1er Épisode |
Épisode précédent
Soumission & Domination 271
Arcachon
Jour 2
Vers 19h00 nous nous rendons à pied à l'invitation. Un seul kilomètre nous sépare et ça permettra de rentrer même bourrés.
Nous faisons la route en discutant de qui avait remarqué qui dans le " camp " adverse. Comme ils sont assez uniformisés, entre 1,80m et 1,90m, muscles marqués et même pas mal développés pour certains, beaux culs et paquets prometteurs, je crois qu'on ne devrait pas être déçus.
La villa qu'ils ont louée n'est pas aussi typé que la notre mais le nécessaire est là, une piscine et surtout une grande haie qui isole la propriété sur tous ses cotés.
Nous sommes reçus avec enthousiasme. Ils n'avaient pas attendus pour commencer l'apéro. Nous leur confions les deux caisses de champagne et aussitôt 4 bouteilles sont sabrées. Comme ils sont déjà tous à poil, nous nous mettons à l'unisson. Matages réciproques du matériel. On a pas à avoir honte, nous sommes dans l'ensemble (surtout pour nous trois et les gendarmes) plus musclés qu'eux et nos bites n'ont rien de ridicules surtout celle d'Ernesto qui fait toujours son petit effet au déballage. Vu qu'on n'avait pas réellement baisé depuis la veille, nos bites sont montées vite fait au garde à vous. La touze a démarré aussitôt !
Je me jette sur un brun de ma taille, au bronzage intégral à la pilosité quasiment inexistante sauf un petit bouquet de poil ras au dessus du sexe. Il fait parti des plus musclés et sa bite ressemble fort à la mienne, peut être un cm de plus. Il se laisse accaparer. Nous nous caressons sensuellement. Sa peau est aussi douce que la mienne et mes mains glissent de son cou à sa bite. Mes lèvres suivent le même chemin avec une pose sur ses pecs pour m'occuper des adorables tétons qui les couronnent. Je suis bien récompensé quand ils se gonflent et durcissent. Je profite de leur augmentation de volume pour les attaquer avec mes dents. Un gémissement soutenu prouve que je suis sur le chemin de son plaisir. Je les abandonne et glisse sur ses abdos. Je trouve son gland qui couvre le trou de son nombril.
Je compte bien l'impressionner et doucement je m'enfile sa queue entièrement, poussant pour faire entrer son gland dans ma gorge. Je l'entends s'exclamer. Il n'oubli quand même pas de poser ses mains sur ma tête et d'appuyer dessus histoire de vérifier que j'ai bien tout pris.
Après m'avoir défoncé la gorge deux trois fois il pivote et me prend en bouche.
Il me rend le même service et je sens mon gland pénétrer sa gorge et se retrouver tout serré entre ses amygdales. Trop bon ça ! Nous nous contentons de cette position pendant un petit moment, variant les pénétrations totales avec l'agacement des glands par nos jeux de langues.
Intermède face à face nous nous roulons des pelles jusqu'à ce que le goût de nos glands disparaisse de nos bouches.
Quand je jette un cou d'oeil autour de nous, je vois que les deux groupes ont fusionnés et que personne n'est oublié.
Je retourne au taf. Il est vraiment bon mon choix !
Il a une langue des plus agile et j'aime sa façon de soudain me téter la mienne.
Son cul que je pétri depuis un bon moment m'attire de plus en plus. Je le retourne sur le ventre et lui écarte les jambes. Il devine ce que je vais lui faire et relève son cul. Ma langue s'attarde sur ses fesses. Je sens les muscles frémir sous sa peau brunie par le soleil. Il s'impatiente et écarte lui-même les deux globes pour me dévoiler une rosette imberbe elle aussi, rose et ronde (même s'il ne peut cacher qu'elle a déjà servie).
Je le fais languir et ma langue divague de gauche à droite mais approchant imperceptiblement de la cible. Quand je pose ma langue dessus, je suis récompensé par les gémissements que cela lui tire. Je salive et titille son anneau. Je le sens réagir à chaque sollicitation. Soudain il bascule sur le dos et pivote pour me rendre la pareille. A mon tour d'apprécier la dextérité de sa longue langue. Il est plus " agressif " que moi et rapidement tente de rentrer son appendice dans mon trou.
Je résiste un peu, la laisse entrer puis contracte mon anneau. Il le sens bien et s'arrête, surpris, avant de recommencer. Nous jouons ainsi un bon moment. A mon exemple, il s'essaye aux contractions anales. Sans atteindre mon degré de fermeture, il réussit néanmoins à serrer un peu ma langue.
Je suis le premier à passer à l'étape suivante. Kpoté et luisant de gel, je m'enfonce dans son cul bien préparé. Pas de pause avant que je sois totalement collé à lui et que nos couilles se frappent. Comme je l'encule en levrette, il bascule sa tête en arrière et je ne peux m'empêcher d'aller prendre ses lèvres. Je reste sans bouger au fond de son cul le temps d'un bon mélange de langues.
Je me redresse, attrape ses hanches et commence un labourage en règle de son anneau. Je le fais monter à coup de gland dans sa prostate mais cesse avant qu'il ne jute. Je veux qu'il m'encule à son tour. Sa rondelle est plus ferme que je ne m'y attendais. Je sens bien les bords serrer ma queue et malgré la kpote, je sens bien quand je bute et passe sa prostate. Les muscles de son dos se contractent régulièrement et mes mains passent dessus pour s'agripper à ses deltoïdes. J'appui plus fort mes coups de rein. Je l'emmène plusieurs fois aux portes de l'éjaculation avant qu'il ne me fasse cesser de peur que la prochaine soit la bonne.
Je me retire et kpote moi-même sa belle bite. Un peu de gel sur les surfaces destinées à entrer en contact et à mon tour me place à 4 pattes. Je le sens s'installer entre mes cuisses, les écarter pour mettre mon trou à la bonne altitude. Je regarde devant moi pour avoir la surprise. Elle n'est pas mince (la surprise). Il m'encule avec autant d'enthousiasme que j'en avais mis avec lui. Ses glissements me maintiennent la gaule ! J'apprécie son rythme pourtant ou surtout irrégulier. Je lui prouve mon bon vouloir en bloquant sa progression plusieurs fois. Ça l'excite encore plus et il met plus de force dans ses coups de rein. Il n'hésite plus à me pousser de quelques cm à chaque enculade ! Je mange grave mais j'adore. C'est ce que dis Ernesto à mon enculeur alors qu'il passe changer de partenaire.
Je fais pulser mon anneau et il ne peut plus se retenir et donne un dernier coup de rein pour s'enfoncer en moi et remplir sa kpote. De mon coté de baisse la pression pour ne pas juter.
Je le laisse et, debout, mate autour de moi pour choisir mon prochain plan.
Je me laisse sucer la bite par quelques enculés devant lesquels je passe un peu trop près. Puis je trouve ma prochaine proie. Un de nos hôtes, blond, cheveux mi-longs, plutôt fin avec de belles marques de bronzage laissant la peau de ses fesses d'une blancheur virginale (probablement la seule chose de vierge chez lui !).
Je l'arrache du cul d'un des jeunes " médecins " et lui plante ma bite dans sa gorge. Je ne sais quoi, en lui, me donnais l'envie d'être brutal ! J'ai de la chance, il a l'air d'aimer ça. Il subit les passages de mon gland de l'autre coté de sa glotte sans m'en vouloir, même si quelques gargouillis me prouvent qu'il n'était pas familier de la chose.
Quand je lui ai bien défoncé la gueule, je le retourne et, ma bite emballé de plastique, recouverte de gel, je lui défonce le cul. Heureusement que je bandais façon barre d'acier car je ne crois pas que beaucoup de monde ait passé avant moi sa porte arrière ! D'ailleurs tout le monde s'en rend compte au bref hurlement qui s'échappe de sa bouche. Un de nos hôtes éclate de rire et dit à la cantonade que c'est bien la première fois qu'il voit son pote se faire défoncer.
Je le laisse s'habituer au volume de mon engin (qui n'est pas non plus monstrueux !) puis commence les choses sérieuses. J'y vais lentement au début. Mes vas et vient sont lents mais longs. Dans un premier temps je ne ressort pas mon gland. J'ai trop peur qu'il ne me laisse pas y retourner !
Il s'y fait et commence même à apprécier ma présence. Autour de nous, deux de ses potes me regardent faire. Eux aussi ne connaissaient leur copain qu'actif. Un des mecs lui donne des conseils pour qu'il se détende et apprécie. Il ajoute même à ses conseils un peu de vapeur de poppers.
Je ne sais pas si cela lui plait mais moi j'apprécie la légère détente de sa rondelle. Quelques instants plus tard, il commençait à onduler des hanches et à reculer pour venir plus vite sur ma bite. Je prends de plus en plus de plaisir à lui défoncer la rondelle et c'est réciproque. De plus psychologiquement, le fait de déflorer un actif, ça me fait durcir la bite encore plus. Je monte rapidement et explose dans ma kpote. Sous moi le blondinet jute à son tour. Je m'écroule sur lui, crevé de l'avoir sailli.
Je me retire quand même avant de débander totalement et de lui laisser ma kpote pleine dans le cul. Je m'aperçois que nous sommes les derniers à avoir jouis.
Les autres ont l'air d'avoir passé eux aussi un bon moment et c'est ce que me confirment aussi bien mes deux amours (PH et Ernesto) que nos deux gendarmes.
Nous avons besoin de recharger les batteries et après une toilette sommaire mais nécessaire, nous passons au BBQ. Les entrecôtes alternent avec les merguez et les patates en papillotes, le tout servi avec un petit rosé frais. Heureusement que nos hôtes avaient été prévoyants car nous vidons le frigo ! Je crois bien avoir enfilé deux entrecôtes sans compter le nombre de merguez.
Quand nous nous séparons, nos hôtes nous font jurer de les retrouver sur la plage quelques heures plus tard.
Le retour n'est pas si titubant que je l'avais craint, même si nous somme plus près de 1g que des 0g.
Nos deux gendarmes sont ravis de leur séjour chez nous. Ils sont de plus en plus libres et je commence à les apprécier plus que comme de simples objets sexuels (même s'ils sont vraiment bons à ce propos).
J'en viens même à ne pas comprendre qu'ils ne soient que simples sous off !
Je passe la nuit dans leur lit. Ça me permet d'apprendre plus de choses sur eux.
Ils me confirment qu'ils sont bien amants même si la fidélité n'est pas intrinsèque. Ils font très attention à la caserne car c'est encore mal vu chez les militaires !
C'est la première fois qu'ils participent à un plan pareil.
J'apprends qu'ils ne sont sous off que par leur origine modeste. Mais ça leur plait car ils passent leur temps sur leurs motos ce qui n'est pas le cas de la plus part des officiers.
Avant de nous endormir nous nous satisfaisons de pipes respectives. A ce jeu, ils sont aussi bons que moi et nos gorges profitent bien du passage de nos glands avant que nous nous jutions dessus.
Douches et dodo.
Jour 3
Réveil entre mes deux militaires. Comme ils bandent, je me penche sur leurs " problèmes " et ce faisant les tirent du sommeil à leur tour. Je continu de sucer leurs bites alors qu'ils se roulent un patin. Prise de plaisir, douches et rasages et nous descendons.
Sur le palier, nous parvient d'une chambre des gémissements significatifs. J'ouvre la porte et nous tombons sur Ernesto en train de sodomiser un de nos jeunes amis étudiant en médecine devant son propre mec qui embroche le trou opposé.
Nous restons spectateurs après avoir salué les deux actifs d'une pelle et de bisous sur les lèvres alors que le passif recevait nos bonjours par l'intermédiaire de caresses sur son dos.
Bien que déjà supérieurement membrés, mes deux gendarmes ne se lassent pas de regarder les 24cm espagnols défoncer une rondelle.
Nous descendons déjeuner avec eux. Nous retrouvons PH et l'autre couple médical en train de prendre un café. Comme personne ne s'est donné la peine d'aller à la boulangerie, je m'y colle et sors la SL, PH m'accompagne.
Il me demande comment s'est passée ma nuit et il me raconte la sienne. Nous revenons les bras pleins de croissants, pains au chocolat et autres viennoiseries.
Les autres sont dans la piscine et nos militaires sur la terrasse à faire des pompes. Je me joins à eux.
Sans poids, ils utilisent le corps de l'autre comme masse à soulever. C'est intéressant car je n'ai jamais vu ça, ayant toujours des barres normales pour mes exercices de musculation.
Ils pratiquent ainsi des " développés-couchés " et le travail des bras. Nous faisons une bonne séance avant de manger. Nous complétons avec quelques oeufs brouillés.
Début d'après midi, nous votons pour savoir si nous retournions à la plage de la veille. Tous nous sommes partants. En effet nous n'avons pas encore épuisé le potentiel parisien !
Nous prenons notre temps et n'y arrivons que vers 15h. Les hôtes de la veille nous attendaient avec impatience et nous avons à peine le temps de quitter nos shorts que nous sommes entrainés dans leur partie de volley. Nous alternons nos participations à ce jeu de ballon avec de fréquentes plongées dans l'eau toute proche.
Je matte un peu plus loin sur la plage un jeune mec qui me fait bander. Je demande à un de mes gendarmes si c'était risqué d'aller vers le petit bois un peu en retrait pour baiser un petit cul.
Il me dit que ça craint pas, leurs collègues du coin laissant ce bois tranquille puisqu'aucune plainte n'en provenait.
Du coup je laisse les potes et marche jusqu'à ma proie. Il me voit venir vers lui et j'ai l'impression qu'il commence à bander. Quand je suis au dessus de lui, j'en suis sûr ! Son maillot est soulevé par une barre gonflée qui part vers sur la droite.
De mon coté je ne peux pas cacher non plus mon intérêt pour lui. Il me sourit, il est très beau ce petit con !
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!