Hello, je m'appelle Max, j'ai 22 ans et je suis étudiant à Paris.
J’ai déménagé récemment dans un petit studio d’une quinzaine de mètres carrés et ça fait maintenant deux semaine que j’attends l’installation de la fibre. Le rdv est fixé pour vendredi matin 8h30. On est début septembre, il fait encore plutôt chaud dehors et la nuit j’ai l’habitude de dormir tout nu.
Je dors paisiblement quand j’entends frapper à ma porte. Un peu sonné par ce brusque réveil, je me lève, la tête dans le cul, j’attrape une serviette que j’avais laissé sécher sur une chaise et je la place devant moi pour me couvrir légèrement. J’entrouvre la porte et je découvre un jeune mec, la vingtaine je dirai, peau matte, cheveux bruns mis long et bouclés. Il a le combo bouc + moustache. Il est plutôt grand et fin. Il est vête d’un bleu de travail complet : chaussures de sécurités, pantalon cargo noir, veston rouge, bref un vrai look d’ouvrier. Je fronce les sourcils avant de me rendre compte que j’avais complètement zappé le rdv d’installation de la fibre. Je reprend mes esprits tout en arrangeant ma serviette et la plaçant correctement autour de ma taille cette fois.
- Bonjour, je suis le techni….
- Oh mon dieu, désolé, j’avais complètement oublié votre venue !
Je lui ouvre la porte, il entre et je referme derrière lui.
- Je vois ça dis donc, vous n’avez même pas pris le temps de vous habiller.
- Oui désolé, excusez moi pour le bordel d’ailleurs.
- Vous inquiétez pas j’ai vu pire.
C’est vrai que la veille j’ai beaucoup réviser donc mes cours envahissent la seule table de ce studio.
Sauf que… j’avais oublié qu’après ma séance de révision je m’étais fait un petit plaisir avec un de mes godes que je n’avais pas pris la peine de ranger, et qui trônait au pied de mon lit, à quelque centimètres de la box internet… Je ne le remarque pas tout de suite.
- Je m’appelle Raphaël.
Il me tend sa main
- Moi c’est Max, on peut se tutoyer si vous voulez, on a quasiment le même âge je pense.
On se sert la main, sa poignée est ferme. Je sens en même temps la serviette autour de ma taille commencer à glisser, je relâche donc sa mon pour la rattraper in extremis ma serviette.
Il sourit et ajoute en souriant :
- Ça marche, tu peux m’indiquer ou est ta box ?
Je me tourne pour pointer la box a côté de mon lit et c’est LÀ que je réalise qu’en plus de pointer la box, nos regards se dirigeaient tous deux sur ce gode, qui est en plus, le plus gros de ma collection. J’étais gourmand hier soir…
Raphael sourit un peu plus, il se mordille les lèvre pour ne pas rire. Il me regarde et dit :
- Ok je vois, rhabilles-toi parce qu'il va falloir qu’on descende à la cave tous les deux après.
Sur ces mots ils s’avance et s’approche de la box. Pendant ce court instant, ses mots me font réfléchir et je reste quelques secondes sans rien dire. Il s’agenouille devant la box, jette un regard en par dessus son épaule, et moi que je ne semble pas saisir sa dernière phrase, il complète :
- À la cave pour faire le raccordement hein !
Je rigole bêtement et attrape un boxer ainsi que quelques vêtements. Le studio ne dispose que d’une pièce, pas d’autre choix de me changer dos à lui. Je me tourne, fais tomber ma serviette et enfile rapidement mon boxer. À ce moment la Raphael me fait dos et moi aussi, il tourne la tête pour me demander :
- T’as mis ou la boite de ta bo…
J’étais à 3 métrés de lui, de dos, les fesses à l’air, cambré pour essayer de mettre mon boxer…
- Ouh pardon, je te laisse te rhabiller.
- T’inquiète, je suis pas pudique !
Il jette un regard sur le gode qui se trouve littéralement à quelques centimètres de lui.
- J’ai cru voir ça !
On rigole tous les deux, avant que je ne lui donne la boite de la box que j’avais rangé dans un placard.
Il retourne à sa vérification, je fini de m’habiller.
- Ok c’est bon, on peut descendre à la cave, j’ai des branchements à faire à après ça sera bon !
- Ok, on peut prendre l’ascenseur.
On se dirige donc vers l’ascenseur, j’habite au 8e étage pendant le trajet, il entame la discussion :
- Du coup tu fais quoi dans la vie ?
- Je suis étudiant et droits.
- Ok ça va ça te plais ?
- Ouais mais c’est beaucoup de révision donc ça prend la tête.
- Je comprend, faut que tu te détendes parfois !
On rigole tous les deux et je dis :
- Si tu fais référence au gode qui trainais je suis désolé, j’ai pas eu le temps de ranger avant ton arrivée…
- T’inquiète, comme je te l’ai dit, j’ai vu pire.
Il laisse deux secondes de blanc, avant d’ajouter :
- Mais j’avoue que celui-ci était un sacré calibre !
Je lève les sourcils de surprise. Il se rattrape :
- Euh pardon je voulais pas t…
- Haha t’inquiète, non c’est juste que oui en effet c’est le plus gros diamètre que j’ai celui-ci, mais j’en avait bien envie hier soir !
Je sens que la discussion commence à devenir intéressante. L’ascenseur arrive enfin au -1. Bizarrement je trouve que l’odeur des caves a quelque chose de réconfortant. On avance la long du couloir, la cave n’est pas très bien éclairée, on on s’arrête devant l’armoire de la fibre, Raphaël l’ouvre et fait quelque manips avec les câbles. Il a l’air concentré donc j’ose pas trop continuer de parler. Après quelques minutes. Il pose son appareil.
- Ok maintenant faut laisser tourner 2/3 minutes le temps que la synchronisation de la ligne se fasse.
- Ça marche !
Un petit silence s’installe, rapidement brisé :
- Mais du coup le gays vous aimez les grosses bites ?
Je rigole et lui répond :
- Bah ça dépend, chacun est différent.
- Ma meuf elle dit que j’ai une trop grosse queue.
- Ah ouais ? Mais du coup vous faites comment pour ken ?
- Bah pour lui baiser la chatte ça va, mais elle a du mal à me sucer et l’anal elle refuse carrément.
- Ah t’as jamais fait d’anal ?
- Non mec, je kifferai trop essayer ! Vous les gays ça doit être top bien.
- Askip c’est pas mal !
- Quoi t’as jamais ken ?
- Si si haha, mais je suis passif donc c’est moi qui me la prend.
- Woahhh mec et ça fait quelle sensation ?
- Le premières fois c’est un peu douloureux, puis avec le temps tu deviens de plus en plus à l’aise et tu kiffes. Moi j’arrive à jouir sans le branler grave à ça !
Notre conversation est coupée par son appareil qui se met à sonner.
- Ah c’est bon, faut juste que je remonte pour m’assurer que c’est bon à la box et j’aurai fini.
On reprend le chemin de mon studio. Raphaël termine ses vérifications sur ma box, j’en profite pour lui servir un café.
On échange quelques banalité, mais je sens que son regard se porte toujours sur mon jouet que j’ai laissé trainé. J’en viens donc à aborder le sujet :
- Ta bite elle est plus grosse que mon gode ?
- Non mec quand même pas.
- Bon bah alors ça va ! Lui dis-je avec un clin d’œil.
- Non mais je suis curieux de te voir rentrer ça dans ton cul !
Je lève les sourcils de surprise.
- Enfin c’est pas ce que je voulais dire, mais je trouve ça immense et…
- Tu sais avec un peu de lubrifiant et d’excitation, tout rentre ! Je te montre si tu veux.
Il regarde sa montre, se gratte la tête de la main droite et dit :
- Bon rapidos, mais je suis pas PD !
- T’inquiète mdr, je te fais la demo, tu regardes juste.
On est tout les deux assis à la petite table de mon studio. Je me lève, m’approche de mon lit et ramasse mon gode. J’ouvre le placard sous mon lit et prend la pompe de lubrifiant. Je continue ensuite par enlever mon t-shirt, je baisse mon short et je me retrouve en boxer face à lui. Je commence à baisser délicatement ce boxer, presque comme un show d’effeuillage. Il ne me quitte pas des yeux. Je le sens s’affaler de plus en plus sur la chaise.
Je suis maintenant nu, face à lui, ce garçon qui, il y’a à peine 20 minutes était encore un inconnu. Je suis à la fois un peu stressé mais aussi très excité par la situation. Je m’approche de mon lit, je me cambre. Pose mes coude près de mon oreiller et me retourne désormais à 4 pattes, les fesses bien orientées vers Raphaël. Je commence par me caresser les fesses, j’évite de croiser son regard dans un premier temps pour ne pas mettre cet ‘hétéro’ mal à l’aise.
Je passe ensuite un doigt sur l’entrée de mon anus que je commence à titiller doucement.
Je tend le bras pour attraper le gode, je met un bonne dose de lubrifiant et commence à le frotter sur mon trou. Je fais des petits mouvements de vas et viens, puis des petites tapes. Enfin, et toujours en douceur, je commence à enfoncer l’objet en moi. À ce moment la, je jette un regard par dessus mon épaule, je vois mon technicien comme envouté, il n’en perd pas une miette. Je continue d’enfoncer de quelques centimètres. Mon souffle s’accélère.
Doucement j’arrive au bout du sextoy, je sens les couilles en silicone frôler les miennes, j’ai l’objet complètement en moi.
À ce moment, Raphaël se redresse sur sa chaise :
- T’as tout dedans là ?
- Oui !
- Putain c’est ouf et ça t’a pas fait mal ?
- Non pas du tout !
- Ma meuf elle gémit de ouf.
- Moi aussi, mais c’est que je fais des mouvement avec, la je l’ai juste insérer pour te montrer.
- Ah ok, en vrai moi je kiffe le gémissements t’sais !
Ni une ni deux, je le prend au pied de la lettre. Je commence à effectuer des mouvements de vas et viens, d’abord lents, puis, je commence à gémir tout doucement. À nouveau je jette un œil par dessus mon épaule, et la je vois qui se tiens le paquet !!
J’accélère petit à petit les mouvement et l’intensité de mes gémissements. Après quelques secondes je demande :
- Ça te plait visiblement !
- Bah mec je sais pas ce qui m’arrive mais ouais je bande la. Je pense c’est tes gémissements qui me font ça !
- Tu veux que j’arrête ?
Il ne dit rien et continue de me fixer. J’arrête les mouvements un instant, je le fixe droit dans les yeux et retire le gode. J’écarte mes fesses et me cambre un peu plus, je sens mon trou complètement dilaté qui s’offre à lui.
- Putain la vache, t’as la chatte grande ouverte ! Dit-il en se serrant un peu plus le paquet à travers son pantalon.
- Tu penses que ta queue rentrerait ?
- Mec, je sais pas c’est dur à dire comme ça.
- Bah sors la et compare !
Je sens son étonnement dans son regard.
- Mec je sais pas, je suis pas hyper à l’aise. Je suis pas PD et en plus j’ai une meuf.
- Ouais mais ce que tu vois te fais de l’effet là ?! Jsuis curieux de voir si ta queue est si grosse que tu le prétend.
- Je sais pas elle fait 18cm je pense mais elle est assez large. J’ai jamais trop mesuré.
Je me redresse attrapé le gode que je viens de sortir et me positionne à genoux face a lui
- Qu’est-ce que tu fous ?
- Tu vois ce que je viens de me rentrer, ça fait 20cm par 6cm de large.
Je suis nu entre ses jambes écartées. Je pose la base du sextoy sur son paquet, ma main frôle sa queue à travers son pantalon. Le gode mime sa queue et j’ajoute :
- Imagine que c’est ta queue la, tu pense que la tienne est plus grande que ça ?
- Je sais pas un peu moins longue mais un peu plus large…
- Hmmm ça doit être un sacré morceau.
J’approche mes lèvres du gland du sextoy, toujours posé sur sa bosse. On se regarde droit dans les yeux, nos regards ne se lâchent pas. Petit à petit je m’approche et fini par embrasser ce gland factice. Il reste bouche bée sans rien dire. Je glisse ma langue le long de cette verge siliconée. Je sens sa queue se durcir de plus en plus.
Je sens le désir dans son regard, il se mort légèrement les lèvres avant de dire en secouant la tête de gauche à droite :
- Mec je vais exploser.
Sur ces mots, je souris, remonte vers le gland et prend d’un coup le gode en bouche, centimètres après centimètres, je sens le silicone glisser le long de ma gorge, le goût encore sale du lubrifiant tapisser mes joues. Je sens son pantalon chatouiller mes narines, j’avais tout le sextoy au fond de ma gorge.
À peine arrivé au bout, Raphaël attrape mes cheveux, relève ma tête ce qui libère un long filet de bave qui retombe sur son pantalon et ajoute :
- Ok ok ok, je vais exploser la. Tu la voulais ? Tu vas t’en occuper !
Ni une, ni deux, il se lève. La bosse dans son bleu de travail est tendue comme un string !
Je suis à genoux, nu face à lui. Il ouvre sa ceinture, déboutonne son pantalon, glisse deux doigts de chaque côté de ses hanche et d’un coup sec baisse son froc, libérant un véritable monstre ! Le coquin de porte pas de sous vêtements. Sa queue rebondie, ses couilles sont énormes et semblent pleines à craquer. Il n’avais pas menti : sa queue est longue, mais surtout très large ! Plus que mon sextoy !
Un long filet de mouille dégouline de son gland non circoncis ! Je passe mon doigt pour la rattraper puis le lèche.
- Ptn mec je vais exploser !
En effet il a l’air bien excité. On distingue clairement une veine le long de sa verge. Celle ci est droite comme un piquet.
Il est complètement imberbe de la queue, son pubis et ses poils sont parfaitement lisses.
- Dis donc ! Sacrée morceau ! T’avais pas menti.
Il sourit
- En plus t’es tout épilé !
- Ouais ma meuf aime pas les poils et ce soir je voulais lui faire la surprise.
- J’imagine que j’y aurai droit avant elle. Dis-je avec un clin d’œil.
Sur ces mots, l’approche mon visage de sa queue. Je lèche d’abord son gland, à moitié recouvert par son prépuce. Le goût de son precum salué chatouillé mes papilles. J’en redemande !
J’ouvre la bouche et décalotte son gland avec les lèvres. Je l’entend gémir ! Doucement j’enfonce sa queue de plus en plus profondément, elle est chaude. Sa queue est si large que j’ai la bouche grande ouverte.
Je commence des mouvements de vas et viens, je sens immédiatement sa respiration s’accélérer et son corps se crisper !
Je commence à ajouter des petits gémissements à mes vas et viens et entame une gorge profonde. Sa queue est si grosse je manque de m’étouffer, il me tiens la tête quelques seconde avant de me libérer. Je bave comme un porc sur sa queue. Je continue mes vas et viens de plus en plus rapide. Ça fait 5 bonnes minutes que je le suce. D’un coup :
- Attend, attends, je vais cracher !
- Tu veux que j’avale ?
- Nan, je veux continuer encore un peu, je veux pas finir maintenant.
Il attrape alors mes cheveux, me relève et me roule une mega pelle bien baveuse. Il fini par me lèche le visage et par me cracher à la gueule.
- Tu suces trop bien !
- Merci ! Ta queue est vraiment immense !
- Tu pense que ça passe dans ton cul du coup ?
- Je pense que ça peut le faire.
- Ptn j’ai tellement envie de te prendre le cul !
Un dernier baiser et il retirer tous ses vêtements. Il s’allonge ensuite sur le lit et me fait signe de m’approcher de sa queue.
Je colle mon visage à sa bite, il la saisi de sa main droite et me biffle à plusieurs reprises manquant presque de m’assommer !
Sa queue est humide de bave, une goûte dégouline le long de sa verge avant de couler le long de ses couilles. J’y passe alors un coup de langue et commence à embrasser celles-ci. Elle sont bien pendant, chaudes et humides : un mélange de transpiration et de bave ! Je les malaxe de la main droite, je les gobe doucement. Je prend un vrai plaisir à astiquer tout ça.
Pendant toute cette pratique je me cambre bien. Je le vois fixer mon cul :
- Je sais que t’en as envie. Dis-je en remuant mes fesses.
- Tourne toi !
Je m’exécute et fait un tour à 180° offrant ainsi mon cul.
- Ptn t’es déjà bien dilaté ça va glisser tout seul !
D’un coup, je sans un gros molard entrée dans mon trou, suivi d’un bon coup de langue tout le long de mon SIF imberbe. Il n’y va pas de main morte, il sait ce qu’il fait et semble kiffer ça ! Il me bouffe littéralement le cul, il respire fort et je commence à gémir.
Son coup de langue est de plus en plus vaste si bien qu’il me lèche les couilles avant de remonter vers mon trou.
- Oh ptn Raphaël c’est trop bon !
- Tu kiffes hein ?
Il se redresse alors et enfonce d’un coup sec sa queue dans mon trou bien préparé.
- Oh puuuuutainnnnn
- Hmm Raphaël !
Il commence alors des mouvements de bas et viens très intenses. Son bassin claque contre mon cul à un rythme soutenu et régulier. Je gémis comme une chienne. Ça le fait kiffer visiblement. Je le sens de plus en plus à l’aise pour un mec pas gay ! Il commence à me mettre des fessées, il m’attrape par le cou et tape au fond de moi de plus en plus fort.
- Cris mon nom !
- Raphaël !
- Plus fort !
- Raphaaaaël !!
Il tombe sur moi. Son ventre se colle à mon dos. Il passe son bras autour de mon cou comme pour m’étrangler, puis colle sa bouche à mon oreille avant de me la lécher puis de murmurer :
- Je vais te remplir, mais avant ça je veux t’entendre gémir à chaque coup de rein !
Je m’exécute ! Il prend presque de l’élan dans ses coups de rein. Ils sont forts, ils sont puissants. Je gémis à chacun deux de plus n plus fort… Je sers mon draps entre mes poings. Les coups de reins s’intensifient il tape ma prostate à plusieurs reprises, je sens que la sauce monte en moi.
- Je vais jouir Raphaël c’est trop bon !
- Moi aussi ! Moi aussi !
Je sens mon corps se crisper, ma verger se contracter et mon anus se serrer. Raphaël donne un dernier coup de rein puis s’immobilise au fond de moi. Ma chatte se serre sur la queue de Raphaël, il lâche une grognement bestial et au même moment, je sens sa queue se contracter et tapisser mon cul de 5 grosses doses de spermes qui semble me remplir entièrement ! Cette chaleur en moi me fait moi aussi cracher. 4 bons jets aidés par les frottements de mon bassin sur mon matelas viennent souiller mes draps.
On respire tous les deux comme des bêtes. Je suis en trans, lui est en nage. Il reste sur moi et en moi pendant quelques secondes puis se relève, sortant ainsi sa monstrueuse queue de mon cul et libérant par la même occasion une bonne quantité de sperme que je sens alors dégouliner le long de mes couilles.
Il se lève, regarde sa montre et me tape sur les fesses :
- Bon je dois te laisser, je suis en retard pour le prochain client. Je te laisse mon numéro si t’as un soucis avec ta fibre !
- Ça marche merci !
- Oublies pas de me laisser 5 étoiles sur l’enquête de satisfaction par mail !
- Je n’y manquerai pas.
Sur ces paroles il se rhabilles, la bite encore à mi-molle. Il ramasse ses affaires. Il ouvre la porte, et avant de partir se retourne une dernière fois, me regarde et dit :
- Si y’avait plus de salope comme toi, mon métier serait bien plus agréable.
Il claque la porte, et le me retrouve seul, nu, gisant sur mon lit, le cul dégoulinant de sperme !
Oldyano
oldyano67@gmail.com
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