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soumission & Domination 243
WE avec Alban-2
Dimanche matin :
Je me réveille encore emmêlé dans les bras de PH et Ernesto.je goûte quelques instants le silence de la chambre et la chaleur de leurs deux corps collés au mien.
Je bande ! Je relève la tête et aperçois nos deux mâles de part et d'autre en train de dormir aussi collés à mes deux amis.
J'ai une furieuse envie de pisser ! J'essaye de sortir du lit sans réveiller personne. Mais à chaque mouvement que je fais, les bras de PH et Ernesto se resserrent plus.
J'ai vraiment trop envie ! Je me tourne vers Ernesto, qui me serre de plus près, et dépose un baiser sur sa bouche. J'insiste et pousse ma langue entre ses lèvres. Dans un demi-sommeil, il entrouvre la bouche et j'y plonge ma langue. Je l'agite et finis par trouver du répondant. Il se réveille. Ma main plonge vers le bas et j'empoigne sa bite elle aussi en pleine forme.
Tous les deux, nous arrivons à glisser hors du lit sans réveiller les autres.
Nous fermons bien la porte de la salle d'eau et prenons notre douche ensemble. Non, nous douchons plutôt l'autre que nous même. Et ce qui devait arriver arriva ! Déjà que nous bandions avant d'entrer sous l'eau, nous nous sommes collés et roulés des pelles. Trop content de nous retrouver, nous sommes vite passés sur le mode sexe. Ernesto a glissé le long de mon corps et, à genoux, est venu sucer ma bite.
J'ai du l'interrompre après quelques instants, les effets de sa langue sur mon gland et de sa gorge m'amenaient trop près de l'explosion. A mon tour j'ai embouché sa queue. J'y suis allé progressivement car ses 24cm ne passent pas sans un peu de " chauffe ". Mais j'ai quand même tout pris dans la gueule, ses couilles posées sur le menton.
Nous repassons par un intermède roulage de pelle. Accrochés l'un à l'autre, nous y mettons beaucoup de passion. C'est Ernesto qui le premier se tourne pour me proposer son cul. Le temps de me kpoter et je me positionne. Un petit coup de rein de mon partenaire me fait le pénétrer. Pour le reste, je le prends par les hanches et le tire vers moi. Je prends mon temps pour bien apprécier le premier enculage. Trop bonne sa rondelle. Il la travaille pour qu'elle reste bien nerveuse et cela se sent alors qu'il s'est bien fait enculer la veille.
Il prend appuis sur les carreaux de la douche pour supporter mes coups de rein.
Avant de jouir, je me retire et l'équipe à son tour. Par contre vu ses dimensions, je me lubrifie le conduit. Quand il enfonce ses 24cm, je le sens bien sans ressentir de douleur. C'est le principal que de se faire plaisir. Je n'ai jamais apprécié d'avoir mal au cul ! Même si je ne suis pas contre un peu/beaucoup de contraintes/domination ou baises musclées.
Je me redresse tout en me cambrant un maximum afin que nous puissions continuer nos roulages de pelles sans qu'il ne cesse de me labourer l'anus.
Il n'en faudra pas beaucoup plus pour que nous explosions de concert, moi sur le carrelage de la douche et lui dans sa kpote, planté bien au fond de mon trou accueillant.
Quand nous sortons de la salle de bain, nous voyons, sur le lit, deux têtes hilares et le fessier musclé de PH en train de pomper ces deux messieurs. Rassasiés, nous laissons faire PH et prenons place auprès de nos mecs respectifs. Nous nous occupons de l'étage supérieur avec des pelles et du léchage de tétons.
A force, nos actions arrivent à leurs buts et nos deux hommes explosent sur PH. Enfin, Hervé jute sur le cou de PH qui avale la production de Marc.
Je vois alors Ernesto se jeter du PH et lécher le sperme qu'Hervé vient de déposer.
J'ai juste le temps de mettre ma main sur le gland de PH pour y recueillir, dans son creux, sa production de sperme. Je m'empresse de le mettre dans ma bouche et de rouler une pelle à son producteur. Nos lèvres se décollent que quand nous sommes sûr d'avoir littéralement avalés le dernier spermatozoïde.
Nous les laissons se laver tous les trois et montons prendre notre petit déjeuner.
A l'étage au dessus, nous retrouvons Samir en cuisine qui nous offre un café en attendant nos désirs. Jimmy est arrivé de notre campagne (où il réside toute l'année) comme souvent le WE. Il y a aussi Alban avec déjà Ric dans ses bras. Ernesto les chambre. Pour toute réponse Ric se tourne et nous les voyons se rouler une pelle vorace.
Sur nos talons, les autres invités nous rejoignent pour le petit déjeuner. Puis arrivent Marc Hervé et PH. Ammed arrive avec un cageot complet de croissants et autres viennoiseries. Pris d'assaut, le plateau se retrouve vide en 10 secondes.
Le reste de la matinée, deux groupes se sont formés. Les sportifs ont envahi le deuxième étage alors que les autres se prélassent dans la piscine de la terrasse.
Ric et Cédric nous ont montré les niveaux de poids qu'ils réussissaient maintenant à soulever. Impressionnant surtout pour Cédric qui est un petit gabarit, il a l'air de se fixer à ses 1m70, mais qui est maintenant une boulle de muscle.
Nous nous répartissons sur les différents appareils et alternons à plusieurs sur certains. Alban colle mon Ric comme une sangsue. Au détour d'une rotation, je surprends ce dernier à demander à Ric s'il voudrait bien lui servir de modèle pour nos cariatides. Je passe entre eux et, levant les bras, je les attrape par leurs cous. J'attire d'abord Ric et lui roule une pelle puis fais de même avec Alban.
Surpris il me demande ce qui lui vaut cela. Je lui réponds que l'idée de prendre Ric comme modèle est trop bonne et que l'idée de l'avoir en jumeaux dans notre séjour m'enchante.
Nous finissons la séance de muscu par un passage dans la piscine après une douche bien nécessaire. En slip ou boxer, nous rejoignons le groupe sur la terrasse. Ils sont étalés sur les chaises longues à se reposer. Notre arrivée rompt le silence qui s'était installé.
Je vais vers Marc lui dire la bonne idée qu'à eu Alban pour nos cariatides. Lui aussi trouve l'idée bonne.
Pierre, qui nous entend, se rapproche et demande confirmation qu'il (Alban) peut extrapoler à partir d'un modèle. Le client auquel il avait pensé ayant un égo surdimensionné, serait surement intéressé par cette option et il pourrait même réussir à lui augmenter le tarif de 50% pour cette raison.
Il en discute avec Alban assez content de ce qui lui arrive depuis mon achat de sa sculpture.
Sous la verrière, le soleil maintient une température propice aux " galipettes ".
A force de resté collé à Alban, Ric lui a remis la gaule et, en garçon bien élevé qui ne veut pas laisser perdre, il s'est vite penché pour mettre cette raideur dans sa bouche.
Alban nous a semblé apprécier la chose et s'est même mis à lui prendre la tête entre ses mains pour maitriser le rythme et la profondeur de chaque pénétration.
Autour ça s'est mis à bander aussi et les maillots et slips/boxer/shorty ont volé de nos fessiers. Avec PH, nous avons coincé Cédric pour lui faire son affaire tous les deux ensemble. Après tout il est habitué aux 26cm épais de son mec.
D'ailleurs il n'est pas contre. A genoux entre nous, il alterne sur nos deux bites une pipe en gorge profonde. C'est vraiment trop bon. On sent chez lui une facilité à les faire due à un passage régulier du gland d'Eric.
Pour les sodos, je commence alors qu'il suce PH. Il serre bien son anneau sur ma queue. Il écarte la bite de PH de sa bouche le temps de me dire qu'il fait toujours les exercices de musculation d'anneau que j'ai institué, à savoir les séances de contractions de rondelle sur plug amincit, puis replonge entre les cuisses de PH.
Nous inversons et PH apprécie à son tour la rondelle de notre petit mécano. Il le pousse à chaque fin de pénétration ce qui le fait s'enfiler mon gland au plus profond de sa gorge sans que je ne bouge moi-même. En bon pro de la pipe de compétition, il adapte sa respiration au rythme de PH.
J'en profite pour jeter un coup d'oeil sur les autres. Marc est en train d'enculer Louis alors qu'Hervé fait la connaissance du cul de Franck. Je me penche en arrière pour voir qui est de l'aitre coté de la sculpture. Alban y est occupé à sodomiser Ric. Il m'a l'air de faire une fixation sur lui, c'est pas possible autrement.
Ernesto se fait le petit Pierre sous les yeux de son mec (Olivier) qui utilise l'autre extrémité.
Eric est tout content de retrouver Jimmy et le lui fait savoir à grand coups de queue.
Si nous sommes tous de grands amateurs de bites, c'est chez Jimmy que cette disposition est la plus flagrante. Faut dire que l'exceptionnelle élasticité de son corps en fait le réceptacle idéal aux bites hors normes et à tout ce qui peut se faire à deux, trois ou même plus.
Les discussions ont laissé place à des bruits beaucoup plus " primordiaux ", les gémissements faisant réponse à des " ahan " gutturaux. De temps à autres, des paroles articulées arrivent à sortir de certaines bouches. C'est alors des " prends ça " et des " encule-moi plus fort " qui les remplacent.
Je laisse Cédric à PH et vais rejoindre Marc. Je veux faire l'amour avec lui avant qu'il ne reparte le lendemain matin.
Nous nous écartons un peu du groupe et au bord de la piscine nous nous aimons. Je ne lui suce que quelques instants sa bite déjà bien excitée puis me tourne en levrette pour qu'il m'encule. Il me laboure l'anus une bonne douzaine de fois avant de me retourner sur l dos pour que nous puissions nous embrasser en même temps. J'adore sentir sa bonne queue me limer le cul. C'est celle qui m'a initié aux plaisirs de la baise entre homme et cela ajoute à mon excitation, nonobstant le fait qu'il sache exactement comment s'en servir pour me faire grimper au ciel !
Notre étreinte dure, dure et je ne peux me rassasier de sa bite, pas plus que de sa langue qui fouille ma bouche et se bat avec la mienne. Ce n'est qu'après que nous ayons jouis de concert que nous nous sommes aperçus que nous étions les derniers et que tous les autres nous mataient.
PH est alors venu vers nous pour nous embrasser et nous aider à nous relever.
Dans l'oreille, il m'a glissé que nous étions très beaux dans l'amour et qu'il avait cru voir de l'envie dans le regard d'Alban dont la tête posée sur l'épaule de Ric et ses bras autour de sa taille montraient à tous son désir de " propriété ".
Passage rapide de tous à l'étage nuit pour un rafraichissement de nos peaux et débarrasser certains de sperme en train de sécher.
A l'étage du dessus, le déjeuner était prêt. Nous nous sommes aperçus alors qu'il était déjà 15h30 ! Le petit déjeuner n'étai plus qu'un souvenir et les exercices passés exigeaient que nous rechargions les batteries.
C'est l'approche de l'heure d'Alban qui a réveillé l'assemblée en train de digérer/siester après le café. Ric s'est gentiment proposé de le ramener à la gare.
Va falloir que je surveille ça !
Je descends au garage avec eux. Avant de monter dans la R8 de Ric, Alban me remercie de ce WE rafraichissant WE et des amis que j'avais réunis pour son passage.
Je lui dis qu'il sera toujours le bienvenu quand il voudra se mettre au " vert " en province. Et d'après ce que j'avais pu comprendre, il y avait trouvé un intérêt certain. A nos cotés Ric se met à rougir.
Alban le prends dans ses bras, lui roule un patin et lui confirme que j'avais bien vu.
Ils partent. Une demi-heure après, alors que nos autres invités étaient tous partis, retour de Ric qui souhaitait que l'on parle un peu.
Il m'avoue qu'il a bien accroché avec Alban et souhaitait que j'en touche deux mots à son père. Il est sûr que ce dernier sera plus réceptif au message. Il voudrait surtout pouvoir monter à Paris poser pour Alban et plus.
Quand je lui fais remarquer qu'il n'a pas l'air plus " master/sado " que ça, sa réponse m'étonne un peu. D'après lui (Ric), il n'en ressent moins le besoin quand il est avec Alban.
Jardinier