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soumission & Domination 245
Récit de Jona -1
Je suis arrivé au rendez vous prévu. Un véhicule nous attendait. Je dis nous car nous étions 2 sur le quai de cette gare à attendre. Moi et un autre jeune.
Quelques 5 mn plus tard nous entrons dans une caserne et rejoignons un bâtiment un peu à l'écart. Là, nous nous retrouvons avec 6 autres mecs.
A ce que je peux voir, je suis le plus jeune. Les autres semblent avoir entre 25 et 35 ans sauf un qui parait avoir la vingtaine. Au premier regard, ils paraissent tous être en bonne forme physique.
Nous sommes pris en charge et conduits dans le dortoir : 10 lits séparés par une table avec chaise et une petite armoire.
Ils sont tous pareils avec drap blanc et couverture pliés au pied du lit.
Nous avons 15 mn pour nous installer et descendre dans le hall.
Je prends un des lits au hasard. A ma gauche s'installe l'autre jeune. Il m'aide à faire mon lit, en m'expliquant qu'il a été pensionnaire. Chacun pousse son sac dans l'armoire et ferme le cadenas à n° disponible.
Nous sommes à temps dans l'entrée. Un type nous y attend pour nous emmener récupérer des uniformes. 2 Battle-dress, 2 pulls kaki, 4 T-shirts blancs, autant de slip et de paire de chaussettes plus 1 paire de rangers noires et deux serviettes de toilettes.
Retour au dortoir pour nous y changer. Nos vêtements civils rejoignent nos sacs et nous enfilons les tenues. Pas de fausses pudeurs, nous nous changeons tous de la tête au pied. Je ne peux m'empêcher de mater discrètement mes acolytes. Si je ne suis pas le seul à avoir les couilles rasées, je suis quand même celui qui maitrise le plus son système pileux. Question muscles, les autres me semble bien balancés aussi.
Retour dans le hall. Nous sommes alors emmenés dans une salle pour les tests dits " intellectuels ".
Ce sont les premiers que je fais. Ce sont surtout des tests de logique avec des suites de chiffre à compléter ou des figures à choisir pour finir des séries, plus divers tests de connaissances générales et de français.
En tout, rien de bien sorcier, même si je vois certains réfléchir sur certains exercices.
Quand nous pensons en avoir fini, ils nous distribuent une nouvelle feuille. Cela dure deux heures.
Nous sommes emmenés à une espèce de foyer où nous attendons l'heure du diner.
Il y a des militaires de carrière avec nous. Par effet de groupe, nous nous retrouvons tous les 8 à squatter deux tables contigües. Nous nous présentons tous. Le point commun, nous sommes tous des sportifs accomplis et tous en sport de combat entre autre pour certains. Quand aux occupations professionnelles, à part l'autre jeune (François) qui est étudiant comme moi, les autres viennent de la police ou de l'armée.
Notre " baby-sitter " nous retrouve pour nous conduire au mess.
L'ambiance entre nous est bonne, même si nos collègues nous prennent, l'autre jeune et moi, un peu de haut.
Après le diner, court passage au foyer et on nous envoi nous coucher de bonne heure.
Je me mets à poil et, une des petites serviettes dans la main, je pars aux douches. Au bout de notre dortoir, les sanitaires ressemblent beaucoup à ceux de vestiaires de sport. Les douches, ouvertes et sans rideaux font face à une rangée de lavabos surmontés de glaces.
Alors que je fais couler l'eau, les autres me rejoignent. Ça discute fort et les plus vieux essayent de nous faire peur en racontant des histoires de casernes.
Ce coup ci, je peux voir les queues sans que cela se remarque, nous sommes tous à poil ! Les mecs sont soit montés normal, soit au dessus. Moi, avec mes 13cm au repos, je suis dans le haut. Par contre ils se foutent de mon piercing sauf François qui me demande sa signification.
Comme nous rentrons à notre dortoir, certaines bites sont gonflées sans être totalement bandées, notamment celle de François.
Je charrie les vieux en leur disant que nous étions les plus jeunes mais surement pas les moins bien montés !
Ça les vexe et nous voilà partis dans un concours à qui aura la plus longue.
Prenez 8 mecs bourrés de testostérones, mettez les dans une même pièce et ça dégénère !!
En attendant, je ne suis pas le dernier à me branler pour me la mettre en forme.
Ok, je ne suis pas le mieux monté. Un des vieux, Pierre, me dépasse de presque 2cm de long mais pas plus large. François est monté comme moi, un peu plus fin dans les 19 x 5 et tous les autres sont en dessous de nous, CQFD !
Pierre dit en rigolant, que la plus petite bite devrait sucer les autres. J'entends des " bonne idée ". Je préfère calmer le jeu et leur dis que je ne suis pas contre mais que j'ai l'habitude de choisir mes partenaires.
François qui était resté à mes cotés, pique un fard et nous nous couchons sans nous être vidé les couilles.
Lumières éteintes, des grincements de sommiers métalliques dénotent que certains se soulagent.
Réveil avant l'aube. 5mn pour se laver et descendre devant le bâtiment.
La tête sous l'eau froide et nous sautons dans nos fringues. En bas nous attend l'archétype du sergent instructeur, une bête massive à la tête patibulaire.
Il nous entraine dans un footing qui s'éternise. Après 10 tours complets de la caserne, nous nous retrouvons devant un terrain d'exercices, le parcours du combattant dixit nos militaires.
Le sergent, frais comme une rose, demande aux militaires de passer les premiers. Ils nous montrent ainsi les façons d'aborder les obstacles. Avec François, je passe en dernier. Plus léger que les autres, nous survolons les exercices sans difficultés. D'après les têtes des autres, je pense qu'ils devaient être sûrs que nous nous étalerions comme des bleus.
Petit déjeuner qui arrive à propos.
La fin de matinée se passe assis à plancher sur de nouveaux tests.
L'après midi est plus intéressante avec des exercices de tir. Nos militaires et les policiers font mouche à chaque fois. Je me débouille pas mal au pistolet, avec 60% dans le centre et le reste bien groupé autour. François est à la traine et n'arrive qu'à en mettre la moitié dans la cible.
Les vieux sont autour de moi pour savoir comment j'ai réussi alors que l'instructeur se penche sur le cas de François.
Nouvelle série, j'améliore mon score et François aussi.
La soirée commence comme la veille. Je profite du temps libre avant le diner pour aller me doucher. François me suit, j'ai beau être plus jeune de deux ans, j'ai l'impression d'être son grand frère. A discuter avec lui, il vient d'une famille bourgeoise où il n'a pas eu beaucoup d'expérience hors de son milieu.
A poil tout les deux, il se met à bander et rougir en même temps. Comme il s'écarte, je lui dis qu'il n'a pas à rougir de sa bite et qu'il pourra toujours faire passer ça sous la douche. Ça le décoince un peu. Comme la veille, les autres nous rejoignent et ça repart
Ils sont 6 contre nous et doivent s'être mis d'accord avant de nous retrouver car 4 se liguent contre moi alors que seuls, 2, s'occupent de François.
J'ai un peu de mal à m'en sortir et réussi à sortir de la salle d'eau. Mais comme j'entends que François à le dessous, je retourne dans la mêlée et applique sans vergogne mes connaissance en krav maga pour en étaler 2, avant de me retrouver collé à François, nus sur le sol carrelé de la salle d'eau, les membres entravés par les " survivants ".
Pierre prend alors la parole pour admirer nos p'tits culs et dire aux autres qu'il va leur faire le chemin.
Je sens alors ses genoux écarter les miens et son gland se poser sur ma rondelle. Alors qu'il donne un coup de rein, je serre l'anus et il ne peut me pénétrer (merci Sasha pour les exercices de musculation sur plug !). Il réessaye deux trois fois avant de me gueuler de le laisser rentrer que cela me fera moins mal que s'il me tape.
Je lui réponds que j'avais dit que je choisissais moi-même ceux qui en avaient le droit.
Comme je sens qu'un de mes " tortionnaires " relâche un peu son maintient, j'arrive d'un grand coup de rein à me dégager et j'envoi direct mon pied dans les couilles de Pierre. Hurlements, je me dégage complètement et en étale un autre alors que François se dégage à son tour et avec son karaté en ajoute deux de plus au tapis.
C'est alors que le gradé qui nous avait accueillis déboule et gueule suffisamment fort pour figer tout le monde.
Il passe entre les mecs étalés et s'arrête devant Pierre enroulé sur lui, ses mains protégeant ses couilles.
Il demande des explications et Pierre lui explique qu'ils ont voulu plaisanter un peu et qu'on avait mal pris les choses.
François va pour protester. Je le coupe et lui confirme que c'est ça.
Il nous quitte en nous disant de nous calmer et de prendre des forces pour la journée du lendemain.
J'attends que tout le monde dorme et me glisse jusqu'au lit de pierre. J'ai le temps de lui attacher les mains eu montant du lit en fer avant qu'il ne se réveille. Je lui enfonce une chaussette dans la bouche et lui glisse à l'oreille que je vais faire son affaire à son petit cul puisqu'il avait l'air d'aimer ce genre de relation.
Il se débat un peu avant que je lui demande s'il voulait être enculé devant ses copains.
Je lui baisse son slip et me kpote, pas question de prendre des risques. Il se défend encore quand je le mets en levrette. Un coup sur chaque cuisse sidère ses muscles et le bloque en position. En souvenir de ce qu'il voulait me faire subir, je ne le lubrifie pas et me plante direct dans sa rondelle.
Le gémissement étouffé qu'il ne peut s'empêcher d'éructer réveille François.
Il ouvre de grands yeux à me voir sodomiser le " mâle " du groupe.
Je donne un nouveau coup de rein et enfile mes 20cm dans le boyau du macho. Arrivé au fond, je me penche sur son dos pour le prévenir que nous avions un spectateur. Il tourne la tête à gauche et voit François.
Tout bas je demande à ce denier de prendre mon i-phone et de filmer. Avec l'éclairage de la cour, ce sera suffisant pour reconnaitre les protagonistes surtout l'enculé.
Pierre qui entend ça se débat et je dois taper un peu ses cotes pour le calmer. Je me place bien entre ses cuisses et l'encule proprement. Lentement pour que cela soit bien visible sur l'enregistrement puis pus rapidement pour prendre mon pied.
C'est chose faite 10mn plus tard, pour lui aussi d'ailleurs !
Je le détache et lui dit qu'il n'a pas intérêt à dire quelque chose s'il ne voulait pas que je diffuse la vidéo à ses potes.
La nuit se fini calmement.
Au réveil, comme un des cons voulait remettre ça, Pierre, le premier leur a dit de nous foutre la paix.
Les jours se suivent et se ressemblent. Quelques tests intellectuels et exercices physiques.
On nous donne des maillots de bains basics et ils nous testent en piscine. Ce n'est pas ma tasse de thé mais j'ai pris goût chez Sasha avec la nage à contre courant. Je me défends même si François est meilleur que moi.
Il est très sexy dans ce maillot moche. Quand je sors de l'eau, il s'en aperçoit et je vois son maillot gonfler aussi.
Je me fais fort de finir par baiser avec lui avant la fin de la semaine.
Nous sommes même initiés à la plongée (toujours en piscine). C'est assez stressant la première fois mais trop génial après quelques minutes.
Aux séances de tir, François comme moi, nous nous améliorons.
Ils nous testent au fusil à lunette où François fait des merveilles avec son calme et au FM plus généraliste.
Les autres passent aussi les épreuves sportives sans problème.
Depuis la " mise au point ", nous ne sommes plus ennuyés.
Le jeudi je passe à l'attaque après une séance de combat entre nous. Je me suis défoulé sur les machos et je n'ai pas retenu mes coups.
Si j'en ressors avec quelques bleus, les autres sont plus colorés encore !
Sous les douches, je vais vers François. Les autres ne l'ont pas épargné et les cotes présentent les traces de coups. Nous nous aidons mutuellement à nous savonner le dos. Je fais attention mais il laisse échapper deux/trois gémissements.
Je lui dis que j'ai le baume qu'il lui faut dans mes affaires.
Arrivés au dortoir, je le fais se coucher sur le ventre et commence le massage. Ses muscles se détendent sous la pression de mes doigts et y vais délicatement sur les taches de couleur. Quand il se tourne pour que je m'occupe de ses cotes, je vois qu'il bande ferme.
Nous sommes encore seuls. J'écarte la serviette et plonge sur sa bite. Il essaye de me retenir mais j'ai déjà son gland dans ma gorge. Ses mains qu'il avait posées sur ma tête pour me relever, finalement appuies plutôt.
Il me demande ma queue et je me couche en 69. Il suce divinement bien. Sa gorge est douce et elle enserre parfaitement mon gland, surtout quand il dégluti, c'est trop bon ! Je m'efforce de lui rendre la pareille. Il arrive rapidement à me faire monter. Je lui rends le même service.
Nous ne nous apercevons que les autres sont arrivés que quand nous nous jutons dessus.
Ils font comme s'ils n'avaient rien vu. Nous partons nous doucher rapidement, ensemble.
A notre retour, nous enfilons une tenue propre et les rejoignons au foyer.
Ce coup ci ils y vont plus doucement. Un des flics nous demande si nous avions pris notre pied. Je réponds, François restant plus " timide ". Je leur dis qu'effectivement nous avions pris un plaisir autrement plus intense que leurs branlettes du début de semaine.
Ils finissent par rigoler. L'ambiance se détend autour des bières. Nous finissons par parler de sexe. Certains avouent avoir eu ce genre d'expérience ado mais ils sont tous maintenant de bons hétéros.
C'est à mon tour de rire. Ils me demandent pourquoi. Je leur dis que moi aussi j'ai été pur hétéro mais que maintenant je prends le meilleur des deux sexes. Ils peuvent demander à François s'ils ne croient pas que c'est bon.
Ce dernier se décoince et leur confirme que les deux sexes apportent chacun un coté de ce qui est bon en matière de sexe.
Nous finissons la soirée comme des potes
Jardinier