plus en plus forts quand soudain je sens sa queue se contracter et 5 gros jets de sperme bien chaud me tapisser l’intérieur. Il lâche un gros râle de plaisir avant de retomber sur moi, m’écrasant au passage contre la bite de Younès. Il reste comme ça dix secondes et ajoute :
- « Putain j’ai jamais autant juter, à toi de le remplir Younès, je veux qu’il déborde de foutre ce petit PD »
Younès et Yassir échangent à nouveau leur place. Mon trou est tellement dilaté que Younès s’insère sans problème. Il commence directe. Des vas et viens très rapide, qui claquent presque aussi fort que des applaudissements. Yassir se place fasse à moi, sa longue bite luisante devant ma bouche, elle avait commencé à ramollir mais était toujours aussi imposante :
- « Nettoies salope »
Je prend sa bite en bouche et je m’applique. Je la gobe entièrement, Yassir lâche un râle de plaisir suivi d’un frisson, je sens le gout de son sperme dans ma bouche, je lèche sa queue dans tout les sens pour bien la nettoyer. Pendant ce temps je sens Younès souffler de plus en plus fort.
- « Ça vient… »
- « Vas y mon frérot » dit Yassir fièrement
- « Putain je vais te remplir sale chienne »
- « Oh oui, je veux sentir ton foutre chaud en mois Younè… »
À peine prononcé son prénom que mon mâle lâche un gémissement de plaisir et 3 grosses giclées de sperme en moi.
Je suis épuisé, nous sommes tous les trois à bout de souffle. Younès reste quelques secondes avant de se retirer. Un filet de sperme coule les long de mon cul jusque sur mes couilles pour atterrir sur mes draps. Mon trou est ouvert après avoir été limé comme jamais pendant 45 minutes. Nous sommes tout transpirants, ça sent le mâle.
À son tour, Younès se place devant moi et je m’applique pour lui nettoyer sa bite. Pendant se temps Yassir se rhabille et fini sa bière. Une fois la queue de Younès bien nettoyée, j’embrasse son gland comme un dernier au revoir, il remonte son survêtement, reprend son t-shirt au sol et fini sa bière.
Je suis allongé sur mon lit, rempli de sperme de deux inconnus que je ne connaissait pas il y a une heure.
Les deux s’approche de moi, Yassir passe le doigt entre me fesse pour récupérer leur mélange de sperme, il me l’apporte a la bouche. Sans broncher je suce son doigt et me délecte du sperme de mes deux rebeux.
Il me met une petite claque sur les fesses. Younes fait de même, et les deux s’en vont en claquant la porte derrière eux.
Je ne reviens pas de ce qui s’est passé, je me branle en repensant à cette baise mémorable, je crache mon sperme en à peine trente secondes, je suis tellement excité que les giclées sont puissantes et m’atterrissent sur le visage.
Je reste allongé comme ça pendant 15 minutes, entrain de me demander si tout cela était en rêve ?
Je pense commander mes courses en livraison bien plus souvent !
Oldyano
oldyano67@gmail.com
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